Le Défilé Du 14 Juillet

Un 14 juillet, il y a une dizaine d'années. La tradition voulait qu'on défile tous déguisés et comme tous les ans, c'était la galère pour trouver un costume amusant. J'étais accompagné dans cette tâche par 2 amis. Cela faisait 2 semaines que nous cherchions une idée originale, simple et pas trop chère (dur, dur d'être éudiant ...). Nous avions envisagés beaucoup de costumes sans vraiment être sûr de nos choix quand tout d'un coup, une de mes amie lança:

- et si on se travestissait?
- pardon? répondis-je
- oui, c'est simple et gratuit en plus!
- excellent comme idée, fut enthousiaste ma seconde amie
- mais comment ça gratuit?

En effet, j'étais assez septique et l'idée ne me plaisait qu'à moitié. Mon amie m'expliqua qu'on avait qu'à échanger nos fringues vu qu'on avait quasiment tous le même gabarit. Je tiens à préciser que j'étais un garçon assez fin à l'époque. Mes 2 amies étaient super emballées et le vote se fit à la majorité (j'ai pas eu le choix en fait). Quand vint le jour fatidique, je rejoins mes 2 amies chz l'une d'elle avec des vêtements qu'elle m'avait demandées: 2 costumes cravates avec chaussures. Par contre, je ne savais pas à quoi m'attendre. A mon arrivée, elles ne m'ont pas laissé le choix et je me suis très vite retrouvé en caleçon.

- ça ne va pas!
- non, ça ne va pas du tout

Mes 2 amies estimaient que le caleçon et le poil sur les jambes n'allaient pas avec le costume. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, je me suis retrouvé épilé et en petite culotte blanche en soie. Elles ont continué avec une mini-jupe, des bas, un petit chemisier blanc, un soutien-gorge rembouré, une perruque, des petites chaussures à talons et du maquillage. La transformation était spectaculaire. Les filles sont allé se changer et on s'est retrouvé au défilé à l'heure prévue.

Le défilé s'est bien passé et personne ne parut choqué de me voir dans cette tenue.

Je commençais à être enfin à l'aise quand, au moment du feu d'artifice, je perdis mes amies de vue. Tampis, je profiterais du défilé seul. Enfin, c'est ce que je croyais. Un type déguisé en gendarme arriva derrière moi et me sussurra à l'oreille "papiers s'il vous plait". Je me retournais et quand il vu que j'étais un mec, il ne parut pas troublé plus que ça. Il me dit qu'il devrait m'embarquer pour exhibitionnisme mis qu'on pourrait s'arranger "à l'amiable". Je lui dit OK en lui montrant une ruelle sombre non loin de là.

Une fois à la ruelle, je me pendis à son cou en lui disant "alors monsieur l'agent, on veut arrêter la vilaine fille". Il ne répondit pas et m'embrassa fougueusement. Il me retourna et me colla les mains sur le mur. Il commença une fouille au corps très .... appuyée. Quand il eu finit, il remonta ma jupe, tira sur ma culotte blanche et me massa les fesses. Dans le même temps, j'entendis une sortie se dessérer et un pantalon tomber. Il ne fallut pas longtemps pour que je sente son engin pointer à l'entrée de mon petit cul de salope en chaleur. Il rentra doucement au départ pour ne pas me faire mal et je déduisis qu'il pourtait une capote quand j'ai senti qu'il rentrait bien sans lubrifiant.

Il me laboura comme ça pendant une petite dizaine de minutes avant de tout décharger en gémissant très fort. Quand je me retournais, je bandais tellement que ma jupe se relevait seule. Il commença à me branler mes ce n'est pas ce que je voulais. Je lui fit comprendre en appuyant sur ses épaules que je voulais plus. Il compris tout de suite et se mit à genou, ouvrit la bouche et me suça comme un dieu. Cette pipe dans une ruelle sombre m'excitait tellement que je lui jouis très fort dans la bouche. Je pensais qu'il recracherais mais il a tout avalé goulument et m'a même nettoyé la queue avec la langue.

Après ça, il se rhabilla à la hâte, me collait un petit baisé sur les lèvres et partit sans un mot. Je retrouvais mes amies plus tard comme si de rien était et nous avons profité du feu d'artifice tranquillement. Je retrouvais mon bel inconnu un peu plus tard dans la semaine avec sa femme et ses s. Il me reconnut également et sembla complètement paniqué. Je le rassurais d'un clin d'oeil et continuais mon chemin comme si de rien était. Après tout, je ne devais être qu'un fantasme qu'il a pû accomplir sans que sa femme le sache et ce n'est pas moi qui allait lui dire.