Ma Belle Soeur, Nuit D'Amour?

Les jours, que dis-je, les semaines qui ont suivi ce dernier épisode ne furent que souffrance pour l’un et envie, soulagement, satisfaction pour l’autre.
Après avoir attrapée ma belle sœur lors de son dernier exploit d’adultère, les choses s’étaient clarifiées entre nous. Elle n’avait plus son mot à dire. Elle devait s’exécuter, m’obéir et surtout se taire, sauf pour jouir bien entendu.
Je ne me rappelle pas avoir eu autant de rapport sexuels avec ma femme dans un temps aussi court. Je me demandais réellement comment Clarisse pouvait supporter tous mes assauts. Sans compter ceux de son mari.
Je ne vous raconte pas le nombre de fois où je me suis rendu à son domicile, lors de l’absence de mon frère évidemment, uniquement pour me faire sucer. C’est facile, j’arrive, elle m’ouvre la porte, sans dire un mot je l’entraine dans sa chambre, et là encore sans dire un mot elle s’agenouillait afin de me libérer du poids de mes couilles. Elle me suçait divinement bien et à chaque fois j’y prenais un plaisir hors du commun. Il faut dire qu’elle savait y faire pour faire juter un homme.
Je ne vous raconte pas non plus le nombre incalculable de positions dans laquelle sa chatte m’a accueilli. Levrette, missionnaire, debout, cambrée, empalée sur moi etc… Quel bonheur d’avoir à sa disposition un si beau lot. Une perfection ce corps. J’y prenais un plaisir à caresser, embrasser, lécher chaque millimètre de son corps. J’emportais à chaque fois avec moi ma caméra afin d’immortaliser ce magnifique souvenir(grâce à tous ces films, je peux vous raconter les scènes en détails). Au début elle voulait refuser mais comme elle n’était pas en position de commander, elle dû s’y résigner.
Il ne me restait qu’un seul désir inassouvi, son cul. Je voulais la sodomiser, la dépuceler mais bizarrement je n’osais pas. J’avais réussi petit à petit à lui mettre un doigt complet lors d’une levrette endiablée. Là encore, elle avait hurlé de plaisir.

C’est tellement rare de l’entendre hurler comme cela.
Je savais que cela ne se ferait pas facilement, j’essayais toujours de grappiller à chaque rapport mais elle défendait son cul d’une manière très farouche. Mon gourdin ne l’entendait pas de cette façon. Il m’ordonnait de passer à l’action.
Un soir, ma femme étant absente pour trois jours chez sa famille, mon frère étant lui aussi absent en déplacement, je me dirigeai chez elle. J’étais décidé. L’ultime fantasme devait être réalisé.

J’avais acheté une bonne bouteille de whisky et je sonnai à sa porte. Elle m’ouvrit. Elle me demanda pourquoi j’avais amené une bouteille et je lui expliquais que ce soir était le dernier soir où je lui rendrai visite. Cela devait s’arroser. Je lui ai également précisé que je ne me contenterai pas d’une fellation ou d’un rapport en guise d’adieu. Je souhaitais profiter de ses charmes une dernière fois mais toute la nuit. Je lui ai également demandé d’y mettre du sien si elle voulait que ce manège s’arrête.
Elle attendit quelques instants avant de me répondre un oui timide. Voyant qu’elle hésitait, j’allai chercher deux verres et nous servi 2 bonnes doses de sky. Je posais ma caméra sur un meuble afin de tout filmer encore. Elle commença à boire timidement, aussi, je passai à la vitesse supérieure. Je retirai mon pantalon et boxer et lui dis de commencer la nuit par un graissage des outils pendant que je dégustais mon whisky. La sensation était bizarre, et je tenu beaucoup plus longtemps avant d’éjaculer sans prévenir sur son visage. Elle grimaça puis courut se nettoyer dans la salle de bain. Pendant ce temps, je remplissais encore nos verres et j’essayais de redonner de la vigueur à mon sexe le plus rapidement possible. Je voulais vraiment tout lui mettre ce soir.
Quand elle revint, je lui montrais son verre qu’elle continua de boire. En même temps, ma batte de baise-ball était prête. Alors je décidais de lui offrir un joli cunnilingus afin de la préparer au feu d’artifice qui l’attendait.
Je ne sais pas si l’alcool commençait à lui faire de l’effet mais elle prit beaucoup de plaisir. Habituellement, elle restait quand même de marbre.
Vint le tour ensuite du premier 69 qu’elle et moi avons fait. Là encore, quel délice. Je lui laissais un temps de repos avant de ré-attaquer. J’adorais la prendre en levrette, aussi je commençais par cette position. Dans cette position je peux lui caresser ses obus, ses fesses, son dos. Je peux également lui caresser son anus encore vierge. La pistonnade s’accélérant, je lui enfonçais la tête dans l’oreiller en gardant son cul bien en l’air. Je kiffe vraiment ces positions où on sent vraiment taper au fond. On sent vraiment posséder la femme qui subit les assauts. Je finis par éjaculer sur ses fesses. Je lui étalais ma semence un peu partout sur ses fesses et j’en profitais pour caresser sa petite rosette avec le bout du gland légèrement ramolli. Elle reprit légèrement ses esprits et je l’essuyais de toute trace sur ses fesses. Je lui resservi encore à boire et encore. Elle commençait à être un peu éméchée. J’alourdissais encore la note en lui servant encore un verre. Elle titubait mais restait éveillée quand même. Je présentais mon sexe devant sa bouche afin qu’elle lui redonne encore de la vigueur. Elle me dit qu’elle est fatiguée et qu’elle voudrait se coucher mais non, je n’avais pas finis. Alors je lui ouvris moi-même la bouche pour qu’elle me suce. J’en profitais pour malaxer ses seins que je n’aurais plus l’occasion de toucher. Je l’allongeais ensuite sur le ventre.
Je lui caressais le dos, les fesses, les jambes, les pieds. Elle avait l’air d’aimer ça et se laissait faire. Je pris soin de bien la détendre et ensuite je m’allongeais sur elle pour qu’elle sente mon gourdin lui caresser son corps également. J’avais placé ma bite entre ses fesses mais façon branlette espagnole. J’avais un mouvement régulier. Je me branlais entre ses fesses, mmhhh quel délice. Je commençais ensuite à l’embrasser partout, son dos si pur, ses jambes parfaites, ses petits pieds mignons.
Je revenais ensuite sur ses fesses. J’écartais ses jolis lobes pour lui lécher sa petite rosette. Elle se laissait entièrement faire et j’en profitais pour bien préparer l’endroit en y laissant beaucoup de salive. Je finis par risquer un doigt qui rentrait tout seul désormais. Je le laissais à l’intérieur afin d’aider la dilatation. J’y risquais un deuxième qui fut très bien accueilli lui aussi. Ce qui m’étonnait, c’est que je n’avais aucune réaction de sa part. Ni protestation, ni encouragement. Pour cause ? Elle s’était endormie. Je continuais donc mon travail jusqu’à ce que mes deux doigts puissent aller et venir dans ses entrailles. La préparation était bien terminée et j’appliquais maintenant un peu de vaseline sur sa rosette et sur mon sexe afin que la pénétration se fasse sans douleur. Là je pris ma caméra en main afin de filmer le reste en gros plan.
L’instant magique, le summum, l’extase. Mon sexe rentrait en elle doucement. Quelle sensation. J’avançais en elle millimètre par millimètre, centimètre par centimètre. Jusqu’à ce que mon sexe soit complètement en elle. Je ne bougeais plus pour que la dilatation se fasse le plus naturellement possible. Le clou du spectacle : elle dormait toujours. Lentement je commençais des vas et viens. Puis j’accélérais le rythme. De plus en plus en fort, de plus en plus vite. J’étais au bord de l’éjaculation, alors je me retirais doucement afin de libérer toute ma semence sur son dos. Putain, c’était vraiment un régal. Je mis quelques minutes à reprendre mes esprits. Elle dormait toujours, incroyable. Je n’en revenais pas. Je m’allongeais à ses côtés, lui caressant ses fesses. Je me repris un verre et je la matais en même temps. Elle m’excitait encore, j’en avais pas assez. Mon sexe en voulait encore.
Je la retournais ensuite sur le dos et je filmais toutes les parties de son corps. Je la caressais en même temps. J’empoignais ses seins, je jouais avec mais toujours aucune réaction. Sa respiration était normale. Elle dormait à poings fermés.
J’entrouvris sa bouche et j’y insérais ma bite. Je la baisais maintenant par la bouche. Mon érection était au top, aussi de voulais encore gouter à son cul. Je la positionnais sur le côté avec un genou replié. Je m’enduis de vaseline à nouveau, j’en étale légèrement sur son anus et c’est reparti pour un tour. Après toutes les éjaculations je tenais beaucoup plus longtemps. Ça ne venait pas. Je relevais alors son cul en l’air, comme pour la levrette mais avec la tête toujours appuyée sur l’oreiller. Je m’enfonçais encore en elle mais dans cette position de pouvais vraiment aller au fond. Le top du top. J’éjaculais une dernière fois sur ses fesses. J’étais repu. Complètement vidé. J’avais pris un pied immense. Après avoir rangé ma caméra dans mon sac, je m’allongeais moitié sur elle en lui tenant un sein. Je m'endormi à ses côtés. La suite et la fin dans le dernier chapitre bientôt.

J’adore vos encouragements alors n’hésitez pas.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!