L'Etat Des Lieux
L'Etat des Lieux
Un état des lieux, tous le monde sait ce que c'est, c'est chiant, long, et tu te tapes l'angoisse de savoir si tu vas récupérer tes mois de caution, pour cette fois là, nous rendions service à des amis qui ne pouvaient être présents.
La dame de l'agence est arrivée à l'heure, c'était déjà ça, elle s'est mise de suite à inspecter l'appart, nous la regardions faire, mon épouse et moi, sachant qu'elle allait trouver à redire, le silence était légèrement pesant, ma femme la suivait partout et moi, je me contentais de regarder son allure et ses formes, elle n'était pas moche, la cinquantaine approchante, blonde un peu grisonnante, cheveux mi-longs, une peau bronzée, un petit cul encore ferme et rond et des seins de bonne taille, qui tenaient debout mais pas tout seuls.
Elle était vêtue d'une tenue légère de lin beige clair, chemisier déboutonné sur sa poitrine, pantalon moulant, qui laissait apercevoir, quand elle se baissait, les marques de sa culotte, qui d'ailleurs, lui rentrait entre les fesses, faut dire qu'il faisait chaud, et qu'un boulot pareil doit te faire suer, dans tous les sens du terme, elle était très méthodique et active, j'ai pensé que ça ne prendrai pas des plombes.
Elle était souriante, voir enjouée, ce qui rendait l'état des lieux presque agréable, Ophélie, mon épouse, semblait se décrisper un peu, et les deux femmes commençaient à sympathiser, du moins, à se parler sur le ton de la compréhension, elles n'en n'étaient pas aux sourires complices mais ça venait doucement, si bien qu'au but d'une demi-heure, je les laissais vaquer ensemble, écoutant leur conversation d'une oreille distraite, je restais sur le balcon à fumer une cigarette.
Je suis allé les voir plusieurs fois quand même, histoire de me tenir au courant des vétustés, usures et autres endommagements qu'elle trouverai à nous reprocher mais la dame semblait satisfaite de l'état général, ça faisait maintenant une heure qu'elle contrôlait, salle de séjour, chambre, cuisine, elle allait s'en prendre aux sanitaires quand, passant devant les WC, elle eu l'attitude désinvolte de nous demander sans pudeur:
- ça ne vous gêne pas si je fais pipi.
Ophélie, tout en me lançant un regard effaré, bégaya un "- non, bien sur..." alors que la dame baissait déjà son pantalon et sa culotte sur ses genoux, de plus, elle ne ferma même pas la porte et s'accroupie au dessus du siège, sans aucune gêne, là Ophé s'éloignât en tapant des pieds, le regard chargé d'étincelles.
Il faut dire pourtant, qu'Ophélie et moi, jouons parfois à ce genre de provocation, les jeux de pipi ne nous sont pas inconnus, ils nous est arrivés de le faire en pleine nature, cherchant à capter l'attention d'un promeneur pour une excitation plus complète, et puis avec des connaissances aussi, lors de soirées chez eux ou chez nous, mais je crois que là, la surprise a été totale, nous n'étions pas venus pour ça, et Ophé, toute libre d'esprit qu'elle peut être, ressentait cela comme une forme de drague envers moi, alors qu'il était flagrant que la dame nous allumait tous les deux.
Le doux chuintement du liquide passant le méat et les chairs intimes de notre pisseuse, captait mon oreille agréablement et je sentis un début d'érection gonfler le devant de mon short, Ophé s'en aperçu et revint vers moi en lorgnant sur la bosse qui déformait ma braguette, elle alla se poster devant la dame.
- Vous gênez pas surtout...! lui dit-elle un peu agressive
- ca vous arrive souvent de pisser devant les gens comme cela...?
- Ils y en a qui aiment ça... affirmât la dame avec un large sourire
- Pas vous...? Questionnât-elle ironiquement
- Nous...c'est quand on le décide... répondit sèchement Ophélie
- Moi aussi... dit la dame
- Et là...j'avais envie... vous me plaisez tous les deux... dit-elle d'une voix douce et feutrée qui ne couvrait pas le bruit de sa miction qui continuait par jets interrompus, elle prenait son temps et faisait profiter.
Ophé était maintenant devant elle dans le WC et j'étais dans l'encadrement de la porte à regarder l'affrontement verbale des deux femmes, tout en matant la culotte de la dame qui semblait légèrement humide à l'entre-jambe, la gueuse devait avoir eu un peu déjà envie avant de la baisser.
Puis la source vint à se tarir et la dame nous demanda s'il nous restait du papier hygiénique quelque part, car elle n'en voyait pas à disposition, j'allais en chercher un rouleau dans notre dernier carton de déménagement, à mon retour, Ophé me laissa sa place en m'annonçant, un peu courroucée, que la dame souhaitait que je l'essuie et que je serai récompensé de ma bonne action, je connais bien Ophé et je savais à présent, que si elle me laissait faire une chose pareille, c'est qu'elle avait une autre idée en tête.
Donc j'essuyais, je savais bien le faire, une femme me l'avait apprit et Ophé m'avait plusieurs fois complimentée, pour ce faire, la dame s'assit sur le siège et écartât les jambes, je vis qu'elle avait un pubis soigneusement rasé avec juste un petit triangle de poils courts sur le dessus, charmant, ses petites lèvres rosées pendaient au milieu de sa vulve couverte d'humidité, je plongeais la main munie de papier pour lui éponger tout cela avec délicatesse.
- Ca te plait de faire ça...hein... cochon...? Ironisa Ophélie
- mais il le fait très bien... dit la dame
- il méritera sa récompense... ajoutât-elle
- Et moi...? J'aurai le droit à une récompense aussi...? Pour vous avoir prêté la main de mon mari afin de vous essuyer les fesses...?
- Je pourrais vous essuyer les vôtre...? Si vous aviez une petite envie...?
- Mais pour moi, ce ne serai pas avec du papier... lui rétorqua Ophélie
- Tiens donc...? avec quoi alors...? demanda la dame, amusée par la tournure des choses
- Et bien avec votre bouche et votre langue... annonça mon épouse
Et voila, Ophé annonçait aussi la couleur, je m'y attendais, donnant-donnant, j'allais avoir une récompense, dont j'espérais qu'elle soit, pour commencer, au moins buccale et mon épouse souhaitait la même chose pour elle, pour joindre le geste à la parole, elle troussa sa jupe et baissa sa culotte, demandant à la dame de lui laisser la place, celle-ci se releva et vint à mon côté pour assister au pipi de ma femme qui, s'asseyant sur la cuvette, lui donna la permission de me donner ma récompense.
La dame ne se fit pas prier et commença par me masser le paquet à travers le tissus de mon short, j'avais le bâton depuis un moment, d'abord avec le spectacle de la pisseuse et ensuite, ayant compris qu'il allait ce passer des choses agréables entre nous trois, ça m'a fait un bien fou quand la dame m'a ouvert la braguette, mon engin était trop à l'étroit depuis un moment et sa main sur ma verge m'a électrisée de suite, surtout qu'Ophélie commençait à faire son pipi et ordonna à la dame:
- Vas-y...suce-le maintenant... sur le ton d'une dominatrice dressant son esclave
La dame était experte, je l'ai senti aussitôt, experte en fellation, Ophélie est une experte aussi, il y avait concurrence dans le suçage de bite, d'ailleurs mon épouse me le demanda;
- Alors
? Elle est bonne la dame
?
- Ouiii
- Aussi bonne que moi
?
- Presque
chérie
presque
- Ben on verra si elle essuie aussi bien les vulves que les bites
!
- Ne vous inquiétez pas
dis la dame en me lâchant le sexe quelques secondes
- Quand je vous aurai fais goutter à ma bouche
vous en redemanderez
La pipe à continuée jusqu'à la fin du pipi d'Ophélie, la dame avait eu le temps de faire goutter à son savoir buccale, elle m'avait aussi avalée les testicules et, dans un geste furtif plusieurs fois répété, m'avais agréablement caressée l'anus de la phalange d'un doigt humide, ce qui m'avait chauffé les sens encore plus.
- Viens me montrer ce que tu sais faire
demanda Ophé après la dernière goutte, elle releva carrément les jambes en les écartant, aillant enlevée sa culotte, elle donnait une vue plongeante sur son intimité écarlate et trempée, ainsi que sur sa rosette fripée, la dame se jeta goulument sur la motte mouillée de pipi, j'entendais les succions, des grands "chlurrrpe" d'assoiffée, elle lui mangeait la moule avec voracité, Ophé l'attrapa par les cheveux et sembla se contracter, elle ne jouissait pas déjà quand même
?, je la connais, il lui en faut plus, la dame donna l'explication en s'écartant un peu.
- Petite vicieuse
dit-elle, alors que du liquide lui coulait de la bouche
- Je m'en fout
j'aime ça aussi
dit-elle en reposant ses lèvres sur la vulve
Ophé me fit un clin d'il, elle venait de faire un truc spécial qu'elle ne fait que rarement mais surtout quand elle veut dominer, elle avait fait semblant d'avoir finit de pisser tout en gardant une réserve dont elle venait de déposer une giclée dans le gosier de la dame qui avait la bouche grande ouverte, mais l'autre aimait cela donc, elle continua.
- Te broute- t'elle bien
? Demandais-je
- Elle mange bien
elle boit aussi
répondit mon épouse en lui envoyant un jet à la face.
- Encore
tu sens bon
arrose-moi
sussurait la dame au bord de l'extase
Je me caressais doucement la verge d'une main, attendant d'être invité à la suite des réjouissances, de l'autre, je profitais de la position de la dame pour faire un inventaire de ses charmes et la sensibiliser à de possibles pénétrations, au choix des orifices, si mon épouse m'en donnait la permission, la femelle était accueillante, lubrifiée au naturel, deux doigts trouvèrent leur place dans son sexe pendant que mon pouce tentait de lui visiter la petite porte, celle-ci étant serrée, je récupérais plusieurs fois de sa mouille afin de lui faciliter le passage, c'est mon épouse qui, me voyant en standby, la tige à la main, proposa une chose sympathique.
- Dis-donc
comme tu es une bonne brouteuse
je te ferai bien une récompense aussi
mon mari pourrai te fourrer
? Qu'en dis-tu
?
- C'est gentil de me le proposer
j'ai la chatte en feu
je dégouline
- Vas-y mon chéri
baise la dame
m'autorisa simplement Ophélie
Je l'ai enfilé d'une traite, à la hussarde, elle a poussée un râle, a dit "- aaahh la vaaache", puis elle a gémie sous les coups de boutoir, la bouche pleine, car elle continuait de lécher la vulve d'Ophélie, elle avait même glissée une main entre les fesses de ma femme et lui doigtait l'anus, moi je reluquais le sien avec envie, je l'avais trouvé étroit lors de mon attouchement digital, elle n'était quand même pas pucelle de l'illet à son âge, encore que certaines femmes ne découvrent le plaisir anal que sur le tard, celle-ci, avec ses attirances pour l'uro, avait bien dû y goutter aussi, bien que cela n'est pas de rapport, on peut aimer se faire pisser dessus et ne pas accepter la sodomie.
Il commençait à faire chaud dans les cagouinces (WC, pour ceux qui savent pas), Ophé appréciait les câlins de la dame, de plus en plus profonds d'ailleurs car elle recevait maintenant quatre doigts dans la fente et deux dans le cul, ça sentait le fist, mais dans quel orifice, moi je limais comme un bourricot, regardant palpiter sous mes attouchements, la rondelle boursoufflée que je convoitais, c'est encore Ophé qui décida de m'offrir ce cadeau, elle me connait la Ophélie
- Tu veux me mettre toute la main toi
? dit-elle en attrapant la dame par les cheveux
- Mais je
! Tu es ouverte
tu vas aimer ça
lui dit la dame
- Dans ce cas
donne ton cul à mon mari
il vat te faire ton état des lieux aussi
- Ah non
! Pas ça
! Je ne le fais jamais
!
- Tu ne l'as jamais fais ou tu le fais pas souvent
?
- Quelques fois seulement
ça fait mal
- Mais non
tu vas voir
mon mari sodomise en douceur
- Et puis dis-donc
qu'est-ce que tu as à faire ta timide
? Tu m'as tripoté le trou de balle tout à l'heure
lui dis-je, surpris par son attitude de pucelle effarouchée.
- Et là
c'est bien tes doigts qui sont dans mon cul
? Rajoute mon épouse
- Bon d'accord
. mais il vat doucement
finie par accepter la dame
Moi, je met toujours toute ma tendresse et ma délicatesses dans les préliminaires pour l'anal, avant de mettre tout le reste, la dame, je lui préparais le petit depuis un moment, si bien que quand j'ai présenté mon gland devant sa petite entrée, c'est rentré comme dans du beurre, enfin de compte, elle faisait des manières, j'ai bien vu qu'elle poussait pour ouvrir son sphincter à mon manche de pioche, elle faisait des " aille
ouille
arhhh
uushhh
" mais c'était pour le spectacle, style je suis pas une enculée.
J'ai vu mon gland disparaître dans ses trente six plis, c'était chaud dedans, serré aussi, j'ai pris un pied terrible à m'enfoncer dans son cul, au ralentis, en lui écartant les fesses avec les mains, quand je suis arrivé à la garde, j'ai fais machine arrière, toute, au ralentis, pareil, elle disait "- Ho mon dieu
ho mon dieu" puis arrivé sur le bord de l'illet, j'ai jeté un coup d'il pour voir si elle ne m'avait pas chocolaté le grand chauve, ça allait, c'était propre, alors je me suis mis à lui buriner la boîte à chocolat, sauvagement, profondément, petite vitesse, grande vitesse, avec retrait total de l'engin pour mieux la lui remettre, un plaisir à chaque fois, en gentleman, je lui doigtais la figue, ce qui avait l'air de lui faire de l'effet.
De son côté, mon épouse avait le regard perdu dans le vague, et ahanait des mots sans suite en se tenant les seins, faut dire que la dame lui avait presque rentrée une main dans la foune, ça coinçait au niveau du pouce, et elle tentait de lui rentrer un troisième doigt dans le derrière, pour une qui prétendait ne pas le faire, elle aimait le faire aux autres, avec tout ça, j'ai vu qu'Ophélie montait vers l'orgasme, elle a commencée à envoyer des giclés, et moi j'ai sentis que je venais, ça montait très fort et j'ai jouis en lui balançant la purée dans le conduis rectal, elle a jouis en me pissant dans la main, en couinant comme une petite truie.
Nous nous sommes revus après ce jour là, la Dame, en réalité de son prénom Brigitte, pour nous "Bri", elle a trouvée plusieurs fois des prétextes pour passer chez nous, le courrier par exemple, qui continuait à arriver dans la boîte à lettres et à chaque fois elle prenait une secoué, par moi, Ophé, ou nous deux ensemble, on lui a fait goutter à nos jouets aussi, surtout un que l'on avait achetés par gourmandise et qui s'était avéré un peu gros, pour moi surtout, mais à elle, ça lui allait, même dans la rosette, faut dire qu'à force de lui travailler le sphincter, elle ne faisait plus de simagrées, elle s'occupait bien d'Ophé pour le broutage et de moi pour le suçage, chère Brigitte
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