Henriette
Cet après midi je suis de sorti, comme tous les lundi. Normalement je vais au cinéma voir les dernières sorties. Mon mari travaille, gagne bien sa vie, cest pour ça que jen profite. Je nen profite pas pour le tromper: je laime trop pour ça et ensuite pourquoi je le ferais ? Nous baisons souvent, il me comble toujours tant en quantité quen volume ( il est bien monté). En plus jai ce quil faut à la maison; je reste nue le matin, quand il sen va. Je nai quà tendre un bras pour prendre de quoi calmer mes besoins éventuels. Je nai que le choix: pour la maison jai un gode vibrant. Cest de lui dont je me sert fréquemment. Je laime bien surtout quand jai envie comme aujourdhui. Je commence toujours de la même façon: je caresse ma poitrine comme il sait bien le faire, mes mains descendent ensuite vers mon ventre que je caresse en appuyant. Jai le gode dans la bouche pour le réchauffer un peu et mimaginer que cest ma bite préférée que je suce. Jécarte les jambes comme je le ferais sil me baisait. Je caresse le clitoris un bon moment. Quand mon ventre demande le maximum, jenfile le gode dans le vagin et mettant en route les vibrations. Souvent je ne fais même daller et retour dans mon ventre. Seules les vibrations menvoient au 7° ciel.
Je me prépare pour sortir, pour aller au cinéma, donc. La bonne doit venir, je lattend.
Elle est en retard: à ma connaissance cest la première fois. Je ne peux pas partir en laissant la maison comme elle est. Jattends donc en mimpatientant un peu. Enfin la sonnette, normalement la bonne ne sonne pas, elle a la clé. Jouvre la porte pour me trouver en face de ce qui me semble un jeune fille bien sexy.
- Bonjour madame je suis Henriette, la fille de votre bonne. Elle est malade, elle ma demandé de la remplacer pour aujourdhui. Je suis prête pour vous aider. Vous savez elle vous aime beaucoup.
- Bien sur, vous savez ce que vous devez faire ?
- Oui.
Je la fais entrer, je fais une croix sur mon cinéma.
Elle fait un tour de la pièce pour voir son travail. Bien sur elle voit ce mon bel engin. Elle le prend dans sa main, je regarde en détail, me sourit:
- Vous devez aimer ce modèle. Parait-il quil donne beaucoup de plaisir. Si josais
.
- Oui ?
- Je vous demanderez lautorisation de men servir, jaime bien me masturber, alors là je suis excitée.
- Si vous voulez nous pourrions le faire ensemble.
- Jaimerai bien pour une fois.
Je devais aller au cinéma, me voilà presque levée par une fille à laquelle je ne peux pas dire non. Moi aussi jai envie quelle me fasse des choses immorales. Je la laisse sapprocher de moi.
Elle sarrête très près pour me regarder en face, sa langue passe sur ses lèvres. Il doit être terriblement excitée. Je tends mes bras dans lesquels elle vient se réfugier, nos bouches se touchent, nos langues jouent dans nos bouches.
Je mouille sans arrêt, à croitre quhier au soir mon mari ne ma ni baisée et enculée, ni que je me suis branlée ce matin. Nos poitrines se serrent pendant que nos mains caresse tout le corps. Il me semble être un homme qui va baiser sa maitresse. Nos lèvres sont toujours soudées. Cest Henriette qui la première pose sa main sous ma jupe, me caresse les cuisses, me fait écarter les jambes. Pour moi cest plus simple je nai qua ouvrir deux boutons dune blouse pour ouvrir sur sa quasi nudité. Je me moque de soutien gorge, je préfère mettre ma main sous son string.
Elle doit le comprendre: sans que je dise un mot, une prière, elle pose enfin sa main entière sur la chatte. Je tends mon ventre vers elle. Elle membrasse encore. Je suis à elle, quelle me fasse ce quelle veut: je le supporterais toujours. Elle trouve vite le bouton, quelle caresse très lentement, trop lentement. Je prends sa main pour quelle aille plus vite. Rien à faire, elle me masturbe à sa façon: elle va plus vite quand elle en a envie. Cest enfin bon elle a la bonne cadence. Ce nest pas assez vite, elle accélère: mon ventre est tendu à fond vers sa main. Je suis totalement en arc quand je sens lorgasme venir.
Elle a besoin elle aussi de jouir, elle menjambe pour me donner son sexe à lécher. Mon premier con à faire reluire avec la langue. Son goût efface tout, son odeur de fille en chaleur est là aussi. Cest tout nouveau, quest ce que cest agréable dans ma bouche et mes narines. Je commence à passer ma langue sur sa chatte. Je ne réfléchi même plus, nous prenons notre plaisir à deux, cest le principal. Je sens ses seins sur mon ventre comme le sien sur ma poitrine. Quelle belle invention que le 69. Jadore le faire avec mon mari, là je nai pas de bite dans le bouche, jai une chatte. Le plaisir de donner du plaisir est le même. Je ne fais ce qui me passe par la tête, jentre deux doigts dans le cul dHenriette qui ouvre facilement lanus. Elle doit avoir lhabitude de se faire sodomiser. Elle me le rend à sa façon, sa langue est sur lanus, je lentrouvre: elle y entre sa langue aussi.
Je tends mon bras pour récupérer le gode que je met en route: je le rentre dans son vagin: elle réagit aussitôt. Elle gémit plus fort, elle remue dans tous les sens. Je suis contrainte darrêter ma langue dans le cul. A son tour elle pousse un cri qui me semble plus fort que le mien.
Un dernier orgasme nous arrête: nous sommes totalement crevées de jouissance. Nous restons enlacées un moment avant de nous relever et nous rhabiller.
Nous savons bien que nous allons recommencer les jours qui viennent. Pour ce là il faut au moins nettoyer le chambre et ranger le gode. Cest laffaire de 5 minutes. Elle revient demain matin, comme sa mère. Cest entendu elle fera le ménage en arrivant et nous ferons lamour ensuite. Il nest pas question que je parle de cette infidélité à mon mari: il le prendrai mal je suppose, à moins quil participe, mais là cest à elle de décider.
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