Erica & Alain

Qu’elle nuit agitée. Sur un coup de tête je me suis carrément jetée dans les bras d’une copine que
je savais amoureuse des filles. J’avais envie de connaitre les sensations de l’amour féminin: je
connais pas mal les plaisirs avec les hommes; leur bite dans la chatte, la bouche ou l’anus. J’aime,
j’adore même ce genre de plaisirs.
Je suis curieuse de savoir ce que va me faire Erica. En souriant d’un air engageant je lui demande
directement de me faire l’amour: elle en rit:
- Toi te donner à moi ? Tu m’étonne, je t’ai souvent fais des signes pour te proposer une simple
baise toutes les deux, tu n’en a jamais tenu compte.
- Excuses moi je n’avais pas compris que tu voulais de moi.
- C’est pardonné. Viens chez moi ce soir: nous nous aimerons, tu ne le regretteras pas.
Quand je vais chez elle, je me souviens des années précédentes où j’allais chez elle en amie pour de
simple révisions. Il n’y avait jamais rien eu entre nous, sinon les aveux de nos masturbations.
Ce soir je compte sur elle pour m’initier.
Elle m’embrasse sur les joue en arrivant, rien de plus. Dans son séjour, les choses sont plus
orientées: Elle est très près de moi, sa bouche vient sur la mienne: le baiser est long, pas
meilleur qu’avec un homme, sinon que savoir qu’une fille le fait me rend toute chose.
Elle accélère les astuces, puisqu’elle n’a pas eu à me raconter des salades, ni me faire la cour. Sa
langue commence à être plus active quand elle commence à me caresser à peu près partout: on dirait
des insectes qui m’entourent.
Elle enlève mon t-shirt pour retirer mon soutif. Que j’ai les seins nus ne la dérange pas, au
contraire, elle m’embrasse les tétons, caresse les seins par-dessous en les faisant remonter. Je
reste immobile, ne sachant trop comment faire.
- Reste comme tu es, je vais te mettre nue et ensuite nous feront l’amour.

- Je ne sais pas comment te donner du plaisir.
- Tu sais te branler ?
- Bien sur je ne l’ai dis quand nous étions jeunes.
- C’est vrai, alors tu me fera ce que tu te fais quand ta main va sur ta chatte.
J’attends donc qu’elle fasse le gros du travail. Pour elle c’est très simple: elle déboutonne le
jean, fait descendre la fermeture éclair, fait tomber le jean et le string d’un seul mouvement.
Me voilà, enfin nue devant Erica. Elle m’embrasse les seins, pose sa main juste à l’entrée de ma
chatte, sur la petite partie visible entre le haut de mes cuisses.
Elle me laisse seule ainsi pendant qu’elle se déshabille simplement, sans chichi. Je le trouve bien
fichue, mieux que moi, pour elle c’est l’inverse. J’ai droit à ses prévenances: Ses mains me
caressent partout, les seins, les fesses, surtout les fesses. Une main est sur ma raie fessière:
elle descend jusqu’à un endroit que j’aime bien. Elle s’arrêt sans doute à moins de deux doigts de
l’anus, par contre l’autre ne se gêne pas pour venir sur ma chatte.
- Tu mouilles, tu aimes ça, petites salope.
- Oui, c’est vrai j’aime me faire masturber.
- Attends tu vas sentir comme c’est bien avec moi.
Erica m’oblige à écarter les cuisses: elle la passe tout le long de ma fente, remonte et redescend
avant de se fixer sur le bouton qui attend ça depuis le début. Elle ne sait pas ce que je ressens:
un énorme plaisir qui éclate par un orgasme rare.
Je me sens obligée de chercher dans son abricot. Je ne cherche pas longtemps pour trouver son
clitoris. Je fais comme pour moi, je la caresse avec mes trois doigts que je fais aller et venir.
J’obtiens le premier résultat quand je la sens se crisper sous mes doigts: elle jouit. Je suis fière
de moi.
Elle nous fait aller dans sa chambre: son lit est tellement large que je lui demande:
- Tu t’en sert pour des partouzes ?
- Dès fois quand on est plusieurs filles.
- Et les garçons ?
- Rarement, quand nous en avons envie.
Je regrette presque que mon copain ai été tenu hors de mon jeu.
Les choses chaudes commencent: Elle me fait coucher confortablement,
Je m’étale, elle est sur le ventre, sa bouche sur la mienne, une main sur mes seins. Sa main descend
lentement sur mon ventre puis sur le pubis. Il me tarde qu’elle aille plus bas. Erica le fait, passe
encore sa main dans toute ma fente pour s’arrêter sur l’anus. Elle le caresse, surtout autour. Je
suis frémissante, dans l’attente de je ne sais quoi.
Enfin elle entredeux doigts dans le cul. Elle les fait aller et venir jusqu’au moment qui arrive
trop vite: je jouis.
Elle m’enjambe, ses jambes entoure mon visage comme le sien est entre mes cuisses. Elle parle enfin:
- Si tu aimes faire les 69, tu vas être servie.
- Je vais te lécher, c’est la première fois que je vais faire cette chose, j’en ai honte.
- N’ai pas honte de donner du plaisir et d’en prendre.
A dire vrai je suis écœurée d’être obligée de mettre ma langue dans sa chatte. Pourtant j’aime me
faire sucer par mon mec. Quand je sens sa langue sur mon bouton, je ne peux plus reculer, à mon tour
je met ma langue dans sa moule. J’avais tord: sa cyprine est agréable au gout, comme la mienne je
suppose. Je commence à sentir encore le plaisir arriver: je ne me retiens pas, surtout que je sens
qu’elle se crispe souvent sous ma langue qui navigue maintenant dans son vagin.
Nous arrêtons par fatigue, surtout elle qui depuis le début mène la danse.
Erica me demande de revenir le soir pour que nous baisions encore. Je l’averti que si je viens je ne
serais pas seule; mon ami Alain viendra aussi: il risque de la baiser. Elle ne dit rien.
Dans la journée j’ai le temps d’avertir Alain en avouant ce que j’ai fait avec Erica. Pour lui, je
mérite une bonne baise avec lui ce soir, en attendant je doit me branler devant lui: j’enlève mon
string, écarte les jambes: ma chatte est déjà bien mouillée. Ce n’est pas difficile de se branler,
même et surtout devant lui. Je caresse le bouton avec mes trois doigts pour que je touche toujours
plus de chair intime. Lui a sorti son bijou, l’a pris dans sa main et comme moi se donne du plaisir
en me regardant faire. J’aime voir sa main aller et venir sur sa tige, j’adore quand son sperme sort
en saccade.
Le soir nous arrivons chez Erica: elle m’embrasse sur la bouche, et embrasse Alain, sur les joues
alors qu’elle sait fort bien qu’il est là pour la baiser.
Elle me déshabille devant Alain qui aime la voir faire: il suffit de voir sa braguette pour
apercevoir qu’il bande. Tant pis si Erica craint les bites, je sors celle d’Alain: il reste
immobile, même pendant qu’Erica est nue. On dirait qu’elle va être violée alors qu’elle va se faire
défoncer le cul par la bite de mon amant.
Dans la chambre, c’est Alain qui est au milieu du lit, les femmes sommes de chaque coté. Alain
s’attache à exciter comme il peu Erica. Il y arrive en la caressant simplement, d’abord les seins
puis entre les jambes. Je peux voir ce qu’il fait: il passe sa main dans la chatte qui s’ouvre par
miracle. Pour la suite, je suis tranquille, il sait parfaitement me branler, il va la faire jouir
une fois ainsi avant certainement de la lui mettre. C’est bien ce qui arrive.
Je regarde, ça m’excite très fort. Je ne suis pas jalouse, j’ai envie de me masturber, ce que je
fais en le disant bien fort. Au moins ils savent qu’ils peuvent baiser en paix.
Elle écarte bien les jambes, guide la bite vers l’entrée de son vagin, pose ses talons sur les fesse
d’Alain et se fait baiser comme normalement. Elle passe une main vers moi comme pour m’associer à
son plaisir. Je vois Alain aller et venir dans le puits de mon amante. J’entends surtout les
gémissements de plaisir d’Erica.
Je ne pensais pas qu’elle aime autant se faire mettre. Heureusement qu’elle jouit. C’est à mon tour
de passer sous Alain.
J’ai envie d’être sodomisée. Je suis en levrette: Alain vient sur moi, je le sens contre mon cul, il
va me la mettre dans le cul comme prévu. Ca commence bien pour se terminer encore mieux: Erica
remarque qu’en étant en levrette elle a de la lace pour venir sous moi. Elle se glisse, me donne son
con et prend le mien pendant que la bite de mon amant est au fond dans mes boyaux. Je prends un pied
pas possible à décrire: je sais que je jouis presque sans arrêt.
Il est prévu de recommencer un de ces jours.