Je Préfère Par Derrière
On peut me prendre pour une fille bornée. Ce n'est pas vrai. Je me suis branlée vers 14 ans et j'en ai éprouvé beaucoup de plaisir dès la première fois. Je continue encore souvent. J'ai fait l'amour avec un garçon charmant, le frère d'une copine qui me plaisait bien. Je ne peux pas dire qu'il m'a faite jouir, je me souvient encore de sa fierté quand je lui disait que je jouissais. Il a voulu aller plus loin en me mettant sa bite au cul. Je n'en voulais pas à cet endroit et pourtant.Il insistait tant qu'à la fin j'ai cédé. Il ne m'a pas brusqué, il m'a longuement massé autour de mon anus tout en me suçant. A un moment il m'a mis sa queue sur mon cul. J'attendais qu'il me la mette. Il faisait trainer les chose jusqu'au moment où il m'a senti détendue. Il m'a rentré sa bite très lentement, plus lentement que dans le con.
Je sentais bien sur que sa bite était engagée en moi, je ne ressentais pas de douleurs excessives et je le laisser me tringler. Il n'allait pas vite en moi quand je commençais à avoir un autre plaisir plus fort que dans ma vulve. Je jouissais autour de sa queue. Je ne me lassais pas de l'avoir là où je ne voulais pas au début.
Nous nous sommes séparés pour je ne sais plus quelle raison. J'ai rencontré diverses personnes dont Jeanne qui fût ma première amante. elle m'a tout appris de l'amour entre femmes. Les façons de bien caresser les seins, de branler l'autre, de sucer, de se branler sexe à sexe et l'utilisation de godemichés. J'aimais bien baiser avec elle surtout quand
nous étions en 69: j'avais toujours le dessous et je pouvais bien lui voir toute sa fente. Je levais un peu la tête pour que ma bouche arrive à son clitoris et elle devant au contraire baisser la sienne. Comme je voyais bien son cul, il m'arrivais souvent d'y mettre deux doigts pour les faire aller et venir. Elle me rendait la pareille. Souvent je lui demandais de me mettre son gode dans le cul, alors qu'elle préférais que je lui mette au con.
Au tout début de notre rencontre nous faisions l'amour comme il aimait: toujours dans mon con alors que mon cul voulait lui l'avoir dedans. A part cet oubli, il me faisait toujours jouir.
Nus sur le lit il commence par me caresser partout, surtout les seins. il les embrasse comme s'il était un nouveau né. Sa bouche va ensuite vers mon nombril: il aime y mettre sa langue je ne sais pourquoi. Il m'embrasse le pubis et enfin ouvre avec sa main mes lèvres et ayant trouvé mon clitoris il le branle de plus en plus vite. Je jouis toujours. Quelques fois je lui demande de le sucer: il accepte à condition qu'il jouisse dans ma bouche: au début je l'acceptais simplement pour lui être agréable et ensuite je trouvais que son sperme avait un goût acceptable. Je le gardais un moment en bouche avant de l'avaler. Je continu à faire la même chose, sauf que maintenant je trouve qu'il a un bon goût. Je ne l'accepte qu'après
qu'il m'ait faite jouir, sinon, il débande et je ne veux pas toujours lui donner le spectacle de mes mains me donnant du plaisir.
Il savait que j'aimais me branler, alors un jour il me portait un godemiché aussi gros que celui de mon amie Jeanne: je ne pouvais refuser et je me branlais avec, le le posais même sur mon cul, sans le rentrer. Il ne savait pas que je continuait à avoir des relations avec elle.
Un jour je lui demande de m'enculer. Il ne veut pas pour je ne sait qu'elle obscure raison. J'ai fait la grève des fellations qu'il aimait beaucoup.
Alors il a accepté de me sodomiser. il était débutant en la matière, c'est pour ça tout simplement qu'il refusait. Je l'encourage et lui montre comment faire pour qu'il ait du plaisir en m'en donner au moins autant. La première fois ça a été une véritable catastrophe.
Je ne sais comment il a fait, le lendemain, il veut se rattr: Il me tapisse littéralement le cul de salive et y pose sa queue. Enfin je lui demande de rentrer lentement: je sens bien son gland quand il passe mon sphincter: je n'ai qu'un seule envie, qu'il me la mette à fond. Je pousse mon cul contre son ventre: il comprend enfin que je sais comment faire. il entame les vas et viens et je me régale d'avoir enfin sa bite en moi de ce coté que je préfère depuis longtemps. Je jouis plusieurs fois à sa grande surprise: quand il me baise par devant je ne jouis qu'une seule fois. Avant qu'il jouisse je lui demande de se retirer: il le fait à contre
coeur: il allait jouir. Ce n'est pas perdu pour lui: je lui demande un 69. Au début il refuse, pourtant j'aime sucer une bite qui vient de m'enculer. Enfin il se met en position: en 69, il me suce le con, ce que j'aime et moi je lui prend la bite en bouche. J'aime le goût d'une bite qui
sort de mon cul, je ne sais pas pourquoi, sans doute que je suis plutôt dépravée. Je fais durer ma fellation pour profiter de sa bite. Enfin il me fait jouir et je m'arrange pour qu'il jouisse aussi avec un peu de retard, s'apprécie toujours le goût de son sperme que je déguste à présent avant de l'avaler.
Je retrouve Jeanne souvent et nos étreintes ne sont pas très orthodoxes. Comme j'ai un godemiché bien à moi que j'emploie souvent seule, nous en profitons toutes les deux avec le sien. Bien sur nous faisons comme toutes les filles dans notre cas: nous ne baisons que pour le plaisir que nous nous donnons de toutes les manières possibles. Sa dernière trouvaille est de baiser devant un caméscope pour nous regarder ensuite pour nous exciter. J'aime bien mais à la fin nous nous apercevons qu'il y a des manques dans nos baises.
Quand nous nous servons des godes, je le lui mets dans le con et elle me le met dans le cul, jusque là c'est normal pour nous, sauf que nos mouvements ne sont pas à la même vitesse. La suite manque d'un peu de sel. Aussi elle achète un double gode pour nous permettre de baiser ensemble, soit dans le con soit dans le cul, ou choix. Elle connais déjà mon choix et moi le sien.
Dès son acquisition faite, nous nous pressons pour l'essai: nous nous couchons, presque fesses contre fesses. C'est elle qui veut manier l'engin. Elle commence par le mettre à fond dans sa vulve, s'approche un peu de moi et je me le met dans le cul. Elle tient le gode par le milieu et fait elle même les vas et viens. Cette nouveauté nous montre que nous
avions raison de l'utiliser. A présent nous finissons nos amours par cette dernière étreinte qui n'en est pas véritablement une, mais qui nous donne le signal de la fin.
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