La Belle Et Le Crétin
Depuis un certain temps, mon plus grand rejeton me demandait pour passer un w-e chez moi et il insistait pour que ce soit le w-e de pentecôte. Je dois dire que cela ne marrangeais pas trop, surtout un long w-e, en sachant que jaurais difficile de le supporter plus de quelques heures. En effet, depuis mon évasion de cette prison familiale via un divorce à larraché où mes deux fils avait doffice (et sans surprise, aucune) pris parti pour leur père, je les supportais tous les deux encore moins quavant et j' avais déménagé de pour mettre de la distance (350 km) entre eux et moi, mais aussi (et surtout) pour avoir lespace de me reconstruire une vie comme je lentendais. Depuis les trois ans que javais repris ma liberté, je les voyais une fois tous les mois, souvent au resto dans à mi-chemin et plus rarement dans la mienne, ne les voyant un peu plus longuement qu'à Noël, les seules fois où ils avaient mis les pieds dans ma nouvelle vie. Car s'ils faisaient partie de mon ancienne vie, ce n'étais par vraiment réciproque et je redoutais un jour de voir débarquer mon ancien connard de mari frapper à ma porte, pour essayer de me reprendre. Leur vie sans mère et bonniche ou autre présence féminine (je savais que non!) navait pour ainsi dire quasi rien changé, et je les trouvaient encore plus cons quavant, bien quils aient tous les deux réussit leur bac et étudiaient en cycle post-secondaire. Je lui accorderai au moins cela à leur père, que lautorité (toute relative quand on s'en détache) dont il faisait preuve envers quasi tout le monde, elle faisait quand même marché mes mouflets droit.
Devant son insistance, jai cédé et accepté sa venue ce w-e là, surtout quil y avait un concert de jazz quil voulait voir dans le coin (première nouvelle !! mon fils qui écoutait autre chose que du rap et de la techno), et il mannonça quil venait avec une amie, quil me faisait entendre comme sa future fiancée. Deuxième nouvelle!! Mon fils qui se faisait une demoiselle, alors que son attitude merdique envers les femmes avait plutôt tendance à fonctionner contre lui.
Arrive le w-e fatidique, ils arrivent à lheure (encore lautorité paternelle) et je leur ouvre la porte den bas et leur dit que lascenseur fonctionne (pour une fois). Trois minutes plus tard ils sont sur mon palier et pénètrent dans lapart par la porte laissée grande ouverte, mon fils en premier avec son habituelle dégaine de faux gosse des cités. (Bon, de coté-là, pas de changement.) Après une bise brève (je préfère), il sécarte et me présente Sandrine, sa compagne. Premier choc: elle est absolument ravissante, élégante, timide, un rien classique, belle, polie, gentille, racée et un peu féline, discrète, et surtout assez timide, et lai-je dit, superbe. A part pour cette avant-dernière caractéristique, tout ce que mon crétin de fils ne mérite à priori pas. Elle me fait penser un peu à moi à son age -elle en a que 17, donc cinq de moins que son/notre crétin. Je pense que tout garçon presque instinctivement recherche sa mère dans sa compagne. A première vue, un demi-point pour ce crétin. Il est loin dêtre moche (il tiendrait plutôt de moi, physiquement), mais a force dêtre mou du ventre il finira plus comme son père, bien que celui-ci était loin dêtre repoussant à lépoque. Mais, aujourd'hui, la discipline et autorité de ce dernier, ses bons conseils et ordres, cétait surtout pour les autres, pas pour lui, et cela faisait un bon bout de temps que tout espoir de se recaser était nul.
Sandrine semble positivement surprise de me voir (jimagine le portait quon naura pas manqué de lui peindre de moi) et a lair enchantée de passer quelques temps ici.
Je retourne avec la cruche de thé glacé que jai faite avant leur venue et nous sert un verre à la délicate jeune fille qui en prend plein les mirettes du panorama moitié citadin et moitié montagneux. On sassoit dans le coin encore au soleil et je lui pose les questions habituelles et la découvre un peu estomaquée. Elle a perdu sa mère, fauchée par une voiture alors quelle avait dix ans, mais que son père sétait plutôt bien débrouillé pour lélever elle et son frère. Mais, à la regarder, clairement à cette fille, il lui manque une mère, et surtout dans l' adolescence. Elle fait des études au conservatoire et joue du violoncelle, ce qui la fait sursauter, et court chercher celui-ci quelle avait laissé sur le palier.
Elle passe une demi-heure à me jouer une partie de son répertoire: manifestement cette fille est douée. Elle a vraiment plaisir à louer, surtout quelle voit que japprécie vraiment. Jen ai profité ou la dévisager un peu. Elle est assez différente des gamines de son âge, habillée en jupe longue et sage, un chemisier à manche à fleur tout à fait charmant, des sandales laissant apparaître des pieds et chevilles gracieux, quelques bracelets fantaisies au poignet droit, ses longs cheveux blonds lui tombant bien passé ses épaules, ses yeux verts, son nez mignon, un sourire angélique, qui laisse parfois échapper un rire cristallin. Pas de piercing, de tatouage, de maquillage (elle nen a pas vraiment besoin), pas de jupe taille basse dévoilant un nombril et des bourrelets disgracieux. Bref, tout à fait classique et très classe. Je me dis que son père doit être un type bien pour avoir réussi une jeune fille aussi superbe et intelligente, sans l'aide d'une femme. Car la conversation de la demoiselle est à limage de son look et elle témoigne dune vivacité desprit et une culture générale assez peu commune pour une fille de son âge.
Après deux heures davoir trucidé tous les Zigouillions de la planète Trouduc, le crétin nous rejoint sur la terrasse parce quil a faim
ça creuse de génocider un peuple innocent. Bon, javais lancé le four et réchauffé le Castelnaudary (dont tout le monde me dit le plus grand bien) préparé la veille, et la bouteille de vin était ouverte. Légère surprise, le fiston avait dressé le couvert - il a certainement ouvert tous les placards (en commençant par ceux de la salle de bain) pour trouver la vaisselle. On passe à table et mon cassoulet fait une médaille dor après de la nouvelle génération. Elle a une bonne fourchette la petite et le crétin ferait presque illusion avec ses bonnes manières à table. Ma présence lui rappellerait-elle un minimum de savoir-vivre? Bon, niveau conversation, il est vite perdu, et je ne fais aucun effort pour dissimuler ses lacunes, qui deviennent encore plus évidentes à Sandrine. Je vous choque, mes chers confidents?? Been oui, entre ma descendance loupée (c'est aussi ma faute,, mais c'était du 3 contre un) et une vie future à sauver, jai vite fait mon choix, et ce nest pas celui de mon sang.
Durant le dessert, il mannonce quil a reçu hier des tickets pour le match de foot de dimanche après-midi (ben voyoooons, maintenant je sais pourquoi il insistait tant sur ce w-e). Puis il me demande le journal du coin et le feuillette, pendant que Sandrine et moi débarrassons la table. Elle est vraiment bien cette petite, et je me sens des ailes de grande sur me pousser. Sentant le courant vraiment passer entre nous, elle en profite pour me demander des avis sur des tas de chose qui demandait une réponse depuis belle lurette. Un grand cri résonne dans le salon, et notre crétin feint de découvrir une techno-rap-parade dans la ville le samedi, ce qui lembête car cest en même temps que le concert de jazz (beeeen, re-voyoooooons, je lavais pas vu venir celle-là!!). Prenant son air faux-cul embêté, il ne sait comment annoncer à sa compagne quil préférerait aller là, plutôt quau concert de jazz. Je saute sur loccasion de nous débarrasser de lui encore quelques heures de plus, en lui disant dy aller de son coté, et que nous irons voir le concert à deux, entre filles. Ravis, il me signale que les tickets réservés sont à la réception. Sur ce, il retourne dans la chambre pour trucider des elfes sur le territoire de Mordor, nous laissant seule, à notre grand soulagement.
Le sachant vissé devant sa console pour des heures durant, on va passer la soirée, tranquilles entre filles avec musique et film au programme. On sassoit dans le canapé lune coté de lautre et on discute. Je suis vraiment en train de tomber sous lémotion de ce qui ma le plus manqué dans ma vie précédente: une fille à chouchouter et dorloter, et je me sens mi-mère, mi copine avec cette gamine qui aurait pu être mon troisième . On se dit quasi-tout et elle mavoue quelle me trouve vraiment belle et classe, quelle voudrait bien devenir comme moi. Jen tombe presque par terre et lui dit de ne surtout pas répéter mon erreur et de tomber enceinte dun connard, comme je l'ai fais à son âge. Elle me répond candidement, quelle prends ses précautions sans lui dire (brave et sage papa, va
jaimerais le rencontrer, un jour) et que de toute façon, il est tellement nul, que cela foire à quasi tout les coups. En fait elle est quasi vierge. Estomaquée par cette révélation (on ne se connaît que depuis cinq heures), je lui fait la promesse de laider à la sortir de ce mauvais dans lequel elle sest engouffrée. Toute heureuse, elle me fait un bisou tendre et me serre dans ses bras et pose sa tête sur mes seins, qu'elle semblerait caresser. Aïe, cela réveille en moi dautres souvenirs bien (trop ?) agréables vécus sur ce canapé il y a peu, et gênée, je me dérobe un peu. Etonnée, elle sexcuse de sa familiarité et de la promiscuité. Je la ratt alors quelle se lève, étourdie de mon mouvement quelle interprète comme un rejet. Bon, je suis pas dans la merde moi! Jessaie de réparer les dégâts en invoquant un manque dhabitude, pour ne pas avouer les gargouillis quelle a provoqué dans mon entrejambe. Bon faudra que je me domine, surtout que si elle est tellement belle, elle est aussi très (trop ?) jeune. On se rassoit et je la reprends dans mes bras le plus maternellement possible, en espérant que notre crétin nabandonne pas ses Orcs et son Darth Vador, mais bon, je lentendrai arrêter sa fusée intergalactique vidéo pour aller soulager sa vessie. Effectivement, cest ce qui arrive, mais le temps quil arrive au salon direction la toilette, je suis dans la cuisine en train de nous resservir de cet excellent vins liquoreux qui allait avec le dessert.
Notre crétin sincruste un peu trop à notre goût, mais Schubert fini par le faire fuir, surtout quand elle reprend son violoncelle pour accompagner mes baffles. Elle sait faire sonner cet instrument, surtout dans les bas registres. Le crétin sexcuse daller chercher des cigarettes (bon il fume encore assez peu, cest déjà ça) et sort en chercher. Je le renseigne où en trouver, car le quartier est mort le soir, en étant certain quil trouvera la musique techno du café où je lenvoie à son goût et y restera un moment. Bien men prends, il ne rentrera quà deux heures du mat!! Après sêtre mises en tenue de nuit, on se calfeutre dans les bras lune lautre, sa tête tout près de mes seins, mais je marrange pour ne pas avoir trop de contacts corporels avec son corps bien musclé - elle fait de la gym et un peu de tennis.
Le film est un peu trop pathos, et on discute, tout en suivant de loin la trame du film. Arrive une scène inattendue ou les deux actrices principales semblent se trouver très attirées lune par lautre et une scène hot mais soft sensuit. Elle la regarde intensément, tandis que moi, je regarde ailleurs pour ne pas avoir denvie. Elle sen aperçoit et me demande si cela me dérange les femmes entre elles. Je lui réponds franchement que non que du contraire, jaime bien les femmes aussi, mais je naime pas être émoustillée sans pouvoir aller plus loin. Elle me regarde dans les yeux et rentre sa main dans mon chemisier de nuit et atteint mon sein nu et le palpe doucement, puis joue avec mon téton dur comme de la pierre, tandis quelle essaie de membrasser sur la bouche. Surprise, je me laisse dabord faire, et la laisse encore un instant prolonger dans ses délicieuses avances flatteuses. Elle ma déjà mis le sein à nu et poses ses lèvres dessus et sa langue fait des tournicotis sur mon téton et des tournicotas sur mon aréole. Jessaie de me dégager doucement, mais elle ne lâche pas prise et je ne veux pas la brusquer, même si elle exagère. Elle descend sa main vers mon entrejambe. Je larrête avant quelle ny arrive et lui demande de ne pas aller plus loin. Elle est manifestement heurtée par mon refus, et je dois lui écraser une larme sur le coin de lil et la consoler. Je la serre contre moi, et lui dit quil ne faut pas; mais le contact son corps me fait faiblir rapidement et mon bisou devient un véritable baiser. Ses mains ont repris son exploration mammaire, et mon corps de femme mûre ne la repousse apparemment pas, bien au contraire; elle qui doit ne connaître que le sien, qui frise sans doute la perfection. Vaincue par cette petite nymphe saphique, je laisse mes mains se promener sur le tissu recouvrant son corps dur et ferme, et la pelote de moins en moins pudiquement, pendant quelle me caresse lentrejambe sous le tissu. Elle est plutôt maladroite et je devine quelle est encore fort novice, et quelle ne doit trop pas savoir se toucher. Je renverse notre position et me retrouve au-dessus, et commence à prendre possession de son corps à travers le tissu de sa chemise de nuit. Je masse ses seins qui ne sont pas encore arrivé à maturité, mais qui sont dune fermeté exemplaire, puis dune main sur son genou, je remonte lentement sous son vêtement et arrive à sa fleur encore quasi inexplorée. Jhésite un instant, mais ses superbes yeux verts mimplorent daller plus loin, et je tournoie autour de son sexe, passant dans sa toison ébouriffée, mais pas encore trop fournie (les blondes ont souvent l'avantage davoir une touffe peu envahissante). Elle gémit de plus belle, et je commence à agacer son petit clito, la faisant tressaillir de plaisir. Je suis soulagée que je naurai pas à pénétrer son intimité pour la faire jouir, concentrant mes efforts sur lextérieur de sa fente suintante et bientôt elle jouit incontrôlablement et sévanouit, comme dans un roman à leau de rose dun autre siècle. Quel pied jai pris rien quen la caressant.
Bien quayant mis une clé sur le coté intérieur de ma porte dentrée, pour prévenir que notre crétin rentre sans crier gare, je crains son retour (il ne tardera plus en effet), donc je prend cette demoiselle dans mes bras et la transporte dans leur chambre, et la dépose sur le lit déjà défait. Elle revient à elle au moment où je la couvre et me sourit et se souvient instantanément de ce qui sest passé. Elle mempêche de me relever avec son bras autour de ma nuque et se soulève même pour menvoyer le plus doux et voluptueux des bisous dans le creux de loreille en me susurrant un merci et quelle espérait ne pas avoir trop abusé. Je lui dit que tout le plaisir était pour moi, et lembrasse sur le front avant de lui souhaiter une bonne nuit et éteint la lampe de chevet, mais laissant une veilleuse pour le crétin qui rentrerait probablement bourré. Jai longuement hésité à la mettre dans mon lit pour la soustraire à ses envies imbibées, mais je ne voulais pas dhistoires, pas encore maintenant. Ces craintes à moitié fondues furent sans objet car dix minutes plus tard, alors que je faisais ma toilette, il est rentré (pas trop saoul), sest écroulé sur le canapé et en moins de trois minutes sétait endormi c'est vrai que sa journée fut longue avec le voyage et le détour. Je lentendrai se lever deux heures plus tard, aller se soulager et se mettre au lit, probablement sans un regard pour la princesse endormie dans son lit.
Avant de mendormir à mon tour, je revis un peu ma vie affective et sexuelle. Bien quayant continué à voir mon nounours damant, avec la permission de sa compagne, jétais resté sage malgré mes découvertes saphiques encore toutes récentes. Cela faisait six ou sept semaines depuis que javais goûté pour la première fois de ma vie à une femme, et ce souvenir mavait hanté mes jours et mes nuits pendant un certain temps. Mais petit à petit, mon fantasme et ma curiosité assouvis, je métait calmée et avait décidé de ne pas retenter ma chance tout de suite, repoussant même lidée de traîner dans un salon de thé réputé pour ses relents exclusivement féminins, car je ne tenais pas à faire une rentrée dans ce milieu, surtout dans une ville de moyenne importance comme la mienne. Javais considéré explorer mes chances du coté de mon employée de lagence de voyage, mais je me voyais mal profiter de ma situation demployeuse, nétant pas certaine que mes avances soient les bienvenues. Mais me souvenant de cette incroyable envie de pénétrer et posséder un corps féminin à la vue dune vulve chaude et accueillante, javais pourtant fait un détour dans un sex-shop dans une autre ville) pour trouver un gode-ceinture au cas où dautres contacts féminins se produiraient. Mais cen était resté là. Avant de fermer lil, je me suis tout même envoyée en lair en me forçant a visionner le sexe flamboyant de mon nounours, plutôt que de vulves béantes et frémissantes. Ce fut rapide, efficace et massomma pour de bon.
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