Quelle Journée De Bricolage ! (1 Sur 3)

Il y a quelques temps, j’avais rêvé que Karine et moi (Hervé) avions eu une relation à 3 avec un ami bricoleur et entrepreneur dans le bâtiment, Jean-Michel. J’en avais parlé à ma femme, qui en avait été surprise, car nous connaissions bien le couple. Je lui ai dit que dans le rêve, il avait un sexe énorme et qu’elle avait apprécié. C’est vrai, car une fois, où nous étions de balade avec Jean-Michel et sa femme, lors d’une pause pipi, dans l’urinoir, j’avais vu son sexe : et oui, tous les mecs matent souvent la queue de leur voisin en train d’uriner sans ment penser à mal. Et là, j’ai vu que Jean-Michel avait une queue très large et apparemment de bonne longueur. Toutefois, je n’ai pas insisté en regardant.
Les s étant en vacances, nous avions décidé de faire des travaux à l’étage. Compte tenu de notre amitié, Jean-Michel nous avait mis en contact avec 3 intérimaires qu’il connaissait. Il dirigerait tout ce petit monde, moi y compris, pour que les travaux aillent au plus vite.
Nous avions commencé le samedi matin, et il était prévu de tout terminer pour le dimanche soir. Ainsi, tout le monde dormait à la maison. Le samedi, nous, les 5 mecs, nous avions bien travaillé. Ma femme aidait aussi. Nous étions tous en short et tee-shirt. Karine avait un survêtement léger, et un tee shirt elle aussi. Après le repas du midi, et quelques verres, l’après-midi devenait plus chaud, et les blagues liés au cul commençaient à circuler entre les mecs. Ma femme entendait, et répliquait qu’on était tous les mecs, obsédés du sexe, toujours prêt aux quatre cent coups. 2 des 3 intérimaires contèrent qu’une fois sur un chantier, il avait baisé leur donneuse d’ordre et qu’elle avait bien apprécié sa réception de travaux. A la fin du samedi, après avoir super bien travaillé, et beaucoup échauffé nos esprits à parler de cul sans arrêt, tout le monde passât à la douche. Pris nous avons pris l’apéro. Spécialiste des cocktails, j’en ai préparé pour tout monde.

Karine ne tenant pas beaucoup l’alcool, et sachant que çà la rend ensuite très chaude (quand on baise après avoir bu, elle est très salope), je n’hésitais pas à lui préparer de bons cocktails alcoolisés, cachés par du jus de fruit qui en facilite le passage. J’avais déjà mon idée derrière la tête. Au bout de quelques fêtes, les esprits s’échauffaient et on parlait de cul ouvertement. Karine assise à côté de moi, se leva à un moment chercher quelques amuses gueules dans la cuisine, et je la suivis. Alors qu’elle remplissait un plateau, je passais ma main sous sa jupe, puis dans son slip, pour lui chatouiller de mon majeur l’entrée de sa chatte. Elle était humide (je m’en doutais).
Elle me dit :
- Ils sont à côté quand même.
Et je lui réponds :
- Et alors, on est chez nous. On les paie non ? Et je vois bien que ça t’excite qu’on parle de sexe, tu es toute humide. Je suis sûr que eux aussi son excité comme moi à force de parler de bites et de chattes. Je suis sûr qu’il aimerait bien te bricoler aussi eux !
Elle me répond :
- Ca va pas non ? C’est pas très correct. On n’aura l’air fin après.
Je réponds :
- Et alors on s’en fout. Du moment qu’on est à deux à prendre du plaisir. Ça serait dur à accepter si tu le faisais sans moi, mais prendre ça comme un jeu, et le faire ensemble, et que tu prennes un pied d’enfer, ça ne me gêne pas.
On repart avec nos plateaux dans le salon. Je ressers encore à boire. Puis à un moment, alors qu’on parle toujours principalement de cul, je pose ma main sur la cuisse de Karine, et j’explique, que les femmes sont souvent excitées quand elles boivent et que Karine en fait partie, et je lui demande de juste relever sa jupe pour monter sa p’tite culotte qui doit avoir certainement une petite tâche humide.
Je suis surpris car elle me laisse relever sa jupe et elle écarte d’elle-même les cuisses en disant :
- Bon ben, montre leur, puisque tu veux absolument avoir raison.
Elle écarte doucement les jambes et bascule ses reins en avant en glissant légèrement sur le canapé. Effectivement, sa culotte de soie a une trace qui trahie son excitation. Immédiatement, je glisse un doigt sous son mini boxer et frotte mon index contre sa chatte humide. Je le rentre doucement et le ressors comme un trophée et le montre aux 4 autres mecs en disant :
- Vous voyez j’avais raison. Elle est bien humide.
Les 3 intérimaires (José, Pascal et Rachid) sont assis sur le canapé d’en face et Jean-Michel est sur un fauteuil. Pascal déclare :
- Attend je préfère vérifier par moi-même si tu ne mens pas. T’as pu mouiller ton doigt avant.