Lydie
Je ne pensais jamais vivre une telle journée. Ce matin mon chérie part au travail vers 8 heures après mavoir bien fait lamour comme tous les matin, un coup de langue et sa bite dans la chatte, avec deux de mes doigts dans son anus: il aime ça. Je déjeune, fais le peu de ménage et pars faire mes courses dans le quartier. Lépicier, le boulanger, le boucher: toujours des gens avec qui bavarder. Par contre chez le marchande de journaux une découverte. Je savais bien que le commerce devait changer de propriétaire, mais à ce point je ne limaginais jamais. La caissière se trouve être une de mes vielles connaissance de lycée, Lydie, avec qui nos relation étaient plus que bonnes puisque nous nous amusions souvent toutes les deux à nous faire plaisir. Jallais lembrasser quand elle aussi sapproche de moi. Notre bise sur la joue se transforme en un véritable baiser. Heureusement que personne nest là.
- Tu te souviens davant ?
- Oui, cétait agréable.
- Tu as une amie ?
- Non et toi.
- Non, je suis mariée, il me baise bien, je crois être heureuse.
- Comme moi.
- Des fois je pense à nous deux.
- Passe cet après midi, vers 15 heures
Cette invitation je devais lignorer. Pourtant elle me donne envie de recommencer encore avec elle, cétait si bon. Et puis je ne tromperai pas mon mari avec une camarade: elle na pas de bite. Alors, je vais chez elle, oui, mais si je vais avec elle encore je fais tromper
..
Je réfléchi trop. Je suis mon instinct de femme sensuelle, je lui donnerai du plaisir elle men donnera aussi.
Jarrive chez Lydie toute excitée, elle me présente son mari qui tient la boutique, nous montons ans lappartement où traine encore pas mal de choses en vrac à cause du déménagement. Par contre le séjour est nickel. Nous mettons en route la boite aux souvenirs. Ils sont différents bien sur. Jai en tête sa langue, elle se souvient de mes doigts. Par contre nous nous souvenons toujours de nos langues.
Je lui demande de nous lever pour nous mettre nue: je ne crains même pas son mari. Nous sommes vite resserrée, seins à seins, bas ventre contre bas ventre. Nos mains sont occupées à masturber lautre. Je jouis la première. Ce nest pas assez: elle jouit à son tour, nous changeons à peine de position. Nous allons plus bas, comme avant nous cherchons lanus. De là, bien sur nos doigts entrent bien vite dans les culs. Cest meilleur que dans mes souvenirs. Nous ne tenons pas longtemps encore: il me semble quelle me caresse le cul mieux que mon mari.
Nous sommes sur le tapis, en 69. Nous retrouvons les odeurs et le gout de nos chattes. Nous jouissons une autre fois, maintenant en ayant deux doigts dans le cul de lautre. A lépoque nous ignorions de genre de caresse. Le mariage nous a habituée à la sodomie. Nous en faisons profiter lautre.
Maintenant elle veut que nos clitoris seuls nous fassent jouir. Je sais que ça se fait, même si je nai jamais pratiqué cette formule. Nous nous plaçons les jambes écartées lune contre lautre, nos entrejambes bien collées.
Jai une idée qui me trotte dans la tête depuis que jai vu sur un site spécial deux filles nues saimer différemment. Je fait assoir Lydie sur le divan, je lui fais écarter les jambes, sans la prévenir, jentre un puis deux, trois doigts et toute la main. Je fiste une fille pour la première fois. Jenfonce toute ma main jusquà mis avant bras.
Elle proteste un peu puis gémit de plus en plus fort jusquau moment de son orgasme. Orgasme qui la dévaste tellement il était fort. Je voudrai renouveler lexpérience dans son cul. Je le lui dis, elle refuse dabord puis accepte quand je lembrasse sur les seins. Là, je vais plus lentement, je crache souvent sur mes doigts et ma main. Je lencule comme elle ne la jamais été. Je pousse au bout mon raisonnement: elle a aimé dans son con et maintenant dans son cul: je vais lui mettre mes deux mains, une devant lautre derrière. Quand je commence à entrer dans son vagin elle ne proteste pas, elle commence à manifester son désaccord quad je suis presque toute en elle. Enfin elle commence à gémir de plus en plus fort: avec des oui, oui, baise moi comme ça, encore, encore,, je vais jouir, ne pars pas recommence. Je ne pensais jamais donner tant de plaisir.
Jen voudrais moi aussi. Lydie est daccord pour me fister, mais demain, chez moi. Elle membrasse comme jamais sur la bouche, me touche la chatte, chose quelle ne faisait jamais.
Il me tarde quelle me fiste à son tour demain.
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