Léane Ma Soumise (2)
Un casting spécial (2)
Léane est aveugle, le bandeau lui cache complètement la lumière. Assise, elle écoute le moindre bruit qui pourrait lui faire prendre conscience de lentourage. Rien. La grosse secrétaire a fermé la porte et la laissée.
Ce nest que plusieurs minutes après quelle entend la porte souvrir de nouveau. Elle entend des pas feutrés sapprocher delle. On la saisit aux épaules pour la faire se lever. On la pousse, elle avance cherchant de ne pas perdre son équilibre On lintroduit sur la scène dun grand théâtre. Il y a plein de monde assis qui la regardent mais elle ne voit toujours rien. Cinquante personnes au moins sont là pour juger si elle peut devenir lhéroïne du film dhorreur.
On lui demande de marcher de se tourner, de tourner sur elle même. Elle sent bien que sa robe souvre et doit dévoiler ses seins sous ses bras et ses fesses dans son dos. Elle ne comprend pas les murmures qui semblent séchapper de la salle. Elle a un immense sentiment de solitude ? Où sont Chantal et Marcel, elle voudrait bien les sentir auprès delle. Des pas viennent vers elle, on la bouscule, on la couche sur une sorte de croix en X en bois, on lui écarte les jambes, elle sent quon attache ses chevilles on lui attache aussi les bras, écartés. Elle comprend quon vient de lattacher écartelée sur un appareil de , comme au moyen âge. Des images de son enfance apparaissent, ces femmes écartelées que des hommes encagoulés viennent violer, salir r pour leurs plaisirs sadiques.
Soudain, une forte musique effrayante rempli la salle qui résonne et donne encore plus de sentiment de peur. On sapproche delle, de chaque côté. Des mains se posent sur ses seins par dessus le fin tissu de sa robe. Elle comprend quon veut faire sortir la pointe. Très vite le plaisir la gagne et elle sent que ses bouts se mettent à bander. Elle a honte elle comprend bien que des personnes quelle en voit pas la regardent. Elle sent que doucement la croix sur laquelle elle est écartelée bascule pour se coucher.
Puis soudain, elle entend quon demande de lui ouvrir la robe. Une paire de ciseaux attaque la robe entre les jambes et louvre tout du long. Lentement Léane sent quelle est nue au milieu de tous ces gens quelle devine sans les voir. Cest pour le film se dit-elle.
Enfin quand elle est nue, elle sent quon lui passe sur le ventre un objet froid, qui descend vers son entre cuisse. Elle remue le bassin mais ses liens sont bien serrés elle réalise quelle est à la merci de ses bourreaux. Lobjet quelle devine être un énorme gode frotte son petit bouton quelques minutes avant de senfoncer en elle sans douceur. Elle gémit. Une fois enfoncé on la laisse sans rien faire, plantée par ce gode. A nouveau, la croix bascule mais cette fois on la retourne, pour exposer lenvers. Un autre objet parcours sa raie du cul, vient titiller lanus et là aussi sans attendre et sans prévenir, on lui enfonce dans son petit derrière. Elle est sur le point de jouir mais la peur len empêche.
Non loin delle, on chuchote, elle ne comprend pas. Plus loin des rires lui parviennent. Ainsi exhibée, bafouée, elle a terriblement honte sans pour voir bouger. Des mains lui prennent la tête, on loblige à ouvrir la bouche pour lui introduire une sorte dentonnoir pour la forcer à boire. Dabord cest de leau, plein deau quelle est e de boire en continue, à en perdre haleine. Puis on lui donne à boire du vin, beaucoup et très vite elle se sent devenir pompette comme dit. Elle perd la notion du temps. Elle a tellement bu deau quelle a tout de suite envie de faire pipi. Une peur panique la saisit, elle veut demander daller aux toilettes mais à nouveau on la force à ouvrir la bouche pour encore lui faire boire de leau, lenvie se fait encore plus forte elle serre sa vessie, on lui verse encore et encore, son ventre lui fait mal et elle a de plus en plus de mal a retenir son envie.
Deux doigts écartent ses grandes lèvres pour bien exposer son intimité et surtout le trou du pipi. La croix se relève et se tourne vers ce quelle a deviné être la salle de spectacle. Et dun seul coup, une main appuie sur son ventre compressant sa vessie et sans pouvoir se retenir, elle se met à pisser devant des gens quelle entend rire. Elle pisse, cela dure, elle se met à pleurer de honte mais elle ne peux rien, leau quon lui a fait boire plus lalcool ont complètement annihilé sa résistance, vaincue elle sabandonne à ses bourreaux. Sa pisse coule le long de ses cuisses, elle entend quon a mis sur la fin un récipient pour recueillir les derniers jets. Puis on lui fait ouvrir la bouche et on lui présente un calice dans lequel on a mis sa pisse et on lui demande de boire. Impuissante elle avale sa propre pisse jusquà la lie.
Une fois avalée, on lui place dans la bouche une sorte de boule en plastic quon attache derrière son cou. Elle comprend trop tard quon loblige ainsi à garder sa bouche ouverte, comme signe de soumission. Très vite la salive mélangée à sa pisse séchappe des bords de ses lèvres sans quelle puisse les retenir. Elle se sent encore plus humiliée
Elle sent un corps qui se couche sur elle. Cest un homme plein de poils et très vite une énorme bite remplace le gode quon vient de lui enlever. La bite est très grosse et à chaque coup de rein elle a mal. Lhomme la pilonne sans retenue et très vite Léane, souillée, salie, soumise se met à crier de jouissance pour le grand plaisir de la salle malgré la boule qui entrave sa bouche.
A nouveau la croix sur laquelle elle est attachée se met en mouvement. On lallonge. On libère sa bouche. Tout autour elle entend des chuchotements très faibles. Elle reconnaît quand même des voix de femmes et dhommes. Il lui semble quon parle delle. Des dizaines de mains se posent sur son corps et la tripotent sans retenue. Léane sent à nouveau le plaisir la gagner elle gémit et autour on parle à nouveau.
- Je veux une bite une grosse bite qui me défonce le cul. Baisez moi, je vous en prie enculez moi.
Autour ce ne sont que rires et quolibets :
- Quelle femelle ! Quelle pute ! Quelle perverse ! Elle est chaude !
Un nouveau corps sallonge sur elle, la pénètre et se mets à faire des aller retours dans sa chatte brûlante. Elle jouit très vite et amène lhomme a la remplir de foutre.
Une autre prend aussitôt sa place mais cette fois la pénètre au cul. Il est long très long elle sent bien la colonne de chair qui senfonce en elle et vient buter au fond de son anus. Sa jouissance est trop forte, elle voudrait quil la transperce, lécartèle. Sa chatte en feu réclame encore et encore.
Lhomme se vide rapidement et décharge une très grande quantité de foutre dans son cul. Sentir le liquide inonder ses boyaux la rend folle, elle crie, elle jouit.
Une fois vidé lhomme se retire pour être à nouveau remplacé par un autre puis un autre et encore et encore. Maintenant elle ne sent plus rien, cest lidée de se faire prendre qui la fait jouir.
Ils sont plus de 15 à lavoir baisée quand on la relève et quon la détache. On lui conserve son bandeau sur les yeux. Elle se sent sale, souillée, humiliée. Elle sent la pisse, le foutre et sa propre mouille.
Elle reconnaît Chantal qui lui donne un baiser
- « Tu es merveilleuse ma chérie, je suis fière de toi. Tu es engagée »
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