Les Aventures De Marie - 7
Suite à son coup de fil à Patrice, Marie fut obligée de tout avouer à ses collègues. Elle commença par le cambriolage où ses visiteurs d'un soir lui firent découvrir de nouvelles sensations, elle leur parla ensuite de leur seconde visite et du chantage de Mr Lambert. Florence quant à elle avoua à Marie et Eva qu'elle les avait surprises hier soir dans la salle de réunion. Elle fut tellement émoustillée par la scène qu'elle se laissa aller avec l'homme chargé du ménage. Mr lambert les avait ensuite surpris dans le local d'entretien et il avait profité de la situation pour se joindre à eux et profiter d'elle.
Marie expliqua à ses collègues que Patrice avait un plan mais qu'il fallait qu'elles jouent toutes le jeu et laissent penser à leur responsable qu'il avait gagné la partie. Ainsi lorsque leur "proxénète" rentra de sa pause déjeuner, Marie pénétra dans son bureau et referma la porte derrière elle. Solennellement elle lui dit : "Écoutez, on a bien réfléchi, nous sommes d'accord, mais nous voulons notre part du gâteau, 30 % des sommes que vous allez toucher, cela fait 10 % chacune, c'est quand même la moindre des choses".
Mr Lambert : "Mais pour qui vous vous prenez bande de petites salopes, je vous ai dit que vous m'apparteniez, vous êtes à moi et vous n'aurez rien. Et en plus n'oubliez pas, j'ai toutes vos photos,elles sont sur mon ordinateur à la maison, j'ai même fait une sauvegarde sur un disque externe au cas où"
Marie : "Certes vous pouvez nous obliger, mais croyez moi vos clients auront l'impression de coucher avec des poupées gonflables, nous ne ferons aucun effort, et avec vous non plus d'ailleurs. Alors que si nous avions cette source de motivation, je pense que nous pourrions être très coquines avec les clients, et avec vous aussi naturellement."
Elle avait touché le point sensible, certes il était en position de force, mais ce qu'il voulait avant tout, c'était qu'elles se laissent aller.
Marie : "Ne vous inquiétez pas, vous y trouverez largement votre compte. Pour fêter notre accord, vous pourriez passer chez moi ce soir, il y aura Eva et Florence, comme ça nous pourrons commencer notre nouvelle et je lespère fructueuse collaboration"
Mr Lambert : "Effectivement, il faut arroser ça, il n'y a pas de problème je serai présent"
Marie : "Par contre ne venez pas avant 20h30, laissez nous le temps de nous faire belles quand même ..."
Mr Lambert : "Très bien, au fait tu diras à Florence de venir me voir tout de suite. Tu m'as excité avec ton rendez-vous de ce soir, elle va venir me sucer pour me soulager. Allez file et dis lui de se presser, j'ai du travail cet après-midi"
Marie sortit du bureau et indiqua à Florence que Mr Lambert souhaitait la voir, elle lui passa la main dans le dos pour la réconforter et lui souffla à l'oreille : "Courage, bientôt tout sera fini".
Florence entra dans la pièce la peur au ventre, son responsable lui demanda de façon autoritaire de fermer la porte derrière elle. Puis il lui dit : "Bon tu es contente, j'ai accepté votre proposition, mais Marie m'a assuré que vous seriez très coquines avec moi en contre partie, tu vas me faire voir si votre parole vaut quelque chose, viens par là me sucer"
Florence n'avait pas le choix, en attendant des jours plus cléments elle devait obéir, elle commençait à s'approcher du bureau quand il larrêta net et lui dit : "Avant déshabille toi, on va voir si tu as bien suivi mes consignes, je tavais dit de t'habiller comme une pute, fais moi voir si tu as été obéissante".
Florence commença à déboutonner son chemiser rouge, Mr Lambert aperçut rapidement un magnifique soutien gorge en dentelle noire.
Mr Lambert : "C'est bien, tu as respecté mes consignes, fais mon voir un peu ta petite chatte, enlève donc ton string ..."
Florence ne put quobéir docilement, elle fit descendre le mince morceau de tissu le long de ses compas, puis elle leva le les pieds l'un après l'autre et ramassa son string pour le poser sur le coin du bureau. Elle allait s'accroupir pour s'acquitter de sa tache quand Mr Lambert lui dit : "Reste un peu comme ça, j'ai envie de t'admirer ..."
Elle resta donc là, immobile et incroyablement mal à l'aise, elle avait les mains posées sur les hanches pour se donner une certaine assurance, mais c'était loin d'être le cas, elle était très mal à l'aise, chaque seconde semblait lui durer une éternité.
Mr Lambert scrutait méthodiquement le corps de Florence, elle pouvait presque sentir son regard se poser sur chaque centimètre carré de sa peau. Au bout d'un moment, il lui dit : " Caresse toi un peu, donne moi envie de te baiser petite salope ..."
N'ayant aucune autre alternative, Florence posa sa main sur son bas ventre, ses doigts se perdirent quelques instants dans la fine bande de poils qui surplombait son sexe. Ils arrivèrent ensuite sur sa fente, elle commerça à passer un doigt le long de son sexe et se mit à ouvrir peu à peu ses lèvres, au gré des mouvements de son index.
Son responsable avait extrait son sexe de son pantalon, celui ci semblait déjà dur comme un roc. Florence continuait de se caresser tout en regardant le sexe démesuré qui lui faisait face. Elle aussi le scrutait attentivement, elle était fascinée par les grosses veines qui couraient le long de ce membre.
Ces sens commençaient à s'agiter, son ventre la consumait, elle devenait de plus en plus excitée, elle en plongea même un doigt dans son sexe, ce qui lui arracha un petit gémissement.
Mr Lambert se masturbait doucement devant ce spectacle, il en savourait chaque instant, il était subjugué par son assistante, il admirait ses jambes mises en valeur par ses bas, il regardait avec délectation les jarretelles se tendre et se relâcher au rythme du balancement de son bassin. Il s'attarda ensuite sur son sein, Florence l'enserrait et le malaxait avec passion, elle faisait rouler son téton durci par le désir entre ses doigts.
Florence ondulait sensuellement devant Mr Lambert, son corps vibrait sous ses caresses, elle se mit à parcourir son corps avec ses mains, elle les passait à lintérieur de ses cuisses .Électrisée par le contact avec le fin tissu qui recouvrait ses jambes, ses mains sagitèrent de plus belle sur sur ses jambes, puis elles de déplacèrent sur son ventre et sur sa poitrine. Elle enserra esnuite ses deux globes qu'elle massait voluptueusement, elle passait sa langue autour de ses lèvres en fixant Mr Lambert d'un regard de braise.
Quand à lui, il était vraiment au comble de l'excitation, il se décida à passer aux choses sérieuses : "Allez, mets toi à quatre pattes et viens me sucer maintenant."
Docilement, Florence sexécuta, elle s'approcha du sexe en érection et le prit dans sa main, elle commença à le faire coulisser timidement entre ses doigts. Elle le fixait comme si elle était hypnotisée, elle était impressionnée et fascinée par cette tige épaisse et nervurée. Fébrilement, elle posa le bout de sa langue sur le gland, elle n'osa pas la prendre complétement en bouche. Son responsable la rappela à la réalité, il passa sa main derrière sa nuque et lui enfonça son sexe au fond de la gorge. Surprise par ce geste soudain, elle commença à hoqueter et failli vomir tellement il était allé loin dans sa gorge.
Durement il lui dit : "Applique toi un peu, sinon je te la recolle au fond de la gorge."
Florence se retint de pleurer, elle sentait pourtant ses yeux s'humidifier, ses larmes étaient prêtes à rouler sur ses joues. Et c'est à contre coeur qu'elle avala ce sexe, elle le suçait avec application mais sans passion, de manière mécanique.
Mr Lambert lui dit : "Applique toi un peu petite salope, mets y un peu de cur sinon je vais te le faire regretter, ne m'oblige pas à être méchant"
Florence songea alors au plan qu'elles avaient préparé, elle se dit que c'était un dernier effort à faire, elle rassembla ses forces et d'une voix presque aguicheuse elle lui dit : "Oui, Mr Lambert, vous allez voir, je vais vous sucer comme jamais vous n'avez été sucé".
Mr Lambert : "Et bien j'attends de voir ..."
Florence se transforma d'un seul coup, elle fit tournoyer sa langue autour du phallus de son supérieur, sa main s'agitait sur cette tige démesurée. De temps en temps elle mordillait délicatement le bout du sexe tout en le fixant droit dans les yeux. De son autre main, elle caressait ces testicules, elle les griffait avec le bout des ses ongles. Volontairement elle lui faisait un peu mal avec ses dents et avec ses ongles, c'était sa façon à elle de se venger, en plus elle se doutait que cela exciterait ce vieux vicelard.
Elle ne s'était pas trompée, il poussait de longs soupirs a chaque morsure et à chaque griffure et finit par lui dire : "Tu griffes et tu mords comme une chatte en chaleur, continue, j'adore ça ..."
Mr Lambert, calé au fond de son fauteuil poussait des profonds soupirs de plaisir. Il aurait pu profiter de la situation pour rabaisser Florence, mais il se contentait de savourer cet instant divin, car effectivement, il n'avait jamais été sucé de cette manière. Il avait l'impression que son membre avait trouvé refuge dans un écrin de soie. Florence alternait les moments de et de douceur, son palais était à la fois un temple des supplices et des plaisirs.
Avec ses mains, Florence continuait de s'occuper de ses bourses et de sa tige, sa langue continuait son travail de sape sur lextrémité du sexe. Elle continuait de fixer son responsable intensément, elle commençait à se prendre au jeu, sa fente commençait à réclamer la chose qu'elle avait en bouche, la situation devenait terriblement excitante et elle commençait à éprouver un certain plaisir à cette séance de travail un peu particulière.
Elle se dit quand même qu'elle n'allait pas céder, qu'il fallait qu'elle le fasse jouir, car si cela continuait elle irait elle même s'empaler sur cette énorme queue qui lui déformait la machoire. Mais elle n'avait pas envie de se livrer complétement, elle voulait juste lui donner le change, lui faire croire qu'elle lui obéissait.
Ses mains s'agiteaient de plus en vite, elle malaxait ses testicules de plus en plus fort, elle sentait qu'elle allait bientôt gagner la partie car il soufflait de plus en plus intensément. Elle se mit à lui aspirer le gland comme si sa vie en dépendait, elle aventura un des ses doigts vers l'anus de son responsable et commença à le caresser à cet endroit. L'effet ne se fit pas attendre, quelques instants plus tard, Mr Lambert se crispa et envoya plusieurs jets de sperme au fond de la bouche sa collaboratrice.
Tant bien que mal, Florence arriva à déglutir la semence de son responsable et le fixa fièrement, pleinement satisfaite de sa prestation.
Mr Lambert ne manqua pas de la féliciter : "Et bien, tu ne m'avais pas menti, je n'avais jamais été sucé comme ça, il faudrait que tu donnes des cours à tes collègues d'ailleurs, ce n'est pas qu'elle s'y prennent mal mais je vois qu'elles ont encore des progrès à faire".
Puis il indiqua d'un hochement de tête la direction de la porte à Florence, lui indiquant qu'elle pouvait quitter le bureau.
Florence retourna dans son bureau sous le regard de ses collègues, elle les rassura en leur disant que cela vait été, qu'elle avait fait ce qu'il fallait pour que leur plan fonctionne. Elle mit quelques instants à chasser la boule de de désir qui avait pris place dans son bas ventre, elle s'était tortillé sur son fauteuil pendant quelques minutes, puis elle avait fini par se reconcentrer, avec comme objectif le rendez vous de ce soir.
L'après-midi fut long, très long. Chacune des jeunes femmes imaginait le déroulement de la soirée en esperant que leur cauchemar allait prendre fin. Marie avait elle un léger pincement au cur, elle se disait que ses parties de jambes en l'air avec son responsable allaient lui manquer. Elle y avait pris gout, elle se surprit même à s'imaginer se faire prendre bestialement sur le bureau par son supérieur. Mais très vite elle chassa ses idées perverses de son esprit pour se reconcentrer sur leur objectif de ce soir.
La fin de la journée arriva, chacune des jeunes femmes rentra chez elle pour se changer. Florence dut s'habiller sexy comme prévue mais dut faire très attention à ne pas éveiller la curiosité de son mari. Elle enfila un tailleur bordeaux assez classe avec un chemiser blanc. Vêtue ainsi, elle envoyait l'image d'une femme distinguée et sensuelle. En dessous elle était beaucoup moins sage, elle avait enfilé un ensemble blanc quasiment transparent, on distinguait ainsi très nettement les auréoles de ses seins. Son string moulait divinement son sexe qu'elle venait juste de raser intégralement pour l'occasion. Elle portait une paire de bas auto-fixants de couleur blancs ainsi qu'une paire d'escarpins noirs. Son mari fut un peu étonné par cette tenue, Florence se justifia tant bien que mal en prétextant que ce soir elles allaient diner dans un restaurant un peu chic et qu'il fallait qu'elle soit en adéquation avec l'ambiance des lieux.
Son mari était tellement sous le charme qu'il commença à peu à la taquiner et a l'embrasser dans le cou. Florence commençait à sentir l'excitation monter, elle était très tactile et fondait littéralement sous les caresses de son homme. Ce dernier l'avait attiré contre lui et avait commencé à passer sa main dans le creux de ses reins puis dans le sillon de ses fesses. Florence sentait une bosse naitre dans le pantalon de son mari, elle commença à flancher sous les mains habiles de celui ci, il avait maintenant passé une main sur la cuisse de sa femme, il remonta le long de sa jambe et tomba sur la lisière d'un bas. Il lui dit : "Mmmm, tu es très en beauté ce soir, c'est pour moi que tu t'es faite belle comme ça j'espère"
Florence lui répondit avec aplomb : "Je voulais te faire une surprise en rentrant, mais bon, tu es terrible, on ne peut jamais rien te cacher"
Le mari de Florence continua son exploration, il avait maintenant remonté la jupe de Florence jusqu'à sa taille et avait passé sa main entre ses fesses. Ses doigts ne tardèrent pas atteindre le sexe de Florence, celle ci commença à onduler et à se frotter contre le sexe de son mari. Elle avait envie de lui, de se faire prendre, mais il fallait qu'elle se reprenne, elle avait quelque chose d'important à faire ce soir.
Elle s'accroupit alors face à son compagnon, et tout en le fixant avec un regard plein de malice, elle défit un à un les boutons de son jeans, baissa son boxer et saisit le phallus déjà en érection qui se présentait à elle. Elle caressa le membre pendant un court instant, puis elle l'avala goulument, elle adorait sucer ce sexe si familier, généralement elle prenait le temps de le savourer, mais ce soir elle devait faire vite.
Elle se mit alors à branler très fort le sexe qu'elle avait en bouche, emprisonnant le gland entre ses lèvres soyeuses, elle passa son autre main sur le torse de son mari, le griffant et le torturant. Elle entendait sa respiration saccélérer et devenir de plus en plus bruyante. Celui ci ne restait pas inactif et avait placé ses mains derrière la tête de son épouse, face à l frénésie de celle ci, il se prenait au jeu et commençait à imprimer un mouvement de va et vient avec son bassin. Il se mettait à baiser la bouche de Florence, au début un peu surprise, elle accepta vite la lubie de son mari et essayait désormais de suivre la cadence qu'il imprimait. Elle ôta la main du ventre de son mari et la plaça sous ses testicules qu'elle se mit à malaxer et à griffer. Au bout de quelques instants, elle sentit le sexe de son mari se raidir, elle l'emprisonna dans sa bouche et sentit plusieurs jets de sperme envahir son palais. Soulagée d'avoir satisfait son compagnon si rapidement, elle suça encore quelques secondes avec délectation son membre qui commençait à ramollir. Elle se rajusta ensuite, l'embrassa tendrement et prit la direction de la porte pour aller s'asseoir dans sa voiture. Une fois en route elle pensa à voix haute : "c'est malin, tu m'as bien excité, si tu savais que c'est quelqu'un d'autre qui risque d'en profiter, tu aurais surement gardé tes mains dans tes poches"
Eva opta elle pour une tenue d'apparence beaucoup plus aguicheuse, elle avait mis une petite jupe volante ainsi qu'un paire de bas auto-fixants noirs. On distinguait très nettement la lisière de ses bas. Elle avait mis un petit haut moulant qui mettait particulièrement en valeur son opulente poitrine. Pour ce qui des sous vêtements, elle avait longtemps hésité, et s'était finalement décidé à ne pas en mettre, elle avait envie d'exciter son responsable une dernière fois afin qu'il tombe facilement dans le piège qu'elles avaient préparé. Elle s'imaginait déjà, assise face à lui les jambes croisées lui dévoilant le haut de ses bas. Puis de temps tout en le regardant fixement, elle se voyait décroiser et recroiser les jambes en prenant soin de les frotter l'une contre l'autre afin de faire crisser le fin tissu de ses bas, offrant ainsi pendant une fraction de seconde, une vue imprenable sur sa vulve vierge de tout poil. Elle pouvait presque sentir à cet instant le regard obscène de son chef simmiscer entre ses jambes.
Elle pouvait presque sentir le sexe majestueux de Mr Lambert coulisser entre ses seins, elle aurait aimé à cet instant pouvoir poser sa langue sur cet énorme membre, le sentir vibrer dans son palais. Puis elle sentait maintenant le souffle brulant de son responsable sur son sexe, elle était incroyablement excitée. Son être tout entier réclamait cette énorme queue, comme si il était sous l'emprise d'une drogue. Eva commençait à caresser la pointe de ses seins, elle passa sa langue sur ses lèvres, mais un rapide coup dil à sa montre la fit sortir de sa rêverie. Et c'est elle aussi le feu au ventre qu'elle prit la direction de la maison de Marie.
Marie avait elle aussi décidé de sortir le grand jeu, elle avait enfilé une longue robe de soirée couleur ivoire qui était fendue sur le coté jusqu'au milieu de la cuisse. Elle avait enfilé une guêpière noire et le string en dentelle assorti. Elle avait paré ses jambes d'une superbe paire de bas coutures marrons. Sa tenue était un appel au sexe, car on distinguait très nettement ce qu'elle portait en dessous tellement le tissu de sa robe était fin.
En rentrant du travail, elle avait fait couler un bain brulant rempli de mousse, elle était restée longtemps à se détendre et à savourer cet instant délicieux. Puis en sortant elle avait soigneusement sorti et etalé ses affaires sur son lit et s'était placée devant la glace de son armoire. Elle avait ensuite pris sa guepière qu'elle avait enfilé lentement, elle atacha soigneusement chaque agraffe et ajusta sa poitrine afin de la mettre en valeur le mieux possible. Elle prit ensuite le premier bas, elle le roula afin de mieux l'enfiler, le remonta doucement d'abord le long de son mollet, puis après avoir verifié que la couture était correctement alignée, le monta sur sa cuisse. Une fois en place elle le fixa soigneusement aux attaches de la guepière. Elle se contempla ensuite dans la glace, pivotant sur elle même pour se regarder sous tous les angles.
Satisfaite du résultat, elle prit le deuxième bas qu'elle prit le temps de revêtir comme le premier. Elle s'admira de nouveau dans la glace et commença à sentir une boule se former dans son bas ventre. Elle commença à caresser sa poitrine par dessus la guêpière, puis ce fut son sexe qui réclama sa tour. Elle passa sa main sur sa fente imberbe, Marie commençait à sentir le plaisir l'envahir, elle introduisit un doigt dans son vagin qui était déjà tout humide.
Tout en se caressant, elle se contemplait dans la glace, elle voyait sa main s'agiter sur son entrejambe, ses joues commençaient à sempourprer, sa bouche restait entrouverte et laissait s'échapper un souffle chaud et ardent, rempli de désir. Son ventre la brulait, ses sens étaient en ébullition, se main s'aventura encore un peu plus loin dans son entrejambe et alla se perdre jusqu'à son petit trou. Elle se mit à le caresser doucement, son doigt lubrifié par sa fente gorgée de désir commençait à ouvrir délicatement son anus. Marie alternait maintenant les caresses entre ses deux orifices, essayant de les satisfaire du mieux qu'elle pouvait. Ses seins la picotaient, son ventre la brulait, son cur battait la chamade, elle avait l'impression que son corps tout entier était en train de s'embraser.
Elle aurait aimé se jeter sur son lit et se caresser sauvagement, mais hélas l'heure tournait, il fallait absoluement qu'elle finisse de se préparer. Elle enfila donc son string et passa sa robe de soirée. Elle prit de nouveau le temps de s'admirer, elle était très contente d'elle, elle n'avait pas le souvenir de s'être sentie aussi désirable.
marie alla ensuite au salon où elle avait créé une ambiance intime en dispersant des bougies un peu partout et en ayant pris soin de tamiser lla lumière. Afin de mettre son chef en confiance, elle avait également posé sur la table du salon un bocal en verre rempli de préservatifs. Elle avait aussi acheté quelques flacons d'huile de massage ainsi qu'un tube de lubrifiant.
Une fois les trois collègues réunies, elles se félicitèrent pour leurs tenues respectives, Marie commençait même à sentir une pointe d'excitation s'emparer de ses entrailles à la vue de la tenue particulièrement provocante d'Eva. Alors qu'elles ne ne se trouvaient que toutes les deux, elle lui susurra même à l'oreille : "Dommage que l'on doive s'occuper de lui, sinon, je me serais bien occuper de toi, tu m'excites terriblement habillée comme ça".
Eva lui répondit d'une voix langoureuse : " Ne t'inquiètes pas, ce n'est que partie remise, on aura tout le temps quand on aura réglé notre problème ..."
Florence fit quand même remarquer à Marie : "Tu crois que tu n'en pas fait trop avec la décoration, cela risque de lui donner envie de nous ... enfin tu vois ce que je veux dire"
Marie : "Ne t'inquiètes pas, c'est juste pour le mettre en confiance dès qu'il arrive, on lui offre à boire, et à ce moment là, tous nos problèmes seront bien loins"
Florence répondit anxieuse : Oui, j'espère que tu dis vrai"
Eva : " Il ne va pas avoir le temps de comprendre ce qu'il lui arrive ce gros dégueulasse"
Les trois femmes attendaient maintenant nerveusement dans le salon, aucunes d'elles n'osaient parler, l'ambiance était particulièrement pesante. Le carillon de la sonnette vint briser le lourd silence qui régnait dans la pièce. Marie se leva d'un seul coup comme si elle était montée sur ressort. Elle se dirigea d'un pas volontaire et assuré vers la porte d'entrée, elle posa la main sur la poignée et ouvrit lentement la porte. celle ci laissa apparaitre Mr Lambert, elle remarqua tout de suite qu'il n'avait même pas pris la peine de se changer et qu'il était venu les mains vides. Même si elle nespérait rien de spécial venant de sa part, elle se dit en elle même : "Un mufle restera toujours un mufle ..."
Mr Lambert écarquilla les yeux quand il vit Marie derrière la porte, sa tenue lui donna aussitôt une bouffé de chaleur, il commençait déjà à sentir son sexe se raidir dans son pantalon. Il se dit en lui même : "Je pense que je vais passer une soirée inoubliable ..."
Effectivement, il ne se trompait pas, la soirée allait être ..... inoubliable, mais peut être pas pour lui ...
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