Comment Je Deviens Sa Chienne...

Résumé : Mon homme fait de moi ce qu’il veut… J’obéis… Mais je me vexe… Il a réussit à me retrancher dans mes convictions… Et Quoique je lui reproche… Je prends un plaisir fou !


21h00…
Nous arrivâmes à l’auberge de charme qu’il m’avait promis…
Magnifique et gigantesque demeure typique du pays cognaçais… Au bord de la charente…
Il coupa le moteur alors même que je m’appliquai toujours à le sucer dans des mouvements lents et profonds…
Quand je sentais le moindre petit soubresaut ou palpitation de son membre… Je me retirai soit pour lui soufflé sur son gland humide… Soit pour le lécher comme une chienne lèche son os…
Lui aussi mouillait… Une petite goutte perlait chaque fois que je le libérais de ma bouche.

Il coupa le moteur… M’agrippa vigoureusement par les cheveux pour me faire relever la tête…
A : Tu suces à merveille… Mes couilles sont en feux… Crois-moi çà travaille là dedans… Tu auras ta récompense… Mais plus tard…

Et il m’embrassa en me fourrant sa langue comme jamais il ne me l’avait fait !!
Pendant son baiser à couper le souffle… Il me plaqua contre le dossier du siège… Et le fis basculer totalement…
Il glissa sa main sans modération sous ma jupe pour la faire remonter sur mes hanches…
A : Mais tu mouilles comme une éperdue ma parole !!

J’étais au bord de l’orgasme il est vrai…
Ces violents baisers auraient certainement pu suffire à me faire partir !!!
A : Ferme les yeux petite salope !

Je m’exécutai…
A : Et ne t’avise pas de les rouvrir !

Dans la seconde qui a suivit, il m’introduisit quelque chose dans mon sexe… Mon vagin ultra lubrifié n’eu d’autre choix que de l’avaler entièrement alors que je poussai un soupir de contentement…
Il sortit de la voiture pour venir ouvrir ma portière en pseudo gentleman…
A : Tu peux sortir maintenant…

J’ouvris les yeux… Et sortis pour me rajuster…
J’avais toujours ce plug dans mes fesses… Et maintenant un objet dans mon vagin…

Il prit la valise qu’il avait préparée et nous nous dirigeâmes vers l’accueil…
Avant d’entrer, sur le parvis, il prit soin de me titiller les tétons au travers mon chemisier… Pour me les faire gonfler…
A : N’oublie pas mon amour… Ce soir tu es ma salope et je veux que tu tiennes ton rang !
E : Oui mon cœur… Je vais faire de mon mieux…
A : Je suis sûr que tu vas te surpasser… Garde bien ton chemisier ouvert… Et surtout… Je veux voir en permanence tes tétines déformer ta chemise…
E : Euh d’accord…
A : Débrouille-toi comme tu veux et ne me déçois pas…

Nous entrâmes…
A : Bonjour Monsieur… J’ai réservé une chambre au nom de J… Désolé nous sommes quelques peu en retard.

Maître d’hôtel : Mais je vous en prie monsieur… Tout est prêt
A : Parfait !... Chérie… Je t’en prie, je monte la valise et je te rejoins au restaurant…
E : Comme tu voudras…
A : Vous pouvez lui servir une coupe de champagne pour la faire patienter s’il vous plait…
Maître d’hôtel : Mais bien sûr monsieur… La salle à manger est par là madame… Quelqu’un va venir vous accueillir…
A : Ouvrez directement une bouteille… Elle adore le champagne rosé…
Maître d’hôtel : Très bien monsieur…

Il prit la valise et invita Alban à le suivre…
Je pris donc l’initiative de me diriger vers la salle à manger où une jeune femme m’accueillit et me conduisit à notre table…

Vingt bonnes minutes et une coupe de champagne plus tard, Alban vînt me rejoindre…
Intriguée, je le questionnai sur la chambre et la suite du programme…
A : Mais sois patiente ma chérie… Tout le WE ne sera que surprise sur surprise… Mmmhhh je vois que tu es toujours excitée…

Mes pointes de seins étaient durs et provoquant sous le fin tissu…

Nous prîmes une coupe de champagne tout en choisissant en discourant de banalités culinaires…Puis un serveur vînt prendre notre commande…
Le préposé était debout devant nous, crayon et carnet à la main quand je me suis mis à pousser un cri de surprise…
Le quelque chose dans mon vagin venait de frémir en moi…
Alban m’avait placé un œuf vibrant et télécommandé ! Nouvelle première pour moi…
Décidément… Il me surprenait par son audace…

Nous passâmes commande et quand le serveur nous quitta, les tremblements cessèrent…
E : Mais qu’est-ce que c’est ? lui demandai-je…
A : Un œuf vibrant ma puce… Ca te plait ?
E : Oh ouiii… Mais prévient moi stp !!
A : Ah non !!!... Où est l’intérêt sinon…

Chaque fois que le serveur s’approcha de la table, Alban prenait un malin plaisir à enclencher le petit moteur…
Pour l’entrée, je fus à nouveau surprise…
Pour le plat, m’y attendant, c’est l’élévation des vibrations qui me firent presque bondir…
Comme le plat était très sophistiqué, tout le temps du débarrassage qui n’en finissait plus, les secousses dans mon sexe faillirent me faire tomber de la chaise…
C’était aussi insupportable qu’exquis !!

La table propre avant l’arrivée du dessert… Alban stoppa tout…
E : Stp… Arrête çà car je vais jouir à table sinon…
A : Ah non ma chérie… Il va falloir que tu te contiennes !

Et sitôt dit, il le remit en route tout doucement… Jusqu’à ce que le serveur ne revienne avec nos desserts et le café…
Dès qu’Alban l’aperçu… Il fit monter crescendo les vibrations jusqu’à ce qu’il arrive à notre table avec les assiettes… En vitesse maximum !!!
Je pinçai des lèvres et donnai des mouvements de bassin sur la chaise qui n’avaient que d’autre effet que de stimuler l’olisbos dans mon cul…
Je ne sais pas comment j’ai pu faire… Mais je réussis à me retenir de jouir…

Le serveur parti, Alban cessa son divertissement…
A : Très bien ma chérie… Je te félicite… Tu vas être à point pour la suite…
E : Dépêchons nous de finir… J’ai envie de toi…
A : C’est moi qui décide quand je te baise… Et c’est moi qui décide quand tu dois jouir… Ok ?
E : Salaud… Tu vas me faire mourir…
A : Comment crois tu que je suis dans mon slip petite dévergondée !

Le serveur revînt… Mais cette fois Alban avait décidé de ne plus jouer avec mes sens… A regret je pense…
Nous finîmes la bouteille de champagne… Alban se leva pour venir se poster derrière moi… Il empoigna le dossier de la chaise pour m’inviter à me lever également…
Pendant ce mouvement, il me glissa à l’oreille…
A : Tu as été sacrément salope ma chérie… Non seulement tes tétons n’ont cessé de pointer… Mais en plus tu as réussi à laisser ton empreinte sur la chaise…

Je me retournai toute honteuse pour vérifier ses dires… Un long sillon humide tâchait le velours de la chaise…

Instantanément, je mis ma main sur mes fesses…
A : Oui là aussi… Tu peux être fière de toi !!...

J’étais complètement paralysée… J’avais honte !!!
Alban le vit et me pris par le bras pour sortir de la salle… Rien ni personne pour cacher mon incontinence vaginale…
A : Tiens… C’est la clé de la chambre… Tu trouveras sur le lit des affaires de rechange… Je t’attendrai là…

Je l’écoutai sans rien dire…
A : Tu gardes collants bottes et LE plug… Tu remplaceras l’œuf par l’autre jouet que je t’ai également préparé…

Je le regardais tel un zombie…
A : Et surtout… Ne te laisse pas aller !!... Je te veux excitée encore longtemps avant de te faire ta fête !

Et je partis…

Arrivée dans la chambre… Somptueuse et vaste suite en réalité… Je fus comblée par l’amour qu’avait alloué Alban à préparer ce WE totalement improvisé et oh combien surprenant…

Sur le gigantesque lit, il y avait une jupe portefeuille… Très courte la jupe !!!... Un pull de coton à grosses maille, court lui aussi et à très large encolure… Et la boite de mon nouveau cadeau…

Je me déshabillai en vitesse… Remarqua la large auréole sur le derrière de ma jupe… Retira l’œuf à l’aide de l’anneau à laquelle il était relié à l’œuf…
J’étais gluante… Et j’avais une énorme envie de désobéir !!!
C’est avec une grande force morale que je me suis contenue…
J’ouvris la boite… Et je découvris des boules de geisha…
J’en avais bien sûr entendu parler pour leur bienfait en rééducation post-natale… Mais je n’en avais jamais eues entre les mains…

Je les glissais dans ma grotte au climat tropical… Sans comprendre vraiment à quoi Alban voulait parvenir…
J’enfilai la jupe… Je n’en avais jamais mise de si courte… Puis le pull… Qui me couvrait tout juste le ventre et laissait mes épaules nues…
Il me voulait salope… Eh bien là j’en avais tout l’accoutrement…
Le grand miroir toute hauteur à coté du lit me renvoyait l’image d’une pute !!
En plus je n’avais ni culotte ni soutien-gorge… Autant dire que ma forte poitrine ondulait sur le moindre de mes mouvements…

S’il n’avait pas mis autant d’ardeur à organiser ce jeu… Jamais je n’aurai pu trouver la motivation pour sortir de la chambre fagotée comme çà…
Oui, j’étais devenue sa pute d’un soir… J’ai aimé cette idée… Autant que je détestais ce que je représentais

Avant d’enfin partir rejoindre mon homme, je décidai de faire un petit tour aux petits coins…
Mais… Alban avait verrouillé la porte de la salle de bain !!!

Surprise, vexée… mais amusée…
C’est avec la plus lancinante démarche que je rejoignis Alban dans le hall d’accueil…
Les boules bougeaient en moi… C’était comme un doux massage…

A : Tu es superbe en salope ma chérie…
E : Tu vois… Je m’applique !
A : Oui… Sortons… Le taxi ne va pas tarder !
E : Et où vas-t-on ?
A : Ne pose pas de questions et laisse toi guider…

Me couvrant de mon manteau et me prenant la main pour sortir…
E : Attends chéri… Il faut que j’aille aux toilettes…

Alban me répondit sèchement :
A : Une chienne… Ca pisse dehors je te l’ai déjà dit !

Encore une fois, il me replaçait à ma juste condition !

Nous sortîmes…
Arrivés sous un kiosque dans le parc…
A : Assieds-toi sur le bord du banc et soulage-toi…
E : Quoi ? Ici ?

Il me jeta un regard si froid que je compris qu’il ne plaisantait pas…
Donc je m’exécutai…
Mais une nouvelle fois, je fus bloquée par son voyeurisme…
A : Dépêche-toi… Si tu ne veux pas à avoir à te retenir plus longtemps…

Jambe outrageusement écartées, je me suis laissée aller…
Un long et puissant jet d’urine fumante s’échappa de mon sexe pour former une petite marre à près d’un mètre de moi…
Le froid de cette nuit de mars me glaçait les nymphes déjà humides…

Le taxi arriva au moment même où je terminai…

Nous passâmes une bonne partie de la nuit dans un bar de nuit…
Nous avons bu encore des bières…
Et nous avons dansé…
L’alcool m’avait totalement désinhibé… Et je me déhanchai sur la minuscule piste de danse où nous étions à peine une dizaine…
Et plus je me dandinais… Plus les boules s’entrechoquaient en moi… Et plus je m’excitais…

A 2h00 du matin, le taxi nous ramena à l’auberge…
La démarche un peu chaloupée… Alcool, fatigue… et boules mêlés…
Alban m’attira dans un coin du parc éclairé mais à l’abri des regards…
A : Je suppose que tu dois avoir envie de pipi ?
E : Oui…

Et alors que, dans un mouvement devenu presque machinal, je m’accroupissais…
A : Non… Moi d’abord !... Une chienne pisse après son maître !

Moi… Manteau ouvert… Jupe relevée sur les hanches… Je le regardais béate !
A : Qu’attends-tu pour me démontrer que tu as bien enregistré ce que je t’ai appris !!

Ne bougeant toujours pas…
A : Aller… Sors ma bite et fais-moi pisser !!

Je n’en revenais pas de ce qu’il voulait que je fasse… Pourtant je me suis exécutée comme un automate !!
J’ai ouvert sa braguette… J’ai glissé ma main dans son boxer pour sortir sa queue… Déjà en train de gonfler d’excitation par la situation extravagante !
A : Dépêche de me faire faire mon affaire avant que je bande… Sinon je risque de te pisser dessus !

Je me positionnai sur son coté… Toujours à moitié nue… Mon manteau maintenait ma jupe relevée haute…
A : Non… Tu restes face à moi…

Revenant dans ma position initiale… Cuisse largement écartée pour éviter de souiller mes bottes…
Je pris son sexe entre mon pouce et mon index… Décalottai le gland…
Et il se lâcha !!!
A : Toi aussi… Vas-y… Pisse…
E : Debout ?

Comme il ne répondit pas, je me suis aussi délivrée…

Nous terminâmes en même temps… Je lui secouai la queue pour extirper les dernières gouttes comme il me l’avait montré… Et je rangeai l’engin dans son emballage de coton…
Ce dernier geste me fit comprendre que j’avais mal fait mon travail… Il restait en effet quelques gouttes qui humidifièrent ma main !
A : Petite sotte… Tu apprendras qu’il vaut mieux faire tomber caleçon et pantalon… Si tu ne veux pas en mettre partout !
E : Euh… Pardon…

Alors qu’il referma lui-même son zip, je me rajustai… Sans même m’être essuyée !
Je crois que je devais être assez saoule pour supporter cette humiliation…

Sur le chemin de retour… Comme deux amoureux, lui son bras sur mes épaules… Comme si rien d’étrange ne venait de se passer… Il me donna les nouvelles consignes…
A : Tu vas remonter seule dans la chambre… Tu vas te déshabiller et enfiler le dernier ensemble de lingerie que j’ai choisi… Tu m’attendras yeux bandés… Debout jambes écartées et mains dans le dos devant la porte…
E : Tout ce que tu voudras mon amour…
A : Justement… Je t’accorde 5 min…

Je l’ai quitté… pour courir vers la chambre…

Arrivée dans la chambre,
Je me suis empressée de me déshabiller totalement pour fouiller dans le sac de lingerie… J’enfilai donc la tenue si légère qu’il m’avait choisi…
Seuls mes tétons sortaient du soutien gorge par les fentes qui leur étaient réservés… Ma vulve plus lisse que jamais était luisante de désir de part et d’autre des ficelles qui la comprimaient… Quant au porte jarretelle… Wouaw… Il finissait à lui seul de parfaire la parfaite petite pute que mon Homme voulait que je sois…
Ce soir il sera mon mac… Mon Maître… Je l’avais décidé ainsi…

Comme il ne m’avait donné aucune consigne quant à ce qui bouchait mes orifices d’entre les jambes… Je pris l’initiative de les laisser en place…
Je remis mes bottes aussi… Pour être plus vulgaire encore !!!

J’eus à peine le temps de mettre le bandeau sur mes yeux que le son d’une porte qui s’ouvre m’indiqua qu’il fallait que je prenne position…

Il tourna autour de moi pendant de longues minutes dans un silence pesant…
Je m’interrogeai même si c’était bien lui !

Le son de sa voix me fit sursauter et me rassura :
A : Tu es superbe !... Parfaite… Il manque juste un détail…
Et je senti le froid métallique emprisonner mes poignets…
Nous avions déjà fait ce genre de jeu de rôle… Mais pas avec des menottes… Simplement un foulard à peine serré…
Mon cœur se mit à battre la chamade… Tellement j’étais excitée !

A : Emilie… Ce soir et jusqu’à lundi matin je vais faire de toi ma chienne soumise… Je vais assouvir mes envies les plus perverses… Es-tu prête à obéir aveuglément ?

Je ne répondis rien… J’essayai de me remémorer les confidences faîtes sur son journal intime pour me rassurer sur ces intentions… Mais l’intensité du moment m’en empêcha bizarrement…

Je reçu une petite fessée…
A : Réponds petite salope !... Seras-tu cette chienne docile ?
E : Oui mon amour… Tout ce que tu voudras je te le donnerai !... Je veux être ta chienne
Nouvelle tape sur les fesses… Cette fois plus appuyée !
A : Maître !... Maintenant tu ne t’adresses à moi uniquement en m’appelant Maître…
E : Oui maître !
A : Je t’aime… Dit-il en chuchotant…

Et il me passa quelque-chose autour du coup…
Il me fardait d’un collier de chien… J’étais à ma demande devenue sa chienne…
Bien-sûr, aussi méticuleux qu’il l’était, il y accrocha une laisse en mailles de fer.

Il s’en suit un long moment de silence où je devinai qu’il se déshabillait…
Le bruit du bouchon d’une bouteille de champagne qui saute me fit sursauter…
A : Tu es très salope dans cette tenue… J’ai hâte de te voir dans les autres… Où est ton portable que j’admire les photos…
E : Oh pardon chéri… J’étais tellement gênée pendant les essayages que j’ai oublié de les prendre…

Une forte claque s’abattit sur ma fesse gauche !
A : Comment tu m’as appelé ?
E : Pardon Maître… J’ai oublié de me prendre en photo dans la cabine comme vous me l’aviez demandé !

N’étant pas dans la meilleure des postures, je tentais de jouer la femelle effarouchée…

A : Cela fait plusieurs fois aujourd’hui que tu me déçois ma belle… Il va falloir que je te punisse justement !
E : Je suppose Maître…
A : Que suggères-tu petite effrontée ?
E : Euh… Je ne sais pas Maître…
Une nouvelle fessée tomba sur ma fesse droite…
A : Vraiment ? Qu’administre-t-on aux petites filles désobéissantes ?
E : Une fessée Maître ?
A : Exactement !!... Cà devrai te faire passer l’envie d’être indisciplinée et surtout l’envie d’obéir

Il me prit par le haut du bras pour m’amener au bord de la table qui occupait la grande pièce…
A : Penche-toi salope !

Aussitôt dit… Aussitôt fait…
Le froid du verre me glaça mes pointes de seins et le ventre…
A : Tends ton cul mieux que çà sale chienne !

Je tendis les jambe en reculant mon popotin du mieux que je pu… Ce qui eut pour effet d’écarter mes globes fessiers et repousser légèrement l’olisbos de plastique que j’avais dans ma caverne…
Il s’amusa un peu avec… Le repoussant doucement au maximum dans mon anus… Et pendant le plug prenait le temps de ressortir calmement… Il jouait avec la ficèle des boules de geishas…
Mes jambes tremblaient d’excitation…

Une première fessée tomba… Elle me pinça la chair… Si bien que je perdis position…
A : En place !... A combien estimes-tu le nombre de fessées à recevoir ?
E : SVP Maître… Pas trop…

Une nouvelle claque me fit pousser un cri !
E : 10 Maître… 10 SVP Maître !!!

J’étais aussi effrayée qu’excitée de ce jeu qui prenait forme…
A : OK… Tu comptes… Si tu cris, si tu proteste, si tu ne te tiens pas où si tu te trompes… J’ajoute 5 à chaque fois !!!
E : Euh oui Maître…

Je tendis à nouveau les fesses… Les jambes tendues et la poitrine plaquée sur la table…
E : UN… DEUX… TROIS… QUATRE…

Chaque fois je me pinçais les lèvres pour ne pas gémir…
E : CINQ… SIX… SEPT… HUIT…

Il fit une pause pour me caresser du bout des doigts mes fesses brulantes…
Puis par surprise, il retira d’un seul coup les boules de geishas… Ce qui inévitablement me fit fléchir les jambes et pousser un cri de plaisir…

A : Tu continues à désobéir petite salope… Nous allons jusqu’à 15 !…
E : Oh non SVP Maître… Je ne supporterai pas !!

Je reçu deux fessées supplémentaires coup sur coup…
A : Nous passons à 20 !... Ne me dis pas que je vais avoir du mal à dresser ma petite chienne d’amour ?
E : Non Maître…

J’en reçu deux autres fessées… Plus douces celle-ci… A moins que ça ne fut mes fesses rougies qui ne distinguait plus leur force…
A : 25 !... Tu oublies de compter étourdie !!
E : Pardon Maître… 12 !
A : Mais je n’ai pas entendu le 9, le 10 et le 11 !!... 30 !!

Je le détestai à ce moment là… Que lui prenait-il… Et pourquoi je me donnai si facilement à ce jeu…
A : Emilie ? On continue ?

De colère, je lui répondis :
E : Oui maître… Jusqu’au bout !!

Il reprit ses fessées… que je comptai sans faute et sans broncher…
Sur la fin, les fessées me cinglaient tellement que je contractais mon anus… Le plug allait et venait au gré des tapes… Le plaisir ainsi prit me fit me détendre…
E : 30 !
A : Et qu’est-ce qu’on dit ?
E : Merci Maître…
A : Très bien… Nous continuons toujours ?
E : Oui maître… dis-je les dents serrées

J’en avais très envie… Au moins autant que l’envie de jouir aussi…
A : Mais tu es toute trempée ma salope… A croire que cette leçon n’a pas été assez longue !!

Et disant cela… Il retira tranquillement le plug… En même temps qu’il versait quelques gouttes de champagne glacé sur mon postérieur en chaleur !!!!
Les bulles me piquèrent partout… Et ce fut divin…

Il me redressa en me prenant par les cheveux et me demanda d’avancer de quelques pas et de reprendre la position du début…
Mains dans le dos, je me positionna à nouveau le buste fièrement bombé, les fesses bien en arrière et les jambes bien écartées…

A : Bien… Nous allons laisser tes fesses et ton trou du cul tranquilles pour le moment…
Il me caressait le clitoris… Il faisait aller et venir ses doigts dans ma fente largement ouverte et trempée…
A : Tu mouilles comme une salope… N’est-ce pas que t’es une salope Emilie…
E : Oui Maître… Je suis votre salope…
A : Alors tu vas me montrer ce qu’une salope est capable de faire pour le plaisir de son maître…

Il astiquait mon clitoris dans un clapotis obscène de mouille… J’étais sur le point de jouir très fort…
Il s’en apperçu facilement à mes jambes qui ne me portaient plus…
Il stoppa alors ces caresses brutales mais oh combien savoureuses…
A : T’aime ça sale chienne… Tiens lave nettoie-moi les doigts…
Et il me fourra ses doigts dans ma bouche…

Je détestais çà… Et pourtant j’ai léché comme une folle ses doigts aux gouts de cyprine et d’urine mêlés…
A : Maintenant que mes doigts sont propres… Tu vas t’occuper de moi… Tu vas me montrer a quel point tu es salope…
E : Oh oui… Maître…
A : J’ai l’intention de te baiser la bouche… Agenouille toi salope…
E : oui Maître…

Apeurée, je me positionnai cependant instinctivement à genou…
Il passa son pied entre mes cuisses pour me forcer à les ouvrir davantage…
A : Ecarte mieux que çà salope !
E : Oui Maître…

J’étais écartée au maximum que je pouvais pour garder tout de même un certain équilibre…
Il me frotta longtemps son gros doigt de pied sur mon sexe… Parfois le faisant même entrer dans mon vagin !
Puis il pris ma tête à deux mains…
A : Ouvre la bouche que je te baise ta bouche gourmande…

Et il s’enfonça d’un seul coup et entièrement… J’avais le souffle coupé et le nez sur son pubis…
Il se retira aussi sauvagement qu’il était entré !
A : Dis-moi que tu as envie que je te baise comme ça sale chienne !
E : Baisez-moi la bouche Maître…

Il s’enfonça de nouveau pour rester logé dans ma gorge plus longtemps que la fois précédente…
A : Demande-moi mieux que çà… T’es une bonne chienne ou pas !?
E : Baisez ma sale bouche de pute Maître… Baisez-moi… Et Donnez-moi tout !!

Sur ces dires, il se mis à me besogner la bouche… Tantôt profondément… Tantôt énergétiquement… Mais toujours sans ménagement…
J’ai adoré être traitée comme une chose pour le plaisir de mon Homme…
Cela ne dura que quelques minutes mais ma mâchoire était fatiguée… Au point qu’il me fit remarquer qu’il sentait mes dents…
A : Ah tes dents sale chienne… Ouvre grand ta bouche sale pute !

Et il se retira… Pour éjaculer dans ma bouche béante… Un orgasme encore une fois en longuer et en quantité…
A : Garde la bouche ouverte et n’avale pas tout de suite salope…

Il se frottait la queue encore dure sur mes joues…
A : Allez… Sois contente de ce que je te donne et régale toi !

Je compris que je devais avaler… Ce que je fis…
Et effectivement je me suis délectée… Moi qui ne supportait pas ces pratiques il y a encore quelques jours…
Instinctivement, sa jouissance avalée, je rouvris la bouche et tirai la langue pour lui montrer que j’avais été disciplinée…
A : Nettoie-moi bien la queue… Et évite de me refaire bander… Où je te baise à nouveau !!

Je me suis appliquée… Et quand je sentis qu’il regonflait… Je me suis arrêtée… Je n’avais pas du tout envie de subir un nouvel assaut de sa part… Ce d’autant plus qu’il aurait été beaucoup plus long à venir…

Il me massa tranquillement la nuque… Puis agrippant la laisse…
A : Lève toi sale chienne… Je vais m’occuper de toi…

J’entendis une clé dans une porte… La salle de bain, il m’emmenait dans la salle de bain…
Il accrocha la laisse en haut de la barre de douche pour que je reste bien campée sur mes jambes toujours largement écartées…
Il se plaça ensuite à coté de moi… et m’introduit son index dans les fesses…
Comme je fus surprise, il le retira aussitôt pour m’administrer une forte claque sur la fesse… Elle me ramena à l’épisode de la séance précédente et me fit comprendre qu’il fallait mieux que je sois coopérative…
A : Tu veux jouir ou pas salope…
E : Oh oui maître…
A : Alors laisse-toi guider !

Une nouvelle tape sur l’autre fesse… Et un retour de son doigt dans mon cul…
Il entama des vas-et viens… Et me murmura à l’oreille
A : Demain soir je m’occuperai de ton cul… Je te baiserai uniquement ton cul de salope…
E : Oui Maître…

C’était la première fois depuis trop longtemps que je lui accordais sans aucune réticence cette caresse…
Il se positionna ensuite à genou… Et enfourna le reste de ses autres doigts dans ma chatte…
Et il se mit à me pistonner simultanément Le cul et la chatte…

Quand il sentit mon orgasme arriver… Il se retira… Et ma masturba frénétiquement le clitoris…
J’ai jouis comme jamais… En resserrant les cuisses sur sa main…
J’en ai même été très fontaine…
J’ai pour la première fois de ma vie « éjaculé » !!... Je ne savais d’ailleurs plus si c’était ma jouissance ou un pipi…

Alban s’était relevé… Pour me soutenir car j’étais incapable de rester debout…
Il me fit glisser calmement au sol…
A : Sale cochonne… Tu m’as jouis dessus comme une truie… Nettoie…

Il me tendit ses mains et ses doigts…
J’ai même reconnu au gout celui qui s’était fiché dans mon séant… Mais cela ne me dégoutta pas… Bien au contraire…
J’étais assurément devenu sa chienne docile… Et aimante… Car oui…
Je l’ai aimé comme jamais à ce moment là de notre vie de couple…