Leslie Hd09

Leslie HD09 – Valérie encore

Maintenant c’est elle qui, à genoux, me suce, je suis entièrement au fond de sa gorge, c’est doux et chaud je ne sais plus où je suis et je râle de plaisir.
Je veux juste jouir de ce moment avec Valérie, comme dans mes rêves.
Alors que je suis dans mon plaisir, elle s’écarte de moi me laissant tremblante, ses doigts s’insinuent entre mes fesses allant dans ma raie pour toucher mon œillet, je sursaute et me cabre.
- Ohhh, s’échappe de mes lèvres.
Elle entre un doigt dans mon trou. Je feule de plaisir et me tends. Elle me dit doucement :
- Chut, laisse-moi faire…
Je me détends doucement, et elle commence à aller et venir avec son doigt dans mon cul. Puis d’un coup elle enfonce son doigt complètement en moi.
Je crie de nouveau, puis je sens un autre doigt s’insinuer, forcer, jusqu’à ce que je me détende enfin.
Soudain elle se redresse et se plaque contre moi dans mon dos, je sens ses deux mains de chaque côté de mes hanches, elle passe ses mains sur mon cul. Je n’en peux plus, je gémis déjà, je respire fort, elle mouille son doigt se sa salive et recommence à me caresser la rondelle.
Ça a duré un instant, je suis déjà bien dilatée, tellement offerte, tellement excitée. Elle retire son doigt, me reprend les fesses, place ses jambes entre les miennes, m’écarte les jambes avec les siennes tout en m’appuyant sur le bas du dos pour me cambrer encore plus et m’offrir à ses désirs.
- Ohhh !
Je suis complètement plaquée contre le mur, le cul relevé, saillant, bien offert.
Je sens son sexe contre ma rondelle, je me raidis un peu dans l’attente de sa pénétration, mais rien.
Elle s’est arrêtée au bord de mon trou, je la sens-là, prête à m’investir, le gland positionné comme il faut à l’orée de mon œillet, juste une toute petite pression suffirait pour entrer en moi, mais rien, Valérie reste immobile me laissant haletante.
- Ohhh !
Je relève la tête, je respire plus fort encore, je la sens-là, prête à m’enculer, mais rien ne se passe.

Juste cette petite pression constante qui laisse mon œillet entrouvert, mon trou frémis d’impatience.
J’ondule de la croupe, ce qui a pour effet de faire varier la pression de son gland sur mon anus, et me fais respirer plus fort encore, me faire bouger encore plus et sans que je m’en rende compte, je suis en train de m’ouvrir moi-même sur son gland lentement, inexorablement.
Elle a une technique absolument incroyable et diabolique pour me faire chavirer, une petite pression…
- Ohhh !
Elle se recule un peu, puis une seconde pression…
- Ohhh !
Elle se recule à nouveau, une troisième pression…
- Ohhh !
Je n’en peux plus, à chaque pression je m’écarte un peu plus, chaque pression m’ouvre un peu plus l’anus, à chaque fois j’espère que Valérie me rentre son sexe en moi.
- Ohhh !
Les pressions se font de plus en plus rapprochées, de plus en plus présentes, mon cul s’ouvre à chaque poussée, sans rentrer.
- Ohhh !
Mon anus n’a plus le temps de se resserrer, les pressions arrivent plus rapidement et soudain sous une pression plus appuyée mon anus s’écarte en épousant la forme de son gland qui passe mon muscle anal.
- Ohhh !

Le gland est entré et elle pousse doucement son membre en moi dans un mouvement continu, sans s’arrêter. Je sens chaque centimètre de sa queue me parcourir, elle m’ouvre de son sexe épais qui me remplit le cul, je laisse partir mon cul en arrière, jusqu’au moment je l’ai senti buter bau fond de moi.
- Waouh !
Je me retrouve entièrement comblée, remplie, écartée par son sexe épais.

Elle commence son va-et-vient. Je sens monter une vague de plaisir et mon cul s’ouvre complètement. Elle me prend doucement, inexorablement.
A chaque poussée elle est entièrement en moi, elle s’appuie de tout son poids sur moi et je sens son ventre sur mes fesses, ses seins me caressent le dos.
Je gémis, j’halète, je n’en peux plus du plaisir qui monte en moi et qui s’irradie dans mes reins, j’ouvre mes jambes et me cambre au maximum.

- Valérie, c’est bon, encore, dis-je.
Alors elle se déchaîne, et commence à me pilonner de plus en plus vite

- Tu aimes ma bite ?
- Oui, j’adore ! Encules moi ma chérie !

J’entends le claquement de ses cuisses contre mon cul tendu, je suis une chienne en chaleur, j’adore me faire enculer comme dans mes rêves, me faire prendre par Valérie debout contre le mur d’une chambre d’hôtel.
Je me mets à crier, oubliant tout autour de nous. Elle sort de moi, puis entre de nouveau, de plus en plus profond, de plus en plus fort, je suis à elle.

Enfin, après m’avoir copieusement besognée, ses mains se crispent sur mes fesses. Elle s’immobilise et son corps se secoue de spasmes et elle se vide en moi. Je sens sa queue agitée de pulsions, je la sens jouir en moi et me remplir les entrailles, c’est trop bon.
Son sexe au fond de moi dans mon fondement, je suis écraser contre le mur et je jouis d’elle.

Nous restons là quelques secondes, à récupérer, sa queue au fond de moi, ses seins pressés sur mon dos. Je râle toujours, elle prend ma queue dans sa main en maintenant la pression sur mon cul, elle se met à me branler très rapidement, j’explose en moins de dix secondes par saccades, en poussant un râle de jouissance.
Puis elle se retire doucement, et me retourne, en me plaquant le dos contre le mur, ma queue à demie bandée pendante entre mes jambes écartées et mon anus complètement dilaté, elle m’embrasse à pleine bouche tout en continuant à caresser mon gland luisant de sperme.
Je suis sans réaction, offerte à ses désirs, je suis sa pute, sa chienne offerte…
Tenant mon sexe en main, elle me conduit vers le lit où elle m’installe assise les jambes le long du lit, puis d’une main elle me force à m’allonger avant de prendre mes jambes pour les relever.
Elle place mes chevilles sur ses épaules et fléchit sur ses jambes afin d’avoir son sexe à la hauteur de mon anus et me dit :
- Maintenant je vais t’enculer comme une petite salope que tu es.

Et sans un mot de plus, elle m’enfonce son membre à nouveau raide en moi, me faisant hurler. Sauvagement elle m’encule à grands coups de reins en me disant :
- T’aime te faire enculer, dis-le !
- Ohhh, oui j’adore.
Une nouvelle fois, après m’avoir besognée pendant de longues minutes, elle jouit en moi, elle sort de mon trou en me laissant pantelante et elle se rhabille en disant :
- Tu as aimée ?
- Je… n’en peux plus, dis-je dans un souffle.
- Bon, je te quitte petite salope, dit-elle.
- Mais attends !
- Chut ! Ne dis rien, j’ai joui mais il me faut maintenant bosser.
Avant que je ne réagisse, elle pousse déjà la porte, me laissant seule, dans cette chambre d’hôtel de passe, avec mon cul grand ouvert.
Valérie est maintenant une professionnelle et je sais que je vais vivre avec son souvenir.
En sortant de l’hôtel, j’entends le réceptionniste dire :
- Valérie vous as démontée le cul ?

Je rêve, je viens de me faire prendre comme une salope par Valérie, une professionnelle du sexe et j’ai aimée…
Décidément les souvenirs…

A suivre…

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