Ma Seule Expérience Gay... Assez Hard
Cétait lété dernier. Jétais dans une ville étrangère - Barcelone. Par fantaisie, javais décidé dy aller seul, dans un
hôtel assez peu cher, et un peu excentré. Je navais pas prévu le spleen horrible de la solitude... Me voici donc dans
ma chambre, vide et froide, moi qui ne connais personne dans la ville. Mais, paraît-il, cest une ville où lon fait la
fête, où toute lEurope se rencontre. Alors, me mettant sur un léger 31 (slim, t-shirt col en V, et chaussures
américaines, rien non plus de trop guindé), je sors dans la rue, et remonte vers un boulevard.
Je nétais jamais allé dans cette ville, et avais oublié le Routard chez moi... jétais sans carte, et tentais de me
rappeler à tout prix le nom des rues, afin de pouvoir me répérer lorsque je voudrais rentrer. Les rues étaient
sombres, je me demandais si je naurais pas mieux fait daller de lautre côté. Alors que je me décidais à rebrousser
chemin, je vois des lumières au loin : des bars ouverts. Je mapproche, et cherche un bar fréquenté où je puisse lier
connaissances avec des locaux. Il y avait beaucoup dhommes dans les rues, habillés de manière très extravertie :
mini-short en jean, t-shirt ultra-moulant, ils étaient très musclés, et marchaient par deux. Je mexpliquais cela que
nous étions dans une ville libérée.
Enfin, je trouvais un bar qui avait lair sympa. Toujours autant de mecs, mais pas grave, ça rassurerait ma copine, qui
mattendait à Toulouse. Je masseois, prends une conso, un homme vient sasseoir. Il avait la quarantaine, une petite
calvicie, bien fait. La discussion se noua rapidement je tentais de répondre dans un espagnol qui était basic- : il
était patron dune chaîne de bars dont le nom méchappe- et avait effectivement lair davoir « des moyens ». Nous
parlâmes longtemps, il moffrait consommation sur consommation, puis me demanda finalement ce que je venais
faire ici.
quartier gay. Effectivement, cela me parut évident, et même en étant hétérosexuel, je me sentais bien ici, lambiance
était festive. Nous marchâmes un peu, il tenta de me prendre par le bras, mais face à une légère crispation de ma
part, abandonna, et mexpliqua comment avait été construit la ville sa culture était vaste- et les différents endroits
dans lesquels il fallait aller pour samuser. Il me parla dun bar, nous y allâmes.
Cétait lun des siens bar assez chic, avec des canapés américains, comme dans le film où ils prennent des
milkshake-. Il me conseilla un vin rosé, qui était le meilleur, et me loffrit il était horriblement cher.- Nous parlames
de tout : de politique, de littérature, de nos vies... Puis, question fatidique : il me demanda mon orientation sexuelle.
Je lui expliquai que jétais hétéro, que je navais jamais essayé avec un homme, et que, pour tout dire, cela ne me
disait rien. Il se lamenta un peu, remarquant à haute voix que javais un visage féminin, et des formes fines qui
nétaient pas sans déplaire aux hommes, que cétait dommage de gâcher cela. Devant ma coquetterie, il me dit que
les hommes dans la rue se retournaient beaucoup, et que certains avaient fait le geste à leurs amis quils voulaient
me prendre mimant le geste du bassin. Jétais, assez étrangement flatté.
La discussion avec un homme qui avait deux fois mon âge, riche, patron du bar dans lequel nous étions, me faisait
sentir une midinette, et ma fois la sensation nétait pas désagréable. Je pensais jouer un peu, puis rentrer chez moi,
heureux davoir été invité toute la soirée à boire sans payer.
Les verres senchainèrent. Je me souviens quà un moment il posa sa main sur la mienne, et me caressa la main du
pouce. Je bandais directement. Gêné, voulant me ressaisir un peu, jallais aux toilettes, me calmais, puis je revins.
Les hommes dans le bar me regardait tous, jimagine que la différence dâge me faisait passer pour une sorte de
minet que lon paye au soir.
Je mamusais bien. Nous passions de discussions générales le couple, la France, lEspagne- à des discussions
beaucoup plus intimes, où jappris que je lui plaisais beaucoup, et quà vrai dire, il était excité depuis bientôt une
heure. Rigolard, je lui répliquai quil exagérait. Il prit ma main, la posa sur son sexe gonflé, je le cru, rougi un peu, et
la retirai.
Puis tout alla très vite, et très étrangement. Nous parlions depuis bientôt 4 heures, et le bar allait fermer. Nous
pouvions y rester il était le boss, dans cette atmosphère un peu étrange, puisque les employés avaient fermés la
grille, et nettoyaient le sol et les tables, alors que nous consommions. Je le félicitai sur la bonne tenue de ses
affaires, et lui expliquai que cela me faisait penser à lendroit où, dans les films, les américains prennent leurs
milkshake. Il rit un bon coup, et demanda quon men fasse un. Je ne savais pas quoi faire pour le remercier, il me dit
quil avait sa petite idée.
Alors que je commençais mon milkshake, il me demanda si, en tout bien tout honneur, je pouvais laisser couler un
peu de lait au coin de ma bouche. Il ne demandait rien de plus, et me le promettait. Amusé, voulant jouer avec lui,
jacceptais, et le fis, en lui jetant dailleurs un regard de fieffée salope. Il prit la goutelette de lait avec son pouce, et
la ramena vers ma bouche. Je pris son pouce en bouche, et le suçait, en le regardant dans les yeux. Me souriant, il
caressa de son autre main ma joue, et mis deux doigts dans ma bouche à la place du pouce. Les employés nous
regardaient, gênés. Le patron dit quelque chose en espagnole, les employés acquieserent, il me prit par la main, et
memmena à létage, qui était vide.
Sans me parler, il dégrafa sa braguette, laissa sortir une énorme bite tendue à lextrême, me prit les cheveux, et
mobligea à sucer.
jétais un ange, et que je suçais comme une reine. Jétais très appliqué, suçais bien ses boules. Il me demanda de me
mettre sur un canapé, je continuai à la sucer pendant quil mit quelques doigts dans mon cul, puis il me les fit
lécher, membrassa à pleine bouche, et voulu jouir sur mon torse. Je reçu son jus chaud dans le bas du cou, et je le
sentis glisser, jétais au comble de lexcitation.
Il toucha ma bite avec beaucoup daffection, comme à un , et me branla en membrassant. Lorsquil sarrêta, je
remarquais que nous nétions plus seuls. Pris par leffet de lalcool, je demandai à chaque employé de venir jouir sur
moi : sur mon visage, dans ma bouche, sur mon torse, à leur guide, je suçais et branlais comme je pouvais, pendant
que le patron me branlait, me touchait le cul, me mettait des doigts dans la bouche, ou me fessait.
Je ne me souviens plus combien de spermes différents jai eu sur moi, 3 ou 4, peut-être 5. Je me souviens des torses
musclés, des insultes, de ses mains qui me prenaient les cheveux, les jambes, tout, des rires, des insultes, des râles.
Jétais aux anges. Lorsque jen eu fini avec tous ces glands dressés, énormes, qui me remplissaient la bouche, je me
trouvais toujours sur les genoux du patron, qui fouillait lintégralité de mon corps, et me mettait le sperme qui
coulait sur moi dans la bouche avec ses doigts. Il riait, me caressait, membrassait, était très doux.
Il me demanda si je voulais bien réaliser un de ses fantasmes. Pour simple réponse, je lembrassai à pleine bouche,
en lui griffant le torse. Il me fit mettre à genoux devant lui, demanda le milkshake, et ordonna que je le suce. Je
commençais, jétais en furie, les hommes continuaient à se masturber et jesperais simplemetn quils aient le temps
de me couvrir encore un peu avant que le patron jouisse.
alors que je gémissais, et mappliquais, les fit jouir : sur ma joue, dans mes cheveux, sur mon dos. Lorsque le patron
vint, il voulut que je le garde en bouche : ce que je fis. Puis il me demanda de recracher son sperme sur mon visage,
ce que je fis. Puis il versa doucement la coupe de milkshake dans ma bouche ouverte, et le lait épais coula sur mon
corps.
Il se tourna, me demanda que je lui léche le cul, qui était suant. Deux minutes après, alors que les employés avaient
quitté le bar, laissant les clés pour que le patron ferme, celui-ci constata létat déplorable du par terre : il avait les
pieds sales. Je moffris à lui de les lui lécher. Je le fis pendant de longues minutes. Il me regardait avec des yeux
amoureux.
Puis nous nous habillâmes, il me remerciait, me caressait, membrassait, me doigtait... Et sur le pas de la porte, me
donna un billet de 500 euros, me disant que je pouvais revenir quand je voulais, car, me susurra-t-il à loreille, de sa
voix grave : il avait « envie de fourrer mon cul de chienne. »
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