Leslie Hd08
Leslie HD08 - Valérie
Il y a déjà un moment, un an ou plus, lors dune sortie dans un club recevant des transexuelles, javais fait la connaissance dune fille extraordinaire, une transexuelle comme moi.
Nous avions sympathisées, lors de cette soirée, en buvant un verre et le courant était passé, Valérie sortait dune déception amoureuse et paraissait fragile. Pourtant très belle avec un physique mince elle faisait son effet, mais inconsolable elle restait dans la déprime des amours perdus.
Je lavais raccompagnée en bas de son immeuble près de la Porte Maillot, elle était partie dans la nuit sans me laisser de téléphone, mais laissant en moi un trouble.
Il y a quelque temps, en parlant avec Laure de nos rencontres non terminées, le souvenir de Valérie mest revenu et la nuit même jen ai rêvée, alors dès le lendemain je me suis mise à sa recherche.
Une frénésie de la retrouver sest emparée de tout mon être, la retrouver rien ne comptait plus pour moi à cet instant de ma vie. Savoir ce quelle était devenue et revivre ce trouble quelle avait laissée en moi cette soirée là et pourquoi pas aller plus loin et ... Depuis je la cherche du côté de cette porte de Paris où un soir je lai laissée, dès que jai un moment je vais à sa recherche. Mais durant plusieurs jours mes recherches restent sans résultats.
Cest Porte de Champerret, que je lai croisée un soir, en la voyant jai prononcé, doucement, son prénom :
- Valérie !
Elle mavait répondue dans un souffle
- Oui.
- Tu te rappelles de moi, lui demandai-je, la voix hésitante.
- Oui, Leslie, bien sûr.
- Je te cherche depuis si longtemps
- Oui, je sais.
Comment savait-elle que je la cherchais depuis maintenant presque un mois, maurait-elle vue roder dans son quartier et me reconnaissant serait-elle restée sans bouger attendant loccasion que je la vois et que je laborde.
- Mais comment
- Chut, tais-toi et suis-moi !
Elle me prend la main et mentraîne je ne sais où en disant :
- Ne me pose pas de question maintenant, laisses-toi aller.
Valérie me guide et, alors que nous marchons sur le trottoir, je nai plus les idées bien claires, ma recherche vient daboutir et je ne sais quoi dire, ni quoi penser.
A un moment Valérie me plaque sur le mur dans lembrasure dune porte cochère et plaque sa bouche contre la mienne pour me donner un long baiser.
Puis me reprenant la main elle me guide à nouveau dans les rues de Paris.
Cest le début de lhiver et en ce début de soirée le froid commence à se faire sentir, Valérie mentraine dans un petit café, sans se poser de question elle va au fond de la salle dans un endroit calme et discret, et où nous nous asseyons.
Aussitôt le garçon apparait pour prendre la commande, en disant
- Bonsoir mademoiselle Valérie, un chocolat comme dhabitude ?
- Oui bien sûr, répond Valérie.
- Et pour lautre demoiselle, ce sera quoi ?
- La même chose, dis-je à mon tour.
Valérie à ses habitudes dans ce café, pensais-je tandis que le garçon séloigne, tandis quelle me prend la main elle me dit :
- Ça me fait plaisir.
- Et moi, depuis le temps que je te cherche.
- Je sais je tai vue plusieurs fois passée dans le coin, mais je voulais être sûr que cest moi que tu cherchais.
- Tu en doutais.
- Tu sais le temps passe, on oublie ou pas, parfois le vide est si grand que la douleur est longue à effacer, et puis nous ce nétait quun soir, alors
Après que le garçon est déposé nos chocolats, je regarde Valérie et je vois des larmes perlées sur ses joues, alors je lui dis :
- Que se passe-t-il ?
- Juste le souvenir qui remonte à la surface, je pensais tavoir perdue à jamais et que tu mavais oubliée.
Comment pouvait-elle penser cela, nous ne nous étions vues quune fois le temps dune soirée, elle avait lair de maimer.
- Tu sais ce soir-là, tu mavais redonnée de lespoir et je pensais que nous allions nous revoir, et que
Les sanglots stoppèrent ses mots au fond de sa gorge, alors je me suis penchée vers elle et lui ai offert un baiser.
Sans un mot nous avons bues nos chocolats et cest tout naturellement que se tournant vers moi, elle me dit :
- Viens, allons faire lamour.
Elle ma entrainée dans un petit hôtel tout prêt de là, apparemment là aussi elle avait ses habitudes car le réceptionniste ne lui a rien demandé, pas plus quelle na payée.
Arrivées dans la chambre nos baisers reprirent avec fougue. Nos manteaux sont tombés à terre. Nous explorons nos corps, nos poitrines tout en nous embrassant, puis sa main se pose sur ma cuisse et remonte lentement, elle effleure mon entrecuisse, sattarde, jouvre mes cuisses au maximum, sa main se pose sur cette bosse qui me fait presque mal. Ses doigts commencent un léger massage, épousant la forme de ma queue au travers de létoffe de mes vêtements.
Je suis tellement excitée que jai peur de jouir comme ça, dans mon pantalon. Elle le sent et sa main sarrête et me dis :
- Baisse ton pantalon !
Je mexécute, je baisse mon pantalon et mon string, libérant mon sexe déjà dur. Elle sagenouille sur mon manteau et me prend entre ses lèvres pour me sucer, puis sarrête rapidement et me retourne prestement.
Maintenant je lui présente mes fesses, cest ce quelle désire, alors de ses mains elle mécarte au maximum mes fesses, afin de moffrir le plus possible à sa convoitise je me cambre au maximum.
Je la sens qui mobserve, elle prend son temps pour découvrir ma rondelle plissée et sans que je le veuille, je sens mon anus sentrouvrir légèrement, comme étiré par lécartement que produisent ses deux mains sur mes fesses. Je dois être indécente mais japprécie cette situation, Valérie est en train de me peloter les fesses et me mater le trou du cul.
Puis je sens sa langue brûlante me parcourir la raie. Elle est à genoux derrière moi et lèche avec passion mon trou écartelé, marrachant des gémissements que je ne me peux contrôler. Je tente de me retenir, mais bien vite devant linsistance de ses coups de langue, je me lâche complètement et feule de plaisir.
- Tu aimes ?
- Oui
Je suis là, pantalon sur les chevilles, le sexe contre un mur froid de la chambre et la langue chaude de Valérie, retrouvée il y a moins dune heure, dans le cul et plus rien na dimportance. Je suis heureuse.
Elle se relève, je lembrasse pour me goûter au travers de sa langue. Je lui caresse les seins et passe ma main sur son ventre qui ondule sous mes caresses.
Ma main est maintenant sur son entrejambe, je caresse doucement son sexe comprimé au travers du tissu, ce sexe qui ne demande quà être libéré.
Valérie ouvre son pantalon et sort son sexe maintenant dressé à hauteur du mien, elle sempare de nos deux sexes et les branle. Cela mexcite de nouveau.
- Suces-moi si tu en as envie
En deux secondes, je me retrouve à genoux, nez à nez avec une belle verge en érection. Pas grande mais très grosse, avec un gros gland luisant de désir. Devant cette tige dressée, jouvre instinctivement la bouche et son gland glisse entre mes lèvres, je les referme et me mets à le caresser avec ma langue. Jai juste son gland en bouche, et je nen peux plus dexcitation. Jaime sentir sa main sur ma nuque qui me presse pour prendre son sexe au fond de ma gorge. Plongeant dun seul coup, comme désespéré, je lengloutis dun seul coup.
Cest trop bon, son sexe est dur, il vibre dans ma bouche, je le suce comme une folle, je monte jusquau gland, puis je redescends dun coup au fond. À chaque fois elle accompagne ma plongée dun soupir et sous ma tête ses muscles se contractent.
Ma tête tourne, je ne pense plus quà sa queue, je veux quelle jouisse de mes lèvres, ses mains se serrent sur ma tête, elle menfonce encore plus au fond, et tout à coup, elle sort de moi et me maintenant le visage au bord de sa queue, elle se branle. Jattends, bouche ouverte, la léchant pour quelle jouisse, et enfin une grande giclée épaisse méclabousse. Je saute sur son gland et je tête toute sa semence. Elle gémit de plaisir, elle tremble, cest mon plus grand bonheur.
Elle nen finit pas déjaculer, enfin, elle se calme, et je reste son pénis en bouche à la sucer doucement. Elle respire profondément. Ma verge entre mes jambes me fait mal, je suis dure. Je voudrais quelle me touche quelle me branle et mencule, là maintenant.
Jai à peine le temps de penser quelle recommence ses allées et venues de son membre dans ma bouche et je le sens durcir à nouveau entre mes lèvres.
Son sexe est dur de nouveau, elle me sourit et me redresse et nous nous embrassons goulûment, partageant ainsi sa jouissance au goût salé et légèrement acre.
A suivre
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