La Vidange

J’étais très excitée à l’idée de rencontrer Paul. Depuis plusieurs semaines, nous nous croisions presque quotidiennement sur msn et le scénario qu’il me proposait ne pouvait que me convenir ! Gérant un garage dans la région Namuroise, il me proposait de l’y rejoindre après la fermeture afin de me sauter dans différentes pièces de son « domaine » !
J’ai d’excellents souvenirs d’un ancien film X dans lequel l’héroïne se faisait gangbangée dans un atelier par une dizaine de mécano’s. Bien entendu, rien de comparable ici mais déjà rien que de m’imaginer faire ça dans ce type d’environnement, ça m’émoustillait !

Une date fut donc fixée pour la rencontre et le jour venu je pris la route vers 17h. J’arrivai à destination environ 1h30 plus tard et je me changeai dans la voiture. Paul avait l’intention de me dominer, il m’avait demandé de porter une tenue sexy car il voulait avoir en face de lui une « salope soumise » (pour reprendre ses propres termes). Ma tenue correspondait donc à ses attentes : mini jupe rouge, bas couleur chair à couture, porte jarretelles, talons hauts, et au-dessus un petit top noir. J’avais aussi enfilé mon trench-coat noir pour parcourir le chemin entre ma voiture et le garage (les soirées de fin octobre dans la région namuroise sont fraîches). Je retirai une satisfaction personnelle en sentant le souffle froid du vent caresser mes jambes et en entendant le bruit de mes talons hauts claquants sur l’asphalte du parking. La pute arrivait à son lieu de rendez-vous.

Le garage était situé sur la route principale qui traversait la petite ville. Je poussai la porte vitrée et me retrouvai dans un hall où se trouvait le comptoir d’accueil. Paul surgit d’une pièce située derrière le comptoir et le jeu débuta.

« Bonsoir Monsieur, vous êtes encore ouvert ? »
« Oui bien sûr »
« Ma voiture est ancienne et j’aimerais bien en acheter une nouvelle mais j’aurais besoin de conseils, vous pouvez m’aider ? »
« Oui, allons dans le show-room et dites moi ce que vous recherchez »

Je suivis Paul, vêtu uniquement d’une salopette dans le show-room.

Celui-ci était situé en façade, et une fois éclairé, les rares passants pouvaient voir ce qui se passait à l’intérieur.

« Celle-ci m’a l’air de correspondre à ce que je recherche, vous permettez que je m’y installe ? »
« Oui, faites donc »

Je pris place sur le siège passager de la voiture et se faisant ma jupe remonta sensiblement. Le garagiste s’introduit partiellement dans l’habitacle et posa une main sur ma cuisse. Je le regardai et faisant un sourire coquin.
« Non mais dites donc, vous avez les mains baladeuses vous alors ! »
« Il me semble que vous aussi ! »

En effet, j’avais commencé à déboutonner les boutons pression de la salopette et je découvrais petit à petit le torse de l’homme.

« Il y a moyen de mettre le siège en position couchette ? »
« Oui, je vais vous montrer comment faire »

Je ne suis pas blonde et j’aurais pu trouver tout seule mais ce stratagème força l’homme à se rapprocher de moi encore un peu plus. Je pu aussi allonger mes jambes et à présent ses caresses se faisaient plus insistantes. Ma jupe relevée, il put apercevoir le plug qu'il m'avait préalablement ordonné d'avoir entre les fesses en franchissant le seuil de son domaine.
Nous nous embrassâmes et je lui glissai à l’oreille : « En fait ce n’est pas un hasard si je suis ici, on m’a dit beaucoup de bien de votre garage et de son personnel qui est, parait-il, très compétent ! »
A nouveau nos langues se mélangèrent. « Vous avez un endroit un peu plus confortable peut-être pour continuer à faire connaissance ? »
« Oui, venez par ici »

L’homme me guida dans son bureau. La pièce n’était pas grande et sentait le tabac froid. Le mobilier était composé de quelques armoires, un bureau partiellement encombré et 2 ou 3 chaises. Je posai mon sac à main sur le bureau et en vidai une partie du contenu : menottes, laisse et plug. Après tout, j’étais ici pour me faire dominer, non ?
Je décidai de m’occuper un peu de mon partenaire et de voir ce qu’il cachait sous sa salopette.
Les boutons pression sautèrent l’un après l’autre et c’est le dernier qui me dévoila le sexe de l’homme. Il était rasé, ainsi que ses couilles. Je me mis accroupie et commençai à le caresser tout doucement, puis je posai mes lèvres sur le gland pour ensuite l’introduire progressivement dans ma bouche. La sensation devait être bonne car Paul se mit presqu’immédiatement à gémir de plaisir. Au plus je le suçais, au plus le sexe durcissait et ça ne présageait que du meilleur pour la suite. Lentement, avec des gestes savamment étudiés, je fis comprendre à Paul qu’il pouvait s’asseoir et se laisser faire. A présent sa salopette était à ses pieds. Assis dans le fauteuil du boss (son fauteuil !), il me regardait faire et, sentant son regard posé sur moi, je plongeai mes yeux dans les siens tout en continuant à m’activer sur sa bite. Je jouais mon rôle de salope soumise à la perfection mais j’aurais préféré me sentir un peu plus dominée. Comme s’il avait lu dans mes pensées, il s’empara du petit martinet que j’avais laissé trainer sur le bureau et commença à me flageller sur les épaules et les cuisses. Je sentais les lanières de cuir au contact de ma peau mais les mouvements de Paul n’étaient pas assez francs pour que je sente vraiment de la douleur.
A présent je m’affairais aussi sur ses couilles que je léchais tout en le branlant.
Lorsque j’estimai qu’il était prêt, je lui proposai de passer à l’étape suivante en lui montrant une capote.
Il me laissa faire pour la lui mettre mais malheureusement, comme cela arrive souvent, une fois la protection en place, le « soldat » était lui à nouveau au repos. Je retirai le caoutchouc pour recommencer le « travail de préparation » mais en vain.
Qu’à cela ne tienne, il ne faut jamais dramatiser dans ce genre de situation et j’avais bien l’intention de profiter du décor inhabituel qui s’offrait à moi.

« Tu me fais visiter l’atelier ? »
« OK, allons-y »

Cette fois-ci, je pris ma petite caméra avec moi, j’avais trop envie de me faire un remake du film dont je vous ai parlé plus haut.

L’atelier mécanique correspondait exactement à l’idée que je m’en faisais. Ca sentait le cambouis, la radio était allumée sur Bel RTL, il y avait des voitures poussiéreuses et désossées un peu partout, des outils trainaient sur des étagères ou étaient suspendus aux murs. Un vrai décor de film de cul comme je les aime. J’avais retrouvé tout mon enthousiasme et je plaçai la caméra sur son trépied avant de rejoindre Paul qui m’attendait la salopette sur les chevilles. A nouveau accroupie face à lui, je pris son sexe en bouche et le suçai comme j’aime le faire. Par moments très lentement et en l’engloutissant complètement, à d’autres moments de manière plus rapide, en me focalisant sur le gland. Je plaçai mes mains sur ses fesses et tirai son bassin vers moi afin de prendre sa queue au plus profond de ma bouche. J’adore pratiquer le « deep-throat » et sentir la bite heurter le fond de ma gorge.
Cependant, je jouais de malchance avec mon partenaire car, étais-ce la position debout, ou le fait de se savoir filmé, le pauvre homme n’arrivait plus à bander. Il fallait que je le rassure.

« Ecoute, tant pis si tu me la mets pas dans la chatte, mais je veux que tu jouisses dans ma bouche alors laisse toi aller ! »

Il n’en fallait pas plus pour que les choses s’accélèrent. Je sentis quelques minutes plus tard les premiers spasmes annonciateurs d'une jouissance imminente. Et effectivement je ne me trompais pas. Je continuais de sucer lorsque le premier jet jaillit, suivi de plusieurs autres. Paul m’avait dit ne pas s’être donné du plaisir depuis plusieurs jours et c’était vrai que la quantité qu’il m’offrait était assez conséquente. Lorsqu’il se fut complètement vidé, j’ouvris la bouche afin qu’il voit tout ce qu’elle contenait. Il fut satisfait du spectacle que je lui offrais. Je me dirigeai ensuite vers la caméra afin de tout avaler en gros plan mais malheureusement je laissai échapper une grande quantité du liquide au cours de mon déplacement.
Je réussi tout de même à en avaler une partie. J'adore le goût du sperme chaud.

L'excitation était retombée de quelques crans pour mon partenaire, il fumait déjà une nouvelle cigarette, mais j'avais encore envie de profiter un peu de l'occasion qui m'était offerte de faire des photos dans un décor comme celui-là. Nous retournâmes donc dans le show-room pour y faire quelques photos. Je pris la pose dans plusieurs voitures, rien de bien méchant mais notre comportement était assez inhabituel pour attirer l'attention d'un passant qui promenait son chien. Il passa et repassa devant la vitrine du garage plusieurs fois. Cela ne me dérangeait pas du tout, bien au contraire.
Les meilleures choses ayant elles aussi une fin, je pris congé de Paul en l'embrassant une dernière fois. C'est un peu déçue que je repris le chemin vers Bruxelles, mais surtout amusée à l'idée que Paul ne verrait plus jamais son lieu de travail de la même manière à partir d'aujourd'hui.

FIN.

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