Leslie Hd10

Leslie HD10 - Bernard

Ce matin, je repense à ma soirée d’hier, lorsque je me suis retrouvée avec Bernard, un ami de Jacques, que je n’avais pas vu depuis longtemps et un autre homme, un copain de Bernard.
Après avoir dinés tous les trois nous avons été boire un dernier verre chez Yves, mais Bernard est rapidement partit, nous laissant seuls avec Yves.

Très rapidement après le départ de Bernard la soirée a dérapé, sans que je m’y attende Yves m’a dit :
- Déshabilles-toi, salope !
- Quoi ! Dis-je.
- T’as bien entendue, à poil petite chienne de transexuelle !
Je me suis levée et je suis partie en le traitant de pervers, me demandant comment Bernard avait pu me faire un plan pareil.

Je suis rentrée chez moi de très mauvaise humeur, essayant de me changer les idées j’ai pris une bonne douche et en sortant de la douche j’ai enfilée un gros peignoir bien douillet, et je me suis installée dans le canapé.
Je prends le téléphone, il faut que Bernard m’explique. Un peu tendue, je compose le numéro de chez lui, Bernard décroche.
- Bernard, c’est Leslie.
- Bonsoir chérie, tu vas bien ?
- Non, je ne vais pas bien !
- Que se passe-t-il ?
- C’est quoi ce plan de merde que tu as monté avec Yves ?
- Euh, et bien il voulait avoir une relation avec une transexuelle et j’ai pensé que tu pourrais lui faire vivre son fantasme.
- C’est un rustre, c’est tout juste s’il ne pas sauter dessus pour me violer.
- Pardonnes moi, mais je le pensais plus délicat.
- Et bien ce n’est pas comme toi, dis-je, tu es si prévenant, j’ai un tel souvenir de nous.
- Bon, oublies-le et passe à autre chose, me dit Bernard
- Oui, tu as raison, mais je vais avoir du mal à m’endormir.
- Souviens-toi de nous et cela ira, me dit encore Bernard.
- Aides moi à me souvenir !
- Que veux-tu que je fasse ? Me demande Bernard.
- Bernard… tu m’as aimé ?
- Bien sûr.

Tu en doutes ?
- Ben tu sais… ça fait si longtemps.
- Leslie…pour moi c’est comme si c’était hier.
- Et alors ?
- Je suis désolé pour ce soir et je suppose que tu as très envie de faire l’amour ?
- Bernard…
- Non, ne t’inquiète pas, réponds simplement à mes questions.
- D’accord.

Je me demande où cette conversation va m’emmener, mais je me laisse aller, bercée par la douce voix de Bernard.
- Dis-moi comment tu es habillée.
- Pardon ?
- Détends-toi, chérie, et décris-moi ta tenue. Je me suis mis à l’aise. Je suis allongé sur le lit et j’allais dormir quand tu as appelée.
- Oh… Eh bien, je sors de la douche alors je n’ai qu’un peignoir sur moi.
- Intéressant. Et tu aimes t’habillée comment pour aller au travail ?
- Tenue habituelle, tailleur et chemisier blanc.
- En dessous ?
- Bas noirs avec porte-jarretelles, soutien-gorge et string blanc.
- Humm… C’est très bien, tu dois etre parfaite dans cette tenue.
- Ah oui, comment ça ?
- Tu me fais bander.

Ça alors ! J’avais bien compris que la conversation déviait un peu, bien sûr, mais je ne m’attendais pas à ce qu’on aille jusque-là. Bernard aurait-il des idées ?
- Leslie…
J’entends son souffle chaud dans le téléphone et je me sens toute chose.
- Leslie, je veux que tu ouvres ton peignoir.
- D’accord, dis-je en m’accomplissant.
- Dis-moi Leslie, ton sexe est toujours aussi beau.
- On le dit, mais tu commences à me faire des effets.
- J’aimerais tellement être là pour le tenir dans ma main.
- Oh Bernard… moi aussi, j’aimerais tenir ton sexe et le prendre en bouche.
- Leslie, imagine, j’ai mon sexe dans ma main et je me caresse en t’écoutant. Tu m’excites ma chérie. Est-ce que tu bandes maintenant ?

Je me branle et il me semble que mon sexe est plus sensible que d’habitude.
- Bernard, je me branle aussi. C’est trop bon. Mais si c’était toi.

- J’aimerai te pénétrer.
- Oh oui, dis-moi comment tu le feras.
La conversation est maintenant sans limite et ça ma plait.
- Je te déshabillerai avec empressement, à peine rentrés dans l’appart, et sans enlever ton string, juste en l’écartant, je fourrerai ma bite dans ton cul.
- Oui ! Tu me prendras en levrette aussi ?
- Oui, sur la moquette du salon. Ça te plait la levrette, Leslie ?
- Oui, j’adore. C’est… animal !
- Moi j’aime aussi. J’aime te voir à quatre pattes, comme ça, offerte. J’aime bien mater mon membre te pénétrer le cul.
- Ah oui ?
- Oui, d’ailleurs, j’ai adoré t’enculer, ma chérie ! Il faudra recommencer un jour ! Tu es tentée ?
- Ohhh que oui.
- Petite cochonne. Je savais que tu aimais te faire enculée. Je t’imagine avec une bite dans le cul. Tu sais que je te trouve très salope ?
- Je suis une salope, Bernard. J’enfonce mes doigts dans mon cul en pensant que c’est ta queue.
- Et moi, je me branle en pensant à toi et à tout ce que je pourrais te faire.
- Je me laisserai faire. Tu pourras tout faire, je ne te refuserai rien !
- C’est dangereux ce que tu me dis là ! Qui sait ce qui pourrait me passer par la tête !
- Dis-moi à quoi tu penses !
- A toi de m’exciter, Leslie. J’ai envie de jouir au son de ta voix !
- Je nous imagine tous les deux sur le balcon de l’appartement. Nous avons nos peignoirs. Tu viens derrière moi et tu le remontes.
- Humm…
Je proteste ;
Je te dis qu’on peut nous voir. Tu ne m’écoutes pas. Après avoir pétri mes fesses, tu les écartes.
- Je vais t’enculer ?
- Pas tout de suite. D’abord tu caresse ma rondelle avec ton gland. Je pousse un petit cri de surprise et je m’accroche à la rambarde.
- Oh oui.
- Tu rentres ton gland en moi, mais seulement le gland pour me faire frémir de plaisir.
- Ohhh, que oui.
- Tu rentres en moi et tu commences à me défoncer à coups de queue.

- Ohhh !
- Plus fort, plus vite.
- Humm…
- Soudain, tu ressors et sans hésiter tu la rentre à nouveau dans mon anus.
- Salope !
- Tu pousses et te voilà bien dans mon cul.
- Je vais jouir.
- Attends, tu recommences à me pistonner. Je suis là, sur ce balcon, en train de me faire défoncer le cul. Les voisins pourraient nous voir. D’ailleurs, mon peignoir tombe à mes pieds, mes seins nus reposent de tout leur poids sur la rambarde de fer. Tu les écrases avec tes mains tout en me défonçant le cul avec plus de violence.
- Oui, continue, j’y suis presque !
- Au moment où tu sens l’orgasme venir, tu me tires en arrière et tu enlèves ta queue de mon cul. Tu me fais agenouiller devant toi et, prenant ma tête avec tes mains, tu me fourres ton sexe dans la bouche.
- Oui, lèche salope !
- Je te suce, je te pompe de mon mieux…
- Lèche ma grosse queue qui sort de ton trou du cul !
- J’engloutis ton membre au plus profond que je puisse, maintenant jouis dans ma bouche mon chéri.
- Oh… Leslie ! Je jouis !
- J’avale ta jouissance en prenant mon plaisir !
- Ohhh, toi !
- Oui.
- Leslie, je t’aime…

Après cette conversation, je suis plus que troublée. Je n’ai pas jouis, mais peu importe. Bernard m’a consolée de la mauvaise soirée.

A suivre…

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