Ma Soumission (3)
- Entre.
Ce mot résonne dans ma tête et à cet instant mon corps arrête de trembler et mon appréhension s'évapore. J'essuie un coup de chaud et me lance à ouvrir la porte.
La porte donne sur un salon assez vaste, avec devant moi au fond de la pièce une table basse et un canapé. Maitresse A. est assise dans celui-ci.
Oubliant que nous ne sommes plus en public, je l'observe et remarque qu'elle s'est changé et porte maintenant une toute autre tenue.
J'aperçcois un haut serré dessinant parfaitement ses seins, qui ne sont pas très gros mais semble avoir une forme parfaite. Elle porte également un jupe assez courte. Et au bout de ses jambes croisées, des bottes en cuire à talon fin.
Mon regard se perd sur son corps, mais Maitresse A. me ramène vite à la réalité :
- Baisse les yeux. En privé tu n'as pas le droit de me regarder. Tu ne t'en souviens déjà plus ?
- Si Madame. Désolé Madame.
- Ferme la porte et met-toi debout au milieu de la pièce. Et baisse ta tête.
Je reste là planté devant elle à attendre ses directives. J'ai chaud et mon appréhension est revenue. Je sens également ma queue dressée dans mon jean. La situation m'excite.
- Déshabille-toi. Entièrement ! Je veux te voir nu et observer de plus prêt tes atouts de chienne docile.
Cet ordre ne me surpend pas mais je reste un peu bloqué. Je suis hésitant mais dois m'éxécuter sous peine de devoir faire demi-tour et ne plus revoir Maitresse A.
De plus, je suis en érection et j'ai honte de m'afficher comme ça devant elle. C'est ce qu'elle recherche et je sais qu'elle va m'humilier et me rabaisser dès qu'elle le pourra.
Je commence donc à retirer mon t-shirt que je laisse tomber à terre. Puis me baisse doucement pour retirer mes chaussures et mes chaussettes. Je me redresse et commence à déboutonner mon jean.
Je sens que mon visage devient écarlate et la gêne m'envahit. Je suis toujours en érection.
Mon jean tombe à mes chevilles et m'en débarasse. Il ne reste plus que mon caleçon. Je le descends doucement, libérant ainsi mon sexe dressé, et me retrouve nu devant Maitresse A.
J'ai honte et je dois dire que regarder le sol m'aide grandement. Car à cet instant, affronter le regard de Madame, me serait terriblement humiliant.
Je suis là au milieu de la pièce, totalement vulnérable, à découvert aux yeux d'une femme qui a maintenant tout pouvoir sur moi. J'attends la suite avec crainte.
- Très bien. je vois que la situation t'excite. Parfait. J'aurais été déçu sinon.
- Tourne sur toi même maintenant que j'observe la marchandise.
Je m'éxécute et tourne sur moi-même lentement pour qu'elle ait le temps de voir. A cet instant je ne réfléchis plus et me contente d'obéir.
Je l'entends qui se lève. Le son de ses bottes sur le carrelage indique qu'elle se dirige vers moi. Un frisson m'envahit, suivi d'un coup de chaud. Elle s'approche de moi.
Puis je vois ses bottes apparaitre dans mon champs de vision. Elle est juste devant moi. Que va-t-elle faire maintenant ?
- Lève la tête et regarde moi.
Je relève la tête doucement et m'apprête à la regarder. Le moment que je redoutais arrive. Je vais me sentir ridicule et totalement honteux.
Ses grands yeux verts m'impressionnent et je me sens totalement dominé par cette femme. Elle me fixe du regard, un sourire en coin. C'est elle la Maitresse et moi je ne suis que son chien.
Toujours en me fixant je sens qu'elle m'att le sexe et le serre dans sa main. Je suis surpris et cette sensation m'est très agréable. Je serais capable de jouir en quelques secondes si elle continuait.
- Même toute proche cette bite est vraiment petite. Tu n'as pas honte ? Répond !
- Oui Madame, j'ai honte de la taille de mon sexe. Je m'en excuse.
- Je comprends maintenant pourquoi tu veux être une chienne.
Je reste sans voix et rouge de honte pendant qu'elle me défie du regard et m'humilie ouvertement.
Mon sexe n'est certes pas très gros, ni grand mais il n'est pas non plus ridicule. Je ne peux qu'acquiesser, c'est elle qui décide. Mon statut de soumis ne me permet pas de discuter.
- Baisse la tête.
Je me sens libéré de ne plus à avoir a affronter son regard. Elle lache mon sexe et commence à tourner autour de moi. Je sens sa main passer sur mes fesses. Je m'attends à recevoir une fessée, mais il n'en est rien.
Sa caresse sur mes fesses lance un nouveau frisson dans mon corps, et renforce par la même occasion mon érection. Cette situation m'excite de plus en plus.
J'entends Maitresse A. qui retourne s'assoir sur le canapé.
- A quatre pattes chien.
Nouvel ordre cinglant. Son ton sec et autoritaire ne me laisse aucune réflexion. Je m'éxécute et me retrouve vite à 4 pattes sur le carrelage froid.
Bizarrement je n'ai plus honte ni peur. Mon rôle de chien prends enfin forme et je n'attends plus qu'à exaucer ses désirs.
- Viens à mes pieds.
Mon avancée est lente car je ne veux pas montrer mon impatience de connaitre la suite. Je dois contourner la table basse pour arriver devant ses bottes. Je me fige devant elles.
Ma 1ère intention et surtout envie et de me mettre à les lécher sans attendre pour preuve de mon dévouement. Mais ce serait une erreur sans un ordre de sa part. J'espère que cet ordre va arriver car j'ai toujours rêvé d'être dans cette situation. C'est pour moi le symbole de la soumission.
Et pour ma plus grande joie je ne dû pas attendre bien longtemps :
- Montre-moi que tu es un bon chien et nettoie moi ces bottes avec ta langue.
Ceci est une première pour moi. Je me lance et avance timidement ma tête vers sa botte droite. Mon nez entre en contact avec cette matière froide et je sors alors ma langue pour commencer ma tâche.
Je m'applique à lécher chaque recoin de la surface que Maitresse A. me permet d'atteindre. Après de longues minutes, ma salive a nettoyé tout le cuir de sa botte droite.
Cette situation m'excite davantage car chaque fois que je me dirige vers le haut de sa botte, je peux apercevoir son entre-jambe. Inutile de préciser que cette vision ne fait que renforcer mon érection et me fait espérer pouvoir à un moment lécher son sexe se cachant derrière cette culotte, dernier rempart de son intimité.
Cette vision est si délicieuse que je néglige à un moment mon travail. Maitresse A. s'en apercoit alors :
- Hé tu fais quoi là ? Ma botte gauche n'a pas le droit d'être propre ? Au boulot.
Je m'applique autant que je peux pour ne pas oublier le moindre centimètre de cuir. A force de lécher, je suis en manque de salive, et ma langue accroche de plus en plus au cuir. Je peine à finir et Maitresse A. s'en rend compte.
- Lève la tête et ouvre la bouche.
- J'ai l'impression que tu manques de salive. Je vais t'aider un peu.
Je vois alors la tête de Maitresse A. s'approcher de moi. Je me doute de se qu'elle va faire et n'attend pas longtemps pour être servi. La voilà qui me crache dans la bouche en me criant :
- Tiens petite merde. Prend ça et sert-en comme un bon chien pour nettoyer mes semelles.
Elle joint alors le geste à la parole et lève son pied droit, m'obligeant à reculer ma tête, et présente sa semelle à ma bouche. J'ai bien compris et approche ma langue de la surface pour la nettoyer. Heureusement pour moi elle n'est pas trop sale, mais sa texture rugueuse ne rend pas l'affaire facile.
Je continue mon travail en pensant à ce qu'elle venait de faire. M'être fait cracher dans la bouche m'a plu. J'espère même qu'elle le refera.
Après quelques minutes, Maitresse A. me tend son autre semelle et machinalement je fais ce qu'elle attend de moi. Puis sans trop tarder, peut être l'ennui de la situation, je sens sa semelle presser contre mon visage.
Je ne sais pas comment réagir et je n'ose pas résister. Je me laisse donc aller et bascule en arrière pour me retrouver sur le dos, ce qui fait rigoler Maitresse A.
Je la vois se redresser, me regarder de haut, sourire et me cracher dessus en m'insultant :
- Grosse merde. Une petite poussette et tu t'écroules. Tu mérites même pas de lécher mes pieds.
- A genoux, vite !
Elle se rassois pendant que je me mets à genoux.
- Enlève-moi mes bottes.
Surpris j'obéis et je suis surpris de voir qu'elle est pieds nus dans ses bottes. Je vais bientôt comprendre pourquoi :
- J'ai bien eu chaud dans ces bottes et maintenant tu vas me les rafraichir avec ta bouche.
Sans attendre elle me colle son pied gauche dans la bouche, que je dû ouvrir grande pour l'accueillir autant que possible.
Je ressens à cet instant comme un . Je dois m'habi à cette situation et m'adapter. Je m'habitue assez rapidement à son pied qui s'agite dans ma bouche et essaie tant bien que mal de le sucer et le lécher. C'est assez désagréable à vrai dire. Je ne controle pas ce qui se passe.
Puis elle sort son pied et me le plaque sur le visage. A sa demande je lèche toute la surface possible avant de m'attaquer un à un à ses doigts de pieds pour les sucer.
Je remarque alors que ses pieds sont magnifiques. Des doigts de pieds pas trop longs, fins, bien faits. Un rêve pour tout fétichiste. Et pour moi c'est du bonheur. Je prends maintenant du plaisir à m'exécuter et à procéder de même sur son 2ème pied.
Je ne sais pas combien de temps cette séance à ses pieds a duré mais j'étais aux anges et même déçu quand elle retira ses pieds de devant mon visage.
- A genoux.
- Maintenant on va passer à des choses plus rigolotes. Je vais te faire gémir petite chienne.
Après ces paroles, Maitresse A. se lève et part dans une autre pièce. Je reste planté là, mon regard sur ses bottes couchées sur le sol. Ces quelques instant me laissent le temps de réfléchir à ce qui est en train de m'arriver. Verdict : Je suis aux anges. Ma peur a disparu et j'ai hâte de voir la suite.
Je ne peux m'empêcher de sourire tout seul, satisfait de ma condition. Mais bientôt mon sourire s'estompe :
- Alors on va voir si tu es une bonne chienne docile maintenant. Met tes mains dans le dos.
Je l'entends s'approcher de moi par derrière et s'abaisser au niveau de mes mains. Puis le contact avec un métal froid me fait comprendre ce qu'il m'arrive. Elle est en train de menotter mes mains derrière mon dos.
Un nouveau coup de chaud m'envahit, car maintenant je suis totalement à sa disposition, sans pouvoir me défendre. Les choses sérieuses commencent et je ne peux plus rien contrôler. Mais étrangement, mon sexe qui avait perdu de sa vigueur pendant l'épisode de léchage de pieds, se redresse et bande à nouveau.
Comme je m'en doutais, être livré à une femme, sans défense, m'excite au plus haut point. Ce moment que j'attendais est arrivé et cela me plait.
- Maintenant tu es entièrement à ma disposition. Je vais pouvoir m'amuser avec toi comme je le veux.
- ...
- Rassure-toi, j'ai pris note de tes tabous et limites et je m'y tiendrai. Si jamais tu souhaites arrêter tout cela tu n'as qu'une chose à dire : "Je ne vous mérite pas, pitié arrêtez Maitresse"
Ce rappel m'a lancé comme un frisson dans le dos, mélangeant un sentiment de peur, car je me demandais vraiment ce qu'elle allait pouvoir me faire après de tels propos, mais aussi d'apaisement car elle me rassurait.
Puis elle se repositionne devant moi. J'ai maintenant le droit de relever la tête et me retrouve à hauteur de ses hanches. J'apercois sa main gauche qui tient quelque chose. Je devine 2 petites pinces, qui m'ont l'air assez puissantes, en métal. Je sais trop bien l'utilité de celles-ci.
Sans tarder elle s'abaisse en souriant, et sans dire un mot, me place la 1ère pince sur le téton droit. Le contact froid du métal combiné à la douleur du pincement me font gémir une 1ère fois. Maitresse A. me regarde alors droitement dans les yeux et me gifle violemment.
- Tais-toi. Je ne veux plus t'entendre te plaindre.
Je ressens immédiatement une chaleur intense sur mon téton. La douleur commence à grandir mais je n'ai pas le temps de m'y habi, que la 2ème pince est mise en place. Je lâche un 2ème gémissement plus fort cette fois. Sous le coup de la surprise je n'ai pu me retenir.
Une deuxième gifle s'abat sur moi.
- Qu'est-ce que j'ai dit ? je vois que tu n'écoutes pas.
- Si tu ne peux pas t'arrêter de parler, je vais devoir t'en empêcher.
Maitresse A. se redresse alors et commence à passer ses mains sous sa jupe. Je comprends ce qu'elle veut faire et je ne tarde pas à voir apparaitre sa culotte descendant le long de ses jambes. Je sais qu'elle va s'en servir pour me faire taire.
- Tiens, avale ça et plus un mot.
Elle m'enfonce alors sa culotte dans la bouche. J'ai du mal à l'accepter en entière, mais elle finit par y arriver. Voilà ma bouche pleine, incapable de sortir un son.
- Et si tu la recraches, je te le ferai regretter.
Mais je ne compte pas la recracher car il m'est difficle de la sortir de ma bouche sans l'aide de mes mains, et de plus ce supplice ne fait que m'exciter davantage. Je pense maintenant à son sexe découvert sous sa jupe. J'en bande encore plus fort.
Je suis rapidement sorti de mes pensées par une douleur assez vive sur mes tétons. Maitresse A. est en train de jouer avec les pinces, ce qui relance la douleur et l'intensifie. J'avais déjà joué avec des pinces à linge chez moi, mais cette douleur est incomparable, d'autant que je ne peux rien y faire et suis totalement désarmé.
- Tu vas voir tu vas t'habi à cette douleur. Et si tu n'es pas sage, je saurai la raviver.
Le ton est donné et je comprends maintenant que cette femme a tout pouvoir sur moi, mes sensations, ma douleur et mes sentiments.
Maitresse A. s'éloigne de nouveau de moi et disparait dans une autre pièce. Je reste là encore une fois, à genoux devant le canapé non loin de ses bottes gisant parterre. Cela me laisse le temps de me focaliser sur les pinces et d'éprouver cette douleur qui me mais m'excite aussi.
Je prends cette douleur comme un plaisir prodigué par ma Maitresse et je dois dire que je commence à aimer cela. Qui l'eut cru. Chaque instant me rappelle que je suis à sa merci.
- On va voir si ma petite chienne est douée.
Sur ces paroles, je tourne la tête vers elle. Erreur. Maitresse A. s'approche de moi et tourne les pinces sur mes tétons. Je suis en feu et cela me tord de douleur.
- Qui t'as autorisé à me regarder ?
Il faut que je fasse attention à ce que je fais. Sur ce coup j'ai cru perdre mes tétons.
- On va voir si tu fais une aussi bonne suceuse sur une bite que sur mes doigts de pieds.
Joignant le geste à la parole, je vis un gode tomber devant mes yeux, attaché à une ceinture. Elle était en train d'enfiler un gode ceinture. L'humiliation totale. J'allais devoir la sucer et surement me faire prendre par la suite.
Elle m'enleve soudainement le culotte que j'ai en bouche. Elle la ressort trempée et de la bave coule le long de ma machoire.
- Relève la tête et ouvre ta bouche. Viens me montrer comment tu t'y prends.
Le god n'est pas si gros que ça, heureusement. Il rentre pas trop mal dans ma bouche. Le goût du plastique est assez écoeurant mais je n'ai pas le choix. Je commence donc à faire des va-et-vient sur cette bite factice attachée à la taille de Maitresse A.
- Montre moi que tu aimes ça, fais ta salope et regarde moi.
Je deviens d'un coup rouge de honte. Je n'ose pas affronter son regard et encore moins en jouant la salope qui suce une bite. Mais je dois me prendre au jeux. Je sors le chibre de ma bouche et lève la tête vers elle. Puis instinctivement je sors ma langue et commence à lécher le god comme le ferait une actrice de film X.
Je me prends au jeu et continue. Je lèche, suce,... j'aimerais disposer de mes mains pour faciliter la chose mais elles sont toujours attachées dans mon dos. A cet instant d'ailleurs je ne pense plus aux pinces. Elle ne me font plus mal. Je suis totalment dans mon role de soumis docile. Je m'éxécute.
Je m'abandonne totalement toujours en regardant de temps en temps Maitresse A. qui sourit en me voyant. Puis, elle commence à mettre ses mains sur ma tête et imprimer des mouvements de va-et-vient plus rapide et plus fort. Je n'ai pas d'autre choix que de suivre le mouvement, et cela n'est pas agréable,le god vient de plus en plus profond dans ma gorge.
- On dirait que tu as du mal à suivre le rythme ? Ta bouche de petite pute n'est pas assez profonde ?
Cela dure et je commence à saliver de partout. Maitresse A. s'en apercoit et retire le god de ma bouche et me tire par les cheveux pour lever mon visage. Sans rien dire elle me crache dessus et remet violemment le god dans ma bouche.
Je suis dépassé et subit maintenant ses assauts avec impuissance. J'espère juste ne pas vomir lorsqu'elle enfonce trop l'engin dans ma gorge. Cela semble durer de longues minutes, puis elle s'arrête. Je suis épuisé.
Elle rigole et me remet immédiatement sa culotte dans la bouche.
- Alors ça fait quoi d'être une bonne salope. Maintenant qu'il est bien mouillé, on va pouvoir continuer.
J'ai su tout de suite à quoi m'attendre.
- on va voir si ton cul est aussi étroit que ta bite. J'espère pour toi que non.
- Lève-toi et allonge-toi sur le ventre sur la table basse, ton cul au bord.
A nouveau mon coeur s'emballe et j'ai un coup de chaud. Je me suis déjà fait enculer par un homme, une fois, mais là c'est différent, je ne contrôle rien et le sexe est plus gros. J'ai peur qu'elle me déchire.
Je m'approche de la table et essaie tant bien que mal de m'allonger dessus, mais cela est rendu difficile par mes mains liées dans mon dos. Je galère un peu et touche au but quand Maitresse A. décide de m'aider et me pousse un peu. Je finis allongé comme elle le désire, mais plus vite que je ne l'aurais cru. Heureusement que la table est en bois massif et donc solide.
Alors que je touche la table à plat ventre, voilà que je ressens une vive douleur sur mon torse. Les pinces que j'avais oubliées se rappellent à moi et me font horriblement souffrir. Mon cri est étouffé par la culotte coincée dans ma bouche et je ne peux partager ma douleur avec Maitresse A.
Mais très vite ma pensée revient à ce god qu'elle dirige vers mon anus, après s'être agenouillée pour être à bonne hauteur, je la sens l'approcher et bientôt toucher ma rondelle, en espèrant qu'elle n'ira pas trop violemment pour le faire entrer.
- Allé ma petite chienne, je vais te défoncer. Tu vas voir que tu vas apprécier.
Une pression plus forte se fait alors sentir sur mon anus. Elle y va doucement et le god a du mal à s'enfoncer. Elle y va par à-coup en avancant chaque fois un peu plus. Au début je n'ai pas mal, mais au fur et à mesure de la progression la douleur augmente. Mon trou n'est pas assez large et de plus je ne suis pas lubrifié.
Ces assauts s'accélèrent, me faisant de plus en plus mal. Mes seins frottent également sur la table et mes tétons me font également souffrir. A cet instant j'ai vraiment mal et pourtant je sens mon sexe dur plaqué contre la table qui ne ramollit pas. Ces sévices m'excitent au plus haut point. Je souffre pour ma Maitresse et ça me procure du plaisir.
Puis d'un coup, je sens le chibre de plastique entrer au plus profond en moi. Cet éclair de douleur s'accompagne aussi d'un soulagement car le plus dur est fait, il est rentré. Maintenant je sens les va-et-vient s'enchainer dans mes entrailles. La douleur est encore là mais elle se calme. Je ne ressens pas de plaisirs à être enculé ainsi.
- Alors petite trainée, tu aimes ça te faire enculer ?
Je ne peux que geindre avec sa culotte dans la bouche.
- Tu as l'air d'aimer ça. Continuons alors.
Et elle me lima le cul pendant plusieurs minutes. Je n'ai pas réussi à éprouver du plaisirs à cela mais plutôt de la satisfaction à subir et supporter ce qu'elle me faisait. J'ai pris goût à la douleur et je n'ai pas peur qu'elle recommence, au contraire. Dans cette état d'humiliation, je me suis senti important à ses yeux.
Puis d'un coup elle se retire. Je ressens cela comme un vide et un calme plat. Plus un mot ni un bruit. Je sens la douleur s'estomper peu à peu. Je me sens mieux. C'est le moment qu'elle choisit pour me saisir par les cheveux et me tirer la tête en arrière.
- Relève-toi et met-toi à genoux devant moi, la tête bien droite.
Je ne peux qu'accompagner son mouvement qui me donne l'impression qu'on m'arrache les cheveux. Je sens aussi un trou béant dans mon cul. La sensation est bizarre.
- Tu as sali mon god, tu vas le nettoyer avant qu'on continue.
Effectivement, le god était souillé d'un peu de merde, et j'allais devoir le lécher pour le laver.
Elle m'enlève une nouvelle fois la culotte de la bouche et enfonce directement le god dans ma bouche. Je n'ai d'autres choix que de sucer et lécher pour nettoyer au plus vite. Un gout bizarre reste dans ma bouche mais pas trop écoeurant.
Pas le temps de réfléchir, voilà qu'elle me remet sa culotte dans la bouche et m'insulte :
- Déguelasse, t'aime ça la merde en plus. A chaque fois je te ferai nettoyer tes saloperies. Petite merde.
- Tu bandes encore. T'aime vraiment ça alors.
Effectivement, j'ai encore le sexe dressé. A cela s'accompagne une forte envie de me soulager, mais bien sûr je ne peux pas.
- Va t'agenouiller au milieu du salon.
L'ordre me surprend mais je m'éxécute. Ne pouvant pas y aller à 4 pattes faute de bras, et n'osant pas me lever sous peine de représailles, j'y vais donc sur les genoux. je ne suis pas à une petite douleur près.
Une fois en place Maitresse A. vient derrière moi et me défait les menottes.
- Maintenant tu vas te branler devant moi en me regardant. Je veux que tu jouisses parterre. C'est compris ?
Je hoche de la tête et je la vois aller s'assoir sur le canapé. Me voici de retour dans une situation humiliante, où moi seul au milieu de la pièce je dois me branler sous son regard. J'ai honte mais en ai tellement envie.
- Qu'est-ce que t'attends ?
Je commence donc à me branler. Je sens mon sexe en ébullition, prêt à exploser. Je sais que dans quelques secondes je vais jouir. J'essaie de me retenir pour pas venir trop vite car j'ai peur de sa réaction.
- Joue avec les pinces avec ton autre main.
Cet ordre minquiète. J'avais réussi à oublier les pinces mais là elle vont se rappeler à moi.
Je saisis un pince et la tourne légèrement. Comme prévu je ressens une grosse douleur. Inconsciemment j'accélère mon mouvement sur mon sexe. J'en tire un plaisirs énorme. Je bouge une 2ème fois la pince et sans pourvoir me retenir je décharge une grande quantité de sperme à terre. Ma jouissance est terrible. J'ai rarement eu un tel orgasme.
Je reprends mes esprits doucement après cette montée de plaisirs. Je sais que maintenant je dois affronter ma Maitresse A. avec une excitation moindre.
- Et bin salaud tu as l'air d'avoir apprécié ce que je t'ai fait. Mais tu as sali mon carrelage, alors tu va me faire un plaisirs de tout nettoyer.
Sur ces mots elle se lève et se dirige vers moi. Elle repasse dans mon dos et me passe à nouveau les menottes. Elle n'en a pas encore fini avec moi.
Puis elle revient devant moi et s'abaisse à mon niveau. D'un sourire qui en dit long sur le plaisir qu'elle prend à me voir comme ça, elle retire la culotte de ma bouche.
- Je vais te retirer les pinces maintenant.
J'appréhende car je sais que cela fait terriblement mal. Et effectivement la douleur est très intense et s'estompe très lentement. A la 2ème pince, je laisse sortir un son de ma bouche, qui me vaut directement une gifle.
Après quelques instants, je me sens mieux et mon corps ne me fait plus mal. Enfin presque.
- Maintenant tu vas lécher ce que tu as fait et tout avaler jusqu'à la dernière goutte, compris ?
- Oui Madame.
Elle me saisit par les cheveux et me plaque la tête dans mon sperme. Je n'ai pas le choix je sors ma langue et lèche. Le froid du carrelage sur ma langue masque d'abord le goût de mon sperme. Mais très vite un goût désagréable apparait et je me force à avaler. J'ai l'impression que le liquide visqueux reste coincé dans ma gorge et ne passe pas.
Ce n'est pas agréable et à certains moment Maitresse A. pose ses pieds sur ma tête pour me l'écraser par terre. Mon visage se retrouve souillé de mon propre sperme. Puis avant que j'ai fini mon nettoyage, elle essuie le restant avec son pied, et me le met devant mon visage.
- Lèche mon pied pour finir le travail.
Me voilà reparti à lécher son pied avec un plaisir que j'essaie de cacher, mais mon sexe me trahit. Une érection apparait.
- Putain tu aimes vraiment ça. T'es une vrai salope. Vraiment une bonne salope soumise. Ton dressage va être plaisant.
Elle retire son pied de mon visage et reste à me regarder sans rien dire. Je me demande maintenant ce qui m'attend, d'autant qu'elle porte toujours ce gode attaché à sa taille.
- Tu as été un bon chien jusque là et pour te récompenser tu as le droit de m'appeler Maitresse maintenant.
- Merci Maitresse.
- Tu es à moi et maintenant tu m'obéiras. Que ce soit ici ou ailleurs, par téléphone ou non.
- Oui Maitresse.
- Maintenant met ton visage à terre et lève ton cul. J'ai encore envie de m'amuser avec toi.
Me voilà dans une position plus qu'inconfortable, les mains attachées dans le dos, les fesses relevées et la tête au sol. Je sens Maitresse A. s'agenouiller derrière moi et présenter le god à mon anus.
D'un coup sec elle le rentre et commence à me pyloner violemment tout en claquant mes fesses fortement. Je subis sans rien dire. Mon cul étant déjà ouvert, la douleur est minime et je pourrais même croire que je prend du plaisirs. Mon sexe est à nouveau bandé.
Une dernière vague de claque s'abat sur mes fesses et après un dernier coup de god, Maitresse A. se retire et me laisse m'écrouler par terre.
Comme la première fois, je suis exténué et j'ai du mal à reprendre mon souffle. Je n'en peux plus mais suis heureux. Je sens qu'elle s'approche de mes mains et me délivre des menottes.
- Relève-toi. Debout.
- oui Maitresse.
- Rhabille-toi et dégage.
- Oui Maitresse.
Je me rhabille rapidement car Maitresse A. semble pressée de me voir partir. Je ne veux pas l'offenser et me dépêche. Une fois habillé, je me dirige vers la porte.
- Je te recontacterai et j'espère que tu me répondras
- Oui Maitresse. Merci Maitresse.
Je sors de l'appartement et regagne la rue pour rentrer chez moi. Je me sens léger et dans un état second. Je suis heureux et satisfait et en même temps me sens coupable d'avoir fait quelque chose de mal. Je me sens un peu souillé.
Je dois me dépêcher de rentrer pour prendre une douche et effacer les traces de mon aventure, pour ne pas me faire griller par mon amie.
Je vais prendre le temps de réfléchir à tout ça mais je sais déjà que j'attends avec impatience que ma Maitresse me recontacte.
A suivre...
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