Leslie Hd11

Leslie HD11 – Bernard, suite

Une fois le téléphone raccroché, je ne sais plus que faire. Je sens encore des vagues de désir dans mon bas-ventre. J’aimerais bien les assouvir, mais comment ? Je décide de visionner une vidéo porno et de me faire du bien.

Je mets la première qui me tombe sous la main. On y voit une fille, blonde, pratiquer une fellation à un black. Amusant, elle est agenouillée comme je m’imaginais un peu plus tôt. Je me mets à l’aise, j’enlève mon peignoir, m’allonge dans le canapé et j’écarte les jambes, prends un gode et c’est parti !

La fille s’applique à lécher le gland. Je suis impressionnée par la taille de ce sexe qui me fait presque envie.
Pourrais-je l’accepter entièrement dans ma bouche et dans mon cul. La fille s’applique à gober le bout du sexe. Je suis attentive à ses lèvres, elle a ce qu’on appelle vulgairement une bouche à pipe.
L’actrice a maintenant laissé faire le black. Il a saisi sa tête à deux mains, et peu à peu, il s’enfonce un peu plus loin dans sa gorge, ne se retirant que pour la laisser respirer. Bientôt, il arrive jusqu’à ce que son sexe entier soit entré. Je suis troublée, c’est ce qu’on appelle une gorge profonde, les mouvements de va-et-vient prennent de l’ampleur, la bite entre et sort de cette bouche à vitesse rapide, on peine à croire qu’elle ingurgite tous ces centimètres.
L’homme s’est fait plus violent aussi, la fille a quelques haut-le-cœur parfois mais lui continue. Moi, je me doigte le cul à la même vitesse, en imaginant un tel engin dans ma bouche, puis je suce mes doigts, je me trouve un peu salope.
Le gode remplace mes doigts et je soupire, je me branle de l’autre main.

De temps à autre, le mec s’immobilise en maintenant sa queue au plus profond de la bouche de la fille, et reste ainsi quelques secondes.
Je ne ralentis pas le rythme du gode dans mon cul et ma main sur mon sexe, je sens la jouissance venir.

Je jouis au moment précis où, à l’écran, le visage de la blonde est maculé d’une quantité de sperme impressionnante.

J’ai jouis, mais je me sens insatisfaite, un manque en moi se fait sentir, si seulement Laure était là où Stéphanie, enfin quelqu’un pour me donner encore plus de plaisir.
Je regarde la fin de la vidéo, le black à enculer la fille qui se tordait de douleur la bouche grande ouverte en gueulant sa douleur, et maintenant je me sens seule

Je m’habille et je pars faire un tour, il est onze heures du soir.

En rentrant de ma ballade vers 1h 00 du matin, avant de rentrer dans mon immeuble j’ai sentis une présence derrière moi et quand j’ouvre la porte de mon immeuble pour entrer dans le hall une main se pose fermement sur mon épaule.
Je pousse un petit cri, tandis que la personne derrière moi tente de me rassurer par un :
- Chut !
Une voix chuchotant mais ferme m’intime l’ordre de ne pas me retourner et d’écouter calmement. J’obtempère, cette présence inattendue m’a fait sursauter, mais la présence de l’appartement du concierge à quelques mètres plus loin me rassure. Dans le pire des cas, je peux me mettre à hurler et me précipiter à sa porte et monter quatre à quatre les marches qui mènent à mon appartement.
Je décide donc d’écouter ce que cet individu a à me dire, pas tout à fait tranquille, il commence :
- Bonsoir, ma belle, ça fait un moment que j’attends ce moment.
La voix, celle d’un homme, chuchote toujours, ce qui m’empêche de pouvoir distinguer clairement si elle appartient à quelqu’un de ma connaissance.
- Sache que je ne te veux aucun mal, mais que je bande pour toi à chaque fois que je te vois, alors ce soir l’occasion est trop belle.
C’est quelqu’un du quartier et il me connait pour m’avoir remarquée et fantasmer sur moi
- Je suis bien conscient que la situation est un peu effrayante ou du moins suspecte.
Un homme qui va me violer, là debout dans le hall de mon immeuble, il ne manquait plus que cela pour finir la soirée.

- Ne te retourne pas, ne tente rien pour me voir, c’est parait-il plus excitant, ça fait partie du jeu.
- Quel jeu ? Dis-je.
- Celui de te faire baiser par un inconnu.
Voilà, je suis fixée, il va me violer.
J’ai bien envie de me retourner pour lui en coller une, mais je me retiens le laissant continuer, non sans répliquer.
- Et qu’est-ce qui vous fait croire que je vais me laisser faire ?
- Parce que tu es une petite salope et que tu sens le cul, tu dois être trop bonne.

Ce mec me connaît et m’as observée, certainement quelqu’un du quartier qui as remarqué que je recevais des hommes et des femmes différents chaque fois et qui sait que Laure est absente, et s’il savait aussi que je suis transexuelle.
- Tu sais, Leslie, je sais tout de toi, et je sais que tu ne vas pas crier de peur qu’on découvre qui tu es vraiment.
Il connait mon prénom et mon état, je commence à flipper un peu.
- T’inquiètes pas, tu ne seras pas déçue, le mieux est que tu sois consentante.
Je ne sais pas que répondre et que faire, me laisser faire ou résister et ameuter l’immeuble, je pense ne pas avoir grand choix.
Et puis, je n’ai pas grand-chose à perdre, je voulais un sexe et du plaisir, voilà l’occasion, mais je dois me refuser un peu.

- Tu ne réponds rien, dois-je y voir un consentement ?
Je suis immobile, comme figée ne pouvant bouger.
Bon je vais vérifier si tu es d’accord.
L’homme se colle dans mon dos, et je ne dis rien.
Collé dans mon dos, appuyé contre mes fesses, l’homme a commencé à promener ses mains sur moi, l’une d’elles glisse dans mon chemisier, enlève un bouton et s’aventure vers l’un de mes seins qu’elle dégage du soutien-gorge.
L’autre main a entrepris de remonter ma jupe jusqu’à ma taille. Elle se glisse sous mon string et vient caresser mon sexe. Le contact de ces doigts d’homme sur mon sexe me fait frémir, il sait que je suis une transexuelle et il n’a pas réagi en trouvant un sexe d’homme dans mon string, d’ailleurs il l’empoigne et me branle.

- Je savais que tu te laisserais faire.
La main s’aventure plus loin, par derrière, elle fait son chemin dans ma raie jusqu’à ce qu’un doigt vienne pénétrer mon œillet, mais pas trop profondément, juste le bout pour tester ma réticence.
- Je te trouve bien ouverte et cela ne me surprend pas, tu as du te donner du plaisir avant de sortir.
Il finit de relever ma jupe sur mes hanches, puis baisse entièrement mon string et m’oblige à l’enlever.
Docilement je me laisse faire, y compris lorsque mon string, roulé en boule, est introduit de force dans ma bouche en guise de bâillon.
L’inconnu prend ensuite mes mains et les met à plat sur le mur de la cage d’escalier
Puis il dégrafe alors entièrement mon chemisier et me laisse poitrine nue contre le mur. Sa main s’immisce par derrière entre mes fesses. Je bande comme une salope, surtout lorsque ses doigts commencent à triturer mon anus pour dilater l’entrée de mon cul. Un doigt s’immisce, puis un deuxième, et ils commencent leur va-et-vient. Je laisse échapper un petit soupir.
- Humm, salope, je savais que tu aimerais, mais je ne pensais pas que tu prendrais ton pied à ce point.

En effet, je me tortille du cul pour que ses doigts aillent au plus profond de mon cul, qu’ils me remplissent. Prise d’une frénésie, je ne cache plus rien de mon plaisir. Si quelqu’un entrait, à ce moment-là, il verrait une locataire complètement débraillée, les seins sortis de son chemisier, la jupe remontée et dévoilant tout son cul et son sexe bandé, en train de se faire doigter le cul par un mec.
La situation montre un acte effectué sans aucune pudeur dans la précipitation de l’ivresse des sens.
L’homme effectue maintenant un va-et-vient plus brutal, ne ménageant plus mon cul. Finalement il me retire ses doigts et triture encore mes seins, il tord et pince les pointes sans ménagement, je râle de plaisir
- Je vais te prendre le cul, me dit l’inconnu.
Je l’entends bouger derrière moi, il a défait sa braguette.
Je sens un sexe chaud contre mes fesses, une verge totalement dure qui se colle contre ma croupe.
- Tu sens ma bite, petite pute ?
- Humm…
J’acquiesce tant bien que mal, mais avec le string dans la bouche je peux en dire d’avantage.
- Ça te fait envie ?
- Humm !
- T’inquiète pas, je vais bien t’enculer !

Avant que j’aie eu le temps de réagir, il m’a à nouveau pincé un téton et une claque s’abat sur ma fesse droite.
La fessée, bien appliquée a le don de m’exciter, alors j’ai tendu les fesses vers cet homme, cambrant les reins et m’offrant à lui.
Les claques pleuvent sur mon cul me faisant glousser de plaisir et tendre mon cul encore plus, je suis toute cambrée vers lui, offerte et ouverte comme une vraie salope.
Il doit voir mon petit trou frémir de plaisir et s’entrouvrir n’attendant que son membre.

- Maintenant ton cul va s’ouvrir sur ma grosse queue et tu vas gueuler ! Dis le mec.
Il dirige sa bite sans aucune délicatesse entre mes cuisses, et je sens brutalement un sexe dur et long pénétrer mon anus
- Ohhh !
Il est épais ce membre et il va-et-vient dans mon cul sans se soucier aucunement de me ménager. Je suis tellement dilatée qu’elle glisse toute seule, s’enfonçant de toute sa longueur avant de ressortir presque entièrement. De ses deux mains libres, l’homme est retourné à mes tétons qu’il triture jusqu’à me faire mal.
- Salope ! On m’a pas menti, t’es vraiment une garce !

Aggravant mon cas, je ne peux m’empêcher de ponc ses coups de bite de petits :
- Humm !
Qui trahissent tout le plaisir que j’ai à me faire pistonner de la sorte. Finalement, au moment où je sens l’orgasme approcher, l’homme se retire soudain et plaque sa queue contre mes fesses. J’entends un petit râle dans mon dos, avant de sentir un liquide chaud se répandre sur mon cul. Il vient de jouir sur mes fesses me laissant quelque peu frustrée.
- Ahhh ! C’était bon. Ce n’est pas fini pour autant, garde cette position, mais écarte tes fesses avec tes mains.

Sans discuter, je m’exécute. Je sens aussitôt le sperme couler dans ma raie jusqu’à mon petit trou. Quelques gouttes tombent au sol.
J’attends ainsi, indécente, m’écartant le cul de mes deux mains, il va certainement me reprendre et me cassé le cul de sa grosse bite bien raide, je frémis d’impatience.
- T’en veux encore ? Me demande-t-il.
Et je m’entends répondre :
- Ohhh oui, casse moi le cul avec ta grosse bite de salaud.

La suite, vous vous en doutez, il m’a littéralement cassé le cul, avant de jouir en moi.
Et sans rien ajouter, il s’est retiré, rajusté rapidement, a ouvert la porte. Avant que je ne puisse me retourner, il avait disparu dans la rue me laissant le cul ouvert souiller de sa jouissance et complètement débrailler, les seins nus.
Évidemment, il n’était pas question que je le poursuive dans la rue et dans cette tenue. Un hagarde, je fous en boule mon string trempé dans ma poche et je mon chez moi dans cette tenue indécente.
Une fois la porte de mon appartement fermée, je laisse échapper un soupir de soulagement, c’était totalement fou, j’ai le cul cassé, défoncé.
Machinalement, je me déshabille pour aller prendre ma douche. Du liquide s’échappe encore de mon cul et mes fesses sont luisantes de sperme.
Sous la douche je me dis qu’heureusement, personne n’est rentré à ce moment-là, il aurait vu une salope se faire défoncer le cul et en prendre du plaisir, ma réputation aurait été scellée à jamais.
Puis je sors de la douche, me sèche apaisée, je me glisse dans mon lit avec le feu au cul.

A suivre…

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