30 Octobre 1991 - Madeleine La Suite
Robert se tournant vers Madeleine : « Dans la chambre vous avez fait lamour, et tu y as trouvé du plaisir,
»
Madeleine : « Euh,
oui,
un plaisir physique,
oui,
jai aimé,
il ma fait jouir,
ça était très agréable,
et tu sais pourquoi,
»
Robert : « Vous avez donc passé la nuit ensemble,
»
Moi, mentant effrontément, car si je lui avais dit la vérité : « Non,
Madeleine sest levée,
je ne peux pas rester,
je dois rentrer à la maison,
»
Robert : « Mais je nétais pas là,
»
Madeleine : « Raison de plus,
ce nétait pas correct de profiter de ton absence,
»
Robert : « Et vous vous êtes revu,
»
Moi après avoir bu un coup : « Comme je disais, nous nous sommes revus le 22 octobre je devais passer au bureau pour réviser des documents, alors que je pensais avoir, un accueil amical pour le moins, mais Madeleine a été la collègue que javais toujours connu, polie mais distante,
un accueil froid, certes que pouvions nous faire au bureau,
Ça était boulot, boulot,
Jai alors, mentalement, classé notre petite aventure au rayon des bons souvenirs,
»
Madeleine : « Oh et puis zut,
Jean arrêtes,
tu racontes des salades,
Robert voulait que je prennes un amant,
il voulait me voir prise,
baiser par un autre homme,
mais pour que jaccepte, et on était daccord, que javais le choix du partenaire,
Jai choisi Jean, car je le connaissais depuis longtemps, cest un homme correct et surtout très discret, je lavais essayé lors de la dernière réunion, mais les circonstances sy prêtaient. Disons cétait une occasion classique, un homme danse avec une femme, elle se laisse séduire, il se retrouve au lit, ils couchent ensembles et font lamour, non ils baisent. Je voulais connaître ses réactions dans un environnement non classique, différent. Par exemple dans mon bureau.
Robert tu veux tout savoir,
Effectivement, nous avions un paquet de document à voir. En fait après que Chantal ait déposé les cafés jai fait le tour du bureau et Jean ma pris dans ses bras, nous nous sommes longuement embrassés et il a défait les boutons de ma veste de tailleur, aussitôt il soccupa de mes seins comme jaime,
»
Robert : « Tu navais rien sous ta veste de tailleur,
»
Madeleine : « Bien sur que non,
en tailleur je suis la femme respectable,
nue en dessous, mon amant sait que je me suis préparée pour lui,
que déjà je moffre à lui,
donc jétais nue sous mon tailleur,
dites dont, je suis à moitié nue et vous il ne vous manque plus que la cravate pour être au spectacle,
alors si vous voulez la suite du récit, il faudrait vous mettre dans une tenue plus sympathique
((et allant vers Robert et lui fit enlever sa chemise, voyant la chose je fis de même, puis se baissant elle lembrassa sur la bouche en lui disant)) :
« Amour, enlève ton pantalon pendant que je moccupe de Jean »
((elle vint vers moi, alors que jenlevais ma chemise elle membrassa et Robert étant dans limpossibilité de me voir je glissais une main entre ses cuisses, mais narrivais pas à sa chatte, puis sinstallant sur le bras dun fauteuil, elle reprit son récit))
Reprenant sa place sur le bras dun fauteuil : « après ces baisers sur mes seins,
il ma dit de relever ma jupe,
ce que je fis,
et il a commencé à me caresser la chatte,
tu veux que je continue,
»
Robert : « Oui,
continues,
»
Pendant le récit jobservais Madeleine, qui seulement vêtue de sa mini jupe de ses bas et de ses escarpins, paraissait revivre ces moments et, discrètement, je me suis tourné pour observer Robert qui buvait ce quelle disait, jai même pensé que ça devait le faire bander.
Madeleine reprit : « Il ma fait écarter les cuisses et sa main cest posé sur mon minou et la caressé, puis, jai reculé jusquau bureau où je me suis assise et me renversant il sinsinua entre mes cuisses et est venu membrasser la chatte, me sucer les lèvres pour enfin me pénétrer avec sa langue et ses doigts et, jétais tellement chaude quil ne lui fallut pas beaucoup de temps pour me faire jouir brutalement,
OH,
cétait bon,
»
Robert semblait avoir les yeux qui lui sortaient de la tête. Madeleine, elle, était assise sur un accoudoir de fauteuil, la main gauche se caressant doucement son sein droit et lautre main au niveau de son minou, quelle semblait caresser. Elle semblait être ailleurs, quand elle sembla revenir dans la pièce elle dit : « Je suis nue et vous êtes encore habillés,
(et avec un sourire en coin) je continue quand vous serez déshabillé,
quand vous serez nus,
» elle défit la ceinture de sa jupette et lenvoya au loin dun coup de pied et sapprochant de son mari, elle défit la ceinture de son pantalon, et lui même lenleva ainsi que son caleçon. Quand il fut nu, elle posa ses lèvres sur les siennes et une main descendit vers son entrejambe pour lui caresser le sexe et elle vint vers moi, même motif, même punition, un léger baiser et une caresse « appuyée » sur ma bite qui se dressait fièrement et ne demandait quà être utilisée, mais, ce ne semblait pas le moment
Robert : « Et alors... comme ça,
vous avez fait lamour sur ton bureau,
hein,
continues,
»
Madeleine : « Non,
enfin oui,
mais pas de suite,
il avait un sexe bien dressé,
jai voulu le gouter,
je me suis accroupie et lai pris dans ma bouche,
il avait la queue qui vibrait,
, je lai un peu sucé, mais il ma arrêté rapidement et ma dit quil me voulait,
Je me suis redressée et jai pris appui sur le bureau,
dans cette position il ma prise,
cramponné à mes hanches il ma baisé ainsi,
il ma baisé fort,
jétais enfin à lui,
»
Robert : « Et tu as aimé,
une véritable chienne,
»
Madeleine : « Oui,
jai aimé,
jétais sa femelle,
et il ma fait jouir,
et puis, dis, qui a voulu me voir prise par un autre homme,
ainsi jai pris un amant,
hein,
tant quà avoir un amant autant quil me donne du plaisir,
jen ai trouvé un, que japprécie,
je pouvais continuer à en profiter, sans rien dire,
»
Robert : « Et après,
continues,
»
Madeleine : « Ben, on a repris notre travail,
et maintenant,
on nest pas là pour parler boulot,
je sens que je vais devoir moccuper de vous mes chéris,
je commence par toi mon chéri,
»
Elle se dirigea vers son mari, assis dans son fauteuil, et posa ses lèvres sur les siennes et lui caressa la tige, enfin le branla gentiment,
puis elle vint vers moi, membrassa et me caressa la bite en disant : « Cest avec ça que tu vas me prendre,
me donner du plaisir,
mais avant je veux te gouter,
» et de saccroupir pour après deux ou trois coups de langue, me prendre en bouche et commencer à me pomper avec douceur.
Madeleine qui subissait mes assauts avec des soupirs de plaisirs lui répondit : « Oui,
si tu veux,
je suis une chienne,
jaime quon me monte dessus,
regardes, cest ce que tu voulais,
voir ta femme se faire baiser,
ça texcite,
et il va me faire jouir,
cest bon,
»
Robert : « Tes une véritable salope,
»
Madeleine : « Oui, si tu veux,
viens,
approches toi,
ta salope veux te gouter,
te sucer,
tu aimes que je te suce,
» Robert obéit et faisant glisser son fauteuil, ainsi, il était à hauteur de Madeleine qui le prit en bouche et commença à la pomper. Le lâchant de temps en temps pour mencourager : « Continues,
oui,
baises moi fort,
je sens que ça vient,
ne tarrêtes,
OOOOOHHHH,
. OUIIIIIIIIII,
» indéniablement elle se mit à jouir et eut un puissant spasme qui la fit se contracter brutalement, jétais cramponné à ses hanches et je pus me vider dans son fourreau accueillant avant den être éjecté par sa puissance contraction et dans le même temps Robert se cambra et poussa un cri, soit de douleur, elle aurait serré les dents trop fort autour de sa trique, soit de plaisir davoir joui dans sa bouche. Madeleine resta quelques instants à retrouver son souffle pour enfin se redresser et rejoindre son mari en se mettant à cheval sur ses genoux et en lenlaçant.
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