Marie - Episode 2 - Deuxième Entretien D'Embauche

**** Le week-end, j'ai parlé de mon entretien avec mon mari en lui disant que j'étais embauchée à 95%, que j'étais contente, mais que j'étais gênée en présence de mon patron, car vous me sembliez un peu pervers, que vous n'arrêtiez pas de regarder ma poitrine, bref je me demandais si je devais accepter le poste...

**** H… mon mari me félicite et me dit que je n'ai pas à m'en faire, que tous les hommes peuvent être amené à jeter un oeil sur la poitrine d'une femme, surtout si elle est grosse et que si je suis mal à l'aise c'est que je suis complexée par mes gros seins lourds et que je devrais mieux m'assumer...

**** Je décide de ne rien dire de plus, d'accepter le poste (il ne comprendrait pas que je refuse sans lui expliquer le vrai pourquoi et comme je n'en ai pas le courage ... et puis nous avons besoin d'argent). Je décide de le laisser dans l'ignorance de son cocufiage par mon futur patron, qui m'a obligée plus ou moins à lui exhiber mes seins, à les lui offrir à peloter et surtout à prendre sa grosse bite dans la bouche pour éjaculer sur mes seins en m'insultant !

**** Lundi matin, je me lève seule, mon mari est déjà parti tôt au travail, je reste en peignoir essayant de réfléchir à ce que je vais mettre pour mon entretien d'embauche. Je dois paraître féminine et faire bonne figure ...
Je prends une douche puis sors nue devant le miroir ... Je m'apprête à mettre une culotte classique, pas vraiment belle, de toute façon cela ne se voit pas ! Puis une idée vient à moi, si je mettais un string je me sentirais plus féminine, plus avenante. « C'est décidé", je mets un string blanc en microfibre qui me rentre complètement dans la raie, de toute façon cela ne se voit pas ! Ensuite je mets le soutien gorge assorti, sans armature, en microfibre aussi, il soutien ma poitrine tout en la laissant bouger très naturellement. Les tissus sont très moulants et on devine bien mes auréoles surtout quand elles sont dures.

Que mettre par dessus, un gilet cache coeur, habituellement je mets un maillot de corps par dessous mais là je dois être féminine, je l'enfile.
**** Le décolleté est un peu profond surtout que si je bouge trop, les pans du gilet ont tendance à s'écarter... Si je mets une veste de tailleur par dessus ça maintiendra le tout et à part un décolleté profond auquel je ne suis pas habituée (mais qui correspond à celui que j'avais quand mon peut être futur patron m'avait déboutonnés). Avec cela une jupe droite au dessus du genou, c'est court mais correspond aux attentes exprimées lors du premier entretien et puis c’est vrai que si je dois faire concurrence avec les jeunes de 20 ans je dois faire un effort ... Je décide donc de mettre par-dessous, des dim up, personne ne les verra mais je me sentirai plus féminine. D'ailleurs je me regarde et ne me reconnais pas, je suis élégante, un peu trop voyante, mais si cela plait à mon futur employeur ...

**** Je me rends au rendez-vous, il est 11h
-- Il est 10 h 55 et tu frappes à la porte du bureau.
-- Je constate avec plaisir que tu es en avance, signe de ponctualité et que tu as l'intention de faire bonne impression.
-- « Bonjour Madame heu ! Désolé je ne me souviens plus de votre nom »
**** « Mme J......., Marie J....... »
**** Je suis debout me sentant observée comme un morceau de viande chez le boucher, je baisse les yeux ... Mon dieu, vous me demandez d'enlever ma veste je n'avais pas pensé à cela, je n'ai pas le choix, j'obéis.
Je me retrouve donc en gilet cacher coeur, je le remet en place de mon mieux car en enlevant ma veste, mon soutien gorge en était devenu visible, il s'en est failli de peu qu'un pan s'écarte totalement et que je me retrouve une mamelle sortie par le décolleté !
-- « Mais entrez, vous connaissez le chemin » dis je en te montrant mon bureau. Tu entres dans la pièce et reste debout derrière le fauteuil réservé aux "visiteurs". Je te suis, entre dans le bureau et te regarde sous toutes les coutures en faisant le tour de toi.

-- « Donnez-moi votre veste et asseyez vous. Vous avez accentué votre maquillage, c'est bien, j'aurais juste aimé un rouge à lèvres plus prononcé »
**** Comme exigé, une fois que j'ai enlevé ma veste, je m'assieds, le fauteuil est assez bas et cela m'oblige à me retrouver les jambes pliées, les genoux plus hauts que les hanches ... je n'avais pas prévu cela non plus, ma jupe remonte du fait de ma position et dévoile la lisière de mes bas, je suis morte de honte, moi qui voulais juste être plus féminine je me retrouve à dévoiler le haut de mes bas, un décolleté très plongeant manquant à chaque mouvement de s'ouvrir sur ma poitrine ... Comble de la honte, je ne sais pas si c'est un courrant d'air ou l'émotion de me dévoiler de cette façon impudique, qui ne me ressemble pas, mais mes tétons sont tous durs et cela se voit nettement au travers de mon soutien gorge et de mon gilet assez fin en coton blanc.
-- Bien entendu, mon ordinateur est allumé et la webcam déjà en marche. Je clique sur ta fiche de renseignement et te demande :
-- Sur un ton sévère, je te dis : « Vous savez Marie, vous mériteriez que j’arrête cet entretien immédiatement, et que je vous renvoie chez vous ».
**** Ebahie, stupéfaite, je demande : « Mais monsieur, pour… Pourquoi ? …Qu’ai-je fait ? »
-- « Il me semblait avoir été clair vendredi dernier, lorsque je vous ai dis de laisser votre soutien gorge, que vous n’en auriez plus besoin ici, et que je vous voulais très sexy »
**** Je baisses la tête, comme une que l’on vit de gronder sans répondre.
-- « Je vous donne une dernière chance, je reviendrais plus tard, sur cet incident »
-- « Vous habitez pas très loin d'ici » dis je en regardant mon ordinateur. « C'est où déjà, je n'ai rien inscrit sur votre fiche ? »
**** « Non monsieur effectivement, j'habite à N.... »
-- Ce que tu ne sais pas, c’est que ce second entretien, comme le précédent est filmé par la webcam de mon ordinateur.
**** Oui à partir du film du premier entretien, vous avez déjà fait un petit montage ne gardant que les moments intéressants où on me voit assez docile remonter ma jupe, me laisser ouvrir le chemisier .
.. »
-- « Vous m'avez dit si je me souviens bien que vous pourriez faire des heures supplémentaires, car votre mari s'absente très souvent pour la semaine. C'est très bien cela. Bien évidemment ces heures vous seront payées, mais en plus, vous recevrez une prime suivant le nombre d'heures supplémentaires que vous ferez dans le mois »
-- « Alors avez-vous parler de notre entretien avec votre mari ? Que fait il comme job ? Vous êtes motorisée pour venir au travail ?»
**** « Oui monsieur je lui ai dit que j'allais être embauchée, je… Heu… Il travail comme commercial ... Oui j'ai une voiture ».
-- Je te propose : « Si vous le souhaitez, vous pourrez loger dans le studio qui de trouve au dessus des bureaux et face à mon appartement, cela vous fera des économies substantielles non négligeable, car bien entendu, ce logement est gratuit et moi cela m’arrange, car je vous aurez ainsi sous la main, en cas de besoin ».
-- « Aussi le midi, nous déjeunerons dans le quartier, il y a quelques petits restaurants sympathiques dans le coin. Et en souriant, j'ajoute : « Je passerais cela en frais généraux ».
**** « Ho ! Merci Monsieur le Directeur, oui cela me conviendrait parfaitement, si vous m'embauchez je ne rechignerai pas à la tache … »
« Quel salaire souhaitez-vous pour commencer ? »
« Heu… je ne sais pas trop, je pensais que vous me proposeriez vous même et bien heu… 1300 € net par mois ? »
-- « C'est assez raisonnable. Comme mon cabinet fonctionne plutôt bien, je vous donnerais 1200 € pour votre premier mois d'essai et ensuite vous aurez 300 euro de plus, si je suis satisfait de vous. Est-ce que ces conditions vous conviennent ? »
**** « Ho ! Oui, tout à fait vous n'aurez pas à le regretter »
**** Vous regardez sans vous cacher la lisière de mes bas, je suis toute rouge. Vous me demandez de me lever à nouveau, de tourner sur moi même, j'obéis docilement me croyant proche de l'embauche, je me dis qu'au moins cette fois-ci avec mon décolleté vous n'allez pas m'enlever de boutons !

-- Je me lève, ouvre la porte de l'armoire, sors deux verres et une bouteille de whisky.

-- « Vous pouvez vous rasseoir, je crois que nous pouvons trinquer à notre collaboration même s'il reste encore quelques petits détails à résoudre ».
Je te sers alors un grand verre et te tends celui-ci et te propose également une "Marlboro"
**** Je prends le verre, je n'ai pas l'habitude de boire de l'alcool, mais bon une embauche (presque signée) ça se fête ! Je bois donc mon verre en fumant, je tousse, je ne fume plus depuis un an mais tant pis !
-- « Alors Marie! Vous permettez que je vous appelle Marie ? Avez vous des questions à posées concernant votre travail, les horaires ou tout autre chose. Après nous irons déjeuner ensemble pour sceller notre association. »
**** « Bien Monsieur, tout ce que vous voudrez (naïvement et sans me rendre compte de ce que peut vouloir dire ce que je dis) »
-- « Je pensais que vous auriez revêtue une tenue plus courte. Il me semblait avoir été clair, concernant vos attraits physiques que vous deviez mettre en évidence. Vous avez de belles jambes, aussi vous ne devez pas craindre de les montrer. Allez ! Retroussée moi cette jupe pour dévoiler vos charmes ».
**** « Je… Heu… Oui… Mais je pensais avoir déjà mis une jupe courte, Monsieur. Je… Heu… Bien monsieur (si proche de l'embauche ce serait dommage de tout gâcher pour quelques centimètres de jupe raccourcie), je retrousse donc ma jupe à mi-cuisse dévoilant ouvertement la lisière de mes bas.
**** Je suis morte de gêne et comme vous m'avez resservie je bois pour me donner une contenance et du courage.
-- « Bien, voilà qui est beaucoup mieux »
**** Vos compliments me redonnent un peu d'assurance, après tout ce n'est pas si grave, tant que personne ne le voit, je ne fais rien de mal …
**** Je me doutais que vous me demanderiez encore de m'exhiber et j'hésite mais j'obéis docilement, malgré ma honte, je vous offre ainsi la vue de mon entrejambe recouvert de mon string.
-- Je te demande alors de te branler devant moi, sans retirer ton slip - te disant :
« Je veux que tu mouilles ta culotte pour me prouver que tu es une bonne jouisseuse »
**** Me forçant en me disant que vous êtes un voyeur et vous ne voudrez sûrement pas aller plus loin, j'obéis ... je commence à me caresser et je refuse de m'avouer que ma culotte était déjà mouillée ... je caresse ma chatte au travers de la culotte je commence à respirer fort

-- Le spectacle que tu m'offres m’excite énormément et détachant mon regard de ton entrecuisse, je te dis pour te déstabiliser une nouvelle fois :
-- « C'est vrai que vous avez un décolleté profond qui attire les regards, mais je pense qu'il aurait été plus judicieux de ne pas mettre de soutien gorge dessous »
**** « Je… Heu… Heu… » (Je reste bouche bée ne sachant que répondre et buvant mon 3eme verre sans oser répondre)
-- « Vous ne croyez pas ? »
**** « Je… heu… je ne sais pas, c'est que je suis assez prude et je n'ai jamais fait ça. Je… Heu… Et puis je suis mariée, je ne sais pas enfin je… Heu ... »
-- « Allez, enlevez votre soutif que je puisse vraiment vous juger »
-- Tu me regardes ébahie, mais étant toute proche d'être embauchée avec des avantages non négligeables, tu te lèves et commences à dénouer ton cache cœur, puis tu l'ôtes et le pose sur ton fauteuil.
**** Je me retrouve en soutien gorge debout dans votre bureau, filmée à mon insu. Je cache ma grosse poitrine de mes bras sans oser aller jusqu'au bout.
-- Après une nouvelle hésitation, tu passes tes mains derrière ton dos et dégrafes ton soutien gorge.
**** Oui, je le dégrafe exposant ainsi, mes mains dans le dos, mes mamelles couvertes de mon soutien gorge ... je défait l'agrafe, ma poitrine baisse d'un niveau, lourde et libre de soutien, et rapidement, je la couvre à nouveau de mes bras...
-- Avant de l'ôter totalement, tu te tournes pour ne pas me faire face, et enfile prestement ton cache cœur. Je te souris, tu es rouge écarlate.
**** Oui, je me tourne et ôte mon soutien gorge, vous pouvez voir par les cotés des morceaux de mes mamelles qui bougent tandis que je remets mon cache coeur le plus vite possible, ça y est, c'est fait, je suis soulagée et n'ose pas vous regarder ...
-- Alors que tu te retournes vers moi tout en renouant ton léger vêtement, je te dis :
« Voilà qui est mieux, vous avez une belle paire de nibards, alors pourquoi les cachés ! »
-- Je lève mon postérieur du bureau, passe derrière toi et me collant à toi je passe mes bras autour de toi et mes mains s'emparent de tes grosses loches pendantes et tendues.
-- Tu sursautes, voulant te dégager, mais je te tiens fermement et tu penses à ton emploi et te laisse faire.
**** « Je… Heu… Mais monsieur voyons je… Heu… Heu… Je suis mariée que faites vous ? »
-- « Tu sais Marie que tu as des seins comme je les aimes, gros et fermes avec des pointes qui réagissent rapidement au toucher, signe que cela n'est pas pour te déplaire »
**** Je n'ose répondre choquée par ce que j'entends, et vous laisse palper mes outres lentement mais assez fort. Je suis au bord des larmes mais je ne trouve pas la force de protester, tandis que la camera filme tout ... un bon montage et on ne verra rien de mes réticences ... Si vous y ajoutez des paroles du style « mais que faites vous pourquoi enlevez vous votre soutien gorge ? » on pourra jurer que c'est moi qui vous force la main ...
-- Et j'ajoute :
-- « Je suis sûr que tu es une bonne salope qui s'ignore et que tu as juste besoin d'être prise en main »
**** « Je… Heu… Mais monsieur le directeur je… Heu… Je ne sais pas… Je suis une femme mariée, fidèle et respectable. Hoo !!! (Je me laisse palper et malaxer les outres, ma respiration s'accélère malgré moi).
-- Puis tout en malaxant et triturant tes outres, en pinçant tes tétons, j'ajoute :
-- « Allez avoue, dis moi que tu es une salope et que tu as envie de devenir une vrai chienne ! »
**** « Je… Heu… C'est que je n'ai jamais fait cela monsieur le directeur, je suis mariée, j'aime mon mari, j'ai honte de me laisser faire, il ne faut pas ... »
-- Je dégrafe mon pantalon, et te dis :
-- « Regarde salope ! Tu me donnes la trique, viens me sucer »
**** Alors que vous avez sorti une de mes mamelle de mon cache coeur et que celle-ci pend sous vos yeux, gonflée les auréoles larges, je regarde votre sexe qui me semble énorme presque deux fois plus gros que celui de mon mari sans parler de vos couilles comme des oeufs (petite malformation qui a comme seule conséquence que vous éjaculez des quantités de sperme énormes).
-- Tu hésites, tu refuses mais finalement tu t'y contraints sachant que c'est la seule solution pour avoir le job.
**** Je fais non de la tête, mais l'alcool, la honte, les sensations de m'être faite malaxer les seins, certes lentement, mais plus fort que ne l'a jamais fait mon mari, et ce sexe si gros me mettent dans un état quasi hypnotique ... Je me penche en avant malgré moi et tandis que mes deux outres sortent du cache coeur je prends votre gros gland entre mes lèvres.
-- Je te prends par les cheveux et te baise la bouche sans aucun ménagement tout en t'insultant : « allez ma salope ! Avale ma bite entièrement, après tu auras mon foutre en apéritif. Tu es une putain, prête à tout pour te faire embaucher et aussi parce que tu aimes être prise en main, être dominée, bafouée et humiliée ».

-- Ma bite va de plus en plus vite et profond dans ta gorge, et parfois alors que je suis bien au fond de toi, je te maintiens la tête tout contre moi, ton nez contre mon ventre et ton menton contre mes couilles. Tu ne peux plus respirez, je t'étouffes presque avant de me retirer, tu manques de vomir tant je suis allé loin dans ta gorge et rester longtemps sans te donner d air.

**** Comme malgré moi et sans me reconnaître je me penche donc pour prendre votre gros gland dans ma bouche, vous posez une main sur ma nuque et de l'autre vous malaxez une de mes mamelles. Sentant que je me laisse faire et que je vous suce de mon mieux, même si ce n'est pas parfait, vous commencez à faire coulisser votre grosse et longue bite dans ma bouche en me parlant crûment
-- « Oui Marie, applique toi ! Je vais faire de toi, la meilleure suceuse de queue de la région, Tu seras bientôt surnommée la pompeuse. »
-- Puis j’ajoute : « Tu vas devenir une bonne bourgeoise salope et putain » « une chienne toujours prête a prendre une queue dans l’un de tes orifices »
**** Je me laisse aller à la pipe la plus cochonne que je n'ai jamais faite et je me retrouve maintenant à me faire baiser la bouche, mais aussi la gorge, Je n'arrive plus à respirer et je ne peux reprendre ma respiration, que lorsque vous retirer votre gland de ma gorge, je pleure un peu mécaniquement, mais aussi de honte, tandis que je sens mon corps me dévorer d'excitation de l'intérieur, je n'ai jamais vécu cela et je fais mon possible pour le cacher le plus possible, sans toutefois réussir à ne pas gémir, lorsque vous presser ma mamelle incroyablement fort, le gland me bouchant la gorge, vos poils sous le nez et vos grosses couilles contre le menton. Vous avez fait en sorte que nous soyons juste face à la caméra qui filme tout.
**** Je vous suce de mon mieux, ne me reconnaissant pas tellement je suis excitée, malgré la honte et tout à coup je vous sens vous raidir et vous éjaculez une première énorme giclée sur mon visage.
**** J'en ai partout sur les lèvres, le nez une joue et un oeil. Cette giclée est suivie d'une autre dans les cheveux puis encore une autre sur les seins, j'en ai partout, je dégouline de foutre gluant et collant, je ne pensais pas cela possible et bien sûr je n'avais jamais vécu cela ! Pendant que je reste ahurie de m'être faite crépir le visage et les seins de foutre, vous rangez votre gros sexe dans votre pantalon et vous me dites :
-- « Allez laisse ton soutien gorge sur mon bureau, je t'ai déjà dit que tu n'en aurais plus besoin avec moi, j'aime les grosses mamelles ballotantes, remets ton cache coeur direct sur ta peau ça épongera le foutre que je t'ai balancé ! »
**** J'obéis comme hypnotisée d'excitation et de découverte de la soumission. Je remets mon cache coeur, son tissus léger de mon s'imbibe de votre jus, ça fait des taches, je passe ma main sur mon visage et dans mes cheveux, cela étale le sperme, le rends invisible, mais je doit sentir la baise à plusieurs mètres ! Dans le hall, vous me redonnez ma veste et me dites :
-- « Allez on va manger" je connais un petit restaurant où j'ai mes habitudes, ta pipe m'a donné faim et je suis sûr que de voir tes grosses mamelles sous les yeux pendant le repas va me plaire. Allez cocote ! Bouge tes miches j'aime ça !... »
**** Moi, comme e de soumission, j'obéis et vous suis en sentant mes seins ballottés sous mes vêtements, je ne comprends pas ce qui m'arrive, moi si prude je viens de sucer mon nouveau patron pour la deuxième fois, je le laisse m'insulter, je vais loger la semaine près de chez lui et je mens à mon mari ... j'ai honte mais je dois reconnaître que je me comporte comme une salope !

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