Le Noir Lui Allait Bien Pourtant !!

Je suis nu assis dans l’angle du canapé, Valérie est nue aussi, sa tête repose sur ma poitrine, les jambes repliées, écartées, ma main malaxe sa chatte pour en entretenir la moiteur tandis que sa main entretien sur moi une semi -érection, c’est souvent ainsi que nous regardons la télé, nous venons de voir un film a deux balles et je zappe sur une chaine culturelle, il s’agit d’une émission sur une tribu de nouvelle guinée ou les hommes sont affublés d’étuis péniens pour tous vêtement, les couilles sont apparentes
- Tu crois que c’est une légende sur les noirs ?
- Quelle légende ?
- Qu’ils possèdent de grands pénis ….
- C’est ton fantasme qui refait surface ?
- Bah ! ….
Depuis quelques temps Valérie me parle beaucoup lorsque nous faisons l’amour, elle parle de grosses bittes noires qui la défoncent de partout
- Hé bien non, ce n’est pas du pipo ! Tu veux en voir ?
- Quand ? !!
- Maintenant, tout de suite ici !je vais allumer le p c …assied toi sur mes genoux, et tien pendant qu’ont y est ouvre ta moule avec tes doigts et enfile toi sur ma queue, de toute façon çà finira comme çà !... muuuuuummmmm, ……. C’est mouillé çà !voila tu tape ‘xxx’ ……
- Haaa, mais ce n’est que du cul !
- Tu as le choix, il y en a pour tous les goûts, pour les grosses queues tu clic sur ‘big cok’….. voilà choisit ton homme….c’est des extraits de films qui durent de cinq a cinquante minutes
- Hoooo celle-ci tu as vu ?
- Oui ! Mais çà c’est bidon tu as vu la longueur ? Au moins quarante ! En fait c’est un truc en silicone bien imité tu ne vois jamais la base ni les couilles, et quand il décharge, la lance des pompiers à coté c’est du pipi de chat ! Regarde plutôt çà …….
- Mon dieu quelle bitte !elle va prendre tout çà ? Regarde sa bouche, houa !elle est ouverte jusqu’aux oreilles … toute cette salive épaisse qui s’échappe …, ha ! Voilà il va la baiser …….


Son cul tourne sur ma queue, elle s’imagine à la place de cette nana, le noir enfile presque la totalité de son pieu dans la fente étroite
- Regarde, on ne voit plus ses lèvres tellement elle est étirée !! Muuuuuummmmm… chéri je mouille ……
- Je sais, tu coule sur mes couilles …..Tu aimerais te faire tirer par un pareil spécimen ?
- ….. Ouiiiiiiiiiii ……..
Ce soir là elle était folle de ma bitte ou plutôt de celle qu’elle imaginait !elle m’a offert tout ses trous sans rechigner, j’ai très envie moi aussi de la voir gigoter sous une grand black ……..
C’est ainsi que deux mois plus tard nous sommes dans l’avion qui nous emmène faire un safari spécial au Sénégal… pour chasser le ‘big-cok’ !
Déjà dans l’avion elle détaille tous les noirs afin de deviner ce qu’ils cachent entre leurs jambes !à l’accueil de l’hôtel un beau noir en chemisette blanche finit de la faire craquer !
- Comment allons-nous faire pour trouver ce que nous cherchons
- Il faut se décider vite nous ne somment là que pour la semaine…. attend, j’ai une idée
- Pardon monsieur j’aimerais me renseigner sur les excursions
- Voyez avec ma collègue au bout du comptoir

- Je vous propose une sortie pour deux jours découvertes en canoë sur la rivière avec un guide à votre disposition qui vous préparera les repas , le soir vous dormez dans une cabane en bambou, c’est spartiate mais très dépaysant
Nous n’avons pas beaucoup le choix si nous voulons une certaine intimité avec un black
- Cà te va chérie ? Un peut dur peut être ?
- Pas du tout je suis partante !mais avec quel guide ?
- Vous pouvez choisir madame, j’ai là des photos de mes employés
- Haaa, celui-ci mon chéri ?
- A toi de voir !
Elle me montre un noir pas trop mal il faut le dire, en photos avec un couple, la femme est accrochée a sa taille comme une liane
- Vous voulez Moussa ? Très bon choix, je ne sais pas pourquoi beaucoup de dames le préfèrent ! Il est libre pour après demain matin, départ aux aurores avant la grosse chaleur
Le jour dit nous faisons la connaissance de Moussa, à peine plus de vingt ans, racé, les dents étincelantes, le torse brillant de sueur, mais par contre il ne parle pas très bien notre langue
Valérie radieuse assise au milieu en maillot de bain deux pièces, deux petites pièces !elle tourne le dos au guide assis a la barre ,prés du moteur, il est vêtu d’un short assez délabré, mais rien ne laisse deviner ses attributs, apparemment il ne porte pas de slip, moi je regarde vers l’arrière un œil sur ma femme l’autre sur Moussa qui regarde souvent le bas du dos de ma chérie j’essaie de voir par la jambière … ha … j’aperçois une couille écrasée sur le banc qui promet un bel ensemble …J’adresse un coup d’œil a Valérie qui devine ce que je mate , elle décide de tester notre guide
- Tu peux me passer de la crème solaire chéri ?
- Tourne-toi ….

Et sans attendre, face au guide elle ôte le haut du maillot, le pauvre mate les seins arrogants, j’enduis longuement le dos baissant au maximum le bas du string, puis viennent les seins, Moussa regarde les yeux exorbités cette femme blanche qui s’expose sans complexe, je peux dire maintenant qu’il est bien pourvus, car tout comme moi il bande, la jambière est déformée sur toute sa longueur
Pour couronner le tout ma femelle s’allonge sur mes genoux la tête sur ma pine durcie, les jambes écartées, il doit voir l’étroit fond de culotte qui moule impeccablement la vulve, la pirogue fait des embardées puis elle ralentie, il se dirige vers la berge ou un bouquet d’arbre nous offre de l’ombre
- Faire trop chaud !nous arrêter là
Un tronc d’arbre couché dans l’eau empêche d’aborder jusqu'à la rive, sans hésiter celui-ci saute à l’eau jusqu'à la taille
- Madame venir
Ma femme s’accroche à son cou, il là prend a bras le corps une main au plus prés des fesses, il la couve des yeux en marmonnant des paroles dans sa langue puis il là dépose sur la terre ferme, je saute moi aussi pour les rejoindre, le short de notre guide tout mouillé colle au pénis énorme le long de sa cuisse, on voit presque la couleur de sa peau a travers le tissu , soudain celui-ci ôte son vêtement , il soulève sa queue circoncise en érection, légèrement recourbée vers le bas ,plus noire encore que sa peau , une énorme veine serpente tout le long du membre ,sous le gland une grosse sangsue est collée
- Pas bon pour l’homme !! Pouvoir faire comme Moussa vous mettre nus, ici former tribu !!
Nous nous regardons, Valérie ravie fait glisser son mini maillot exposant ses poils blonds, moi un peu plus gêné car je bande aussi mais rien à voir avec le mat de cocagne qui me fait face !ma femme ne le quitte plus des yeux je sais qu’elle a envie de poser sa main dessus, je lui adresse un signe qui veut dire essaie tu verras bien !
- Vous avez mal Moussa ?
Et d’autorité elle empoigne le membre qui tressaille dans sa main
- MADAME ! Monsieur regarde !c’est pas bien …
Mais il ne fait rien pour se retirer
- Laisse là faire Moussa c’est une bonne infirmière, si çà te fait plaisir oublie que je suis là je ne vois rien !
Rassuré il là laisse faire, a genoux elle parcoure de sa main toute la longueur du pieu, enveloppe avec douceur le gland regarde la tache brune que la sangsue a laissée la queue se redresse encore plus, l’homme ferme les yeux conquis par cette femme blanche qui tripotte sa queue avec l’accord de son mari ceci, dit je pense que ce n’est pas la première fois que des touristes lui offre leur femmes, je dirais même que comme nous ils fonts le voyage pour çà !
Valérie se décide à engouffrer le gland en écartant autant qu’elle peut la mâchoire, désinhibé Moussa se penche pour empoigner un sein, il fait rouler le téton entre ses doigts, ma femme bombe le torse afin de lui offrir sa poitrine, ma main se pose sur ma queue en ébullition ! Une salive épaisse coule aux commissures des lèvres, provoquée par la poussée de la bitte jusqu’aux amygdales, elle triture les énormes couilles dépourvues de poils rondes et dures comme des balles de tennis
Elle suce jusqu'à ce que Moussa essaie de se retirer pour éjaculer mais la veille elle m’a dit qu’elle voulait sentir les giclées aussi bien dans sa bouche que dans son con, dans un râle il plie les genoux et laisse son foutre envahir la gorge de Valérie, le trop plein s’échappe pour finir de couler entre les seins , ravie de son exploit elle s’en lèche les babines en frottant sa poitrine avec le sperme qui s’y est collé , j’ai évité de jouir me réservant pour une autre partie de sexe qui ne saurait tarder ……
Moussa nous entraine vers les arbres, on y découvre une cabane en paille des nattes sur le sol, une table et un banc en bois grossièrement taillés un genre de placard remplit des conserves, d’une humeur très gaie notre guide prépare un ‘repas ‘ vite avalé
Moussa est devenu très entreprenant devant mon assentiment à lui prêter ma femme sans complexe il invite celle-ci à s’allonger sur une natte, sans complexe non plus elle s’expose a nos regards les cuisses très ouvertes, la chatte entrebâillée par le désir, a genoux prés d’elle le noir caresse de ses mains très fines tout le corps nu puis descend entre les cuisses écarter les lèvre, les yeux exorbités devant la touffe blonde, un doigts s’infiltre dans la moule jusqu'à la troisième phalange impatiente , puis deux , de sa main libre il masturbe sa colonne qui reprend de l’ampleur , je suis impressionné par la vitesse a laquelle il se développe
Les préliminaires ne sont pas son fort, positionné entre les cuisses de sa femelle le gland frotte sur toute sa longueur le vagin impatient Valérie sursaute a chaque frottements sur son clitoris elle me cherche du regard, excitée mais une certaine appréhension se lis dans ses yeux, comment une telle monstruosité va-t-elle entrer dans son ventre ? Va-t-elle pouvoir tout prendre ?
Je m’approche au plus prés ….
je ne suit pas gêné pour voir étant donné la distance qui séparent les deux corps, il lève une jambe de Valérie pour la poser sur son épaule, la chatte baille, elle suinte de bonheur, le gland s’est arrêté en face du trou en effervescence, ma femme ouvre la bouche mais aucun son ne sort ,elle attend l’estocade
Moussa pousse, la verge plie, les lèvres sont repoussées dans le ventre de Valérie, il la prend dans sa main pour la guider, la queue d’ébène fait un bond en avant et coulisse centimètres par centimètres, Valérie essaie de le repousser en posant sa main sur l’avant bras de son amant noir, elle grimace ….celui ci pousse trop heureux de pénétrer une chatte blanche
Quel contraste de couleur ! La bitte entre toujours, la moitié a disparus dans le ventre de ma chérie qui commence à apprécier, un long soupir en est la preuve, son bassin se soulève, Moussa interprète çà comme une invite à forcer encore plus le vagin écartelé, il positionne l’autre jambe sur l’autre épaule, les mains aux hanches étroites il enfonce encore et encore ……de grimaçant le visage se transforme en expression de béatitude, la bouche entrouverte la poitrine se soulève ballotée en tous sens
J’approche ma bouche de son oreille pour murmurer
- Ca va mon amour ? Que ressens-tu ?
- Hoooo ouiii mon chéri çà va ! Je m’attendais à être comblée mais pas a ce point là, je suis remplie de sa grosse bitte c’est très très boooooonnn !va y Moussa baise moi !baise la salope de blanche !
- Oui madame Valérie je vais baiser toi très fort !
La queue se retire presqu’entièrement luisante de mouille pour replonger brutalement dans le con déformé de ma femme, il la pistonne comme un forcené, des bruits mouillés et d’air chassé se font entendre, les cheveux collés sur le visage elle couine a moitié de bonheur et de peur de se faire véritablement défoncer
Heureusement que j’ai l’œil fixé sur la queue car je viens de m’apercevoir que du foutre colle a la bitte lorsqu’elle ressort du vagin, il a joui sans faire paraitre aucune émotion sur son comportement, je dois mettre un terme a ce coït sinon il va me la détruire !et puis je dois reconnaitre que de la voir prendre son pied avec autant de plaisir çà me fout une boule au ventre ……Je me sens rejeté, hors de cette partie de baise
- Moussa arrête, arrête !çà va pour aujourd’hui STOPPPP !!!
- Pourquoi chéri ? Pourquoi ?
- Pourquoi ? Il a déchargé et cela ne l’arrête pas
- Oui j’ai sentis les jets, uns sacrée quantité ! mais pourquoi ?
- Je crois que pour cet après midi c’est bon non ? Si vous continuez a ce régime là demain tu ne peux plus marcher, voyons soit raisonnable !aller Moussa retire toi
A regret le noir n’en finit pas de retirer ce monstre de chair des entrailles de ma femme, une véritable rivière de sperme épais jaillis d’entre les lèvres difformes qui ne se jointent plus, a la tête que je fais Valérie vois que quelque chose ne va pas …
- Chéri vient me voir, vient me manger la chatte
- Non merci ! J’ai assez mangé pour aujourd’hui, il n'a qu’a bouffer lui-même son sperme…
Le reste de la journée s’est passé dans la morosité, nous nous sommes couchés pour la nuit sur les nattes, comme par hasard me femme s’est retrouvée entre nous deux
Tard dans la nuit je suis réveillé par des glapissements, un animal sauvage ? Le temps que mes yeux s’habituent à l’obscurité je vois par ombre chinoise Valérie qui fait de ‘l’équitation’ sur notre guide, elle monte et descend à allure régulière sur le mat du noir, le vagissement qui monte annonce un orgasme violent du mâle, sa femelle n’est pas loin derrière , elle ne peut réprimer un cri a faire fuir tous les animaux sauvage a proximité ! une forte odeur de baise règne dans la cabane !Malgré ma hargne je me surprends à bander comme un âne, dés qu’elle descend de ‘sa monture’ et se couche a mon coté comme si de rien n’était je me lève et hurle :
- ALLER SALOPE !! A QUATRE PATTES je vais te bourrer à mon tour !
Elle ne répond rien et obéis, ma queue se retrouve embourbée dans un marécage indescriptible, c’est à peine si je sens les bords de la gaine vaginale, une purée chaude coule sur mes couilles, bizarrement cela m’excite au plus haut point, je ne cherche pas a être endurant, je veux simplement me vider le trop plein de foutre ce soir
- Haa tu en veux de la bitte de noir ? Hé bien tu va en être dégoutée avant que nous ne repartions à la maison !! TIENNNNNNNNT SALOPE !!! Prend çàààààààààààà !!!!!OUIIIIIIIIIII !
- Chéri … pardon, je t’aime tu le sais mais c’est plus fort que moi cette queue m’obsède, serre moi fort dans tes bras ……
- T’es vraiment incorrigible toi ….
bon, heureusement que çà ne va pas durer huit jours … demain je te permets de te faire encore baiser a ta convenance …
- Merci mon amour bonne nuit …..

Le lendemain matin le temps est au beau fixe, la météo et mon moral ! Moussa rase les murs craignant ma colère …je le prends a part
- Moussa, vient je veux te parler …
- Moussa est désolé pour madame monsieur
- Justement c’est d’elle qu’il s’agit, que fait-on aujourd’hui ?
- Aujourd’hui aller plage, très beau, joli sable, eau chaude, cocotiers !!
- Très bien ! Alors tu pourras baiser madame sur la plage, je te la confie toute la journée prend là quand et comme tu le désire
- Monsieur très gentil ! Madame très bonne chatte bien étroite
- Essaie le petit trou ! C’est encore plus serré !
- Madame avoir mal ….
- Oui peut être au début mais elle aime çà !
Nous avons repris le canoë, tous a poil ! Valérie assise a coté du guide branle à deux mains la poutre toujours en érection, quelle santé il a ce gars ! Lui, le gouvernail d’une main l’autre entre les cuisses de ma femme, plus bas dans la raie commence à dilater l’anneau convoité, prélevant a même la source la mouille indispensable
Pour l’instant je me consacre au paysage magnifique
Bientôt nous arrivons a une plage déserte, une cabane de bambou nous attend entre deux immenses cocotiers, le canot glisse sur le sable et s’immobilise, moussa comme la veille prend Valérie dans ses bras, mais au lieu de la déposer il là couche a moitié dans l’eau et s’allonge sur elle qui n’attendait que cela et écarte les cuisses spontanément pour se faire enfiler, il a bien compris mon message le bougre !
L’accouplement a été assez violent et bref, ils ont jouis tous les deux ensemble, une fois debout une purée abondante coule entre ses cuisses, elle se lave brièvement la chatte avec l’eau limpide
Nous faisons les fous dans l’eau tandis que le guide s’affaire à la cabane
- Tu ne dis rien aujourd’hui chéri ? Çà ne t’embête pas si moussa me baise ?
- Je lui ai donné carte blanche, il va surement vouloir t’enculer tu le sais ?
- Je m’en doute un peu il n’a pas arrêté de me fourré ses doigts
- Ça va ? Il est assouplit ?
- Oui, mais de là a me la fourrer sans préparation …..
- A toi de faire le nécessaire ….
- Encule-moi avant chéri sur la plage….
- Pourquoi pas, si je peux rendre service !!!
L’anneau bien préparé par Moussa n’a opposé aucune difficulté, je l’ai embrochée d’un coup jusqu’aux couilles, le guide respectueux de notre intimité faisait semblant de ne rien voir, par contre vers midi il a exprimé a nouveau son désir, sa queue gonflait a vue d’œil, le moment est venus pour Valérie de se faire sodomiser par ce défonce cul, elle ne refuse pas l’expérience et d’elle-même se positionne a plat ventre sur la table robuste les jambes bien séparées
Moussa approche la queue a la main, enfile un doigt, il le ressort gluant de mon foutre, et, étonnamment, se penche, écarte les deux lobes rougis par le soleil et de son épaisse langue rose perfore l’anneau
Moi je suis attiré par son cul rebondis d’Africain, ma femme ne peut me voir … j’avance une main sur ces fesses musclées, le noir écarte les jambes … ma main descente passe entre les fesses, rencontrent la paire de couilles dures, prêtes à injecter leur jus dans le cul de Valérie, après les avoir malaxées je continue ma progression, collé a lui je me saisie de la verge ,j’en apprécie la texture , dure , et matelassée, très agréable au toucher , il apprécie car des murmures sorte de sa bouche tout en butinant le cul de la blanche , ma bitte est insérée dans son sillon , si je voulais je suis sur qu’il ne refuserait pas une sodomie de ma part …. Et si je le suçais avant qu’il ne prenne ma femme ?
Je lâche la queue pour venir au plus prés entre les deux amants, je tire la verge vers moi, la fente du gland suinte déjà, le lèche la goute qui va filer vers le sol puis ouvrant grand la mâchoire j’avale le gland satiné, je pompe avec délice la queue qui a donné tant de satisfaction a ma femme, mais celui a ci a envie de concrétiser et se retire, le moment est venus …..
Je m’assois sur la table au coté de mon épouse, j’aide la manœuvre en écartant les lobes, le trou est bien ouvert dégoulinant de salive
- Tu es prête chérie ? Çà va aller, je suis là tout prés je vois tout
Je caresse la tête bien aimée, elle se cambre offrant son postérieur au black, celui-ci se positionne sur la cible, comme pour la chatte les chairs sont repoussées, la rondelle cède peu à peu et d’un coup le nœud s’engouffre,
- HAAAAAAAAA, MOUSSAAAAA tu me déchire !!!!!!!! Çà brule ! Stop !!!!
- Çà va passer mon amour …. Courage dans deux secondes tu va sentir le plaisir monter
- Tu crois ? j’espère car sinon j’arrête et nous rentrons !
- Je peux aller madame ?
- Va y mais fait doucement ……
Le boudin noir recommence sa progression, le cul a un réflexe de retrait et finalement résiste et même pousse vers la queue, c’est gagné !
- Encule moi Moussa, çà va maintenant
- Bien madame Valérie ……
Il se retire carrément, impressionnant, le trou reste ouvert, béant rouge a l’intérieur, l’homme envoie un giclée de salive qui disparait dans le fondement
Et la manthule reprend sa place, ma femme se cabre, et, de nouveau s’embroche elle-même, le contraste de ces fesses blanches et de ce gros trait noir planté entre elles est surprenant, dommage que je n’ai pas amené sur le terrain l’appareil photo
Lentement mais sans faiblir de cadence les vas et vient arrachent des soupirs a la sodomisée, je passe ma main sous elle pour caresser tantôt les seins, tantôt le clitoris noyé de mouille, des spasmes traversent tout son être, la jouissance arrive lentement ….
- Tu va décharger bientôt Moussa ? Elle va exploser très vite !
- Moussa se concentre ….venir bientôt !
Soudain ses seins s’écrasent sur le bois, une giclée phénoménale de cyprine atterrit sur la table, moussa la cramponne aux hanches et les deux êtres bloqués l’un sur l’autre laissent échapper des cris inhumains, quelques instants de récupération et les deux sexes se déboitent, celui du guide laisse échapper une dernière goute de foutre et le cul toujours ouvert fait des bulles recrachant des paquets de spermes, ma chérie s’effondre sur la table épuisée de bonheur
Elle rayonne, son fantasme est comblé à deux cent pour cent, il est l’heure de se rhabiller et de prendre le chemin de l’hôtel, notre guide l’air nostalgique ne quitte pas me femme des yeux, il se souviendra longtemps de cette blanche accueillante et de son mari si compréhensif, des souvenirs récents doivent lui revenir car sa queue se redresse encore sous le short !
- Tu as vu chéri ?
- Oui, quel tempérament ! … tu veux …….. ?
- Une dernière fois s’il te plait !!
- Aller, il va te rejoindre … moussa ? Je peux prendre la barre pour rentrer ?
- Tu veux bien monsieur ? C’est tout droit !
Ils sont assis cote à cote face a moi, chacun une main sur la cuisse de l’autre comme deux vieux amants , Valérie se lève pour venir a cheval sur ses genoux, les jambes légèrement fléchies elle repousse son bas de maillot sur le coté et guide la verge recourbée entre ses lèvres toujours dilatées, mon angle de vue est superbe, le boudin noir disparait lentement dans le ventre maintenant habitué a ce diamètre, la salope me fixe en passant sa langue sur ses lèvres, Moussa caché derrière elle la maintient par les hanches et rythme la descente appuyant plus ou moins fort pour définir profondeur de la pénétration
Un œil sur la rivière l’autre sur le couple, ma queue entre mes doigts, j’ai fort a faire pour rester lucide et garder le cap !
Ils ont jouis tous les deux juste avant d’arriver à une certaine civilisation, des traces douteuses a l’intérieur des cuisses le fond du maillot amidonné ma femme rase les murs pour entrer dans l’hôtel
Le dernier jour celle-ci a trouvé le moyen d’inviter Moussa et le réceptionniste du premier jour a minuit dans notre chambre
Je ne vous raconte pas l’orgie …. Le lendemain elle peine a marcher, elle a dormi pendant tout le vol de retour
Aujourd’hui il ne faut pas lui parler de faire l’amour avec un noir …… OVERDOSE !!!!!!!!

N B : le récit est peut être un peu long mais par rapport a une réflexion d’un lecteur je n’ose pas le fractionner !!

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