11 - Images Sordides Du Coït Entre Un Phoque Lubrique Et Une Chienne En Chaleur
Les trois hommes avaient assisté au spectacle en silence et avaient hâte de reprendre ma femme en main. René commenta laconiquement :
- Cette salope préfère la bite, c'est clair.
- Allez, connasse, viens t'occuper de notre copain.
Robert la tira sans ménagement par les cheveux et amena son visage contre le bas-ventre du gros René qui ouvrait sa braguette. Il eut tôt fait de sortir une bite épaisse, assez courte qu'il vint poser sur les lèvres de Maria. Celle-ci, à quatre pattes sur le lit, toujours maintenue par Robert n'était pas en position de force. Elle finit par ouvrir sa bouche pour laisser entrer le gland. Le reste suivit, elle se mit à le sucer, encouragée par ses précédents partenaires. Robert samusait à lui enfoncer le godemiché laissé par la lesbienne dans le vagin puis dans lanus. Il avait pris goût au bruit que faisaient ses mains sur le cul en bombe de ma femme et claquait de nouveau les fesses rebondies. Maria continuait à pomper le sexe du mollusque en se faisant bourrer les autres orifices sous les quolibets des trois compères :
- Pompe bien, salope !
- Elle va arriver à faire bander René, la gourmande.
- Elle a le con prêt pour un cheval, cette pute. Même son cul est grand ouvert.
- On devrait appeler du renfort pour la bourrer pendant quelle suce.
- Non, laisse-la pour René, il va pouvoir se régaler. Ce nest pas tous les jours quon tombe sur un coup pareil.
- Si elle continue comme ça, elle va lavoir, sa récompense.
- La queue de René bien dure au fond du trou.
Ma femme était nue, à quatre pattes sur le lit, à pratiquer une fellation à un vieux vicieux. Les trois hommes autour delle étaient tous habillés, car même René avait gardé ses habits en ne sortant que sa queue. Elle était donc dans une position dinfériorité évidente. Cette situation était encore amplement amplifiée par le fait quelle était dans la posture dune femelle soumise qui quémandait un rapport sexuel comme une chienne en chaleur.
- Et maintenant, connasse, dis-nous ce que tu préfères, te faire baiser ou te faire enculer ?
- Baisez-moi, bande de connards !
- En plus dêtre une salope, tu es grossière.
- Traitez moi de ce que vous voulez, je men fous.
- Sacré René ! A toi l'honneur d'étrenner sa moule toute lisse !
- Je ne vais pas me priver. Tu diras à ton mari que je mexcuse de te baiser sans capote, mais jai peur de débander.
- Mon mari ? Que voulez vous quil dise mon mari, après tout ce que vous mavez fait. Vous mavez transformée en putain. De toutes façons, tout le monde ici ma baisée sans capote.
- Allez, allonge-toi et écarte les cuisses, ma belle.
- Baisez-moi, quon en finisse !
- Elle est mignonne.
Maria avait crié en sanglotant, elle pleurait de rage, elle criait aussi son désir charnel exacerbé. Comme Saint Thomas, javais maintenant la preuve de ce que je craignais sans vouloir y croire. L'impensable se produisit. Maria fut mise sur le dos, le vieux pachyderme s'installa entre ses cuisses, monta sur elle et d'un coup de reins lui fourra sa queue jusquà la garde. La pièce devait être équipée dune installation sophistiquée avec laquelle on pouvait filmer la scène de plusieurs angles et aussi faire des gros plans, cétait la pensée technique à laquelle je me raccrochais en regardant ces images invraisemblables.
Et le comble, c'est que Maria perdait le contrôle de ses sens. Elle avait toujours le godemiché fiché dans le cul et son ventre de femme sensuelle et généreuse répondait aux assauts de celui qui la prenait, son désir latent la submergeait, elle voulait son plaisir plus que tout. Je la vis agripper le gros porc, empoigner la graisse des fesses et accompagner son coït de tout son bassin. Elle releva ses cuisses sans arriver à croiser ses jambes sur son partenaire trop gros pour elle comme elle le faisait dordinaire, tandis que sa bouche mangeait maintenant celle du vieux vicieux qui jouait avec sa langue.
La saillie de Maria allait bon train, elle avait encore relevé sa croupe pour aller au devant des assauts de son mâle, elle offrait toute sa féminité au pieu de chair qui coulissait en elle, investie jusquau plus profond de son être dans cette chevauchée dantesque. Elle avait capitulé, toute retenue avait été balayée. Son visage sétait transfiguré, ses yeux étaient révulsés, sa bouche déformée par un rictus. Non, Maria ne simulait pas, elle exprimait le désir à létat pur qui montait du plus profond de son être, je lui en voulais darborer, maintenant et avec ce partenaire improbable, cette expression de désir extrême que je connaissais si bien, javais du mal à supporter que tant de décadence puisse déboucher sur tant de jouissance. Proportionnellement à la montée en puissance de son désir, jétais submergé dune jalousie aussi rageante quimpuissante. Elle avait perdu toute pudeur, toute retenue, elle transpirait de désir et denvie de mâle. Ma petite femme adorée encourageait maintenant le vieux phoque, elle tenait sa tête à deux mains et le dévorait, le couvrait de baisers, mangeait sa bouche, enroulait sa langue avec celle qui jaillissait du triple menton.
Après s'être soulagé en elle, le phoque s'écroula en l'écrasant. Le vieux avait rempli le ventre de mon épouse de semence, cette réalité me dégouttait, je ne pouvais mempêcher de penser à ce qui sétait passé et qui continuait à se passer au plus profond de son être, je visualisais que son vagin avait recueilli le sperme en fanfare, dans lorgasme létui si hospitalier se contractait autour du membre au moment de léjaculation, lidée que ses spermatozoïdes étaient en train de sactiver dans lutérus de la femme de ma vie mhorrifiait, je songeai avec effroi que limmonde tas de graisse lavait peut-être engrossée. Quun puisse avoir été ainsi conçu me donnait envie de vomir Une autre pensée me taraudait le cerveau, angoissante celle là : elle avait été trop loin dans la soumission et la déchéance, elle avait consenti quon la traite comme un paillasson, elle ne pouvait pas en sortir indemne. Après sêtre accouplée avec ce vieux repoussant, elle ne pourrait quaccepter de la faire avec nimporte qui. Elle avait dépassé le point de non retour et en avait tiré une jouissance extrême, non, rien ne serait plus jamais pareil, il y aurait ment un avant et un après.
Malgré sa masse, le vieux phoque se releva avec une souplesse inattendue, sans doute pressé de vanter ses exploits. Sauf en payant de belles putes, ce n'était pas tous les jours qu'il devait baiser une femme comme celle-là, une honnête femme mariée, encore moins lenvoyer sur la lune. Il navait pas sauté une femme vénale, il navait pas abusé dune femme venue quémander du travail, une faveur ou des espèces, elle ne sétait pas vendue pour de largent, mais juste parce quelle en avait eu envie après une série de circonstances aussi invraisemblables quillogiques, et il ne l'avait pas loupée. Ses compagnons complices de lignominie qui avaient assisté à l'orgasme invraisemblable de mon épouse flattaient son ego en le félicitant avec force accolades, commentant grassement la jouissance des femelles mariées soit disant sérieuses et fidèles et plus particulièrement la lubricité de celle qui venait d'être soumise :
- Tu ne las pas loupée, cette salope !
- Cest une bombe atomique. Je vais féliciter son mari, il peut être fier de son épouse.
- Laisse-le tranquille, tu as déjà baisé sa femme.
- En plus, tu las remplie de foutre jusquaux yeux.
Tétanisée, Maria était recroquevillée sans bouger et pleurait en soupirant et en tremblant. Après lorgasme insensé et foudroyant quelle avait eu, lamoureuse sétait transformée en marionnette sans vie propre, seulement secouée de spasmes convulsifs, comme consumée par tant de plaisir. Le regard vide, elle semblait avoir du mal à se remettre de son insensé voyage au septième ciel. Robert lui demanda :
- Quest ce quil y a maintenant ? Tu as eu ce que tu voulais, non ?
- Jai honte, si vous saviez comme jai honte.
- Tu voulais te faire foutre, non ?
- Vous mavez prise tous les trois.
- Et alors ? On ne sera pas les derniers de la soirée à te passer dessus.
- Que va dire mon mari ?
- Il est cocu et tu le consoleras.
- Vous ne vous rendez pas compte, je ne pourrais plus le regarder en face.
- Tu as pris ton pied, cest le principal.
- Jai honte.
- Tu verras, ça va passer, la honte ne tue personne.
Et elle se remit à pleurer. Ils récupérèrent le godemiché enfoncé dans la croupe de ma femme et sortirent tous les trois en devisant gaiement, labandonnant en sanglots sur le lit. Ce fut la fin de la bande vidéo.
Maria était assise sur le deuxième canapé, prostrée. Elle me demanda :
- Je te dégoutte, non ?
- Toi, non, mais ce que j'ai vu, oui.
- C'est pareil, c'est moi qui étais sur ces images. Tu veux que je parte de la maison ? Que je te quitte et que je disparaisse de ta vue ?
- Non, bien sûr que non.
- Tu ne pourras pas vivre avec une putain comme moi. J'ai perdu toute dignité. Tu as vu le film, tu sais ce que je suis devenue cette nuit !
Elle releva sa chemise de nuit et me montra son sexe rasé que je voyais ainsi pour la première fois. J'avais toujours adoré le minou si mignon de mon épouse, mais je devais admettre que la vue de cette fente lisse ainsi exposée me troublait beaucoup. Son ventre rond, son pubis de petite fille contrastait avec sa vulve fendue dont les lèvres nues ne parvenaient pas à cacher le clitoris ni l'entrée de son con. On ne pouvait s'empêcher de penser qu'on se trouvait devant une femelle lubrique très vicieuse qui ne demandait qu'à s'envoyer en l'air avec le premier mâle venu.
Je voulus la consoler :
- Trois salopards ont abusé de toi, mais tu es toujours la même.
- Pas trois, mais six, jai même eu des rapports avec sept mecs. Tu dois tout savoir.
- Quoi ?
- Tu as bien entendu ! Pas moins d'une femme et de sept types m'ont baisée hier soir.
- Merde.
- Quand les trois premiers allaient partir, un type est entré, il a mis sa queue dans ma bouche et il sest soulagé comme ça, sans rien dire, je ne sais même pas qui cétait. Après un autre a demandé si la place était libre, il a sorti son sexe et la enfoncé dans mon cul. Lui non plus na pas été long, je nai pas vu son visage non plus. Après, je me suis endormie un moment. A mon réveil, un garçon était là, à me regarder dormir toute nue. Il a attendu que je me réveille et il s'est déshabillé aussi. Il m'a dit qu'il ne m'avait pas quittée des yeux de toute la soirée jusqu'au moment où il m'a regardée du bar monter avec Roland. Alors quand René lui avait dit qu'il pouvait monter pour tirer un coup avec moi, il ne s'était pas fait prier. Il était beau, très jeune, je ne suis même pas sur quil avait dix-huit ans, et aussi puceau qu'on peut l'être. Je ne sais pas pourquoi mais je l'ai laissé monter sur moi. Il avait tellement envie qu'il en a oublié de mettre un préservatif et qu'il m'a pénétrée immédiatement. Je n'ai pas eu le temps de faire un mouvement qu'il avait déjà fini et qu'il éjaculait au fond de mon ventre. Il était très doux et très timide et m'a demandé s'il pouvait rester un peu avec moi. En fait, je l'ai gardé en moi un petit moment et quand il a retrouvé son érection, je ai expliqué moi-même comment il devait s'y prendre pour que j'aie du plaisir. Il a suivi mes conseils et mes encouragements et finalement nous avons joui tous les deux ensemble. Il m'a avoué que c'était sa première fois avec une femme. Je sais qu'il aura un bon souvenir de moi. En me lavant, je me rappelle avoir ri toute seule en réalisant que je venais de me faire baiser par un gamin. Il ne me manquait plus que ça, faire la sortie des écoles, jouer les initiatrices et dépuceler des petits branleurs. Quoique ! S'envoyer en l'air avec des vieux bonhommes aussi pervers que gras ne valait guère mieux. Après, je me suis rhabillée pour revenir vers le bar. Une espèce de brute barrait le passage. Sans un mot, il m'a écrasée contre la rambarde, s'est contenté d'écarter ma culotte et m'a prise en force dans les escaliers en se moquant de ma fente rasée. J'avais les jambes décollées du sol et comme je devais me retenir fermement à la rampe, il a eu le champ libre pour me baiser. Il avait un sexe énorme et m'a fait mal. Je lai supplié de faire ça sur un divan à coté. Alors il m'a portée avec sa queue toujours en moi, et m'a baisée sur la banquette. J'ai honte de dire que j'ai encore joui. Cela s'est passé sur la mezzanine au dessus du bar, juste au-dessus doù tu étais avec les autres. Je pourrais le reconnaître, celui-là, c'était un arabe dune cinquantaine dannée, avec une petite moustache. Tu vois, cette nuit tout le monde est passé sur ta femme. Et en plus, ce salaud n'avait pas de préservatif non plus. Il ricanait en me disant à l'oreille que je pouvais aller rejoindre mon mari maintenant avec le con plein de jus de melon.
Maria éclata en sanglot. Je ne savais pas quoi faire pour la consoler. Elle continua :
- Je nai rien fait pour lempêcher de me baiser, rien.
- C'est tout de même un viol, ça !
- Et je nai pas pu me retenir de jouir, jai crié pendant quil me remplissait le ventre de son foutre.
- Tu nétais pas dans ton état normal.
- Tu mentends, jai joui comme une folle, et il a ri de moi, il ma dit que jétais une vraie truie.
- Le salaud !
- Non, il a raison. Et il a continué en disant que je pouvais toujours jouer les petites bourgeoises vertueuses au bras de mon mari, il mavait baisée, il mavait vu devenir folle au bout de sa bite, et ça le faisait marrer.
- Il ta quand même e, pratiquement violée !
- On ne viole pas une putain comme moi, on s'en sert quand on en a envie et on la renvoie chez son mari après, voilà tout. Noublie pas quon ma rasé la chatte pour que tout le monde sache ce que je suis, toi y compris. En plus jai jouis avec tout le monde, à chaque fois quon ma baisée. A chaque fois, tu te rends compte. Jen ai honte.
- Ne dis pas des choses pareilles ! Tu crois que tu pourras oublier ce quon ta fait ?
- Plus tard, je ne sais pas. Pour le moment, je ne me supporte plus moi-même. Et je ne peux pas supporter l'idée de t'avoir perdu.
- Ecoute, tu es toujours ma femme. On a encore fait une très grosse bêtise tous les deux ce soir, mais je t'aime, je ne peux ni ne veux vivre sans toi.
- C'est vrai ?
- C'est la seule chose importante, notre amour. On a eu une sacrée leçon tous les deux, il faut en tirer le meilleur parti et continuer. Au moins maintenant on sait ce qu'il ne faut pas faire. Le sexe sans amour tue l'amour.
- Moi en tout cas je le sais maintenant.
- Et moi donc !
- Jespère au moins que tu as aimé me voir dans cette cassette porno.
- Cest vrai que cest un vrai film porno. Un vrai, un vécu. Et avec ma femme comme actrice principale. Je dois reconnaître que ça ma excité.
- Au point de te masturber ?
- Aujourdhui non, mais si je le regarde une autre fois, oui, cest possible.
- Tu me promets de ne pas être dégoutté ? Je voudrais que tu sois capable de te masturber en me regardant baiser dans le film.
- Je le ferais peut-être. Mais pourquoi tu veux que je me masturbe ?
- Lidée que tu le fasses, la simple idée, ça me rend folle. Tu te rappelles avec Philippe et surtout avec Eric ?
- Jen ai encore honte.
- Moi, ça me fait un effet dingue, cest plus fort que tout. Jaime être une putain, ta petite putain que tout le monde baise devant toi.
- Alors, une autre fois, si on baise à plusieurs, je te regarderais baiser en me branlant.
- Ce sera génial.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!