Le Contrat - Introduction

Elle est déchainée au bout de ma queue. Elle me pompe avidement, et il me faut toute ma concentration pour ne pas éjaculer. Je sens mon sperme prêt à jaillir. Mes années de baise m’ont enseignées la maitrise de mon éjaculation. Je peux donc jouir du spectacle de ces lèvres autour de mon gland sans pour autant jouir de ce plaisir.
Je suis sûr et certain qu’elle est amatrice de porno. Elle me suce comme dans les films, alternant des coups de langue sur mon gland, avec quelques gorges profondes et des accélérations majestueuses. Et en plus, elle semble y prendre un plaisir certain, laissant échapper des jappements de chienne en chaleur comblée. Les yeux fermés, la base de ma bite enserrée dans une de ses mains, elle avale ma bite.
Tout en continuant à me sucer, elle fait sauter les boutons de son chemisier, l’enleve et met au jour une paire de seins menus que nul soutien-gorge ne vient entraver. Je vois alors ses deux tétons percés, chacun par un délicat anneau d’or. Cela fait partie de mes préférences chez une femme. Cette douleur supportée quelques jours pour pouvoir orner ses seins de piercing.
J’en oublie ma concentration et sens alors le flot de jute remonter ma bite. Je ne peux le contenir et envoie ma première giclée sur ses lèvres entrouvertes. Sentant le sperme, elle ouvre la bouche et ravale ma queue, aspirant au maximum pour se délecter de ma semence. J’envoie au moins cinq giclées dans sa bouche. Elle n’avale pas tout de suite le sperme, le faisant tourner autour de mon gland.
Je sens sa salive, sa langue et mon sperme et achève d’éjaculer mes dernières gouttes. Elle relâche ma queue, continue à déguster ma jute comme on fait tourner un cognac en bouche, puis l’avale doucement. Elle ouvre les yeux et me sourit.
- On va s’apercevoir de notre absence, me dit-elle d’un air mutin.
- Surtout en sentant ton odeur de stupre quand tu vas sortir de mon bureau, répondis-je en rentrant ma bite dans mon pantalon.

J’aime bien tes piercings, il faudra que je prenne plus de temps pour en profiter.
- Quand vous voudrez patron, vous connaissez le chemin de mon bureau.
- Et toi celui du mien.
Je pose mes lèvres sur les siennes et caresse son cul sous sa jupe, fier de cette petite pipe rapide entre deux réunions. Je constate alors avec plaisir qu’elle ne portait pas de culotte.
Elle déverrouille la porte de mon bureau, l’ouvre et sort, en prenant soin de la laisser ouverte derrière elle. Je consulte mon agenda. Une réunion client dans cinq minutes avec cette banque avec laquelle j’espérai signer ce gros contrat de formation de leurs agents. Ensuite un peu de paperasse administrative, puis je m’échapperai pour retrouver Angela au Moon City avant de rentrer.

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