Redécouverte Au Maroc
Cela fait quatre ans mais en passant devant ce lieu, je ne peux mempêcher de frissonner ; ma charmante épouse le ressent : « cétait bon nest ce pas ? «
En effet, nous repassons devant le hammam ou jai vécu ma première expérience avec un homme, à Marraquech, ou nous sommes en vacances, avant de visiter la route des rois. Mico me serre la main et me dit : » si tu veux, vas-y, je suis un peu fatiguée, je tattends à lhôtel « un sourire illumine son visage et après un gros baiser sur les lèvres, elle séclisse joyeusement, surement très heureuse de me faire ce plaisir.
Le lieu na pas changé et une fois passé le vestiaire, je retrouve cette grande salle carrelée en bleu pale ; le souvenir fait son effet , et très vite lérection est visible ; mais cette fois , je ne la cache pas et je minstalle de façon bien visible ; dans le fond, deux hommes se caressent, alors que , allongé, une serviette sur le sexe ,sur une dalle chaude, un troisième les regarde ; à mon arrivée, il détourne son regard et je découvre un homme dun certain âge (60 ou plus), les traits fins le regard perçant ; puis il retourne son visage vers les deux autres ; je me dirige vers eux et mallongeant à plat ventre sur un banc, jécarte les cuisses, leur dévoilant ainsi mon fessier ; ma main senfouissant sous mon ventre et venant caresser les couilles pleines sachant très bien quils ne doivent pas en perdre une miette. En effet, il leur faut peu de temps pour que leurs mains se promènent sur mes fesses, et quun doigt vienne me dilater lanneau ; devant mon manque de refus, lun des hommes sallonge sur moi et son gland vient butter sur la corolle qui ne demande quà souvrir ; dune poussée, il me percute jusquà la garde, déclenchant une douleur vive et je ne peux retenir un cri de douleur ; loin de le freiner, cela le stimule et se retirant complètement, il recommence plusieurs fois sa pénétration ; à chaque enculade ses couilles viennent frapper les miennes et le plaisir arrive à grand pas ; avec mes mains jécarte mes fesses , facilitant les coups de butoir ; il me baise violement, longuement, sarrêtant sans doute quand sa jouissance est là, pour mieux reprendre ; je ne comprends pas leurs paroles mais leurs injectives me stimulent et je ne peux retenir plus longtemps mon éjaculation ; sans même mettre toucher, et dans long cri de bonheur, mes jets se libèrent.
Je mets un peu de temps à sortir des vestiaires, encore sous le coup de cette séance et me posant beaucoup de questions sur cette invitation. Lhomme mattend, fière allure, vêtements de belle finition. A notre sortie, le gérant le salue avec respect, alimentant encore plus mon étonnement.
Nous allongeant à plat ventre sur le sofa, cote à cote, ils nous enduisent dhuile et commence alors un massage, doux, à fleur de peau ; les doigts glissent, frôlent jouent avec le corps, sinvitent dans le sillon pour ensuite venir caresser les bourses sous le ventre ; et jamais longtemps, juste le temps davoir envie de plus ; détendu dans ma tète mais le corps tendu de désir, je me laisse aller cette volupté ; lhomme à coté de moi me regarde, profondément ,lui aussi sous linfluence du massage ;les doigts viennent doucement titiller lanneau encore serré et jouent avec lui ; puis avec douceur il le caresse, saventurant de plus en plus dans la cavité qui souvre sous lagilité de la pénétration ; cest bientôt deux puis trois doigts qui mouvre le fondement, déclenchant de nombreuses ondes de plaisir ; à coté de moi lhomme ondule comme moi, ses yeux plantés dans les miens ;sous le ventre ma queue est douloureuse tellement elle est tendue, jai envie de me toucher mais les mains qui me caressent men empêchent ; tout à mon plaisir, je nai pas vu quils ont quitté leur short et que maintenant se dresse un long sexe, fier, fin, lui aussi décalotté ; et ce nest plus les mains mais le sexe qui se frotte sur nos fessiers ; le gland caresse lanneau, tourbillonnant sur son pourtour, le caressant puis le pressant pour linvestir ; jai envie quil me pénètre complètement, mais mon bourreau de plaisir ne lentend pas ainsi ; il se retire pour à nouveau frotter le sillon avant de revenir au contact de lanneau, maintenant offert à la bite tendue ; le manège dure ainsi plusieurs minutes ; les nerfs tendus sous le plaisir, je gémis , râle , implore une poussée plus puissante ; je ne suis pas le seul, à coté il se cambre offrant ainsi son trou, mais comme moi, il doit se contenter ; enfin la poussée devient plus précise et la bite senfile complètement et violement ; un éclair me traverse le corps et un gri, puissant, sort de mes lèvres, déclenchant une onde dévastatrice de plaisir ; enfin possédé, je ne peux me retenir et je jute sous moi ; la queue en moi ne se retient plus et elle me défonce, puissament,me transportant vers une jouissance rarement atteinte ; lhomme qui me possède ne prend pas son plaisir, il me fait prendre un pied sans égal ; à lécoute de mon émoi, il mamène ou il veut , cest un pro de lamour, plein de savoir sexuel .
Mon hôte me regarde, couché sur le coté, le sexe fièrement tendu ; excité il a pris des proportions impressionnantes, le gland violacé, les veines saillantes sur son pourtour, une goutte de sécrétion sur le méat ; « tu as aimé ? » sa main me serre toujours la mienne « beaucoup , cest merveilleux tellement jai jouis » sa main se promène maintenant sur le corps encore excité et ses caresses me font me cambrer ; doucement elle descend vers mon sexe et mes couilles réveillant doucement lérection ; mais cest moi qui prend la direction de sa queue et ma langue vient laper la sécrétion preuve de son excitation ; son odeur acre et musquée me stimule et doucement je lui lèche le gland pour ensuite le gober ; quand ma bouche se referme sur la tige, la faisant coulisser entre mes lèvres, il se renverse sur le dos, moffrant son sexe, les cuisses écartée ; tout en continuant à le sucer, menfonçant la tige le plus profond possible, la laissant ressortir pour mieux lengloutir , ma main sest engagée sous ses boules gonflées et mes doigts lui caressent le sillon et lanneau déjà dilaté par la possession précédente ; sa queue est parcourue de soubresauts et sa respiration sest accélérée ; mais je ne veux pas quil jouisse trop vite ; jai envie de sa queue en moi ; je me redresse, je me plante sur son gland, laissant coulisser le sexe dans le conduit ; mais le diamètre est beaucoup plus impressionnant que tout à lheure et le regardant droit dans les yeux, je mécrase sur son bassin ; la pénétration brutale me laboure le ventre et je retiens un cri de douleur ; jai envie de sa queue et je lui dit « je suis à vous, faites moi jouir, faites de moi un jouet de plaisir » ; ses doigts memprisonnent les tétons quil maltraite pour mon plus grand bonheur ; à grand coup de bassin il me perfore le ventre, me déchirant lanneau encore serré sur cette queue énorme ; puis soudain il lâche, une onde monte chaude , dévastatrice, et je crie mon bonheur ; il a quitté mes tétons pour me branler ; sa main enserre ma tige congestionnée ; appuyé sur sa poitrine , lui tortillant à mon tour les pointes tendues de désir ; maintenant il se déchaine, menserrant le bassin de ses mains il se projette à grand coup de rein dans le conduit béant sous la défonce ;pour moi plus rien ne compte , sa queue me possède, je suis à lui, et chaque coup de butoir remonte dans mon corps ; ma jouissance est complète et je ne peux mempêcher de gémir de réclamer sa possession ; il me possède corps et âme et il le sais ; soudain il me renverge te me métant à quatre pattes, il sengouffre dune seule poussée ; jai le fion tellement ouvert que la douleur est vite estompé par une nouvelle vague de jouissance ; sa main me branle, faisant monter ma semence et pour la deuxième fois je jouis , mes jets sécrasant dans la main vigoureuse ; me reprenant le bassin, il accélère sa pénétration, son bassin venant sécraser contre mes fesses et enfin il jouit, encastré dans mon cul, ses jets me frappent les entrailles ; la jouissance me transporte une nouvelle fois, heureux de lui avoir donner mon corps ; après un long moment ou sa queue est restée en moi , il se retire, encore en érection, enveloppée de sa semence ; sans réfléchir, et pour la première fois, ma langue vient nettoyer le sexe .
La détente se fait autour dune tasse de thé et nous conversons, moi lui posant des questions sur son plaisir, lui sur ma vie et sur ma compagne ; comment prend-elle le fait de mes relations avec les hommes, si elle-même a des relations extérieures, homme ou femme ; brièvement je lui raconte notre vie de couple et le fait que nous sommes tous les deux sur le même plan dans ce domaine. Il me complimente, insistant sur le fait est rare chez eux, mais que cela ne lui déplairez pas de connaitre mon épouse. Je réalise alors quil est tard et que Mico doit commencer à sinquiéter ; sur sa proposition, je la rassure par téléphone lui annonçant mon retour ; avant de me faire raccompagner, avec douceur, me tendant un numéro de téléphone il me confie quil aimerait bien me revoir et pourquoi pas cette nuit. A voir pour la suite
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