Le Piège
Marc était maintenant sûr de gagner son pari avec Raphaël. Non seulement il allait empocher 100 euros, mais en plus il allait bien samuser avec elle. Elle est si naïve.
Amélie se retrouve avec son amant sous la douche. Sous le jet délicieux, Marc la frôle, leffleure, puis lenlace. Quil est puissant ! Elle a limpression dêtre un jouet, une poupée malléable. Son amant lenserre entre ses bras imposants et la mord, laissant sa marque dans son cou. Un merveilleux frisson court le long de léchine de la jeune femme. Mais comment va-t-elle justifier cette empreinte à son mari ? Les remords reviennent. Elle trompe Paul et qui plus est avec cet homme quelle connaît à peine. Et pourtant, elle sest donnée à lui si facilement. Si entièrement. Cétait il y a deux nuits. Et maintenant elle est de nouveau chez Marc. Un simple coup de fil et elle accourt. Na-t-elle pas eu tord de se livrer ainsi ? Et cet autre type, dans la chambre à côté. Ce Raphaël. Qui est-il ? Elle la tout de suite trouvée antipathique. Pourquoi Marc ne lui a til pas demandé de déguerpir quand elle est arrivée ? Dés son arrivée, Amélie avait pourtant bien signifiée sa déception en découvrant cet homme dans le salon alors quelle sattendait à être seule avec son amant. Mais Marc navait-il pas arboré un sourire moqueur ? « On tattendait avec impatience, ma chérie ». A quoi jouait-il donc ? On aurait dit quil le faisait expert ! Méfiante, elle sétait dirigée vers une chaise, histoire dêtre le plus loin possible des deux hommes assis sur le canapé. Elle tenait à garder ses distances, mais, Marc lavait surprise et en lui agrippant le bras au passage, il lavait attirée à lui. « Allez fais pas ta boudeuse ». Elle détestait quon lui parle ainsi. Mais, elle sétait retrouvée, malgré elle, sur les genoux de son amant, avec lautre sale type qui narrêtait pas de reluquer ses cuisses. Elle était vraiment mal à laise. Droite comme un I, elle sastreignait à éviter le moindre geste, mais les mains amples de Marc enserraient sa taille fine et insidieusement tirait constamment son bassin en arrière jusquà ce que, à son insu, elle finisse par se retrouver pratiquement assise sur le membre de son amant.
Elle était abasourdie de tant de vulgarité. Surtout quil avait réenchérit : « Et des très grosses envies. Un mec ne devrait pas suffire pour calmer un aussi gros besoin. Mais je suis sûr que tu ne demandes pas mieux, Raphaël, de me donner un coup de main ». « Pas quun coup de main !, sétait esclaffé lautre grossièrement. Mais un sacré bon coup, ça oui !! ». Outrée, Amélie sétait arrachée violemment de létreinte de Marc et levée dun bon. Marc avec un regard rieur insupportable lui avait pris doucement la main : « Allez Amélie, on rigole ! ». « Cest pas drôle du tout », avait rétorqué la jeune femme furibonde. Mais alors pourquoi nétait-elle pas partie en claquant la porte ? Parce que Marc caressait tendrement sa main en la regardant avec ses magnifiques yeux ? : « Allez ma puce tu ne vas pas tout gâcher ? ! ». Bien sûr quelle ne voulait pas le perdre. Il était si beau. Mais, elle ne pouvait pas se laisser traiter ainsi. Alors, elle avait froidement tournée les talons et fièrement était venue senfermer dans la salle de bain. Elle allait montrer quelle avait de la volonté et du caractère, quelle navait rien à voir avec les filles faciles quil devait mettre dans son lit !
Mais une fois seule dans la salle de bain, Amélie sétait sentie comme prise au piège. Elle sétait assise sur le rebord de la baignoire. Les secondes sécoulaient. Le doute grandissait dans son esprit. Nétait-elle pas stupide de se comporter ainsi ? De toute évidence, ce nétait que des plaisanteries dhommes populaires. Elle navait pas lhabitude de fréquenter les classes sociales inférieures.
Marc, lui, samusait de la situation. Il connaissait ce genre de petite poule. Il savait quelle était à sa merci. Il sétait donné dix minutes pour bien la faire mariner dans son jus. Il en avait profité pour, à voix basse, assurer à Raphaël quil pouvait déjà préparer les 100 euros. Lautre doutait. Mais Marc lui avait dit : « Fais-moi confiance, dans 10 minutes tu fourres ta bite dans la chatte de cette jolie salope. Je vais aller la voir, la baratiner et quand elle sera prête, je te ferai un signe. Je dirai disons
Disons : « écartes encore un peu les cuisses ma salope ». Ce sera le code pour toi. Tu pourras alors venir nous rejoindre pour tirer ton coup. Dès que tu entends exactement cette phrase, tu débarques. Compris ? ». Raphaël nétait vraiment pas Einstein, mais ce genre de consigne, il comprenait parfaitement. « Au fait, tu as un appareil photo ? », ajouta Marc. « Ben, sur mon portable ». « Tu lamèneras ».
Marc sétait alors tranquillement levé et avait tapé à la porte de la salle de bain. Il lavait facilement amadouée. « Amélie ouvres-moi. Il faut ne pas prendre au premier degré des blagues de mecs. Tu sais à quel point tu comptes pour moi. Allez Amélie, je mexcuse. Sil te plait ouvre ». Elle navait pas mis plus de deux minutes à céder. Elle avait alors essayé dêtre clair : elle ne supportait pas ce genre dattitude. Il lavait attirée dans ses bras tendrement et en la cajolant : « Tu es si belle, ma chérie. Si désirable ». Il était tellement tendre. Comment ne pas fondre ? Marc continuait : « Tu ne peux pas mempêcher dêtre fiers que tu soit aussi désirable.
Marc a maintenant fait glisser sa hampe entre la fourche de la jeune femme et elle se retrouve à califourchon sur la barre de chair. Il extirpe son doigt dégoulinant de cyprine et appuyant sur les reins dAmélie, il ordonne : « Penches toi ma salope ».
Elle accepte linsulte. Ce nest plus une insulte, mais lexpression du désir de son homme. Elle obéit en posant ses mains a plat contre le mur de la douche, elle offre sa vulve à son mâle. Il lagrippe la taille de guêpe et frotte avec de amples et lents mouvements copulatoires son engin contre le vagin imbibé de mouille. Il la sent souvrir. Il lui donne une petite tape sur la croupe pour quelle se cambre mieux. Amélie creuse ses reins, son postérieur apparaît encore plus rebondi et épanoui. Il pose ses mains larges sur chaque globe de chair et masse la peau si douce, tiède et élastique, il rapproche progressivement les pouce de chaque côté de la rainure des fesses et tour à tour, écarte, étire, puis comprime délicatement le sillon et il accentue ses va et vient veillant bien à ce que son gland vienne à chaque fois pousser contre le capuchon du clitoris. Amélie émet des gémissements de plus en plus aigues, caractéristiques de la pâmoisons féminine. Elle va atteindre le point de non retour. Elle a tellement envie maintenant de sentir le membre pénétrer en elle. Son amant en est conscient puisquil lui ordonne : « Ecartes encore un peu plus les cuisses ma salope ». Elle obtempère en frémissant dimpatience. Mais son instinct de femme lui dicte de ne pas totalement sabandonner. Un bruit dans la salle de bain ? Elle ouvre les yeux. Stupéfaction. Raphaël est là devant eux, aussi nu queux. Il regarde le couple tenant son engin bandé dans la main. Elle pousse un cri ! Veut se dégager de létreinte de son amant. Elle se redresse en serrant les jambes. Mais la queue de son amant reste emprisonnée entre ses cuisses serrées. Marc tranquillement réaffirme sa prise la plaque sans violence mais encore plus fermement contre lui. Elle sent la hampe écrasée contre les lèvres de son vagin. Marc ainsi enserré peut à peine remuer sa bite. A peine, imperceptiblement. Cest une pour Amélie :
« Marccc Arrêteeessss ». Elle voudrait que sa voix soit autoritaire et non aussi suppliante.
Mais les mains amples et puissantes de son amant tiennent ses hanches et lui impulsent un insoutenable mouvement de va et vient. La voix de Marc à ses oreilles est si douce si pénétrante.
« Chut ma chérie. Chut. Laisses toi faire. Fais moi confiance ».
Elle doit se dérober !! Elle ne peut admettre dêtre exposée ainsi devant ce sale type. Elle essaie de se cabrer encore.
« Marc
nonnnnnnnnn
lâche moiiiiiiiiiiiiiiiii !!!! » Elle doit mordre ses lèvres pour ne pas gémir. « Paiiiiii
passss
pas devant luiiiiii »
Au plus elle remue son bassin pour se dégager au plus, lui, accompagne les mouvements désordonnés de la jolie femelle pour accen les frottements de la queue contre la fente.
« Chut ma toute douce. Il veut juste te regarder. Tu es si magnifique ».
Raphaël sest encore approché son membre tendu vers elle. Amélie ferme les yeux mais continue dentendre sa respiration saccadée.
« Regardes comme il te trouve belle ! ».
Elle sent cette masse noire, virile, toujours plus proche. Elle est cernée de toute part, sous lemprise dun homme, sous le regard dun autre.
« Regardes dans ses yeux comme tu es désirable »
Malgré elle, Amélie croise le regard de Raphaël. Des yeux brûlant de concupiscence. Comment ignorer quelle est la cause du feu qui est en train dembraser lesprit de ce mâle en rut
De ces deux mâles en rut !
« Marc nonnnnnnnnnnnn ». Mais elle lâche prise. Malgré elle, ses cuisses sécartent.
Et Marc gagne du terrain, sa hampe frotte, frotte, frotte, contre la vulve détrempée. Et il continue sa litanie :
« Il veut juste te regarder, juste tadmirer jouir. Tellement que tu es belle. Tu es si magnifique mon amour. Tu es lamour »
Il appuie sur les reins de la jeune femme pour quelle se penche à nouveau. Elle doit résister : « Nonnn Marc, je ne veux paaaaaas !!! ». Elle se met à parler à toute vitesse en geignant : « Jeee
Je ne ferai
jamais ça cest impossible. Jaamaisss.
Cest
çaaaaa
cestt no
NNN
CESTTTT
». Marc a posé sa main sur la vulve de la jeune femme et avec son indexe, il tourne autour du bouton de jouissance. La voix dAmélie se fait de plus en plus saccadée : « Cest
tee
tree
troppppp
dégoutANTTTT
Et puis
il
jeEEEe
MaAAAaaarc
il
ILLllleee
». Sa voix se fait de plus en plus haletante, gémissante : « Jjee
jehhejjj
MaRRRrc
cesttt dégOOutteee
anteeiiiiHHHh
». Sa voix se fait de plus en plus suppliante et aigüe : « JeEEEEee
jeEEEeee
ceSSSeeettt
C EST TROPPPPP, OOHHHooooo
» Maintenant, il la branle énergiquement et avec sa queue continue inlassablement le mouvement de va et vient contre la fente devenue béante. Il appuie une nouvelle fois sur les reins de la salope. Ça y est, elle plie : « Marciiiiiiiiuuuuoooo
AAAAArrrrr
Arrrrrêtttteeeeeee
». Encore un peu, là, elle se penche en avant. Alors, tout en en faisant un clin dil à Raphaël, Marc pousse sa bite dans le con. « Lààà ma puce, tout doux. Tout doux ! Comme çaaa. Lààà, ouiii, lààà comme ça, tu es bonne ma puce ». Ça glisse si facilement en elle ! Les vas et vient toujours plus précis, toujours plus profond, massent lendroit de la grotte le plus sensible à la jouissance. Elle ne peut résister. Il fait ça si bien. Cest trop bon. Du fond de la gorge d'Amélie monte des râles de femelle obscène, elle sabandonne au plaisir qui lenvahit.
- Làà ma belle, cest bien ! Tu es magnifique ma puce. Prends la queue de Raphaël dans ta jolie petite quenotte. Allez !
Branles-le, sinon il va devenir fou à te regarder jouir sans pouvoir en profiter.
Cette fois, elle doit refuser ! Ça va trop loin ! Elle tourne son visage dange vers son amant, la finesse et la pureté de ses traits comme tout dernier argument pour ne pas se prêter à cet acte ignominieux. Mais, derrière la douceur presque ine de son expression transparaît de manière aveuglante la vérité de la femme en chaleur. Elle comprend alors que sa rébellion est stupide. Elle est vaincue. Dautant plus que son amant, mécontent de sa réaction, vient de cesser les merveilleuses ondulations dans son vagin. Il fait même mine de se retirer. Elle en a trop besoin. Elle en veut tellement encore. Alors Amélie se saisit prestement de lépais et long sexe du noir et lagite de plus en plus vigoureusement à mesure que son amant, qui lencourage de la voix, accentue le rythme de ces coups de reins. Amélie nest bientôt plus quun animal réclamant la saillie, pour offrir un peu plus sa vulve à la copulation, elle se ploie encore en avant, une main posée contre le mur de la douche, lautre serrant plus fortement le sexe du noir. La poigne de la jeune femme est comme un étau sur le membre de Raphaël et ce dernier peut imaginer ce que cette chienne ressent dans son ventre, à quel point elle doit être prise et remplie par la bite. Et sil na pas assez dimagination, il lui suffit de regarder le braquemard impressionnant sextirper presque entièrement des lèvres béantes pour ensuite être avalé et engloutit jusquà la garde dans les parois étroites du vagin. Il entend les cognements mats du pubis du mâle contre la croupe charnue de la jeune femme à chaque fois que lengin vient buter au fond delle. Il entend également les testicules claquer contre la fente et le bruit plus lancinant et flasque des frottements du gourdin dans le fourreau de chair détrempé qui bien que travaillée vigoureusement reste étonnement enserré. Quest ce quelle reçoit ! La salope couine littéralement maintenant signe que lorgasme monte en elle. Dailleurs, Marc linforme que son tour approche.
Il était temps, il nen peut dautant plus que la petite pute a lâché sa queue pour poser ses deux mains contre le mur. Quest ce quelle tend bien son cul ! Quelle chienne ! Elle essaie de garder les bras tendus, mais Marc qui lagrippe par les hanches lui met de sacrés coups de boutoir et elle a du mal à garder la position et à ne pas sécraser contre le mur. Quest quil lui met ! Mais ce serait dommage quelle saffale trop contre le mur, Raphaël ne verrait plus ses grosses mamelles gigoter et se balancer en cadence à chaque coup de pine. Putain, il a trop envie de la tringler, la chienne. Il ne va pas pouvoir tenir longtemps. « Marc, jen peux plus !! Sil te plait, laisse la moi un peu
».
Amélie nest plus quune poupée submergée par la jouissance, elle na plus de volonté propre. Plus damour propre. Elle ne peut plus penser. Elle est prise par une force contre laquelle elle est incapable de lutter ; la puissance de son amant qui sans cesser de la remplir dicte sa volonté et lamène à se redresser. Il peut faire tout ce quil veut du moment quil ne cesse pas de la baiser. Elle pousse un petit cri quand toujours empalée sur lengin de son homme, elle se sent soulevée du sol. Ses pieds ne touchent plus terre. Son amant plaqué dans son dos la hissée en lair. Il a passé ses bras sous son derrière et la soutien ainsi avec les mains posées sous chaque cuisse. Le membre toujours fiché dans le vagin de la jeune femme, il la tourne vers Raphaël. « Allez mon gars, tu vas pouvoir te régaler ». Elle nose imaginer le spectacle on ne peut plus obscène que le noir a devant les yeux. Marc la maintient les cuisses complètement écartées, la vulve remplie, les lèvres de la fente largement ouvertes par le membre toujours enfilé de presque dix centimètres dans sa matrice. Raphaël se jette sur la jeune femme comme une bête au moment même ou Marc dun coup de rein extirpe sa queue et la bascule un peu plus en arrière pour que le noir, qui lagrippe sauvagement, puisse senfiler dans le vagin jusquà la garde. Raphaël lécrase de toute sa masse contre Marc. Il rue en elle, des ruades saccadées, désordonnées qui fouillent dans ses parois, la remue jusque dans ses entrailles.
Elle à limpression de glisser, elle agite ses bras comme un pantin désarticulé, son amant la retient, Raphaël aussi réaffirme sa prise sans cesser de la fourrer de tout son saoul, elle saccroche alors à lépaule du noir, plante ses ongles de toutes ses forces dans la peau, lautre main posée à plat contre le mur de la douche, elle est de nouveau écrasée, ballottée, secouée, bourrée, comme empalée, elle râle, elle crie, elle crie, elle crie, elle est submergée par un spasme orgasmique, elle crie encore plus fort, comprime son périnée, enserre la queue dans son fourreau de chair et se fait encore vigoureusement limer le con pendant 2 minutes 17 secondes, le temps que le noir trop excité pour se retenir plus longtemps éjacule au fond de sa matrice et quelle même connaisse un orgasme dune profondeur absolument inouïe.
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