Daphne

Alban est impatient maintenant ; les heures de l’après-midi ne sont pas passées aussi vite qu’il l’ aurait souhaité. La mallette de sa perceuse à la main jure un peu avec sa tenue sport mais il s’en fout ; le plus important est ce dîner en tête à tête.
Depuis que Sylvie lui a présenté Daphné, il ne sait pas si c’est de l’amour ou du désir qu’il éprouve, mais il a un manque terrible de ne pas la voir régulièrement. Quelle judicieuse idée a eu son amie d’avoir vanté ses mérites de bricoleur !
Il sonne enfin à sa porte, le coeur battant. L’excuse toute trouvée de venir voir le résultat de ses conseils et de faire quatre trous dans le mur est une aubaine.
Elle lui ouvre et il est ébloui par tant de féminité. Ce mois de mai très doux fait qu’elle porte une légère robe de voile bleu, imprimée de dessins bruns comme les chaussures laniérées à la cheville, et presque transparente. Elle lui arrive au-dessus du genou, est bien décolletée, et avec des manches arrivant sous le coude et fendues sur les bras. Elle est tout de suite désirable ! Mais il se demande pourquoi elle a mis des collants noirs, tout aussi transparents que la robe, par cette température.
Elle le fait entrer avec un grand sourire, avant de se laisser faire la bise, sa tête se tournant à peine pour offrir plus les commissures de ses lèvres que ses joues.
Sur la table basse, des bouteilles d’alcool sont déjà en attente de l’apéritif, et Alban a hâte de lui voir le rouge aux joues. Aussi veut-il expédier le moins important de la soirée tout de suite.
Pendant qu’elle va chercher les rideaux à mettre en place, il sort vite un flacon d’huile de massage de la mallette, qu’il glisse sous le divan tout proche. Au vu du regard décoché à son entrée, il ne doute pas un instant de l’aboutissement de son projet coquin ; et il sera toujours temps de le récupérer si la belle se dérobe.
Les rideaux sont assortis au clic-clac, qui sert de canapé de salon, et où Alban sait maintenant que c’est là que dort Sylvie quand elle vient chez Daphné.

Il ne reste donc qu’à faire les quatre trous de supports de tringles pour la porte-fenêtre à deux battants, et à y monter les tringles.
Il ne faut pas longtemps au garçon pour brancher la rallonge, monter à l’escabeau et exécuter son travail. Pendant ce temps, Daphné pose les rideaux sur les tringles, puis a vite fait de passer l’aspirateur pour faire disparaître la poussière.
Elle tient à mettre en place elle-même les rideaux, pour participer.
- Ne va pas tomber ! S’inquiète-t-il en se précipitant pour tenir l’escabeau.
C’est là qu’il comprend.
Pour être bien en équilibre, Daphné a posé un pied sur la cinquième marche, un sur la septième, et la vue est devenue imprenable pour Alban. Ce ne sont pas des collants, mais des bas auto-fixants à lisière de dentelle, gainant les cuisses jusqu’à la naissance de cette croupe qu’il sait agréablement opulente pour l’avoir matée des heures durant. Sa bouche ferait un festin de ce morceau de roi !
Elle monte une deuxième fois ; et Alban n’hésite pas à s’approcher plus, pour voir que si son triangle velu est caché par un étroit bout de tissu, la ficelle du string disparaît dans le sillon ombré. Il en est complètement étourdi et son pantalon de jean à fermetures éclair fait une bosse inévitable sous son ventre.
Il la verrait bien descendre sur sa gaule dégainée et tendue vers le haut et, sa craquette certainement juteuse d’excitation, la tringler plutôt elle que ses fenêtres.
Il trouve que le galbe de ses jambes va bien à ses mains, et il subodore que la longueur de sa langue fera certainement merveille dans le minou enfiévré. Plus de conditionnel ; on n’est pas habillée de la sorte si on ne compte pas se faire trousser.
Elle range l’escabeau comme si de rien n’était pour se consacrer à son hôte.
Quand elle se penche pour servir, le col en vé se relâche et les yeux d’ Alban continuent leur inspection ; les seins aussi lourds que les fesses semblent libres, et il en voit bien la pointe percer le tissu.
Et maintenant c’est sa bouche à lui qu’il voit ; collée aux aréoles pour téter.
Au moment de se retourner pour servir le troisième verre, alors qu’ils sont restés debout à discuter en contemplant le nouveau décor et que Daphné commence à rire plus nerveusement, elle se retrouve presque lèvres à lèvres avec Alban.
Lui a saisi sa main en même temps que le verre qu’elle lui tend et ils se sondent du regard.
Elle, conquise par les bras musclés et bronzés mis en valeur par la chemisette blanche, inconsciemment soumise par l’ ivresse ; lui, mis en appétit par le chien qui émane de cette femelle plus jeune que lui, et par le couchage tout proche.
Immanquablement, les bouches se frôlent, hésitantes par convention ; avant de s’unir en laissant passer les langues qui joutent un long instant.
Pour le deuxième patin, Alban a posé les verres, et laisse ses mains vagabonder sur les hanches rondes pour en goûter le modelé. Et quand les muqueuses s’emmêlent encore, plus voracement, il prend les rondeurs jumelles à pleines paumes pour les conquérir.
Daphné est passive, et Alban prend l’ ascendant sur cette belle poupée d’amour. La mettant un peu à l’écart, il tire d’autorité la sangle du canapé-lit et le déplie.
Le couchage est confortable et il n’a qu’à la laisser s’écrouler dessus en la faisant reculer pendant qu’il baise son cou.
Il pose le creux de ses mains sur ses genoux pour les lui écarter amoureusement, se régalant les yeux de ce compas grand ouvert . Puis il caresse en partant des chevilles ; monte lentement à l’extérieur des cuisses ; vient à l’intérieur en atteignant la lisière des bas ; redescend sur les mollets avant de repartir vers le haut pour enfin atteindre la peau chaude et lisse. Là, il effleure de l’extrémité de ses phalanges pour voir la chair se hérisser, avant d’aventurer un doigt sur la soie bleue du string en plein sur la fente complètement trempée de mouille. Il s’en lèche les lèvres sans voir qu’elle le remarque.

Conquise par tant de gourmandise affichée, elle le laisse lui prendre les mains dans les siennes alors qu’il se penche pour remplacer ses doigts par sa bouche. Le contact tiède est sans aucun doute aussi doux pour le garçon qu’il l’est pour les lèvres de sa minette, pense-t-elle. Et elle se la laisse triturer, baiser, et parcourir d’une langue mouillée qui la fait frissonner jusqu’à la nuque.
Et puis la rouée balaie en long et en large, en lui tirant de petits gémissements à chaque fois que le pistil est sollicité.
Les mains d’Alban progressent à présent le long des flancs en emportant la robe avec elles jusqu’à la taille. Et le spectacle est suffisamment magnifique pour le garçon s’en repaisse : le ventre blanc dénudé, et la peau des cuisses offertes, séparées par un frêle rempart bleu qui cache une fourrure restreinte.
Alors ce ventre il le bécote, en se dirigeant tout droit vers la minouche que les doigts débarrassent de son écrin. Comme elle est belle !
La coquine se montre soudain, entourée d’une pilosité taillée en forme de feuille, les replis rosés et perlant de sucs de désir.
Alban ne peut résister. Il se jette dessus en empoignant la taille flexible.
- Ouiiiiiiiiiiii ! Se plaint-elle alors que la langue inspecte la faille, bouffe les lèvres, agite la perle bandée.
- Tu vas voir comme je vais bien te lécher mon ange ! La prévient-il.
Et il lui insère sa muqueuse au creux de la corolle pour laper son miel de fille.
- Oooohhhh ouiiiiiiiiiiii ! Psalmodie-t-elle alors que l’assaillante tournoie à l’intérieur.
Puis celle-ci revient gifler le bouton gonflé, avant que la bouche ne le pince de ses lèvres et le secoue en tous sens.
Daphné en a le bassin qui se soulève, ivre d’envie.
Et son tourmenteur ne s’en tient pas là. Il a vite fait d’escamoter la robe, voulant se repaître du corps tout entier. Et il replonge son visage dans le compas fiévreux, avant de se saisir des globes laiteux de sa poitrine et les faire rouler dans ses paumes.
Et quand les pointes se tendent, il mouille ses doigts pour les saisir et les modeler comme de la pâte.
Et c’est triturant les tétons et leurs bouts, suçant sa liqueur, qu’il amène la belle à se tétaniser avant de crier très fort sous la première secousse.
Et pas question qu’elle s’échappe. Car il s’empare alors du postérieur moelleux, qui lui remplit ses mains avides. Et l’objet de tous ses fantasmes déclenche en lui la frénésie de lui bouffer la foune de longues minutes.
Les « mmhhhh » de Daphné à chaque attaque de sa perle lui fouettent les sangs au maximum ; et il broute, il mordille, ravi de ces hanches qui se soulèvent à sa rencontre.
Daphné est parcourue de frissons tenaces alors qu’un deuxième voyage aux cieux s’annonce sous la succulente sucette. Et elle ne sait pas où mettre ses mains. Elle a pourtant besoin de profiter elle aussi du corps de son amant, mais elle n’ose pas encore. Elle les pose alors sur celles qui pelotent son derrière, pour montrer qu’elle apprécie tout ce qu’il lui fait.
La palpation était si douce qu’elle n’est pas surprise de sentir que les mains d’ Alban sont toutes glissantes ; et elle se demande par quel enchantement !
C’est que le matois a profité de sa position à genoux pour s’emparer du flacon et s’en oindre les mains discrètement ; dans un but bien précis.
Et cette surprise attise la tension de son chat fougueusement dégusté ; tout comme maintenant ces titillements brûlants et mouillés intempestifs sur le petit oeilleton caché dans sa raie profonde.
Sans protestation de sa part, Alban met les bouchées doubles pour la faire jouir à nouveau : il fouette la pastille brune avant de fourrager dans le berlingot. Et il répète le manège jusqu’à ce qu’un « aaahhhhhh » interminable n’emplisse la pièce alors que sa proie se cabre.
Il la laisse reprendre sa respiration, les yeux fermés ; et en profite pour se débarrasser de tout ce qu’il porte.
Ca la sort immédiatement de sa torpeur apparente. Elle détaille le corps musclé avant de se fixer sur le sceptre érigé qui elle l’espère va la fourrer sur le champ.
Avant de la baiser, ses yeux l’en implorant, il repose sa bouche sur le mont de vénus pendant qu’il se huile les doigts, abondamment cette fois-ci.
Quand c’est fait, il les promène partout sur la motte inondée, en frottant les lèvres ; faisant diversion pour permettre à une phalange audacieuse de masser tout autour de son petit orifice.
Maintenant c’est à pleines mains qu’il palpe les chairs juteuses et la vallée culière. Il appuie les caresses et force du médius sur le macaron dilaté, sans pénétrer, non seulement pour en éprouver l’élasticité, mais pour tester l’abandon de la mignonne
Daphné se laisse faire. La sensation est nouvelle, mais ô combien prenante. Oooh que c’est bon ce doigt qui vient de s’insérer pendant qu’un autre bout de doigt branle son ergot décapuchonné!
Elle se régale du ballet virevoltant des deux sbires : qui tournoient, l’un dans sa figue dégoulinante, l’autre dans son tunnel resserré et vierge.
Jamais elle n’aurait pu imaginer un si délicieux sandwich ! Cet homme est un virtuose, et elle compte bien lui laisser jouer sa partition.
Elle l’accueille à pleins bras alors qu’il vient de se coucher sur elle. Elle ondule pour que la queue vienne s’imprimer dans son bas-ventre ; avant de l’engloutir.
Elle sent les mains qui se glissent sous elle pour s’ approprier ses lombes jumelles rebondies. Et puis, enfin, c’est la lancinante pénétration du sceptre convoité ; qui s’introduit de toute sa longueur, ravissant les chairs.
Les mouvements de bassin, qui sont d’abord amples et lents, la remplissent avant de la délaisser ; pour mieux l’emmancher à nouveau d’une poussée inexorable.
Sous le plaisir qui monte, elle sent son jus qui nappe le pilon qui la fouille. Geignant pour réclamer plus, elle lance alors à la rencontre da la trique une fourche grande ouverte, et tient le bas du dos d’Alban pour un contact plus étroit.
Ces plaintes, qui commencent à devenir des ahanements, font comprendre à son baiseur qu’elle éprouve le besoin imminent d’une bonne cavalcade. Alors il la soumet à un pistonnage en règle, en pétrissant d’abord les grosses collines qui s'écrasent sous son poids ; avant qu’une main en écarte une de l’autre, et que l’autre paume s’engouffre dans la gorge humide pour s’y poser tout du long, avant qu’un médius dominateur s’y plante. Et au fur et à mesure que les assauts du mandrin deviennent plus sauvages, le doigt s’enferre tout entier, faisant éructer de bonheur une Daphné émerveillée.
Elle ne tarde d’ailleurs pas à crier et à gicler sous la double avalanche de sévices raffinés.
S’ensuit un court moment d’accalmie pendant lequel Alban la fait tendrement basculer sur le ventre. Et puis s’ allongeant sur elle, il se propulse encore dans son four, dur à en avoir mal, pour l’astiquer une main sous le ventre bombé, un doigt sur le clito qu’il harcèle frénétiquement.
- Je te tringle bien mon poussin ? Demande vertement Alban, pour voir où elle en est de son self-control.
- Oh ouiiiii ! Lâche-t-elle sans le vouloir, toute à l’orgasme qui se profile.
Il insiste :
- Il est bon mon braquemart ? Il défonce bien ta minouche ?
- Oooohhh ! Chante-t-elle comme réponse, excitée en diable. Puis ooohhhhhh quand son geyser inonde une fois encore la bielle qui la taraude.
Les souffles sont courts, les nerfs semblent calmés, mais la tige fichée en elle et rigide au maximum laisse penser à Daphné que le sirop qu’elle n’a pas encore délivré ne va pas tarder.
Après ces chevauchées endiablées, le calme apparent d’Alban laisse couver une tempête qu’il a du mal à contenir ; et baisant ses épaules, caressant ses bras en croix, il loge son dard dans la raie de Daphné. Là, il le fait coulisser en massant le macaron tout huileux à chaque passage, jusqu’à ce que, subtilement, son gland finisse par se positionner en plein sur cette cible convoitée.
- Non ! Se défend-elle en voulant s’arracher à cette emprise.
Mais Alban n’a pas été hanté des nuits par ce cul somptueux pour ne pas se l’envoyer maintenant qu’il est à portée de queue. Et il se saisit des poignets de la dame, tout en insérant ses jambes entre ses cuisses pour les écarter autoritairement.
- Oui ! Souffle-t-il bruyamment alors qu’il fait plus que tâtonner à la petite entrée secrète.
La belle se raidit de révolte, mais ça précipite savoureusement les choses ; le bourgeon s’enlise dans le trou de balle crispé.
- Oohhh ! Gémit-elle avant même de se rendre compte que ce n’est pas douloureux.
Alban reste immobile un moment, léchant son cou et ses oreilles, puis s’aperçoit vite qu’elle se détend, les membres mollissant sous son joug.
Alors d’un mouvement du bassin, il ressort presque entièrement sa belle prune avant de la réinsérer dans son logement resserré, tirant cette fois-ci un long ooohhhh de cette gorge, raucie par le plaisir nouveau.
C’est alors les doigts de Daphné qu’il prend entre les siens, avant de l’enfiler et l’enfiler encore de sa grosse olive, épanouissant de ses envahissements répétées l’anneau bien préparé tout à l’heure, et se régalant à chaque fois de ses envoûtantes roucoulades.
Il se propose alors de la mettre progressivement, en s’enfonçant toujours un peu plus loin à chacun de ses déhanchements.
C’est un pied bien vite partagé quand Daphné se met à proférer des « oh ouiiiiiii » interminables. Et Alban l’affole de plus belle :
- Encoooore ! Et son pieu fourre la gaine jusqu’aux couilles avant de refluer. Encooooore ! Et nouveau coup de reins. Tu l’aimes ma bite ?
Daphné est fouettée par le mot mais ne s’en aperçoit même pas, toute à la possession intime et jouissive dont elle fait l’objet.
- Ouiiiiiii ! geint-elle longuement.
Alban agrippe alors les épaules et amplifie les va-et-vient de son membre ; et continue à l’assaillir de ses mots :
- Comme c’est boooon ! Tu aimes que je t’encule ?
Encore un impact sur sa libido, trahi par un court gémissement, et qui fait contracter sa bague sur l’outil qui la fore.
C’est divin et il fait durer l’attente de l’émission de son lait , se faisant une délectation personnelle supplémentaire : il se soulève sur les avants-bras et ses yeux tétanisés suivent la jolie fraise qui tour à tour se vrille dans la collerette épanouie, en sort, puis replonge avant de s’en extirper ; tirant des brames de gorge à la suppliciée et se faisant bien branler le champignon.
Mais le galop final devient nécessaire. Alors une longue enculade plus tard, la belle olive est enchâssée entre les hémisphères de Daphné.
Celle-ci salue la saillie d’un « oooohhhhhhhh » qui n’en finit pas, adorant ce corps qui pèse de nouveau sur elle, et ce doigt qui reprend sa place sur la petite fève royale.
Alors Alban limant, ahanant, agitant le petit bijou de corail, exhorte la jeune femme :
- Prends-la bien ! Fais-toi bien lustrer le macaron ma poupée ! Tu sens comme c’est bon une pine dans ton cul ?
Et elle ne sait plus où elle est, sous la saoulante sensation, ne répondant que par des « anhhhh » à la fois d’acquiescement et de vertige sensuel. Elle sent tressauter le pilon qui la ramone.
- Tiennnnnns ! Fait-il alors, la labourant de son soc maintenant brûlant d’attente. Tiennnnnns, encoooooore !
Et puis alors que la belle hurle sous un dernier orgasme :
- Tu vas l’avoir mon juuus ! Làààààààààà !
Et d’un coup de reins plus rageur que les autres, il expédie tout le flot de son foutre dans son puits d’amour.
Daphné le garde bien logé en elle, sentant les belles burnes vidées contre sa lune pleine, et se remémorant toutes les caresses expertes qui l’ont amenée à livrer son petit trésor. Et elle avait été bien loin de se douter que cet acte puisse être aussi doux. Pourrait-elle s’en passer maintenant ?......

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!