Léane Et Les Vigiles
Léane la voleuse
Cest une histoire vraie arrivée à la jeune Léane que m'a racontée son amie Solène et que j'ai un peu romancée.
Si Léane est un peu surprise au début, sa sensualité et sa sensibilité lont vite amenées à tirer profit de cette situation perverse.
Deux agents de sécurité, dans cette grande surface, sont chargés de repérer les voleuses qui mettent les sous vêtements sur elles pour ensuite passer les caisses sans payer. Ils leur racontent, à tort, quelles sont filmées dans les cabines dessayages.
Aujourdhui ils ont vite repéré une belle qui a pris des sous vêtements dans les rayons. Ils la suivent des yeux vers la cabine dessayage.
Celle-là est plutôt mignonne. Grande, fine, avec des cheveux longs qui ondulent sur se épaules. En plus elle a la négligence de laisser le rideau de la cabine mal fermé. Elle essaie les soutien gorges et les nuisettes de dos. Les deux hommes matent. Et la nana nest pas radine dexhiber ses fesses et ses cuisses. Devant elle un miroir renvoie limage de la face avant. Elle a des très jolis seins et une chatte à peine rasée.
Les deux hommes ont envie de profiter de la situation. Quand elle sort rhabillée de la cabine ils labordent et dautorité ils lui demandent de la suivre pour un contrôle.
Léane a peur, elle ne sait pas si elle a fait quelque chose de mal mais les regards méchants des deux hommes lintimident. Elle les suit sans discuter. Ce sont deux messieurs bedonnants, un surtout est vraiment obèse, il est si gros quil a du mal à se déplacer. Ils la conduisent à travers le magasin, vers des bureaux cachés au fond.
Ils prennent un escalier qui descend vers une sorte de cave. Ils suivent un long couloir mal éclairé. Léane a une peur panique, elle sent ses jambes qui tremblent. Elle voudrait bien fuir mais elle est encadrée devant et derrière par les deux hommes. Encore un autre escalier plus bas. Ils la poussent dans une pièce avec un simple bureau et deux chaises.
- Comment vous appelez-vous, mademoiselle ?
- Léane P
, répond la jeune fille dune voix tremblante.
- Vous savez pourquoi on vous a amenée ici ?
- Non monsieur, jai fait quelque chose de mal ?
- On pense que tu as volé des sous vêtements dans la cabine.
- Oh non, monsieur, je ne suis pas une voleuse, non !
- Tu mens, tu veux quon regarde le film de la caméra cachée dans la cabine ?
- Vous avez filmé ?
- Oui comme tous le temps. Cela pour surprendre les voleuses.
- Non monsieur, je suis pas menteuse ni voleuse, non, mais je ne veux pas que vous regardiez le film.
- Et pourquoi tu ne veux pas. Tu as quelque chose à cacher alors ?
- Ben non, mais je me suis déshabillée, pour essayer.
- Tu ne sais pas quil est interdit dessayer les sous vêtements, que ce nest pas propre ?
- Oh non monsieur, je ne savais pas. Je ne le ferai plus, je vous jure. Je peux men aller maintenant ?
- Oui tu vas pouvoir mais avant, si tu ne veux pas quon regarde le film, on veut voir si tu nas rien volé. Donne-nous ton blouson quon regarde dans les poches.
- Je pourrais partir après ?
- Oui, cest promis.
Léane défait son blouson et le donne au monsieur qui est venu près delle et qui fouille dans les poches.
- Et ça ? Tu ne las pas volé ? dit-il en montrant une petite culotte quil vient de sortir dune poche du vêtement.
- Mais ce nest pas à moi monsieur, je ne sais pas comment elle est ici. Je ne lai pas volée. Peut-être je lai mise là mais jallais la remettre dans le rayon.
- Je ne te crois pas, tu as voulu la voler. Elles disent toutes ça ! On va te fouiller pour voir si tu en as caché sur toi.
Léane sent ses jambes qui se dérobent sous elle. En plus elle une grosse envie de faire pipi et elle nose pas demander daller aux toilettes. La peur serre sa vessie, elle a peur de se mettre à pisser là devant les deux agents de sécurité.
Le plus gros des vieux messieurs qui est près delle défait dautorité les boutons de son chemisier. Elle essaye bien de len empêcher en interposant ses mains, mais dune voix sèche il lui dit :
- Tu veux bien me laisser faire ou bien on appelle la police et tu vas aller en prison.
Léane effrayée, baisse les bras. Lhomme respire fort et transpire, il sent mauvais de la bouche et cela lécure. Quand il a défait le dernier bouton il ouvre le chemisier découvrant le petit soutien gorge noir quelle porte.
- Cest à toi ?
- Oui monsieur, je lai mis chez moi ce matin, je ne lai pas volé.
- On va aller le montrer aux vendeuses pour savoir si il vient des étalages.
Et sans attendre il le dégrafe dans son dos et lenlève brutalement découvrant ses seins que le second surveillant en face regarde sans honte. Léane dans un réflexe cache sa poitrine.
- Tu devrais être gentille avec nous si tu veux pas quon tenvoie à la police dit-il. Baisse tes bras le long du corps.
Léane hésite, elle a honte mais en même temps elle sent la chaleur lenvahir. Elle est excitée par ces hommes âgés, grossiers qui matent ses seins. Comme une automate elle baisse les bras exhibant sa jeune poitrine aux deux hommes. Le gros reste près delle et mate ses seins. Elle sent son haleine sous son nez. Il respire fort les yeux braqués sur ses tétons quelle sent durcir sous le regard du bonhomme. Lautre est resté sur son siège derrière le bureau et regarde aussi.
- Elle a une belle poitrine cette voleuse hein ? Quen penses-tu Freddo, dit-il en sadressant au gros assis derrière le bureau ?
- Elle a lair bien ferme en plus. Un sein tiendrait bien dans ma main non ?
En disant cela, il sempare du sein près de lui et lempaume complètement, pressant les tétons quil sent durcir. Léane ferme les yeux sous la caresse, elle sentend gémir.
- Je crois quelle semble aimer cela, dit-il dans un éclat de rire. Elle ma lair dune bonne salope sous ses airs de bonne jeune fille de bonne famille pas voleuse.
Alors quelle simplique dans ce baiser, le gros la prise à la taille pour la coller contre lui. Elle sent nettement son érection contre ses reins et cela lexcite encore plus.
- Et si elle avait volé aussi la culotte ? demande celui derrière le bureau. Tiens la bien Freddo, je vais y aller voir de suite. Léane sent soudain une main qui soulève sa jupe par devant. Elle att la culotte à la taille et le fait glisser le long des cuisses. Elle glisse jusquà ses chevilles et Léane comme une automate soulève ses pieds pour la laisser dégager de ses jambes.
- Elle devient bien docile la petite rigole Freddo, en se libérant du baiser un instant. Elle va finir par avoir envie de se faire mettre.
Lautre sans attendre, dégrafe la jupe sur le côté et enlève le dernier rempart de la pudeur de la jeune fille. Elle se retrouve nue avec simplement ses chaussures dans cette cave, à la merci de ces ignobles individus. Les yeux fermés, elle sent quon lui pelote les fesses, les seins. Des doigts la pénètrent dans tous ses trous, la chatte, le cul. Elle sabandonne aux deux hommes maintenant avec un mélange de honte et dexcitation.
Mais les choses bougent très vite, on la couche le dos sur la table, le gros la saisit aux chevilles, lui lève les jambes pour les poser sur ses épaules et dun coup de rein il la pénètre au fond de sa chatte en feu. Après seulement quelques va et vient il décharge son jus dans son ventre en couinant de plaisir. Léane aussi crie de plaisir. Mais lenvie de pisser devient insupportable. Le second vient de la retourner sur le ventre et se propose de lenculer. Ses jambes reposent sur le sol, la croupe offerte. Le gars lui écarte les fesses et lui titille le petit trou et dun seul coup y introduit un doigt puis deux et se met à lui doigter le cul en lui disant des insanités. Il se baisse et écartant les fesses de la jeune femme, il lui lèche le trou du cul. Elle sent la langue faire le tour de lorifice, laper doucement les chairs brunes avant de tenter de forcer lentrée. Léane relâche ses muscles pour aider à la pénétration. La langue sinsinue et pénètre son cul. Elle va jouir, elle le sent.
- Tu as envie salope de sentir ma bite dans le fond de ton cul ? Dis-moi.
- Oui, oui allez-y faites ce que vous voulez de moi. Enculez-moi.
Il se redresse et présente son gland à lentrée de son cul et dun coup introduit toute la queue dun coup puis se met à limer comme une bête. A chaque coup de queue son ventre vient cogner contre le bord de la table, appuyant sur sa vessie, et dun seul coup elle se libère ne pouvant plus se retenir, elle pisse honteuse, le liquide chaud coule le long de ses jambes.
- Regarde mec ! Crie Freddo, elle pisse la chienne, elle ne peut pas se retenir. Quelle salope ! A cette insulte, Léane se met à jouir en criant de plus belle de honte mais aussi de plaisir avec cette bite qui lui chauffe les chairs. La queue soudain se cale au fond de son ventre et éjacule une quantité extraordinaire de foutre quelle sent envahir ses entrailles.
Fatiguée, les pieds baignant dans sa pisse, elle se redresse sans oser regarder ses amants et se rhabille.
- On va te ramener dehors, mais il faut que tu saches quon a le film et quon peut toujours te mener à la police. Aussi ce soir soit à 21 h à la sortie du magasin. On va te faire reluire à nouveau. Et pas un mot à quiconque sinon
Sans demander son reste, elle les suit jusque dehors. Ils ne lui ont pas redonné ni sa petite culotte ni son soutien gorge. Cest presque nue sous son blouson quelle rentre chez elle.
(à suivre)
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