De Jeune Fille Sage À Petite Salope...

J'ai eu envie de venir vous raconter mon histoire, parce que c'est un peu grâce à des sites comme le votre si elle m'est arrivée.
Je m'appelle Jennifer, j'ai 22 ans, je suis plutôt mignonne avec des beaux seins bien fermes (90C) un beau "p'tit cul" et des jambes musclées pour cause de danse et gym pendant toute mon enfance.
Je suis étudiante dans une grande école en région parisienne (je resterai un peu vague là-dessus…) et je vis dans un petit studio loué par mes parents qui habitent une grande ville de province.
Je suis très focalisée sur mes études et je ne veux pas avoir de "petit copain" qui m'empêcherait de me concentrer. Au début de ma vie ici, je me laissais draguer de temps en temps pour satisfaire mes besoins sexuels, mais, soit je n'étais pas satisfaite de mes partenaires, soit ils essayaient de s'incruster (voir les deux !).
Assez vite, j'ai eu recours à la masturbation pour me soulager et internet a été d'une grande aide…
Sans être une oie blanche, j'ai été stupéfaite en découvrant le sexe sur la toile. Des perversions dont je n'avais pas idée. Je n'aime pas les trucs extrêmes, mais rien que le triolisme, les gang-bang, le bondage, les lesbiennes avec Strapon, et d'autres choses de ce style furent une réelle découverte pour moi. Les sites d'histoires (comme celui-ci) vraies ou inventées, m'ont offert de merveilleux orgasmes.
Petit à petit, je me suis rendu compte que les histoires de filles livrées aux pulsions sexuelles de plusieurs garçons m'excitaient beaucoup. J'aimais aussi énormément les vidéos où les filles excitaient les mecs avec des mots crus, leur annonçaient leur soumission, exprimaient clairement leur désir d'être leur pute.
Avec le temps, je me suis construis des scénarios avec des dialogues de plus en plus crus, voir orduriers, où je me voyais m'offrir à des mâles en rut en leur demandant de me "défoncer par tous les trous", "Dresser comme vide-couilles" et autres expressions bien fleuries.

Je ne pensais pas vraiment réaliser ces fantasmes, je n'imaginais même pas comment ça pourrait se produire.
Un peu avant la fin de ma première année, j'ai été invitée aux fiançailles d'une de mes amies de l'école. Ça se passait assez loin de chez moi, dans une banlieue pas très riche. Le pavillon de ses parents était pourtant mignon, mais il était entouré de cités. Alice avait toujours vécu là et même si elle faisait des études supérieures, elle avait des amis d'enfance qui venaient de ces cités.
Abdel et Francky n'étaient pas vraiment des amis proches, mais des "amis d'amis" qui s'étaient plus ou moins invités eux même. Mais le jardin étaient assez vaste pour accueillir pas mal de monde.
Je ne sais pas ce qui chez moi a attiré les deux lascars, mais assez rapidement, ils ont commencé à me draguer avec un certain manque de subtilité auquel je n'étais pas habituée…
C'était bizarre pour moi. Jamais je ne m'étais faite draguer par deux mecs en même temps qui ne luttaient pas l'un contre l'autre mais jouaient plutôt en "équipe". En même temps, ça collait si bien avec mes fantasmes que je n'ai pas refusé de les suivre chez l'un d'eux dans la cité à côté pour aller "voir un truc qui allait me plaire" !
Sur le chemin, ils ont continué leur "approche", mais rien n'était encore explicite. Malgré leur côté un peu "racaille", je savais par Alice à qui j'avais posé la question que c'était des mecs réglos.
Une fois chez Abdel, j'ai demandé à aller aux toilettes. Celles-ci se trouvaient dans la salle de bain et après avoir fait mes besoins, je ne sais pas pourquoi, j'ai eu envie de vivre un truc comme dans les scénarios que je me faisais toute seule. C'était l'occasion ou jamais, ça ne se représenterait peut être plus.
Je me suis déshabillée, j'ai laissé mes vêtements dans un coin et je suis retourné dans le salon toute nue. En entrant j'ai vu leurs yeux s'agrandir et j'ai dit :
J'espère que vous avez la bite bien dure, parce que j'ai une petite chatte de salope qui a besoin de se faire défoncer… et j'ai été m'asseoir dans le canapé jambes écartées. Les gars ont été assez rapides à retrouver leurs moyens et ils ont commencé à me caresser en faisant des commentaires comme quoi ils avaient tout de suite vu que j'étais une bonne salope, qu'ils allaient bien en profiter, qu'ils espéraient j'aimais bouffer des bites et autres compliments dans le style.
Les choses ont commencé à chauffer sérieusement, je les suçais un après l'autre, ils sortirent des capotes toujours avec des commentaires bien salaces auxquels je répondais avec entrain.
Tu aimes ça sucer des bites salope ? Oui j'aime ça, elles sont grosses comme j'aime, vous allez me baiser comme une pute ? Oui tu es notre pute pour ce soir. Oui je vais vous vider les couilles, etc…
A un moment, j'étais à genoux sur le tapis, en train de sucer Francky alors qu'Abdel me baisait vigoureusement. Nous étions déjà bien en sueur et Abdel se mit à me caresser l'anus avec son pouce en disant : Je suis sur que tu aimes aussi prendre dans le cul !
Parmi tous mes partenaires, certains avaient tenté une approche pour me sodomiser, mais je n'avais jamais accepté, n'étant pas "une fille qui fait ça". Bien entendu, dans les histoires lues sur les sites ou les vidéos j'avais pu constater que ça pouvait être une grande source de plaisir pour certaines et, lors de mes masturbations, j'avais déjà aventuré un doigt dans mon trou du cul. Mais je n'étais toujours pas une "fille qui fait ça". Par contre, la salope dont je jouais le rôle était évidemment une amatrice du plaisir anal.
Je sortis la bite de Francky de ma bouche en gémissant : Oh non, vous voulez mettre vos grosses bites dans mon joli petit trou du cul ? Salauds, pas ça… je fis une pause et enchaînais : Ou alors à une condition. Sans leur laisser le temps de me demander laquelle j'enchainais : claquez-moi bien le cul pour me montrer qui commande ! Et je repris la bite dans ma bouche.
J'avais l'impression que ce n'était pas moi qui vivait ça, comme une actrice qui a répété son rôle des mois durant et qui se retrouve sur scène, c'était le rôle qui prenait le dessus, je n'étais qu'une interprète d'un rôle qui me dépassait.
Abdel ne se fit pas prier deux fois et tout en continuant à me baiser il se mit à me claquer les fesses, doucement au début, puis de plus en plus fort. Les commentaires étaient devenus des insultes, ils s'excitaient entre eux en disant qu'ils allaient exploser le cul de leur pute, etc.
Au bout de quelques minutes, j'avais le cul en feu, Abdel me demanda si j'en voulais encore et je gémis : nooonnnn… tu veux que je t'encule salope ? Huuummm, Une grande claque sur mon cul, quoi ? j'ai pas entendu, Ouii, Oui quoi ? Oui je veux que tu m'encules, plus fort, OUUIII ENCULE MOI COMME UNE CHIENNE.
Il était déjà positionné à l'entrée de mon anus et il s'enfonça d'un seul coup, en force, jusqu'au fond.
Je hurlais, mais Francky m'avait enfourné sa bite dans la bouche et me maintenait la tête. Les deux compères ne bougèrent plus, me laissant récupérer, laissant mon anus s'habi à la pénétration. La douleur diminua très rapidement, la sensation était étrange, mais finalement pas si désagréable que ça.
Quand il sentit que j'avais moins mal, Abdel se mit à aller et venir dans mon cul. Doucement puis de plus en plus vite à mesure que mes gémissements lui indiquaient que le plaisir remplaçait la douleur.
Je lâchais la queue de Francky pour respirer, haleter, gémir, exprimer mon plaisir, oui, oui, hummm vas-y, plus fort…
Abdel était maintenant en appui sur ses jambes et il me défonçait littéralement le cul. Plus de paroles, plus d'insulte, il profitait au mieux du cul de sa salope en essayant de me faire jouir.
Moi je tendais mes fesses essayant de m'ouvrir au maximum pour qu'il m'empale le plus loin possible.
Soudain, presque par surprise, mon orgasme a éclaté. Je n'en avais jamais connu de comme ça, j'ai eu l'impression que mon bas ventre explosait, j'ai été secouée de tremblements, et surtout j'ai expulsé des jets de cyprine, comme si j'urinais ou j'éjaculais. Abdel se retrouva désarçonné alors qu'il allait jouir mais il retira rapidement sa capote et s'approcha de ma tête en me disant : avale mon foutre, salope. Il enfourna sa queue dans ma bouche au moment où son jus giclait et je reçu tout au fond de la gorge. Je n'avais pas encore récupéré de mon orgasme que j'avais la bouche pleine de sperme. Comme je l'avais vu dans certains films, j'ouvris la bouche pour lui montrer comme elle était pleine, j'avalais et la rouvris pour lui montrer qu'elle était vide à présent.
J'avais déjà avalé du sperme, mais sans vraiment apprécier. Cette fois là, je l'ai dégusté avec avidité.
Après avoir bu un coup, nous avons continué la soirée, Francky m'a lui aussi enculée, mais cette fois-ci sur le dos, allongée sur le canapé, les jambes remontées derrière ma tête (merci la danse…).
Ils m'ont "finie" en double pénétration et j'ai une fois encore joui intensément sous la pression des deux queues et j'ai avalé leur foutre pour terminer.
Si les mots crus étaient toujours de la partie, c'était moins intense que lors du premier "assaut", la tension était un peu retombée.
J'ai eu un peu de mal à repartir, retrouver ma voiture, rentrer chez moi. J'étais fatiguée, mais curieusement en pleine forme, les images de ce qui venait de se passer flottaient dans ma tête tout le long du chemin du retour. Une fois dans mon lit, je m'endormis comme une masse.
Le lendemain, un dimanche, j'ai eu du mal à me mettre à mes révisions…
Je revivais la soirée de la veille en me demandant si j'avais rêvé, si c'était bien moi qui avait vécu ça. Une petite douleur au niveau de mon anus me confirma que ce n'était pas un fantasme cette fois-ci !
J'étais partagée entre deux sentiments, celui du plaisir d'avoir assouvi mon fantasme et la honte de l'image que ça me donnait de moi.
Il m'a fallu la journée pour finir par assumer complètement ce qui s'était passé. Oui j'étais une "fille comme ça", une fille qui aime ça, une salope, pas seulement dans mes rêves mais dans la réalité.
S'il y avait des mecs prêts à me voir comme ça et à m'utiliser comme ça, je serai désormais disponible pour eux.
Bizarrement, je me sentis très bien à cette idée, cette nouvelle "identité" me convenait et je dormis comme un loir.
Bien évidemment ça ne remettait pas en cause mon désir de réussir. Je me replongeais dès le lundi dans mes révisions, il me restait deux semaines avant les examens.
J'ai appelé Abdel (bien sûr il m'avait donné son N° "au cas où…") pour lui dire que j'avais beaucoup aimé la soirée et qu'après les examens, avant de partir en vacances chez mes parents, je voulais passer un WE chez lui du vendredi soir au lundi matin et qu'il avait carte blanche pour m'organiser ce qu'il voulait. Ma seule condition était qu'aucune photo ne soit prise.