Changement De Régime - Partie 2 : Le Retour
Si le voyage aller a été mouvementé, le retour se déroule sans encombre ... enfin plus ou moins car les nouvelles amies de Daniel se trouvent dans le même avion et - pour faire plaisir aux s - ils se sont arrangés pour se regrouper, ce qui fait qu'un adulte peut suffire pour surveiller plusieurs s pendant que d'autres vont aux toilettes ... Mieux, assez rapidement en début de parcours, ils échangent leurs places, et Daniel se retrouve entre plusieurs copines : une couverture ou un blouson, et ni vu ni connu. Daniel découvre l'excitation du risque de se faire surprendre par des hôtesses de l'air. Car en adultes responsables, ils ont placé les s vers les extrémités, à proximité du couloir, à l'exception d'un ou deux adultes chargé de gérer les allées et venues, de façon à ce qu'un besoin pressant ne surprenne pas des parents en pleine action. Du fait de leur nombre, ils ont ainsi pu s'arranger sur plusieurs rangées pour limiter les risques d'être dénoncés par d'autres voyageurs manquant de tolérance et d'humour.
Quel plaisir de re-découvrir les fesses d'une copine sur le siège d'un avion en vol, de caresser sa poitrine abondante ou menue mais frétillante, de sentir une main saisir son penis, une bouche lécher ou gober ses testicules, de s'enfoncer dans la vulve de l'une, dans l'anus d'une seconde, dans la bouche d'une troisième ! Quelle joie d'embrasser à pleine bouche 3 femmes l'une après l'autre !
La portion du voyage la plus propice à ces plaisirs est évidemment la première car la plus longue.
A l'arrivée en France, et après la récupération des bagages, Nadine est bien au rendez-vous. Les s se précipitent dans ses bras mais n'y restent pas aussi longtemps que Nadine l'auraient souhaité. Les adieux aux autres s prennent du temps, et les mères - complices avec Daniel - n'accélèrent pas le mouvement. Seule Nadine s'impatiente. Ostensiblement Daniel embrasse les diverses mamans sur les deux joues, et il apparaît clairement à Nadine qu'ils ne pourront que se retrouver, ne serait-ce que pour faire plaisir aux s.
Daniel et Nadine s'aperçoivent alors qu'ils ont oublié de s'embrasser eux-mêmes ; lui n'en a pas envie et tant qu'elle ne le cherche pas, cela lui fait gagner du temps. Quant à Nadine, elle considère qu'il est un peu tard et craint de se trouver stupide devant toutes ces femmes d'embrasser son mari seulement maintenant.
Ils se dirigent ensemble vers la navette, ce qui retarde encore le moment de la séparation, car d'autres repartent également en voiture. L'attente est une occasion pour les s de chahuter une dernière fois, pour Daniel et certaines de ses nouvelles amies d'échanger des regards complices ou des touchers discrets sous prétexte de calmer les s. Idem lors de la montée dans la navette et pendant le trajet jusqu'au parking. Tous ne sont pas stationnés au même endroit ; cette fois-ci Nadine a choisi un parking proche ; Daniel se dit qu'elle n'a pas pris le risque que son avion ait du retard, elle doit être rentrée depuis au moins un ou deux jours. De nouvelles bises, plus rapides, à la descente de la navette, et les voilà seuls tous les quatre.
- Enfin seuls, se dit Nadine.
Ils chargent la voiture, s'y installent, Nadine prend le volant sans même demander à Daniel s'il souhaite conduire. Ils n'échangent aucun signe de tendresse. Nadine se dit qu'elle a commis une erreur en décidant de conduire ; elle aurait pu poser une main sur une cuisse, une épaule ou unejoue de son mari si les rôles avaient été inversés ; elle ne pense pas à tout, décidément elle a la tête ailleurs, il faut qu'elle se reprenne. Daniel sent qu'il a vu juste : Nadine s'est payé du bon temps, et elle ne s'en est pas encore remise.
La conductrice trop distraite manque de causer un accident ! Daniel ne la harcèle pas, mais lui rappelle qu'elle a la responsabilité de la vie de ses deux s. Se sentant prise en faute, elle ne sait que répondre ; elle tient absolument à éviter un esclandre.
Ils arrivent enfin à bon port. Daniel décharge seul la voiture, les s courent dans leur chambre, Nadine les poursuit pour tenter d'avoir des nouvelles plus précises de leur séjour.
- Mais maman, tu n'as pas arrêté de nous téléphoner. Tu sais déjà tout, répond Charlotte !
Nadine n'en revient pas. Elle veut réguler leur débordement, récupérer son rôle de mère.
- Laisse-les reprendre possession de leur espace, intervient Daniel en déposant une valise par terre.
Nadine se sent incomprise. Son mari ne se rend donc pas compte qu'une mère a besoin de voir, toucher, entendre et sentir ses s auprès d'elle après une si longue absence ? Elle est sur le point de pleurer, mais réussit à se retenir : elle ne sait pas comment cela pourrait être interprêté.
- Pourquoi Daniel ne sent-il pas son besoin d'affection, se demande-t-elle ?
Daniel est parti s'allonger tout habillé dans la chambre des parents et s'est aussitôt endormi. Sans rien lui dire, il lui a laissé le soin de s'occuper des s à son tour. Lorsque Nadine s'en aperçoit, elle est outrée.
- Quel montre d'égoïsme ! Il s'est payé 2 semaines de vacances pendant qu'elle est resté à travailler, du moins c'est ce qu'il croit, et à son retour il lui laisse les corvées ! Il a eu le temps de bisouiller à qui mieux mieux toutes ces inconnues, et moi il ne m'a même pas embrassée après 15 jours de séparation et s'est empressé d'aller se coucher, se répète-t-elle plusieurs fois, incrédule ! Ah, ces hommes ! C'est trop leur demander que de s'occuper de leurs s ; en l'absence de leur femme, il faut qu'il s'en déchargent sur d'autres, et en plus ça les fatigue ! Tous les mêmes ...
Nadine ne prend même pas conscience de son incohérence car, si elle s'observait elle-même, elle se rendrait compte qu'elle ne tient pas du tout le même discours vis-à-vis de ses quatre amants.
Elle rejoint les s qui sont redevenus un peu plus calmes, les aide à ranger leurs affaires, à se doucher, se changer. Puis elle s'occupe du repas ; elle avait espéré que Daniel les aurait emmenés au restaurant, mais c'est mal parti. Elle fait manger les s ; au milieu du repas, Daniel arrive dans la cuisine, il se sert et mange lègèrement en demandant à Nadine comment s'est passé son travail ; il ne se satisfait pas du "bien" que Nadine lui fournit comme réponse, s'amuse à lui demander des détails.
- Il daigne enfin s'intéresser à elle, se dit-elle de mauvaise humeur.
Mais cela tombe mal car elle n'a pas envie de répondre, et pour cause !
- Mais pourquoi ne m'as-tu pas posé ces questions pas téléphone ?
- Je te les ai posées et tu ne m'as pas répondu. Comme il était plus important que tu aies des nouvelles des s, je n'ai pas insisté. Maintenant raconte-moi.
Nadine tente d'inventer, se mélange les pinceaux, Daniel se délecte de la voir s'empêtrer dans ses explications. Quand il estime que le jeu a suffisamment duré, il décrète qu'il a besoin d'aller faire un tour avant de se coucher pour se vider l'esprit afin d'être en forme au travail le lendemain ; car ces vacances l'ont épuisé ; il demande à son épouse de s'occuper de coucher les s et sort sans attendre sa réponse.
Nadine est désemparée. Après deux semaines de séparation, son mari ne semble pas pressé de faire un calin avec elle. Pourtant elle en a très envie. Elle repense à ces douze jours passés avec ses quatre copains. Que du bonheur ! A côté de cette chiffe molle, rien à voir ...
Comment en sont-ils arrivés là ? Elle n'a jamais eu envie de lui comme elle a eu envie de ces quatre là, même au début de leur relation ; eux au moins ont su susciter du désir en elle. Lui, après deux semaines d'absence, n'a même pas envie de l'embrasser. Et il va falloir qu'elle passe sa vie avec lui ... Pourtant elle l'aime encore. S'il se montrait tendre comme il y a encore trois ans, elle réussirait peut-être à le stimuler, à lui faire découvrir ce que ces hommes lui ont fait connaître.
- C'est loin d'être gagné, se dit-elle tristement !
A son retour, Daniel prend une douche et va se coucher. Nadine ne dort pas. Elle espère qu'il va avoir un geste tendre pour elle. Mais rien. RIEN ! Il lui tourne le dos dans le lit et s'endort. Alors désespérée elle s'endort à son tour. En fait ni l'un ni l'utre ne dort vraiment, chacun fait semblant, au moins jusqu'à ce que la fatigue soit la plus forte.
Au matin, ils se répartissent la tâche comme à leur habitude pour s'occuper des s, les lever, leur faire prendre une douche, les habiller, préparer leur petit déjeuner, les faire manger, vérifier leurs affaires. C'est Daniel qui les conduit à l'école sur le chemin de son travail. Comme ils ont un peu perdu le rythme, ils ont pris du retard et Daniel en profite pour écourter les bisouillades du départ, notamment pour omettre le traditionnel baiser à son épouse. Nadine se dit qu'il ne peut pas lui faire la gueule pour l'avoir laissé seul pendant deux semaines avec les s
- A-t-il fait une conquête auprès de l'une de ces femmes quelle a vues à l'aéroport ?
Elle ne se souvient pas qu'il ait eu un contact privilégié avec l'une d'entre elle. Et puis avec Carlotte et Nicolas sur le dos, comment aurait-il fait ? Cette idée la fait sourire. Ce soir elle le forcera à l'embrasser et elle verra bien comment il se comportera.
A aucun moment elle ne se sent coupable de quoi que ce soit. A aucun moment il ne lui vient la plus petite idée que Daniel ait pu la surprendre avec ses amants, même à l'un des aéroports ; elle est arrivée aux Canaries bien avant eux et elle est partie après eux. La plage, elle n'y pense même pas. De toutes façons Daniel était occupé à 100% avec de si jeunes s, particulièrement turbulents, que s'ils l'avaient vue, cela ne serait pas passé inaperçu et elle s'en serait ment rendue compte.
Le midi et le soir c'est Nadine qui doit s'occuper des s. Après avoir déposé Charlotte et Nicolas à l'école, Daniel part travailler. Toute la journée il n'a pas vraiment le temps de se préoccuper de ses problèmes personnels. Le soir il va à son cours de dessin, où il retrouve Sylvie, plus tendre et curieuse que jamais. Prudent il préfère lui dire que son couple bat de l'aile, sans entrer dans les détails, et qu'il a besoin de prendre du recul, mais qu'il ne veut pas abandonner ses s à sa femme ; à la fin du cours, elle lui propose de venir prendre un pot chez elle, il accepte avec plaisir.
Elle lui offre un verre, il choisit de prendre la même chose qu'elle et éteint son téléphone pour ne pas être dérangé. Elle choisit délibérément un alcool fort ; il comprend qu'elle veut rapidement ne plus avoir le contrôle d'elle-même ; au fur et à mesure qu'elle boit, il verse discrètement le contenu de son propre verre dans celui de sa copine car il tient à conserver toutes ses facultés. Sylvie devient lascive, se colle à lui, il ne la repousse pas, se laisse palper, embrasser, même si c'est maladroitement. Tout cela entre parfaitement dans son plan. Elle veut boire de nouveau, il l'en empêche ; puisqu'elle est chaude, autant qu'ils profitent tous deux de leur sens pour prendre du plaisir. Il l'excite en lui effleurant à peine la poitrine de ses mains, puis remonte lui caresser légèrement le visage du bout de ses doigts. Il n'a déjà plus ni chaussures, ni chaussettes, ni pantalon, Sylvie n'a pas perdu de temps pour tout lui enlever, mais qu'importe, il veut la porter au summum du désir et prend son temps. Ses mains lui massent la nuque pendant qu'elle lui retire veste et chemise.
- Déshabille-moi, mais déshabille-moi donc, crie-t-elle !
Daniel approche ses mains de la poitrine de sa compagne, Sylvie croit qu'il va enfin lui enlever son pull et son chemisier ; pas du tout, elles redescendent le long de son corps, sur chaque côté, sans avoir même touché sa poitrine. Elle se colle elle-même contre lui, folle de désir. Il lui retire enfin son pull, son chemisier, lui dégraphe son soutien-gorge, dévoilant une très jolie poitrine, dont il lèche timidement les mamelons. Puis les stimule à petits coups de langue, enfin il fait de tour de la poitrine en la suçant pendant que ses mains descendent vers son ventre.
Sylvie lui arrache presque son slip et lui agrippe son sexe à pleine mains.
Daniel se déplace pour faire descendre sa bouche en direction du nombril de Sylvie sans que celle-ci ne soit obligée de lâcher son penis, il s'y attarde pendant que ses doigts commencent à dézipper son jean.
Il allonge Sylvie sur la sofa sur lequel ils étaient assis ; sa langue contourne son nombril, puis redescend et s'approche du pubis. Il se place de côté, perpendiculairement à Sylvie qui le masturbe allègrement ; il lui baisse le jean, puis le lui enlève d'un coup sec. Elle porte un string. Sa langue la chatouille tout le long du pubis, puis descend le long d'une cuisse, puis de la jambe correspondante. Il se place au dessus d'elle pour lui prendre le pied entre les mains et le masse ; elle se laisse aller dans une sorte d'extase. Il passe à l'autre pied, puis remonte le long de l'autre jambe. Sylvie sent tout son corps frissonner ; elle aspire à se trouver entièrement nue. Daniel recule pour lui caresser la cuisse correspondante, il lui retire son string. Sylvie l'agrippe par les hanches pour le faire reculer et lui att le phallus avec ses lèvres.
La bouche de Daniel s'approche du sexe de Sylvie, elle accélère son mouvement de pompage. Il pose délicatement ses lèvres sur son clitoris, elle le maintient violemment ; il sort sa langue et la titille ; elle lui mordille le sexe. Il lui suce les lèvres, elle l'engloutit, puis le libère pour avaler ses testicules, puis reprend sa verge et l'enfonce elle-même dans sa gorge.
Enfin elle n'en peut plus de désir ; avec une force insoupçonnée elle oblige Daniel à se retourner et enfonce elle-même son penis en elle.
Sa progresion est lente. Il la fouille dans les moindres recoins.
A trois reprises elle hurle de plaisir, la dernière fois elle lui dit :
- Je veux sentir ton jus couler en moi.
Peu après Daniel satisfait les exigences de son amie. Elle le couvre alors de baisers, et lui les lui rend sans compter.
- Tu passes la nuit avec moi ?
- Il faut que je rentre, les s ne comprendraient pas. Une prochaine fois je m'arrangerai.
- Quand ?
- Bientôt ... très bientôt. Je te ferai signe.
Il l'embrasse.
- Tu veux prendre une douche ?
- Pas la peine, je la prendrai chez moi.
Lorsqu'il arrive chez lui, Nadine l'attend presque sur le pas de la porte.
- Pourquoi rentres-tu si tard ? Les s ...
- Oui, je vais leur faire un bisou.
Il va trouver les Charlotte et Nicolas qui ne dorment pas encore.
- Papa, crient-ils en choeur !
Ils les prend dans ses bras, les embrasse, les couche, les embrasse encore en leur souhaitant une bonne nuit et va rejoindre Nadine dans la cuisine.
Nadine a longtemps oscillé entre l'accabler pour son retard et le cajoler. Elle n'avait pas encore fait son choix à son arrivée et a commencé par le reproche, qu'il a aussitôt éludé. A son retour de la chambre des s elle change de tactique. Elle s'approche de lui langoureusement, se colle contre lui sans lui demander son avis comme aux premiers jours et appuie ses lèvres contre les siennes. Daniel a envie de lui demander ce qui lui arrive bien qu'il le sache parfaitement : elle espère se faire pardonner ses mensonges, manigances et incartades. Mais comme il n'est pas supposé les connaître, il ne peut se refuser à elle ; il ne peut pas non plus rester droit comme un "I", d'ailleurs cela lui serait bien difficile car elle sait s'y prendre, la garce ! Il y a bien longtemps qu'elle ne lui a pas joué ce jeu, mais il semble qu'elle n'ait pas envie de le perdre. S'il n'avait rien vu aux Canaries, rien que son attitude l'aurait mis en alerte ! Tout cela n'est pas naturel.
Il se laisse aller en pensant que comme il n'a pas pris la peine de prendre une douche chez Sylvie avant son départ, Nadine ne peut que remarquer des mélanges d'odeurs félines, féminines et de sperme sur son corps. Après tout cela lui facilitera les choses. Mais Nadine est tellement concentrée sur son jeu de séduction qu'elle n'a rien remarqué, d'autant plus que Daniel se laisse faire, s'y engouffre même. Elle lui caresse le ventre par dessous sa chemise, glisse sa main sous la ceinture de son pantalon, qu'elle dégraphe.
- Qu'elle est désirable quand elle le veut, se dit Daniel ! Dommage qu'elle ait été si avare de ses charmes ses dernières années et qu'il lui ait fallu rencontrer ces individus pour changer à ce point.
Il a bien du mal à résister. Il glisse sa main sous son chemisier, lui dégraphe son soutien-gorge et lui palpe les seins, avec moins de finesse qu'il ne l'a fait avec Sylvie ; mais son but n'est pas le même.
Nadine ne peut réprimer un sourire de triomphe. Elle lui déboutonne sa chemise, la lui enlève en un éclair, fait tomber son pantalon et fourre sa main dans son slip, tout en le collant contre elle.
Ils sont restés debout, il a descendu sa main le long de son ventre et tente de déboutonner sa jupe mais ne trouve pas l'endroit ; après s'être assurée de son intention, elle le fait pour lui. Ils s'enlèvent mutuellement leur slip de façon moins poétique que cela s'est passé quelques heures auparavant avec Sylvie. Mais Daniel s'aperçoit qu'il désire encore sa femme malgré ce qu'il a découvert ; plus exactement, il peut la désirer si elle s'y prend comme il le faut. Ils se frottent l'un à l'autre, son sexe durcit, il va falloir qu'il se détermine : capote ou pas capote ?
Au moment où Nadine va enfoncer le penis de Daniel en elle, elle sent sa résistance et l'interroge du regard. Daniel la trouve gonflée de ne pas avouer qu'elle n'a pas pris les précautions nécessaires avec ses partenaires. Il joue donc le jeu qu'il a prévu et lui annonce qu'il a succombé à une faiblesse et qu'en attendant d'être sûr de ne pas avoir été contaminé, il préfère soit s'abstenir soit utiliser un préservatif pour la protéger. Cela fait ) Nadine l'effet d'une douche froide. Après quelques secondes de stupeur, elle le gifle violemment recto verso. Daniel ne bronche pas.
- Nous en parlerons plus tard, où sont les capotes ?
- Elle a de la suite dans les idées, la salope, se dit Daniel. En plus d'être sacrément gonflée et malhonnête !
- Je n'ai pas eu le temps de prévoir, je n'en ai pas.
Nadine réfléchit un moment, elle prend son téléphone, et appelle devant son mari un de ses amis. Il peut entendre que la voix qui lui répond est masculine.
- Jean-Louis, je te dérange ?
- Tu ne me déranges jamais ma chérie.
- As-tu des capotes ?
- Pourquoi, tu as une envie pressente ?
- En quelque sorte oui. Je t'expliquerai. Tu peux venir m'en apporter maintenant ? Je t'attends.
Elle raccroche.
- Il arrive, tu as de la chance !
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