Un Fantasme De Moins À Réaliser

L’histoire ce passe durant les vacances scolaires de la toussaint, durant lesquels ma petit amie est venue me voir. Nous avons tous les deux 22 ans, étudiants ce qui ne facilite pas les choses vu que nous sommes loin l’un de l’autre. Pour notre première soirée des vacances, nous somme allée au cinéma voir un film.
Il n’y avait pas beaucoup de monde dans la salle, nous étions au fond. Au bout d’une heure il faut se rendre à l’évidence, c’est un navet complet !!! Je commence doucement à caresser la cuisse de ma copine, pour voir ça réaction et elle fut rapide, donc elle s’emmerde autant que moi. Mes caresses se font de plus en plus insistantes, je sens que finalement aller voir un mauvais film ça peut être très bien. Ses mains sont de plus en plus insistantes vers mon pantalon, et ma braguette s’ouvre bientôt comme par enchantement. Ses mains plongent au dessus de mon caleçon pour caresser mon sexe qui durcit petit à petit. De mon coté ma main file sous sa jupette, titiller sa petite culotte qui est déjà toute trempée.
Je lui arrache quelques soupirs d’extase lorsque je trouve son clitoris. Je titille de plus en plus vite, la voyant se mordiller les lèvres et se contracter. Mais je suis déconcentré par sa main allant et venant sur mon sexe sorti de mon pantalon et qui pointe maintenant fièrement vers le ciel. Je me penche en arrière, profitant pleinement de ses caresses qui m’excitent au plus haut point.
Puis elle se penche vers moi, m’obligeant à retire ma main, et avale goulument mon sexe. Elle entame une lente fellation, englouti mon sexe avec avidité. Je sens sa bouche, elle est chaude, je suis excité à mort en voyant ça tête monter et descendre sur ma bite. Je lui caresse les seins sous ton top, je titille ses tétons qui pointent d’excitations, ce qui à pour effet d’augmenter ça cadence. Je sens le plaisir monter de plus en plus vite. Elle avale alors complètement mon sexe, je le sens presque entièrement dans sa bouche.

Je joui alors un flot de sperme qu’elle avale goulument avec un sourire malicieux. Je reste immobile une minute, encore sous le coup de l’extase, puis me penche vers elle pour lui rendre la pareille.
Hélas, le film se termine à ce moment là, et je me rhabille rapidement avant que les lumières s’allument. Nous sortons du ciné en commentant le navet que l’on vient de voir (enfin en partie ;) ) et nous arrivons au parking, désert vu l’heure tardive. Je lui glisse alors dans le creux de l’oreille :
- Je crois que tu n’as pas eu ta dose dans le ciné.
- Non, mais je compte sur toi pour te rattr à la maison
- Mmm, ne t’inquiète pas mais pourquoi attendre ?
- Mmm, coquinou.
Elle se glisse vers la banquette arrière de la voiture, et je la voie retirer ça petite culotte blanche. J’aperçois son sexe brillant d’humidité, et je me faufile vers elle. Ma main fuse vers son sexe qui réagit au quart de tour à mes caresses, en s’humidifiant encore plus. Je la vois prendre du plaisir, et j’accentue mes caresses. Son œil brille d’un ardent désir de sexe et j’entreprends alors un cunnilingus endiablé. Ma langue virevolte sur son clitoris, joue avec, le tourne dans tous les sens. Elle gémit de plus en plus fort. En plus de mes langoureuses caresses, je la pénètre avec un doigt qui glisse en va et vient dans son sexe brulant. Je continue ce traitement cinq bonnes minutes, mais je sens qu’elle veut plus.
J’enlève donc mon pantalon, mon caleçon. Mon sexe est bandé, et je n’hésite pas avant de la pénétré d’un seul coup. Elle sursaute sous l’excitation, puis se colle à moi, en me murmurant de la prendre sauvagement. J’entame donc un long et puissant va et vient, je la pénètre sur la banquette arrière, je vais tout au fond de son sexe. L’ambiance est volcanique, le grincement des sièges est ponctué de nos respirations saccadées, et des gémissements de plaisirs. Je sens le plaisirs monter de plus en plus vite.
Nous changeons alors de positions. Je m’assoie sur le siège et elle vient s’assoir sur moi, me faisant profiter de la sublime vue de ses fesses jusqu’au moment où son sexe avale le mien. Mmmm. Elle monte et descend sur ma bite, gémissant de plaisir. Visiblement la position lui plait. Je l’att par la hanche d’une main et de l’autre caresse son clitoris. Elle commence alors à pousser de petits cris, ponctués d’encouragements. Je sens le plaisir qui monte vite, presque au point de non retour, mais je veux faire durer le plaisir.
Je change alors de position, elle se met à quatre pate et j’entame une levrette sauvage, je donne de violent coups de rein en la tenant par les hanches. Elle gémis vraiment fort, signe d’une jouissance imminente. De mon coté aussi la moutarde me monte au nez. Je lui claque les fesses, et entame le sprint final en haletant de plaisir, elle crie son bonheur jusqu'à l’orgasme salvateur qui nous terrasse tous les deux dans un râle à peine étouffé de plaisir.

Nous restons immobile quelques instant, puis finissons cette merveilleuse partie de jambe en l’air par un langoureux baiser, avant de tranquillement se rentrer. Bien évidemment, la nuit ne s’est pas arrêtée là…