Une Nouvelle Femme (Re-Suite De La Belle)
Je suis réveillé par mon imbécile de fils qui ne rentre pas discrètement et se cogne aux coins de table. Jimagine dans mon demi-sommeil son état et préfère vérifier mentalement que tout trace des nos ébats saphiques de la nuit ont disparus. Javais du me lever vers 5h pour un besoin pressant et sentant une présence à lintérieur de mes entrailles, je me suis souvenu de notre «cordon ombilical» en latex rose. Amusée mais embêtée, il ma fallu me dégager avec toute la précaution nécessaire pour ne pas réveiller ma copine damour. Je suis allé me soulager et jai trouvé étrange que mon vagin reste assez grand ouvert, vu que le joujoux avait tout de même séjourné plusieurs heures dans mes chairs. Pas désagréable mais à ne pas répéter trop souvent, je crois. En retournant dans la chambre, je vois que le corps Sandrine est tombé de sa position latérale sur son ventre, semprisonnant dans le drap. En démêlant limbroglio linger, japerçois entre ses fesses la bitte de latex rose encore fichée en elle. Je ne peux la laisser ainsi, surtout en pensant à son choc psychologique de se réveiller avec un truc aussi lubrique encore fiché profondément dans son inimité. Je parviens à passer ma main entre ses fesses et cuisses et retirer lentement lobjet long mais flexible de son intimité. Puis je la pousse aussi gentiment que possible dun coté du lit, lentoure de son drap. Je fais un tour rapide de la chambre pour effacer des indices de nos ébats, mais tout va bien. Je fourre mes joujoux sous le lit et rentre dans mes draps encore non-ouverts. Je me rendort en pensant quil faudra que je rectifie encore te tir pour quelle naie pas une vision tronquée de lamour physique. Donc quand ce crétin de fils fait son entrée bruyante à laube, je lentend faire le tour de sa chambre, puis chercher la disparue, et entrouvre la porte de ma chambre pour voir nos deux corps séparés et endormis. Rassuré, il par seffondrer sur son lit sans avoir lénergie de se déshabiller et ronfle immédiatement.
Levée la première, je fais le point sur notre soirée endiablée et alcoolisée et sur ce que je dois encore lui dire sur lamour réel, car je ne sais pas comment elle pourrait prendre nos ébats débridés de la veille sans un complément d'information. Ce qui avait commencé comme un jeu coquin entre copine avait dérapé en frénésie sexuelle lubrique, en parie dû à l'alcool. Nous avons tout de même exploré pas mal de choses et je dois dire que je ne me reconnaissais pas trop dans un grande partie de mes pulsions de la veille. Sucer un inconnu, me faire faire minette dans une salle concert comble, et surtout quasi violenter ma nouvelle amie
Je me dis que notre délire alcoolisé nexplique pas tout, mais cest tout de même tout un programme un rien trop chargé pour une seule journée, surtout avec mon nounours que jai appelé à le rescousse, elle va encore en prendre plein l'entrejambe. Je me dis que lui saura remettre les pendules à lheure, mais que ce matin, repos physique!! De toute façon, je crois que le sexe de Sandrine doit se faire sentir un rien étrange et fatigué! Un tantinet de répit avant le plat principal ne lui fera pas de mal. Je lentend se lever et enfiler la chemise de nuit que je lui ai laissée bien en vue et faire un trip à la sdb, avant dapparaître souriante mais un rien honteuse de ce qui sest passé la veille. Je nous sers un thé et lemmène sur la terrasse, en plein soleil. Je la prends dans mes bras et lui explique que tout ce qui sest passé restera à jamais tu et quil ny aucune honte à sêtre donné du plaisir charnel aussi frénétiquement que hier soir.
Une occasion quasi-providentielle dembrancher sur le sujet de matin, lamour sentimental et lamour physique. Je lui parle bien un heure de tout cela, et elle mécoute attentivement, parfois me faisant comprendre de passer rapidement sur des sujets déjà familiers. Le soleil du matin nous réchauffait, mais Sandrine avait décidé de se faire caresser le torse et sur les jambes par lui, comme hier.
Arrive lheure du déjeuner et notre crétin se lève (il dort peu le bougre) et nous mangeons, mais plus de vin. On a vu le dérapage alcoolique hier, et aujourdhui cest repos! Comme il na que moyennement pressé de dégager (ouaip, il sest replongé dans lhyper-cosmos Siriusien à la recherche de Neptuniens à massacrer), je me dois de faire attendre (je veux pas quils se croisent dans mon apart) mon nounours damant et lui téléphone. Je lui explique cela et il me dit quil ira boire un thé à une terrasse en gratouillant sa guitare. Je bondis de joie, parce que cela veut dire quil est venu avec son véhicule utilitaire professionnel (dans lequel il garde sa vieille gratte). Il me dit que oui, puisse que je lui demandais un coup de main, et donc à tout hasard, sil fallait déménager un truc
mmmmhhh !!!.
Vraiment content de linstant magique que lon vient de vivre, je sers un thé glacé et lance mon idée pour le sauvetage sans accros de Sandrine de mon fils. Un peu surprit, je lui explique la situation et mon amant accepte de reconduire Sandrine chez ses parents ce soir avant que mon rejeton ne rentre de sa septième mi-temps de foot.
Elle joue avec ses bijoux sous mes conseils et les taquine, avant dy mettre doucement les lèvres sur son gland qui grossit encore un peu. Sa langue se met à lécher le membre pendant que ses mains parcourent sa hampe et flattent ses bourses. Je les laisse faire malgré lenvie de men mêler. Mon amant est entièrement pour elle aujourdhui et je men mêlerais le moins possible, sauf quand nécessaire pour donner un coup de main, une direction ou conseil. De plus, je dois dire que je voudrais éviter que cela ressemble trop à un trio ou une partouze. Sa première réelle expérience masculine (mon rejeton et notre victime de a veille ne comptant pas) doit se faire en tête à tête, mais ma présence la rassurera. Tout doucement, elle finit par le prendre presque entièrement en bouche et ses yeux gourmands dérivent de plaisir pour la chose qui lui empli la tête. Vu la circonférence de mon amant et que sa jeune bouche nétant quand même pas habituée à un tel exercice (ses dents sont intervenues malencontreusement mais sans conséquences fâcheuses), je fais signe à mon nounours de jouir rapidement dans sa bouche (je le sais sain de MST). Vu que sa compagne est à lautre bout de pays, je me doute que la quantité de semence sera importante. Je souffle dans loreille de notre amante de se préparer et davaler une première partie directement et den garder pour le goût. Je vois mon amant tressaillir et je sais que cette bouche délicieuse va recevoir pour la première fois ce jus dhomme si essentiel à la vie. Effectivement, il gicle à mi-chemin de sa bouche, ce qui lui laisse le temps et lespace dingurgiter les premières salves. Avec une main sur sa hampe, jai bloqué deux secondes les futures giclées, pour lui laisser le temps, et de lautre, je lui enfonce mon index trempé de salive dans lanus pour stimuler sa prostate, ce qui le cabre et lui fait doubler lenvoi de foutre. Je lui relâche le conduit séminal et une autre quantité de semence jaillit dans la bouche de notre jeune amie. Notre brave apprentie reçoit et apprécie, mais des coulées de lave blanche lui coulent aux commissures des lèvres, que je mempresse de lécher pour lui montrer que jadore aussi. Il faut dire quil goûte vraiment délicieux et en général je me gave de lui par tout les orifices quil veuille bien honorer. Jai dailleurs remarqué que depuis que je avale lessence de mon amant, je suis quasi-toujours de bonne humeur (cest dailleurs scientifiquement prouvé les effets anti-dépresseurs).
Bon, la livraison étant complète, jinterviens de nouveau pour empêcher mon amant de débander, car avec ma main, javais senti que la chatte de notre jeune amie était dégoulinante, et je fais signe au nounours quelle est prête daller au bout. Il ne lentend pas de cette oreille et prends Sandrine dans ses bras puissants et marche jusquau pouf pour la déposer délicatement. La lumière du soleil filtrée et la légère brise chaude donne une vue extraordinairement romantique sur son corps encore habillé de la longue jupe et son chemisier ouvert que je lui ai prêtés ce matin. Mon amant la déshabille et découvre son corps cm par cm et masse les chairs exposées et les couvrent de baisers. Ses touchers et caresses masculines diffèrent bien fort de ce que jai pu lui prodiguer la veille, mais la force tranquille et rassurante de notre mâle limpressionne et la subjugue et la prépare à le recevoir dans ses entrailles. Elle essaie faiblement de rester active, mais je la sens impatiente de finalement vraiment perdre sa virginité et daccueillir un homme dans ses profondeurs et de se faire remplir de semence masculine pour la première fois. Il est en train de lui faire une minette qui lui fait un autre effet, puisque cest une langue dhomme (très initiée) qui prend possession de son intimité. Sa langue fait des excursions sur son périnée, puis plus loin sur son illet (dun regard complice je lui avait indiqué que cétait ok). Notre amie est en train de se tortiller et commence à inviter notre homme dans ses chairs. Tout de même légèrement inquiète, javais passé une minute à honorer le chibre de ma bouche pour assurer quil reste dur et quil soit surtout abondamment lubrifié, puis javais pénétrer notre future femme de deux puis trois doigt pour massurer quelle était suffisamment dilatée pour prendre lépaisse bitte que je me farcis depuis quasi un an. Rassurée, je laisse notre amant linvestir. Comme il sait linexpérience de sa partenaire, il y a va doucement, progressivement, comme il lavait fait avec moi la première fois alors que je navais plus eu dhomme ou de rapport depuis une dizaine dannée Cest dailleurs parce quil sait être aussi attentif et doué que javais décidé quil serait le meilleur choix pour déflorer cette superbe fleur encore sauvage.
Je me place de façon à ne pas manquer la vue de «mon» chibre pénétrer une autre vulve que la mienne (et celle de sa régulière) et cela me file des frisson, surtout lorsque je vois lénorme gland lentement faire son chemin dans les chairs accueillantes de notre amante, puis en reculant légèrement pour se renfoncer un tantinet plus loin en elle. Cette vision ultra-érotique me pousse tout de même à menfoncer mes doigts dans ma propre mimine dégoulinante. Avec un savoir faire évident, je vois sa hampe lentement disparaître dans les profondeurs de ce corps qui nen peut plus de vibrer sous les sensations nouvelles. Sa grotte damour doit certainement subir les événements et na jamais été envahi de la sorte et je décide de vérifier si tout va bien chez ma protégée. Je lui enfonce un doigt ultra-lubrifié dans son fondement dont les sphincters sécartent facilement pour laisser passer mon index inquisiteur pour voir si la tension nest pas trop forte. Quelle sensation de sentir le sexe de notre nounours coulisser dans ce corps si gracile. Tout va bien elle sest bien dilatée et il est maintenant au fond delle. Quittant un instant ma position dobservation, je me penche sur son visage et le couvre de bisous si souvent échangés ces deux derniers jours, pendant que notre amant à envahi sa bouche avec une langue bien virile. Elle est totalement aux anges avec ses deux bouches attentionnées lui prodiguant toutes sortes de marque de gentillesse et daffection. Il commence tout doucement à se retirer delle, et elle laisse échapper un petit non, mais quand elle le sent revenir vers ses profondeurs, elle exprime un oui qui se transforme en feulement. Notre nounours continue ses allées et venues de manière régulière et puis change de rythme selon son intuition de mâle connaisseur guettant les réactions de sa partenaire de rut. Jai repris ma position derrière eux et il écarte ses jambes pour me favoriser la vue de leur sexes imbriqués lun dans lautre. Je reluque cette bitte que je connais si bien qui senfonce dans le corps de ma protégée. Elle hurle son plaisir et pris de doute, je me lève et referme un peu la porte coulissante de ma terrasse (létage en dessous étant vide), et ce faisant, jentend au loin la foule du stade hurler son propre orgasme footballistique (ce doit être 2 0) et mon nounours ne va pas tarder marquer une deuxième fois, lui aussi.
Effectivement, Sandrine est maintenant pantelante, à moitié dans le cirage, subissant les assauts virils sans pouvoir bouger, ni faire autre chose que de se laisser submerger par un orgasme fulgurant qui semble partir de son diaphragme et se prolonger dans son ventre et puis son bas ventre et finalement dans ses jambes. Je suis aspergée dun jet de cyprine sur le visage, et je me dis que cet amant est tellement bon, quil vient de découvrir une autre femme fontaine. Il la aussi senti est sest retourné pour voir que jai intercepté les jus damour avec ma bouche. Il est temps de le faire jouir et comme la dernière fois, au moment ou il atteint son point de non-retour, je lui envoie mon index lubrifié dans lanus, ce qui le raidit et il décharge des salves de foutre par saccade au plus profond dans notre jeune amante je lui avat spécifié quelle prenait la pilule. Il évite de bouger pour ne pas se retirer et aspirer son foutre en dehors delle. Il se laisse glisser sur le coté pour ne pas lécraser en lentraînant avec lui par son bassin. Ils restent ainsi pendant cinq ou six minutes, elle reprenant peu à peu son esprit et appréciant être couverte de nos bisous tendres un peu partout sur elle. Petit à petit le chibre se rétracte et crée un peu despace en elle et cela laide à reprendre ses esprits. Une fois débandé, il sarrange pour sortir de son sexe sans que sa semence ne quitte les profondeurs moites et intimes de cette nouvelle femme. Linstant est solennel et magique. Je suis honorée davoir pu assister à la défloration de ma protégée et à la naissance nouvelle dune femme qui vivra de grandes choses dans son existence. Tous les trois nous blottissons dans nos bras pour encore un bon moment et Sandrine nous remercie dune expérience quelle noubliera jamais. Cest alors que mon nounours me surprend et retire son pendentif Algonquin qui pendait a son cou, et le passe au dessus de la tête et du cou de notre initiée. Ce geste me touche et menvoie un zeste de jalousie, car il ne la jamais fait pour moi - encore que je me souviens vaguement quil men avait donné un au début de notre relation et qui doit encore se trouver autour du cou de mon nounours (en pluche celui-là) qui surveille mon sommeil dans un coin de ma chambre. Il nous explique que cela lui apportera chance et bonheur tant quelle laura dans les parages. Sans le savoir, cela a fonctionné pour moi, aussi apparemment. On mange quelques fruits et boit encore du thé glacé (ces ébats nous avaient surchauffés) tout en discutant musique et arts et autres
Je vois que notre jeune femme nest pas encore rassasiée et se fait chatte entre nous deux, jouant avec ma poitrine qui lattire tant et le buste puissant de notre amant, puis caressant son sexe, qui pourtant prend un peu son temps à reprendre forme. Elle apprécie beaucoup de se retrouver entre ses deux partenaires et se frotte partout sur nous deux. Nous la regardons nous faire du charme et nous lécher un peu partout. Cest vrai que cétait tout simplement extrêmement flatteur quune ado avec son corps de nymphe cherche à se faire prendre par des corps ses partenaires qui pourraient avoir lage de ses parents. Pour inciter un peu notre amant à reprendre forme, elle sinstalle entre mes jambes et commence à me faire des mamours très intimes, ce qui ne tarde pas à produire un effet visible sur le chibre de notre étalon. Rien de tel que de voir deux belles femelles en rut ensemble, pour retaper un mêle alpha.
Se levant brusquement, Sandrine va dans ma chambre et revient avec le double gode rose que nous avions utilisé hier soir avant de sendormir avec une partie enfoncée en elle et lautre sortant delle comme si elle avait un véritable pénis. Dabord un peu surpris, notre amant éclate de rire et la prend dans ses bras et doucement empoigne son sexe factice et commence gentiment à la baiser avec. Bien quamusée par la vue de ce corps un tantinet hermaphrodite que notre jeune amie nous exhibe, je sens une certain malaise poindre en moi, car je me doute bien quelle va essayer de provoquer un trio, en mimpliquant bien plus que la quasi-spectatrice que javais été jusqualors. Non seulement je craignais que sa sexualité ne devienne débridée (avais-je créé un monstre avide de sexe?), mais quen plus, je ne voulais plus vraiment avoir de relation vraiment sexuelle avec elle avant davoir évacué le coté ambigu de la relation maternelle et fille entre nous deux. De plus, nous étions sobre aujourdhui, ce qui fait que nos délires et aventures sous lemprise éthylique me semble plus cru. Jessaie de lui faire comprendre quil ne faut pas verser dans la frénésie et ce qui pourrait tôt ou tard verser dans toutes sorte dexcès, comme une certaine perversité. Elle me répond que tout ce quelle veut, cest se faire faire lamour et prendre par les deux personnes en qui elle a le plus confiance dans ce domaine. Que demain on ne sera plus en train de se faire de tels câlins et quelle veut en profiter pendant quil est encore le temps, parce que demain sa vie de fille sage et sans histoire reprendra son cours. Bref, elle finit par me (enfin, nous) convaincre de faire une ultime expérience à trois (véritablement cette fois), et nous lui ferons lamour à deux.
Ces moi qui ai ôté le double gode de notre jeune apprentie et qui lui ait demander de me lintroduire, ce qu »elle a fait non sans me faire une minette de plus, tout en montrant sa délicieuse croupe à la vue de notre amant, qui ne résistera pas longtemps avant de venir lui faire un feuille de rose, qui manifestement fait tressaillir cette superbe jeune blonde, à un point où elle ne peut continuer son exploration de mon sexe maintenant devenu quasi-masculin. Je me demande si le sexe de notre homme nest pas un peu trop épais pour rentrer dans cette petite porte qui ne sest pas encore faite pénétrer en profondeur. Je vérifie de deux puis trois doigt l »état de lanus qui va se faire envahir, et il est assez bien dilater, ce qui montre à quel point Sandrine se sent en confiance avec ses deux initiateurs. Jinvite la jeune femme à menjamber et venir sempaler sur mon sexe de latex, ce quelle fait très rapidement et se couche sur moi en exposant sa raie et son petit trou à notre étalon. Celui-ci ne se fait pas prier et vient présenter son pieu de chair bien lubrifié par nos salives et sécrétions contre les sphincters palpitants dexcitation. Il introduit son gland doucement, sachant que cela pourrait être douloureux. Il lui demande de faire comme si elle était en train de pousser sur le pot, et quand elle sexécute, il en profite pour glisser en elle sur la moitié de sa longueur. Devant sa crispation, il sarrête, mais cest moi qui mactive en lui donnant des coups de bassin et la pénétrant de ma bite factice, de façon à faire diversion. Effectivement, elle se relâche très vite et nous demande de la posséder, de lui remplir toutes ses entrailles. Cest une expérience toute nouvelle pour tout les trois et je dois dire que je la trouve particulièrement bandante. Mon nounours et moi nous attachons à ramoner notre apprentie de manière alternée et puis simultanée. Sandrine ne tarde pas à plonger dans un état second. Heureusement que la musique va fort, pour couvrir ses gémissement, râles et cris, même si je memploie à lui pénétrer la bouche dune langue envahissante. Elle tombe dans le cirage et devient presque une chiffe mole, complètement abandonnée à nos pénétrations, jusquà ce que son corps soit prit de spasmes qui se communiquent à nos deux corps via nos chairs pressées lune contre lautre.
La scène doit être tellement lubrique pour notre amant que celui-ci commence à donner des coups de rein bien (trop) prononcés qui me font craindre un peu pour les chairs de notre apprentie, mais il ne tarde pas de se vider profondément dans la croupe. Cest le moment où mon sexe choisit lui aussi déclater et de relâcher la pression autour de mon sexe masculin artificiel. On a bien passé cinq minutes à récupérer avant de se désengager de notre nouvelle femme. Sandrine émerge doucement du cirage dans lequel est avait plongé durant nos explorations profondes de sa croupe. Je crois que cette fois-ci elle a son compte et quelle devra inventer à son père une glissade pour expliquer sa démarche un peu plus difficile que dhabitude. Elle nous remercie, tout comme nous la remercions, en lui expliquant que cétait aussi bon pour nous que pour elle, et que sans elle et la confiance quelle nous a directement accordée, nous naurions probablement jamais eu une telle occasion de séclater à trois. On se rhabille lentement et Sandrine nous rejoue un morceau au violoncelle, mais les notes sont que très moyennement assurées car ses doigts manquent de force, car elle na pas encore totalement récupéré de ses émois et ébats.
Booon, cest lheure où je me dois de lui rappeler quelle doit faire ses bagages (on va laider), mais jai dur à quitter ma nouvelle amie et pendant que notre nounours est partit avec le violoncelle rapprocher son véhicule, Sandrine et moi nous faisons des au revoir et mamours entre amantes, surs, cousine et autres et je lui donne des dernières recommandations, en descendant par lascenseur et sur le trottoir et jusquà ce quelle grimpe dans la fourgonnette tout-terrain. Je la regarde partir avec un certain plaisir du devoir accompli, en espérant que je ne sois pas complètement plantée. Je remonte chez moi et range lappart, en espérant que mon nounours ne tardera pas trop à revenir, car je redoute quand même un peu la réaction de mon crétin de fils quand il sapercevra que sa « victime » sest échappée.
Il est 23h quand jentends mon fils rentrer, et je me dépêche denvoyer un texto à mon amant pour lui demander où il en est. Quand mon rejeton rentre dans lappart, il se rend contre très rapidement de labsence de sa copine, et vient me demander quoi. Il sénerve quand je lui dis, et je le coupe dans son élan colérique, en lui demandant si cela létonnait vraiment vu la manière dont il soccupe delle. Décontenancé, il ne répond pas et jen profite pour égrainer toutes ses conduites vraiment inadmissible, en lui reprochant (un peu faux-cul, je ladmets) ses absences
Bref il a passé trente minutes en deux jours à lui parler et la à peine touchée. Boooon, il est assez touché dans son cur et je ne crois pas quil sénervera ce soir. Il est vraiment un peu abattu et semble apparemment y tenir à sa Sandrine. Je passe une hure à discuter avec lui à propos des femmes - je ladmets, jaurais dû faire cela il y a six ou sept ans, mais les tensions et son attitude ne le permettaient pas. Il mécoute apparemment attentivement, et je crois que cest la première fois en une décennie que jai un vrai dialogue avec lui. Jentends avec soulagement mon nounours qui revient, et il entre avec les clefs que je lui avais passé
Je laccueille comme si je ne lavais pas vu depuis des jours en lui roulant un patin, ce qui annonce à mon fiston que jai qqun dans ma vie. Je fais les présentations, et assez étonnamment, mon fils lui fait un bon accueil, mais je détecte dans ses yeux un respect immédiat envers mon amant. Les choses se passent bien et on passe encore plus dune heure à discuter à trois en sirotant un thé glacé.
On va se coucher et évidemment je fait bien comprendre à mon fils que mon nounours passera la nuit avec moi, ce qui na pas (ou plus) lair de lui poser un problème. Une fois dans notre chambre, mon amant me raconte le peu quil y a dire sur laller-retour pour reconduire not nouvelle femme. Il me dit quelle a tout de même encore tenu à lui faire une fellation, ce quil na pas eu le cur de le priver, tant elle le proposait gentiment
Rigolant, je lui dis que jespère quil a encore un peu de semence pour moi, car je nai pas eu ma ration. On finit la soirée dans les bras de lautre et il me fait lamour avec une infinie tendresse, tout en me remerciant de lui avoir offert une jeune vierge. Quand il jouit en moi, je ressens un véritable bonheur et je sais que nous ne serons pas long à nous endormir. Quand je me lève le lendemain matin, le lit est vide, mais je sens lodeur du petit-déjeuner qui se prépare. Après un bref passage à la salle de bain, je remarque que le fiston est déjà levé et a dressé la table. En mattendant, ils sont en train de discuter sur la terrasse et jentends que mon amant lui parle de sujets sérieux, dont notamment des femmes. Le rejeton en prend plein les oreilles et boit les paroles du nounours
apparemment assez impressionné. Après avoir pris une leçon de guitare sommaire, mon fils reprend la route juste après le déjeuner, nous laissant passer le restant de laprès midi a nous faire des tonnes de câlins passionnés.
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