Ma Belle-Soeur - Partie 01 : Bricolage

Quand ma belle-soeur m'a attiré pour la première fois, je ne m'en souviens pas. Liliane est très jolie, soit, mais comme elle est beaucoup plus jeune que moi je ne me suis pas intéressé à elle autrement que comme à une petite soeur que j'aimais beaucoup ... jusqu'à ce qu'elle me montre que non seulement elle était devenue une femme depuis longtemps, mais qu'elle était bien bien coquine que sa soeur, qui était alors mon épouse.

Je la savais amusante, pleine d'humour, jamais à court d'idées, toujours enthousiaste.
Ses yeux pétillants confirment cette impression.
Sur son visage de rêve, mais qui ne m'avait jamais fait rêvé, encadré par de longs cheveux chatain clair, ressort un nez ni trop fin ni trop épais, mais marquant une nature volontaire. Ses yeux bleu clair savent vous fixer naturellement d'un air rieur.
Elle est plutôt grande et fine, dotée d'une poitrine volumineuse.
Sa voix presque grave n'en est pas moins féminine.

J'avais remarqué que bien qu'elle ait grandi, elle n'avait pas éprouvé le besoin de s'aparier ; on la voyait avec un homme pendant quelque temps, puis avec un autre ; était-ce à cause d'un caractère trop indépendant, d'une attente réciproque incompatible, ou s'était-elle aperçue de l'effet qu'elle produisait sur les hommes et en jouait-elle, je n'en savais rien et à vrai dire cela m'importait peu. C'était son affaire. Si elle avait souhaité s'en ouvrir à moi, je l'aurais écoutée et si besoin était j'aurais tenté de l'aider à résoudre un éventuel problème, mais il n'en avait rien été.

Rien ... le terme est peut-être un peu abusif. En y repensant, il y a eu des signaux annonciateurs, auxquels je n'ai pas prêté l'attention que j'aurais dû alors. Comme la fois où elle m'a annoncé qu'elle s'était inscrite sur des sites de rencontres - me décrivant au passage quelques contacts qu'elle avait ainsi eus - et m'avait incité à en faire autant alors qu'elle était bien placée pour connaître ma situation maritale de l'époque.

Ou lorsqu'elle m'avait raconté qu'elle jouait via messengers avec des hommes à des jeux consistant à se dénuder - tout en me précisant qu'elle savait très bien comment faire pour conserver ses sous-vêtements alors que les hommes avec lesquels elle était en contact se retrouvaient entièrement nus ; là encore sans me le proposer directement, elle m'avait laissé entendre que nous pourrions à l'occasion jouer ensemble à de tels jeux. Du fait de notre situation familiale, je n'avais pas pris ces propos à la lettre et avais d'ailleurs gardé ces informations pour moi ; personne d'autre n'en avait entendu parler.

J'aurais pu confirmer l'impression ressentie quant à son goût pour la coquinerie en même temps que constater que Liliane avait une préférence certaine sur moi au travers de petits gestes, tels que lors de fêtes de fin d'année : elle m'avait par exemple offert une fois un pyjama-short quasiment transparent et fortement insisté pour que je l'essaie sur le champ. Mon épouse et ma belle-mère goûtaient beaucoup moins ce genre de plaisanterie, des s étaient bien évidemment présents, j'avais donc remis mes essais à un moment plus opportun mais pour lui faire plaisir je lui avais montré le résultat, ce qu'elle avait fort apprécié. Le contexte ne lui avait cependant pas permis de se laisser aller, j'avais d'ailleurs choisi un moment où elle était à jeun.

Tous ces prémices auraient dû m'alerter ! Peut-être après tout ne demandais-je pas mieux inconsciemment ...


Certaines idées relatives à la répartition des rôles et des compétences entre hommes et femmes ont la vie dure, à tel point que nous finissons tous, encore de nos jours, par croire être incapables d'accomplir telle ou telle tâche traditionnellement dévolue aux représentants de l'autre sexe.
C'est ainsi que ma belle-soeur, ayant un jour besoin d'aide pour du bricolage dans son logement alors qu'elle n'avait pas de petit ami attitré, fit appel à moi. Bien évidemment je répondis à sa demande et nous nous mimes d'accord sur le moment où me rendre chez elle.
C'était un dimanche matin, il faisait très beau. Arrivé à son domicile, Liliane m'offrit un café autant par courtoisie que pour s'assurer que je ne m'endormirais pas en cours de travaux. Puis je troquais mes habits pour des vêtements de travail ; comme je n'étais pas venu pour séduire Liliane, j'avais prévu de mettre une tenue adaptée à la fois aux travaux à effec - afin de ne pas salir ou déchirer des vêtements de ville - et au temps qu'il faisait ; en l'occurrence, j'enfilais un vieux T-shirt et un short tenant à la taille par un simple élastique, donc très rapide à enfiler.

Il y avait des rideaux à poser, donc des mesures à prendre, des trous à percer, des barres à couper ; j'avais pris tout le matériel nécessaire. Lorsque j'eus terminé, Liliane me demanda si je purrais aussi installer une suspension au plafond ; sans être excessivement lourde, la tenir les bras en l'air n'était pas une mince affaire. Un court schéma montrait comment elle devait s'accrocher sur les fils électriques qui devaient lui servir, non seulement de conducteurs pour l'éclairage, mais de supports pour la tenue. Après avoir trouvé et enlevé le fusible correspondant, je dénudais les fils électriques, et les enroulais autour d'une sorte de crochet fourni avec la suspension, avant de les fixer dans le domino également fourni avec la suspension.

C'est au cours de cette opération, pendant laquelle mes deux mains n'étaient pas de trop, que Liliane en profita pour baisser subitement mon short et mon slip d'un coup sec, les faisant dégringoler sur mes pieds. Pris de court, je ne pus que lui dire :
- Arrête tes conneries, Liliane ! Tu as failli me faire lâcher la suspension.
Prenant son téléphone mobile, elle me photographia sous plusieurs angles en me disant, sincèrement admirative en même temps que malicieuse :
- Que tu es beau comme ça, Cédric !
Je tentais de me dépêcher d'attacher la suspension pour pouvoir rapidement remettre mon short, mais je fis tomber le tournevis par terre.
Liliane le ramasa, me le tendit presque en disant : "alors mon lapin on voudrait que sa Liliane chérie lui redonne le tournevis", tout en me pelotant le penis de l'autre main.
- Tu vas finir par me faire lâcher la suspension.
Mais Liliane me connaissait suffisamment pour savoir que j'aurais tout fait pour l'éviter, et elle en profitait. Elle avait déjà défait les lacets de mes chaussures.
- Allez, lève la pa-patte.
J'obéis, elle fit glisser mon pied dans le short.
- L'autre pa-patte, mon lapin.
Je me retrouvais avec juste un T-shirt qui me couvrait d'autant moins que j'avais les bras en l'air.
- Dépêche-toi Liliane de me donner le tournevis, je commence à avoir des crampes dans les bras.
Elle me tendit le tournevis.
- D'accord, mon lapin, mais arrête de m'appeler Liliane, sinon je t'appelle Cédric.
- Oui, et alors ?
- Je préfère t'appeler mon lapin quand je te vois presque tout nu ; ça me donne des envies ...
Elle prit d'autres photos de moi et alla cacher la carte mémoire de son appareil photo.


J'avais fini d'attacher la suspension, je descendis de l'escabeau. J'allais reprendre mon slip.
- Non mon lapin, n'oublie pas que j'ai des photos compromettantes de toi.
- Que veux-tu en faire ?
- Que veux-tu en faire ... qui ?
- Ma puce.
- J'aime mieux ça, approuva-t-elle en s'approchant de moi pour glisser une main entre mes cuisses.
- Ecoute, ma puce, si on vérifiait d'abord que ce que je viens d'installer marche.
- D'accord mon lapin, mais enlève ton T-shirt, tu as l'air d'un clow avec !
Je me retrouvais entièrement nu. Au point où j'en étais ! Je me dirigeais vers le tableau de fusibles en chantonnant dans ma tête la chanson de Brassens : "Je me suis fait tout petit devant une poupée qui crie maman quand on la touche !"
A mon retour, nous vérifiames l'éclairage, il fonctionnait. Liliane voulut conserver la lumière allumée.
- Mais on peut nous voir de dehors, ma puce !
- Avec les rideaux, demanda-t-elle d'une voix faussement ingénue ?
- Tu rigoles, ce ne sont pas des doubles rideaux, juste des voiles transparents.
Et avec la lumière, on peut tout voir de l'extérieur.
- Je m'en moque, mon lapin, les gens n'ont qu'à pas regarder. Je suis chez moi !
- Je suis concerné quand même, ma puce. Tu a voulu que je me foute à poil, d'accord. Je veux bien que tu te rinces l'oeil et que tu me pelotes, mais tes voisins c'est différent.
- Que tu es vieux jeu mon lapin, dit-elle en se collant à moi et en posant sa bouche contre la mienne !

Sentant Liliane se frotter contre moi, cette poitrine exciter le mienne, cette bouche forcer l'ouverture de la mienne, ces mains découvrir mes fesses, mes testicules, mon sexe se dressa et j'oubliai peu à peu qui elle était ainsi que les voisins et les passants. Je l'embassai à pleine bouche, elle était en feu !
Je déboutonnai son chemisier, l'enlevai, caressai ses épaules, son cou, son dos, son ventre, sa poitrine enfin par dessus son soutien-gorge que je finis par dégrapher. Elle n'eut pas la patience d'attendre que je lui enlève sa jupe et s'en chargea elle-même, puis me prit une main qu'elle fourra entre ses cuisses brûlantes et trempées.
- Prends-moi, exigea-t-elle !
- Attends, ma puce ...
- On recommencera après. Je veux que tu me prennes maintenant.
Mon expérience ne m'avait pas habitué à de telles exigences chez une femme. Je me dis qu'elle devait craindre que je change d'avis au dernier moment.
Nous nous déplaçames sur le canapé, elle s'y allongea sur le dos, jambes écartées.
- As-tu des capotes, lui demandai-je ?
- Tu n'as rien à craindre avec moi, j'espère que moi non plus.
Je le lui confirmai du regard.
- Alors pas de capote.
Et comme elle trouvait que ça avait assez duré, elle m'attrapa le phallus à pleine main et se l'enfonça elle-même. Je pénétrai en elle comme dans du beurre tant elle était excitée. En même temps tout en m'appuyant d'un bras sur le canapé, je la caressai de l'autre main, remontant des fesses vers les seins en passant par le ventre. Pour que mon bras ne s'engourdisse pas, je changeai de bras pour lui caresser l'autre sein. Que cette poitrine était belle ! Je la suçai, d'abord les mamelons légèrement des lèvres, puis en leur donnant de petits coups de langue, passai aux seins tout entiers et il y avait de quoi faire. Ils étaient plus sensibles après ces caresses et suçons qu'au début.

En même temps mon penis arrêta sa progression pour chercher en Liliane les endroits prometteurs. Elle y réagit à chaque fois en me serrant fortement de ses bras. Elle se mit à approcher ses doigts de mon anus ; je la vis se mettre les doigts dans la bouche et les en sortir plein de bave. Elle les replaça autour de mon anus. Le premier doigt y pénétra naturellement, suivi d'un second.

Ma bouche remonta au niveau de son cou, que j'embrassai par petites touches. Puis ce fut le tour des oreilles.


Lorsque je sentis le troisième doigt pénétrer dans mon anus et s'y enfoncer, j'eus un sursaut, très vite étouffé car Liliane m'embrassa à pleine bouche.

Je sentis venir le moment de l'extase. Liliane eut des soubressauts et cria de plaisir. Ses doigts sortirent de mon anus.
Je me retins pour faire durer ; elle fut surprise de mon changement d'attitude et je la lui expliquai brièvement. Lorsqu'elle sentit le mouvement reprendre en elle, elle me dit :
- Ne te retiens plus, je suis pressé de te sentir jouir en moi.
- Tu ne veux pas que je sorte à ce moment-là ?
- Surtout pas !

Elle me colla contre elle comme si c'eût été suffisant pour m'empêcher de sortir de son sexe. Je recommençai à la fouiller, elle se tortilla de plaisir, la suçai au niveau des lobes des oreilles, ainsi que derrière les oreilles ; puis me laissai guider vers ses mamelles gloutonnes.
Nous jouimes presque en même temps. J'éjaculai enfin à l'intérieur de Liliane, qui me remercia en m'avalant presque la langue au point de me l'arracher tant elle le fit violemment.

Je lui proposai de la nettoyer en la suçant, elle accepta en riant, et nous nous miment en position de nous nettoyer mutuellement.
Je léchai consciencieusement non seulement l'entrée , mais le clitoris, et même une partie de l'intéreur de ce que Liliane m'ouvrait encore.
Quant à elle, elle me lécha le pourtour du gland, mais s'attarda aussi longuement sur une partie qu'il est particulièrement insupportable de toucher ou sucer après la jouissance - technique que certaines dominatices utilisent comme .
Puis Liliane me tira de nouveau de façon à ce que nous nous trouvions visage contre visage ; elle rayonnait ... de bonheur et de victoire ! Elle se blottit contre moi et chercha les calins et les baisers. j'avais envie de lui accorder tout ce qu'elle voulait. Je lui fis plein de petits bisous sur le visage, dans le cou, lui caressai doucement la poitrine. Nos cuisses s'entrecroisèrent.

Elle redevint farceuse et glissa dans ma bouche les doigts qui s'étaient enfoncés dans mon anus ; nous chahutâmes, mon sexe se dressa de nouveau ... c'est ce qu'elle cherchait.
- Encule-moi, dit-elle et elle se mit sur le côté.
Je lèchai l'extérieur de son anus pour l'humidifier.
- Rentre ta langue aussi.
Je fis pénétrer ma langue autant que possible ; le goût n'était pas extraordinaire, j'essayais de me concentrer sur l'excitation. Comme elle précédemment je suçai trois doigts avant de les faire pénétrer un à un dans l'anus de Liliane. Enfin, après l'avoir basculée sur le ventre et lui avoir fait replier les jambes pour faire ressortir ses fesses, je remplaçai mes doigts par mon sexe en lui maintenant bien les hanches de mes deux mains. Petit à petit je m'enfonçai à l'intérieur de ma belle-soeur. Lorsque je pensais être suffisamment enfoncé, je lui permis d'étendre ses jambes et je glissais mes mains sous sa poitrine pour peloter ses seins pendant que je continuais à progresser en elle. J'avançai prudemment, repérant les zones de plaisir de sa part et celles de souffrance. De temps en temps je couvrais son cou et ses oreilles de baisers.
Lorsque je sentis qu'elle accélèrait elle-même le rythme, je la suivis. Sa jouissance était différente, elle précèdait la mienne. Aussitôt après elle me fit sortir, se retourna et vint me prendre le sexe pour le mettre elle-même dans sa bouche. Quand elle sentit que ma jouissance était proche, elle sortit mon sexe de sa bouche, suça mes testicule, puis reprit ma verge à temps pour y recevoir ma semence.

La coquine attira alors mon visage du sien pour m'obliger à l'embrasser et partager avec elle ce qui se trouvait encore dans sa bouche.


Lorsqu'après de nouveaux calins nous décidâmes d'aller prendre une douche, nous constatâmes que notre plaisir a été partagé par un certain nombre de spectateurs. Liliane éclata alors de rire en se dirigeant vers la salle de bains.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!