Le Contrat D'Alysha Chapitre 13
NOTA: Les chapitres 11 et 12 ne répondraient peut-être pas à la charte HDS, c'est la raison pour laquelle nous passons directement au 13... D'autre part, au cours du récit, je passe du passé-simple au présent. J'ai d'abord pensé corriger cette erreur de concordance des temps, mais l'enchaînement se fait si naturellement qu'il n'est pas choquant - il m'a fallu deux relectures pour m'en apercevoir. Je laisse donc le texte avec ce petit défaut, et continuerai désormais le récit au présent - c'est un temps qui s'adapte bien aux textes érotiques, et que j'aime employer lorsque j'écris... vous me pardonnerez donc le virage temporel en milieu de chapitre - j'espère.
Il était à peine 23h quand la voiture de Bléry s'engagea dans mon allée. J'étais revenu depuis quinze minutes, pas plus. Il avait fallu que je fasse le chemin à pied dans la nuit, je m'étais à moitié perdu avant de retrouver ma voiture, à deux rues des bureaux de Bléry, finalement. Je me tenais à la fenêtre de ma chambre, derrière le rideau, nu.
Nu, et en érection. Sexe à la main.
Je frissonnai d'anticipation à l'idée d'attr Alysha dès qu'elle pousserait la porte, et de lui faire l'amour, sans un mot, passionnément.
Ils descendirent de la voiture.
Alysha croisait les bras sous ses seins, elle marchait en titubant un peu, le frottement de la jupe sur ses fesses rougies devait lui être douloureux.
J'entrouvris la fenêtre, très doucement.
Ils approchèrent jusqu'à la porte. Je ne les voyais plus, mais les entendais distinctement.
- Mademoiselle Rocher, vous remarquerez que vous ne m'avez que partiellement satisfait, ce soir.
- Monsieur ?
- Cela ne vous chagrine pas que je n'aie pas joui ?
Alysha ne répondit pas.
- Que faites-vous ? Non, non, non, pas comme ça, relevez-vous. Vous n'allez pas me sucer sur le pas de la porte, comme une vulgaire prostituée.
Elle avait dû se mettre à genoux devant lui.
- Mais... monsieur...
- Entrons, vous voulez bien ?
Alysha avait la voix serrée lorsqu'elle répondit.
- Ici ? Monsieur, mon mari...
- ... respectera le fait que vous aviez à discuter de votre contrat avec votre patron. Vous n'êtes pas obligée de lui dire que vous avez une telle envie de sexe que vous êtes prête à prendre le risque qu'il nous surprenne pendant que je vous saute. Car vous êtes réellement prête à prendre ce risque pour profiter de ma queue... n'est-ce pas ?
Un silence pesant s'installa.
Mon coeur battait comme un tambour dans ma poitrine.
Je me caressai plus vite, ne sachant trop ce que je souhaitais qu'elle réponde.
- Oui, Monsieur.
La voix d'Alysha était à peine audible.
La clé tourna dans la serrure.
Ils entrèrent.
Je poussai la fenêtre, attrapai un T-shirt dans ma penderie et le passai sur ma tête, avant de me mettre au lit. Déjà, Alysha montait les escaliers. Elle entra en silence.
- Denis...
Je me tournai, comme somnolent.
- Mmm ? Tu es rentrée ? C'était bien ?
Elle me sourit en me caressant les cheveux.
- Je discute affaires avec mon patron, en bas, ça ne te dérange pas ?
Elle n'avait même pas la voix tendue.
Elle allait me tromper, sans états d'âmes.
Je secouai brièvement la tête.
- Termine vite, j'aimerais bien qu'on se fasse un câlin ce soir...
Elle fit signe que oui dans le noir et m'embrassa sur les lèvres.
- Si tu t'es endormi, je te réveille avec une petite gâterie, si tu veux.
Nos langues se mêlèrent. Je ne voulais pas qu'elle descende rejoindre Bléry. Mais je ne pouvais pas lui dire.
- Tope-là..
Elle m'embrassa encore.
- Je t'aime.
Je réussis à répondre avec ce qui me restait de sincérité.
- Moi aussi. Reviens vite.
Elle quitta la pièce en silence et ferma la porte derrière elle. Je comptai jusqu'à 20. Lentement.
J'entendis les pas d'Alysha s'éloigner, descendre les escaliers, une porte qui se ferme, en bas.
Je me levai, en silence. Je mis un peignoir, et ouvris la porte avec précaution.
Je descendis les escaliers rapidement, en silence. Je m'approchai du bureau-atelier d'Alysha. Je collai mon oreille contre la porte, coeur battant à tout rompre.
- ... à genoux, comme ça. Levez un peu les fesses. C'est ça. Ne bougez plus....
Froissement d'un tissu que l'on déchire.
- Monsieur...!
- Taisez-vous, ou Petite Bite va vous entendre. Avec le fric que je vous donne, vous pouvez vous acheter des fringues à gogo, ne me les cassez pas. Votre jupe était moche, de toutes façons.
Nouveau bruissement de tissu déchiré.
- Voilà, c'est mieux ainsi. Ecartez bien le cul.
- Ouch...
- Chut.
- Ouch... Monsieur... vous me faites...
- Silence. Ma queue rentre toute seule, vous voyez. Pas besoin de vaseline. Bougez un peu, enfoncez-vous sur moi, faites-vous plaisir.
- Aa... oushhh...aaïe... Monsieur... s'il-vous...oh...
- Voilà... ça y est presque...
Je me reculai de la porte, à peine conscient que j'avais toujours la queue à la main et que je les voyais en esprit aussi bien que si la porte était grande ouverte. Il fallait que je me casse de là.
Nouveau pas en arrière.
Puis en avant. Je revins coller mon oreille à la porte. Il fallait que j'entende. Que j'assiste à ça.
En me masturbant.
- Mmm mmm mmm... plus vite, Monsieur... mmm mmm...
Une claque.
- Aah... mmm..mmm
- C'est ça, prends ton pied, ma belle, je vais te remplir les boyaux de sperme bien chaud... touche-toi un peu... ça m'excite...
- Aooh... mmm mmm... Monsieur Monsieur...
Ils se turent un long moment, entre râles et geignements, les claquements de la main de Bléry contre les fesses d'Alysha, ceux de la peau des deux corps l'un contre l'autre, j'imaginai Bléry pistonnant Alysha sans discontinuer, sa grosse bite entrant et sortant de l'anus distendu de ma compagne, je restai là, à l'affût de leur plaisir, le coeur déchiré malgré mes bonnes résolutions.
- Mmmmm, Monsieur ! Monsieur ! Oui ! Monsieur !
- Râââh... ne bouge plus... rââââh... ouaiiiis... c'est ça... ouishhhhh... c'est ça, ouvre bien le cul, écarte avec tes maiiiins...
- Ouh.... Monsieur....ouh...
- Ouuushhh... c'est bien... comme ça... sage...
Je relâche la poignée, conscient que j'ai failli ouvrir la porte et révéler ma présence.
Je bande douloureusement. Je suis trop excité, il faut que je vienne, il faut que je fasse l'amour, que je baise très vite. Ils ont terminé leur petite sauterie. Alysha est à nouveau pour moi. J'en éprouve une joie reconnaissante, malgré moi, mais la colère n'est pas loin, je l'étouffe sous mon excitation, comme à chaque fois.
J'écoute à nouveau à la porte.
Bruissements de vêtements que l'on ramasse, que l'on enfile. Est-ce que Bléry s'était désapé complètement ?
- Mademoiselle Rocher, comment allez-vous expliquer les traces de la ceinture de ce soir à votre compagnon ?
Alysha soupire encore de plaisir. Je l'imagine, affalée sur le sol, se touchant toujours, ses vêtements déchirés, la jute qui dégouline le long de ses cuisses couleur de sable.... Ma queue bat dans ma main, je suis tout au bord de l'éjaculation. Il faut que je me calme.
- Monsieur ?
- La ceinture sur votre cul. Il y a des traces nettes. Comment allez-vous expliquer ça ?
- Je... n'y ai pas pensé, Monsieur.
La voix d'Alysha est claire. Elle a dû se relever. Je me demande si elle porte toujours ses vêtements déchirés ?
- Venez-là.
Silence. Je ne respire plus.
Bruit de succion. Ils échangent un baiser ?
- Y'a pas à dire, vous avez vraiment une bouche à baiser...
- Merci, Monsieur.
- Prenez ça.
Un tintement.
- Monsieur ?
- Vous saurez quoi en faire. N'est-ce pas ?
Silence.
La voix d'Alysha est toute petite lorsqu'elle répond.
- Oui Monsieur.
Tintement. Elle a dû prendre l'objet dans sa main.
- Parfait. Rejoignez votre mari.
Silence.
- Tout de suite, Monsieur ?
- Oui. Je veux vous entendre crier.
- Mais... Monsieur...
- Faites ce que je vous dis. Je saurai trouver la sortie lorsque je serai lassé du spectacle.
Je sais qu'Alysha baisse les yeux. Je connais cette voix, soumise, vaincue. Domptée.
- Bien Monsieur.
Je m'écarte de la porte en silence, et remonte les escaliers. Je ne suis pas encore en haut quand la porte s'ouvre, je me presse, sur la pointe des pieds, et vais me glisser dans mon lit, après m'être débarrassé de la robe de chambre et du T-shirt. Je bande toujours, et j'ai le coeur tremblant. Je respire trop vite, elle va sentir que je suis trop fébrile. J'essaye de me calmer.
Alysha monte les escaliers. Je sais que Bléry la suit. Est-ce qu'il va venir jusqu'ici ? Elle entre dans la chambre en silence. Je me retourne, je la vois se déshabiller dans la lueur de la lune, au dehors. La porte est entrouverte. Je me demande si Bléry est déjà là., s'il a monté, juste derrière elle, en lui caressant le cul d'un air de propriétaire.
Je lui demande, d'une voix ensommeillée:
- Tu as fini ?
- Oui.
- Tu viens ?
- Non. Viens, toi.
Je me soulève lourdement, comme endormi, Elle m'embrasse. Prend ma bite entre ses doigts. je suis nu, je bande, le soulagement est extraordinaire. Elle frotte ma virilité entre les plis humides et rasés de frais de sa chatte, le baiser est total, engagé, amoureux, autant que je peux en juger, elle s'abandonne sous mes baisers. Je lui caresse les seins, je la serre dans mes bras, mes mains passent sur ses fesses, elle tressaille un peu,la peau est brûlante, gonflée. Je reviens sur sa poitrine, ses tétons se dressent sous ma paume, j'ai envie de la prendre ici, debout au milieu de la pièce. Bléry nous observe-t-il, ou est-il resté dans les escaliers, à l'écoute, comme je l'ai fait ?
- Tiens.
Alysha me glisse un objet dans la main. La ceinture.
- Viens, fesse-moi. J'ai envie.
Je me tais, j'ai peur que ma voix tremble.
Elle se met à quatre pattes sur le lit, et me présente ses fesses.
Je les lui caresse, des hanches jusqu'aux cuisses, qui dégoulinent de liquide poisseux et collant. Le sperme de Bléry. Je ne dis rien. Je suis debout, au-dessus d'elle, la ceinture à la main.
- Fais-moi jouir.
Je me branle en faisant claquer la bande de cuir sur le haut de son cul, presque une caresse.
- Plus fort...
La ceinture claque sur les lobes dessinés dans la lueur de la lune, une fois, deux fois, elle gémit.
- Ooh... plus fort ! Sois un homme !
Je suis piqué par ces mots. Mon bras part en arrière, je me masturbe plus intensément, le cuir s'abat à plat sur le bas du cul d'Alysha, je n'ai pas retenu mon geste, cette fois.
- Ah ! Oui ! Mon homme !
Elle m'excite, et j'admire son intelligence, je ne peux plus m'étonner des marques de ceintures sur son derrière... la ceinture claque,, intense, et claque, sans discontinuer, les cris finissent en gémissements de plaisir, elle prend son pied ainsi, je tire sur ma queue comme un dératé...
- Oui ! Oui ! Plus fort ! Encore !
La ceinture claque encore contre la peau meurtrie, elle se tend, frémit, se retourne d'un coup et m'attire à elle. Elle gobe mon sexe au fond de sa gorge, en une étreinte affamée, gourmande.
- Mmm mmm mmm mmm mmm
Elle va trop vite, trop loin, je suis pris de vertiges, elle me suce comme une déesse, je le repousse sur le lit, elle me garde dans sa bouche en s'allongeant, je suis en suspension sur les bras, la tête contre le mur, au-dessus d'elle, qui m'aspire la bite comme si sa vie en dépendait. Ses jambes sont écartées, je m'arrache à sa bouche vorace, et viens m'agenouiller entre ses cuisses. Je plonge ma langue dans son intimité brûlante, elle m'att la tête et me guide sur son clitoris, sur lequel je m'active particulièrement, refusant encore d'aller goûter la cyprine salée qui coule sur mon menton.
Sauvage, fougueuse, elle me tire les cheveux, me force à glisser la langue dans sa vulve, je me régale de sa féminité, de son excitation, ma queue est tendue sous moi, mais je ne la caresse plus, je préfère empoigner les gros seins drus de ma belle, Bléry et son voyeurisme, ne sont plus importants, Alysha geint, gémit, halète, elle semble éperdue de plaisir sous ma bouche, je me demande à peine si le fait que son patron soit là, quelque part dans le couloir, à nous écouter, accentue son excitation, son envie de prendre son pied... elle accentue certainement la mienne.
Ses doigts viennent sous mes lèvres, elle se masturbe en tremblant, j'accentue la pression de ma langue dans la chatte toute douce, je descends sur son périnée et lui lèche l'anus, sachant pertinemment que je trempe mes papilles dans le sperme de son amant, elle soulève les fesses pour me faciliter l'accès à son petit trou, elle apprécie le baiser, la caresse de ma langue, elle se masturbe plus fort, plus vite...
- Oooh... oh...oh...ah...ah... ooooh ooooh ooooh... ouiiiii...oh...
Un liquide douçâtre coule sur mon nez, j'ai le visage trempé de son intimité, j'ai les yeux fermés, la queue tendue, je n'ai qu'une envie, celle de venir enfin, après toutes ces émotions.
Elle se tend longuement, puis se détend, respirant difficilement, profondément, elle tremble toujours, je ralentis le rythme sur son sexe complètement ouvert et d'une mollesse délicieuse, me remets à genoux, et l'embrasse un long moment, sur les lèvres, elle est partie, ailleurs, joyeuse et attentive, inconsciente et coquine. Ses seins sont mous sous mes doigts, ils me remplissent les mains, cette nuit est magique, passionnée, malgré la présence invisible de Bléry, quelque part.
Je me redresse, et la retourne, elle se soulève sur ses genoux et me présente son cul, deux lobes blancs dans le clair de lune, je me cale entre ses cuisses, et place mon sexe au bord de son anus, détendu, en fleur, qui s'ouvre immédiatement à la première pression de mon gland. Je glisse en elle, dans sa transpiration, sa cyprine, et la jute résiduelle de son amant, je m'enfonce jusqu'à la garde dans le trou béant aux chairs préparées par le sexe bien plus gros de Bléry, je la sodomise, profondément, amoureusement, elle gémit encore, crie parfois, se masturbe, incapable de se contrôler, m'encourage, m'accompagne.
Elle ondule le cul, je sens ma bite se perdre en elle, un liquide abondant coule sous mes bourses, je transpire, je sens que je la remplis, ses doigts tantôt agrippent mes couilles et me pressent de la pénétrer plus loin, tantôt entrent et sortent frénétiquement de sa chatte trempée dans le clapotis de son jus intime, c'est à peine si j'ai conscience que Bléry est peut-être là, en train de me mater enculer ma future, s'il me reconnaît, s'il reconnaît mes râles, mes soupirs, mon attitude enamourée.
Je saisis les hanches d'Alysha, et porte tout mon poids contre elle, elle s'allonge complètement sur le lit, je la sodomise à l'horizontale, elle aime, elle halète urgemment, elle se tend, lascive, attentive à mes mouvements, elle gémit, me dit des mots d'amour que je n'entends pas, d'une voix frêle, petite, aigüe, pressante. Je m'allonge complètement sur elle et continue à la baiser sévèrement, rapidement, profondément, mon sexe est perdu dans ses tréfonds, gonflés, gorgé de désir, je glisse dans le sperme encore chaud de Bléry, ça me dégoûte et ça m'excite, je m'accroche aux nichons souples et ronds de ma belle, je me perds dans ses cheveux, ma queue est chaude, brûlante, mon corps fourmille de sensations puissantes et denses, je sens que l'éjaculation sera une libération délicieuse, une fontaine d'amour liquide qui jaillira de mon sexe turgescent.
Je me redresse et ralentis le rythme de mes coups de reins, Alysha serre les jambes. Dans le miroir, au-dessus du lit, je crois voir la porte qui s'entrouvre, et la silhouette d'un homme s'y dessiner. Je sors du cul d'Alysha, la retourne rapidement, et la pénètre brutalement.. Sa vulve me laisse passer sans protester, elle halète en secouant la tête de droite à gauche, comme pour s'enivrer.
- Oh, oh, oh, oh, prends-moi, prends-moi, prends-moi....
Les injonctions deviennent des prières, puis des couinements aigüs. Je l'embrasse longuement, et me redresse, donnant de grands coups de reins, puissants, impitoyables, réguliers. Je ne quitte plus le miroir des yeux en baisant Alysha de plus belle, imaginant Bléry me regarder, me voir la sauter, imaginant sa jalousie à lui, son impuissance face à nos ébats. La jouissance arrive, je sors de la chate distendue et viens me placer au-dessus des seins de ma belle, qui att ma queue et la branle avec force. Le sperme jaillit, je sens mes reins et mon corps entier fondre d'un plaisir dévastateur, qui résonne dans tout mon être, des cheveux aux orteils, je sais que je lui vrille les nichons de jute bouillante, je m'approche de son visage, pour l'arroser de sperme. Sa bouche vient vite me gober, elle me suce et me bois, en respirant bruyamment, elle se cabre et se cambre toujours, frotte son sexe trempé contre mon bras, toujours tendu entre ses jambes.
Elle aspire jusqu'au dernier de mes tressautements, de mes tressaillements, avale ma semence, et m'attire à elle, pour un baiser gluant et intense. Elle tire la couverture sur nous, au-dessus de nos visages, et le baiser devient caresses et soupirs, ses seins demandent mes mains, ma queue a besoin de ses doigts, de ses cuisses, de sa présence, ma colère et mon amour se mêlent, je me demande si Bléry assiste à nos échanges amoureux, et je m'en contrefous...
Le sommeil me fuit, mais Alysha s'endort, oublieuse, après quelques mots tendres et sincères, elle respire régulièrement, tout contre moi, repue et satisfaite, épuisée.
Je tire la couverture lentement vers le bas, à l'écoute.
Les pas de Bléry sont discrets lorsqu'il descend l'escalier. C'est à peine si j'entends la porte d'entrée se refermer, quelques instants plus tard. Je tourne la tête vers la fenêtre, à l'affût du bruit du moteur de la voiture qui démarre bien vite, et qui s'éloigne sur les gravillons de l'allée. Je caresse les cheveux d'Alysha.
Elle est à moi seul, pour le restant de la semaine.
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