Une Doctoresse Consciencieuse
Dans ladministration où je travaille, nous avons notre propre service de médecine du travail. Jusquà lannée dernière, nous avions un vieux médecin, avec lequel il était inutile de se dévêtir. La visite se déroulait ainsi : Le docteur pratiquait une écoute stéthoscopique en promenant son appareil à même la chemise, puis il appelait linfirmière pour prendre la tension, disant quil nétait pas foutu de faire fonctionner cet engin
Linfirmière partie, la conversation séternisait sur les derniers résultats du championnat de foot.
Notre vieux médecin est parti en retraite et a été remplacé par une doctoresse.
A la visite, linfirmière, après lanalyse durine et la pesée, ma fait entrer dans la cabine de déshabillage en me demandant de me dévêtir entièrement pour voir le médecin. Surpris par cette demande, je commençais à me déshabiller. Je remarquais sur la porte qui donnait sur la cabinet du docteur, une affichette qui représentait un homme nu (de dos) face à un docteur, blouse blanche, stéthoscope autour du cou. Sous le dessin, une légende : « Votre médecin est votre confident, ne lui cachez rien ! »
Etait-ce la demande de linfirmière ou la suggestion de laffichette ? Les deux peut-être ? Toujours est-il que je me suis dévêtu entièrement.
Ce nest quaprès quelques minutes dattente que je me suis rendu compte que je métais mis totalement nu. Jai pensé quil serait sans doute plus convenable de remettre mon slip et jai tendu la main vers mes vêtements. Trop tard ! La porte du cabinet sest ouverte, laissant apparaître la doctoresse. Jeune femme dune trentaine dannées, blouse blanche, stéthoscope autour du cou, coiffée en queue de cheval, lunettes à fine monture dorée, qui ma souri aimablement et ma invité à entrer, sans aucune allusion à ma complète nudité. Elle ma fait asseoir sur la chaise face à son bureau puis sest assise à sa place et a commencé à feuilleter mon dossier médical dont toutes les pages affichaient un pauvre « RAS » laconique ! Elle a commencé à me poser un tas de questions sur mes antécédents familiaux, mon travail, mes loisirs, tout en notant scrupuleusement mes réponses dans le dossier.
Ensuite de quoi elle ma dit quelle allait mexaminer et ma demandé de mallonger sur la table médicale : prise de tension (elle-même) écoute stéthoscopique prolongée de la poitrine et du dos, puis palpations sur tout le corps. Ses mains fraîches et légères me procuraient des sensations assez agréables. Lorsquelle en est arrivée à palper le ventre, elle ma demandé si je navais pas de problème sexuel. Surpris par sa demande, jai répondu évasivement que je ne pensais pas.
- Vous ne pensez pas ou vous êtes certain ? A-t-elle alors demandé.
Certain ? Comment être totalement sûr ?
- Je ne sais pas, je ne crois pas. Ai-je simplement répondu.
- Dans ce cas, si vous ny voyez pas dinconvénient, je vais procéder à une petite vérification. Ma-t-elle dit.
Jétais tellement surpris par sa façon de dire les choses que je nai pas su que répondre.
La doctoresse a alors commencé à me palper les testicules, délicatement, en les pressant doucement. Comme je lai dit, ses mains fraîches et légères me procuraient dagréables sensations et sur mon intimité, cela devenait même plutôt excitant. Jai eu un début dérection. Lâchant mes testicules, ses doigts se sont emparés de ma verge et mon érection sest faite plus évidente.
- Ça vous fait des sensations quand je vous touche ? A-t-elle demandé.
Compte tenu de ma réaction, il ne métait pas vraiment possible de nier et jai donc reconnu la chose en la priant de mexcuser. Elle ma dit aimablement de ne pas être gêné, que cétait une réaction tout à fait naturelle et quil était bien normal que cela se produise. Puis elle ma dit que, puisque jétais réceptif, elle allait donc effec un contrôle de la fonction génitale, afin de se rendre compte si cela s'effectuait normalement. Elle a donc continué de me palper la verge, me décalottant à plusieurs reprises, puis en maintenant le prépuce retroussé, elle a palpé le gland. Un instant plus tard, jai compris ce quelle voulait dire par contrôle de la fonction génitale tandis que jéjaculais.
Je me suis assis à nouveau face à son bureau tandis quelle signait le certificat daptitude. En me le donnant, elle ma demandé si on m'avait déjà fait un spermogramme. A ma réponse négative, elle ma dit quil ne serait pas inutile de le faire. Mais, a-t-elle précisé, si elle me le prescrivait ici, le résultat serait classé dans mon dossier à son arrivée, dont elle naurait connaissance quà ma visite lannée suivante et me demanda si jacceptais quelle le fasse à son cabinet, en précisant quen principe, elle ny était, bien sûr, pas autorisée à le pratiquer à lextérieur et que cela devait donc reste discret. Jai accepté et elle ma donné sa carte avec ses coordonnées en me fixant un rendez-vous pour le samedi suivant.
Lorsque jy suis allé, même scénario de visite intégrale, avec palpation sur tout le corps, ainsi que l'appareil génital, mais en récoltant cette fois mon sperme dans une éprouvette, quelle plaça dans une enveloppe préparée à lavance pour lenvoi en laboratoire. Lorsquelle recevrait le résultat, a-t-elle dit, elle me ferait convoquer au service médical de lentreprise pour me le communiquer.
Une semaine plus tard, jétais convoqué au service médical pour une "contre visite". Linfirmière me fit à nouveau entrer dans la cabine de déshabillage en me précisant, cette fois encore de me dévêtir entièrement pour voir le médecin. Inutile de dire que je me suis exécuté avec empressement. Lorsque la porte sest ouverte, la doctoresse ma souri en me faisant entrer (javais déjà une bonne érection). Le résultat du spermogramme était parfaitement normal, mais la toubib ma demandé aimablement si je souhaitais quelle mexamine à nouveau, ce que jai bien sûr accepté, tout émoustillé de ce que jimaginais.
Allongé sur la table dexamen, je me suis laissé examiner avec un certain plaisir.
Je dois repasser à nouveau la visite dici un bon mois et javoue que jattends la convocation avec une grande impatience.
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