Mon Gendre 2

Mon gendre 2
A mon arrivée de bon matin, (environ 10 heures) j’ai été un peu étonné de découvrir plusieurs voitures sur le parking, mais sans y réfléchir plus, j’ai sonné à leur maison. C’est Jonathan qui est venu m’ouvrir, un simple pagne de tissu sur lui, très étonné au départ, puis avec un grand sourire, il m’a pris dans ses bras, la porte à peine fermée. Son baiser qui a suivi m’a confirmé son plaisir de me voir, d’autant plus que ses mains ont vite commencé à me déshabiller, laissant à terre mes affaires, ainsi que son pagne ; m’appuyant contre le mur, il m’a empalé sur sa tige, celle-ci écartelant mes parois pour mon plus grand bonheur. Sa pénétration fougueuse et profonde a vite réveillé mon ventre et aussi soudaine que puissante ma jouissance est arrivée, son éjaculation venant frapper le fond de ma matrice.
Me reposant au sol, il m ‘a pris par la main m’entrainant vers sa chambre. Lindsey dormait encore, allongée sur le os, les jambes ouvertes, me dévoilant son ventre ; je ne l’avais jamais vu nue et je dois reconnaitre, que malgré un léger embonpoint, c’était une très jolie femme. L’embrassant pour la réveiller, elle a pu me découvrir nue ; m’embrasant à son tour, à la limite de mes lèvres, un sourire aux lèvres, elle a ajouté :
« En voyant ta tenue, je suppose que tu t’es déjà fait prendre par mon homme ; il me parle souvent de vos galipettes lors du réveillon et je dois reconnaitre que j’ai regretté ne pas pouvoir y participer, mais je compte bien, puisque tu es venu voir le loup, te faire découvrir que la louve est elle aussi affamée »
M’attirant contre elle, sa bouche s’est posée franchement sur la mienne, pour un baiser aussi amoureux que tendre, baiser auquel j’ai répondu, alors que ses mains partaient à la découverte de mon corps ; m’emprisonnant, c’est elle qui menait la danse et quand ses doigts ont voulu pénétrer dans ma grotte pleine de semence, j’ai écarté les jambes , m’offrant à la fois à ses envies, mais aussi à sa domination, car il était évident qu’elle serait ma maitresse, ce que finalement je préfère lors de mes relations lesbiennes.


« Je vois que Jonathan n’a pas perdu de temps et que sa semence t’a bien remplie ; tant mieux, ta chatte est ainsi plus accessible »
Sa main a très rapidement investit ma chatte, pénétrant de plus en plus profondément, avant de me fister allégrement ; gémissante sous cette pénétration aussi profonde que soudaine, mon ventre s’est contracté, éjectant ma cyprine sur son bras ; pendant un long moment, elle m’a fait jouir ainsi, , avant de se retirer malgré mes regrets ; se plaçant en 69 dessous de moi, elle a plaqué sa bouche sur mon abricot, alors que son bassin montait vers mon visage ; la vulve sur ma bouche, nous étions parties vers un cunni réciproque qui nous a amené vers une jouissance presque simultanée ; s’écartant de ma vulve, sans pour autant se retirer totalement, elle s’est adressée à son homme
« Je sais que tu en as encore envie, alors baises là »
Il n’a pas fallu lui dire deux fois ; sa queue a investi ma chatte, s’enfonçant au milieu des sécrétions. Pour elle, replaçant sa bouche sur mon vagin dilaté par la queue qui me possédait entièrement, elle pouvait voir de très près son homme me possédant et même sans aucun doute pouvoir lui lécher la queue en même temps que ma moule, qui sous cette pénétration, a vite émis son jus, enrobant la bite en moi, mais aussi très certainement son visage, tellement elle était prolifique
Pour la deuxième fois de la matinée, il s’est répandu en moi, tout aussi puissament qu’abondamment ; quand il s’est retiré la queue maculée, son sperme s’est écoulé de ma vulve se répand ainsi sur le visage qui me broutait encore. Me relevant, je me suis penchée sur elle l’embrassant fougueusement, échangeant à la fois notre salive et le sperme répandu sur son beau visage.
Reprenant nos esprits, le couple s’embrasant sans vergogne devant moi, elle a repris
« Jonathan m’avait bien tenu au courant de votre soirée, et je sais qu’il a toujours envie de toi ; tu dois savoir que nous aussi nous sommes libertins ; tu vas pouvoir découvrir quand tout le monde sera levé que tu es arrivée en plein Week end libertin.
Tant mieux pour eux, car je pense que vous aussi vous participez à des soirées libertines ; si cela ne te choque pas, ce qui m’étonnerait si j’en crois ce que nous venons de vivre, tu pourras bien sûr en profiter. Il y a un couple, la femme étant elle aussi très bi, en plus de nous et quatre garçons célibataires, sains, nous le vérifions toujours, et très, très bien montés, surtout un qui si tu joues avec, saura t’écarteler aussi bien la chatte que ton petit trou ; je peux te garantir que tu t’en souviendras. Ceci dit, par contre je te propose qu’en priorité que tu finisses tes nuits avec nous deux.
Déposant un rapide baiser sur leurs lèvres :
« C’est sans problèmes que je vais passer ce temps avec vous, Jean est absent , mais aussi avec vos amis ; je suppose que s’ils sont vos amant, non seulement je ne risque rien, mais qu’en plus je devrais sans aucun doute en retirer beaucoup de plaisir. Par contre je n’ai aucune tenue sexy, à moins que tu puisses m’en prêter ou que je reste nue en permanence si les autres aussi »
« C’est comme tu le veux, sans doute en fonction des situations, mais si nous sommes souvent nus, en effet parfois des sous-vêtements coquins pigmentent la situation ; aussi bien Jo notre amie que moi, pouvons t’en prêter. Maintenant alors te faire découvrir à nos amis car je les entends du moins certains »
Me prêtant un long voile avec lequel je me couvre, tout en sachant qu’il est très transparent et qu’il ne cache pas grand-chose, faisant de même pour elle, alors que Jonathan reste nu, elle me prend par la main et nous nous dirigeons vers le salon où sont réunis quatre personnes, un couple qui manifestement était en train de se caresser et 2 garçons, totalement nus, la queue flasque bien évidente.
« Une nouvelle arrivante dans notre cercle libertin, cela va sans doute vous étonnez mais c’est ma belle-mère ; Jonathan l’a très souvent possédée lors du réveillon et elle venue, sans savoir pour notre petit groupe ; pour mémoire, elle est aussi dorénavant ma maitresse, mais nous n’avons aucun droit sur elle ; elle seule décide, à vous de savoir vous mettre en valeur, ce dont d’ailleurs je ne doute pas »
Puis faisant nominativement les présentations, celles-ci s’accompagnant d’une bise plus ou moins appuyée, souvent à la limite des lèvres, à l’exception de Jo qui elle m’embrasse à pleine bouche, baiser que je lui rends sans problème ; je sais déjà que nous serons partenaires de jeu.

« Il manque encore deux garçons ; Fred et Bernard, l’un le mari de Jo, l’autre le loubard qui j’en suis sûr saura t’apporter beaucoup de plaisir, mais soyons honnête les autres aussi
J’en déduis que Jo était en train de jouer avec l’un des garçons lors de mon arrivée ; c’est à ce moment qu’arrivent les deux retardataires, aussi nus que les deux autres ; par contre il m’est facile de comprendre qui est celui s ‘appelant Fred, car entre ses jambes, se balance un concombre, aussi énorme par sa longueur que par sa grosseur
Étonné par ma présence, les deux écoutent leur amie me présenter, puis s’approchent de moi, pour l’un un rapide baiser sur la joue, le mari ne voulant sans doute être trop provocateur vis-à-vis de sa femme, puis Fred, qui lui m’embrasse sexuellement, sa langue essayant, sans aucune difficulté d’ailleurs, de s’inviter contre la mienne. En même temps sa main vient s’appuyer sur mes fesses, avant de s’écarter et de dire :
« Je t’en veux ma chère Maitresse de m’avoir caché si longtemps un si joli lot »
Si sa répartie m’a non seulement émoustillée, mais fait rire l’assemblée, sans doute habituée aux réparties de Fred, il m’est aussi facile de constater que plusieurs membres sont parcourus de doux soubresauts, annonciateurs de belles érections, surtout chez Fred qui continuant à me caresser, maintenant les seins, ne voyant aucune opposition de ma part, arbore maintenant un sexe prenant de belles proportions.
Il a compris que je vais être sa proie du matin, car m’entrainant sur le canapé, libre d’occupant, il arrache, plutôt qu’il ne défait ma légère tunique, dévoilant mon corps, mais aussi ma chatte, car il vient d’écarter mes jambes. Maintenant son chibre est énorme, au moins 30 cm, mais surtout très très gros, avec un gland décalotté, la verge parcourue de grosses veines qui palpitent ; approchant sa queue de mon minou, relavant mes jambes sur ses épaules, il frotte son gland sur ma fente ; j’ai envie qu’il s’enfonce, mais il s’éternise ; je sens son gland vibrer contre mes lèvres, mais il ne me prend pas quand soudain
« Dis-moi que tu as envie de ma queue, dis à tout le monde que tu veux que je te baise, que je t’écartèle »
Surprise alors que j’attendais qu’il me possède, je ne réponds pas aussitôt ; il retire sa bite de l’entrée de ma vulve, prêt à me laisser en plan
J’en ai trop envie et je m’écrie, sans véritablement réaliser mes propos
« Non prends moi, baise-moi, fais de moi ta petite femelle, j’ai envie de ton dard, alors défonces moi ! »
ma phrase à peine finie, son dard s’appuie à nouveau entre mes lèvres gonflées de désir et s’accrochant à mes hanches, il s’enfonce d’une poussée brusque et puissante ; même si ma vulve est encore dilatée et graissée , après avoir été prise par Jonathan , là le calibre est très diffèrent ; lorsque son vît la dilate inexorablement dévastant au passage le parois, je ne peux retenir uni, de douleur mais aussi d’étonnement ; c’est la première fois que je me fais déchirer par un tel pieu ; il m’envahie, me perfore, vient buter contre le fond de mon matrice qu’il continue à enfoncer tellement sa tige est longue ; il m’élargie mon conduit comme jamais il ne l’avais été ; quand il commence à marteler ses perforations, c’est un véritable marteau piqueur qui me ravage ; je hurle crie, pleure non de douleur, mais de jouissance ; il m’entraine vers une jouissance époustouflante, d ’autant plus prolifique en cyprine qu’il est en plus performant, ; je ne sais combien de temps à durer ses pénétrations, mais quand enfin il se vide en moi, ses jets sont en proportion avec sa queue ;puissants, nombreux car j’ai senti au moins 8 éjaculations dans mon ventre, ce qui m’a d’autant fait jouir bruyamment longuement ; quand il se retire, un filet de sperme me reliant encore à lui, sa queue encore bandée, je n’émerge pas aussitôt, toujours terrassée par mon plaisir.

Autour de moi, ils avaient assisté à cette puissante séance qui je le savais allait laisser des marques ; Jo se fait ploter par deux garçons, alors que Jonathan enserrait sa femme, manifestement heureux de me voir ainsi posséder. Quittant la protection de ses bras, Lindsey s’est approchée de Fred , dont la tige, maculée de nos secrétions était toujours vaillante, le couchant sur la moquette, elle s’est assise sur son ventre s’empalant, avec un peu de difficulté, sa chatte est assez étroite, j’avais pu le constater, mais allant jusqu’au bout quand son vagin a été totalement investi , un oh oui de satisfaction a jailli de ses lèvres, avant qu’elle ne commence à caracoler sur son ventre ; l’étreignant par les hanches, il l’aidait à se faire plaisir ; sa vulve à chaque rebond venait claquer sur ses boules ; parfois , elle se retirait avant de se planter à nouveau sur le chibre, avec à chaque pénétration le même cri de plaisir quand le gland devait lui défoncer le fond de sa matrice, comment il l’avait fait avec moi.
Sans que Jonathan ne réagisse l’un des garçon, une belle queue bien bandée est approché du couple, puis lui enduisant la rondelle avec sa salive et la cyprine de la belle possédée, il a commencé lui dilater la rondelle, avec un puis deux doigts ; les grondements de plaisir de Lindsey, prouvaient qu’elle apprécait et que manifestement elle m’était pas contre une bonne sodomie ; quand le gland est venu remplacer les doigts, elle s’est vu appliquée un forte claque ; se cambrant, elle a ainsi facilité l’introduction du sexe dans ses entrailles ; tout au long de la pénétration, qui devait malgré tout fortement lui dilater l’anneau, elle n’a pas arrêté de geindre, puis alors qu’il avait marqué un arrêt ,son bassin collé à ses fesses, elle a donné un violent coup de rein, provoquant le début d’une sodomie puissante, réglant en même temps la pénétration du chibre dans sa chatte. Ses gémissements se sont transformés en petits cri de plaisir, avant qu’un grondement sorte de sa bouche et qu’elle se mette à hurler sa jouissance ; je ne sais si Fred l’avait fécondée, mais quand le garçon s’est retiré de son cul, dilaté, rouge, sa jute a commencé à s’écouler sur ses cuisses ; écroulée sur la poitrine de Fred, elle s’est doucement retirée du pal dans son ventre, avant de s’allonger sur le dos, les cuisses écartées, maculées par les éjaculations des deux mâles, car sa chatte , béante ,dévastée, était pleine d’une substance blanchâtre ; Fred l’avait bien, elle aussi fécondée
La journée promettait. Alors que nous séparions, les uns pour faire les courses, les autres pour préparer le repas, Jo s’est approchée de moi, m’embrassant, m’enserrant dans ses bras ,me relâchant pour plaquer ma tête sur ma poitrine :
« j’ai envie de toi, je suis très possessive et dominatrice, je te veux, j’ai envie que tu m’appartiennes maintenant »

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