Au Marché J'Ai Cueilli...
Aller au marché, cest toujours un plaisir ! enfin je parle des dimanche matin de printemps et quelquefois automne. Les jeunes femmes que lon peut y croiser peuvent être sublimes. Des corsages pleins de poitrines aguichantes, des jambes gracieuses, des culs qui se pressent à létal des carottes, bananes et concombres
Et quelquefois, un camelot vient chercher fortune. Alors là ! Toutes ces dames se pressent pour écouter, pour se laisser tenter. Et moi je me presse pour essayer de tenter
Aujourdhui, cest le cas et je repère tout de suite la grande blonde que javais entrepris il y a quelque deux ou trois dimanche. Un sourire, rendu, et je peux aventurer une cuisse contre la sienne. Le contact est chaud et ne se dérobe pas. De ma place, je peux loucher sur un décolleté de Reine. Deux jolis seins qui sont là, libres
et les tétons sont offerts à ma vue. Comment y mettre le nez ? comment y mettre la main ? Comment visiter ce joli corps qui ne demande quà vibrer ? Jen suis là de mes questions et pensées quand je sens une main passer sur la bosse de mon pantalon. Stupeur
Et mon regard rencontre un sourire ravageur. Ma blonde ne sembarrasse pas de fioritures. Droit au but ! Une Marseillaise ? (les non-footeux, cest la devise de lohémeeeeeu).
Ma main a saisi la taille et ségare bien vite un peu plus bas en caressant le haut dune fesse réceptive. Le panier porté devant nous permet à Chantal de dézipper le bénard et denfouir une main inquisitrice à lintérieur. Oh la la
Même si je tiens maintenant les fesses à pleines mains, je ne suis quun eut égard aux doigts qui me branlent à travers le slip. Jespère quelle va pas me planter au beau milieu de cette charmante séance inattendue. Le plus amusant cest le camelot, qui a tout deviné, commence à glisser quelques plaisanteries à base de carottes et concombres..Le pauvre est rouge comme une pivoine et je suis émerveillé de voir quil tient la séance malgré ce qui se passe de pas banal sous ses yeux .
Je jette des regards circulaires pour dégotter lendroit ou je pourrais conclure avec Chantal et ne voit guère quun espace entre deux camionnettes. Je prends la main de ma branleuse, la retire, referme la boite aux trésors et la tenant par la taille, lemmène entre ces deux engins. Elle passe la première, je ferme donc un peu le couloir et elle saccroupit ni une ni deux ! Ma queue est extraite du pantalon et engloutit par une bouche divine. Je dois rêver, je vais hélas me réveiller. Cest trop bon, trop doux. Elle aspire, lèche, branle dune main alors que ses joues se creusent sous la succion. Je malaxe ses jolis nichons, pince et les tétons. Quelques minutes de ce traitement me font doucement mapprocher de ce point de non-retour que je retarde au maximum
Un souffle derrière moi, je tourne la tête pour découvrir un camelot hilare qui me susurre
-la suivante est pour ma bite, tu pourras la prendre par derrière pendant que je boucherai laccès de camionnettes!!
Si Chantal est daccord, moi je veux bien
! Mais il faudra quelle montre son consentement !
Je pose ma main sur la nuque de ma jolie blondinette et enfonce ma queue en même temps que jaccélère le rythme, pour finir par lui envoyer une magnifique giclée de sperme que la goulue avale avec des ronronnements.
Je lui souris et lui montre la queue qui lattend, mon camelot a déjà sorti outil et accessoires pour en offrir un lot à la ménagère. Je me glisse derrière elle, elle att la bite du marchand de s à fromage et cest reparti !
La gourmande pompe avec délice ce nouveau sucre dorge. Moi, je caresse ses fesses, remonte la jupe par-dessus le dos. Sa raie sépare ses deux somptueuses fesses. Quelle croupe ! Quel cul royal ! Je veux y mettre la langue. Je la relève, elle est penchée en avant pour poursuivre sa fellation. Accroupi, je peux saisir ces deux globes et les séparer. Ma langue se noie dans toute cette humidité brulante, je la lèche, titille cette rondelle brune, descend manger ce minou trempé.
Après avoir repris mes esprits, je remballe le matériel et admire la fellation que madame donne à ce bonimenteur. , A nouveau concentrée, elle parvient à amener le bonhomme rondouillard à lacher les chevaux.
La jupe rabattue, je lui demande sa culotte en souvenir. Un grand sourire et je peux emmener ce trophée plein dElle.
Le camelot me prend à part pour me
remercier et me dire que « cette salope vient me faire bander toutes les semaines. Cette fois, je me suis rattrapé ! »
Elle séloigne, tout la-bas, son cul ondule, nu sous la minijupe. Va y avoir des yeux hagards
quand elle va choisir des abricots
!
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