Bon Anniversaire Chérie !

Ce soir c’est l’anniversaire de ’Lalie’ c’est le petit surnom de ma femme qui va avoir vingt sept ans dont cinq de mariage, un petit cul à damner un saint, assortis d’un quatre vingt cinq C
Elle a envie de surprises pour cette occasion, mis a part évidement le cadeau traditionnel !
- Ce soir chérie tu t’habille léger pour aller au resto
- Ça veut dire quoi léger ?
- Culotte fendue, jupe plissée porte feuille, j’aime cette jupe ample, elle est plus facile a soulever !et ton gilet a trois boutons et talons haut
- Pas de sousting ? Et ce gilet on voit presque entièrement mes nichons !
- Tu aurais trop chaud avec un soutient gorge!!Et pour les seins nous seront à une table isolée dans une lumière tamisée, peu d’élus y aurons droit !
- Hummmm, je te vois venir toi …..
- Tu n’aimerais pas montrer tes charmes à un ou plusieurs hommes
- Ça te reprend …..
- Dis-moi que ça ne t’effleure pas ?
- Oui, bon, mais seulement si tu es tout prés de moi, alors toi tu sors sans slip ok ?
- T’inquiète pas pour ça ….
Notre entrée au resto avenue de grande Bretagne a été remarquée, les hommes se sont tus les femmes lancent des œillades à ma femme sur place !le serveur retire le siège de Lalie pour qu’elle s’assoie, elle ne manque pas de relever sa jupe afin d’avoir les fesses a même le velours, le jeune homme me regarde en souriant
Nous somment très bien placés, en face de moi une grande glace qui me permet de repérer tout de suite le couple derrière nous, l’homme a vite remarqué les cuisses de ma belle et se décale pour avoir pleine vue
- Je crois que je suis déjà repérée …
- Je sais, fait comme bon te semble, mais ce n’est pas ici que nous finirons la soirée
- Ha bon ?
- je t’ai promis une soirée ‘surprises’ …..
- Tu me fais peur toi !
- En attendant défait donc le premier bouton du gilet …remonte ta jupe et laisse une cuisse dépasser de la table
- J’ai une culotte fendue, il voir mes poils !
- C’est bien pour ça que j’ai choisis celle-ci !
Le rosé frais aidant celle-ci accède a ma requête, deux minutes plus tard l’homme rougit, tousse, il s’étouffe le pauvre, sa femme s’inquiète ! Par contre notre serveur se régale ! C’est moi qui suis le plus mal placé, je vois que dalle !mais ça ne m’empêche pas de bander comme un cerf !je serais gêné si je devais me lever subitement !
Lalie a le feu aux joues et même ailleurs je pense, la soirée s’annonce bien
- Et cette fameuse surprise ? C’est quoi ?
- Tiens toi bien, je t’offre un aller retour de terminus a terminus Ramonville saint agne / borderouge par le métro
- T’es dingue ?quel programme ! On va surement s’éclater !!
- Plus que tu ne crois, du moins j’espère, tu me fais entièrement confiance ?
- Tu sais bien que oui, mais je ne comprends toujours pas ….

- On y va ?
- Allons-y ….
Dans la voiture Lalie n’attend pas que je lui dise pour ouvrir sa jupe, je distingue les volants qui bordent la fente du string, je cherche à choper les feux au rouge pour en faire profiter quelques passant qui sifflent de surprise, ma chérie a l’air faussement indignée !
Nous voici sur le parking du métro borderouge, le métro arrive sans aucun passagers, nous nous installons debout a l’avant tout prés de la vitre, nous pouvons ainsi voir les rails comme si nous pilotions l’engin, c’est assez impressionnant de savoir que cet engin se déplace sans chauffeur ,je sais que le wagon est équipé de caméra de surveillance, mais étant donné que nous somment seul cela ne peut pas nuire aux passagers si je caresse les fesse de ma femme et ça peut distraire celui qui s’emmerde derrière ses écrans !
Tout ça c’est bien, mais je désespère, déjà deux stations et aucun mec n’est monté !ma main est passée sous le tissu je caresse les lobes fermes tout en surveillant les entrées aux stations, Campans caffarelli, personne, les portes du sas en verre vont se refermer quand deux jeunes hommes, un blanc et un black, s’engouffrent a la dernière seconde je n’ai pas eu le temps de retirer ma main ! Tant pis le mal est fait !
Cela ne leurs a pas échappé, car sans se dégonfler ils viennent s’assoir sur les sièges latéraux juste a coté de nous, l’un en face de l’autre, Lalie ne dis rien mais sa respiration s’est accélérée les hommes doivent voir le haut de ses cuisses dévoilées par ma main, je ne bouge plus, soudain le blanc plus gonflé se lève
- Pardon messieurs dame ça vous dérange si je regarde moi aussi le tunnel du métro ?
- Pas du tout voyons faites ! Y’a de la place pour tout le monde !
- Merci monsieur…
L’homme prend place à coté de ma femme leur corps se touche, dans le reflet de la vitre je remarque qu’il est plus attentif au décolleté généreux qu’aux rails
- Tu as vus Omar ? C’est chouette de voir le tunnel
Evidement le jeune black se lève a son tour, comme les places sont étroites je décide de venir derrière ma femme pour laisser de la place mais aussi pour faire écran par rapport aux caméras, appuyée sur moi je l’enlace de mes deux bras par la taille, la voici coincée entre les deux hommes …. La situation devient très intéressante ……heureusement a cette heure ci le métro est désert
Malgré ses bras qui essaient de m’en empêcher je réussi à dégrafer le bouton du haut de son gilet, je saisi ses poignets afin qu’elle n’empêche pas le vêtement de s’ouvrir, par-dessus ses épaules je vois deux seins arrogants dénudés jusqu’aux tétons, médusés les deux jeunes se regardent ….
Contrairement à ce que j’aurais crus c’est le noir qui avance une main vers ces fruits offerts, j’aime le contraste de sa peau sur celle laiteuse de Lalie qui ferme les yeux et abandonne sa tête sur mon torse
L’autre se lance aussi, il vise l’ouverture de la jupe portefeuille, il fouille un instant surement surpris par les froufrous inhabituels sur ce sou vêtement, au léger cri que pousse ma femme je devine qu’il vient d’atteindre le paradis
Ma queue bandée appuis fortement sur les fesse de Lalie qui se pâme la bouche entrouverte, la poisse ! Voici la dernière station, terminus tout le monde descend !
Déçus d’avoir étés obligés de retirer leurs mains, les deux jeunes nous suivent au cas où !ils comprennent encore moins quand nous passons de l’autre coté de la gare pour reprendre le chemin inverse, du coup ils embarquent avec nous !
Toujours seuls, nous reprenons nos places et les mains redeviennent plus audacieuses, les deux garçons ont inversés les rôles, Lalie est plus détendues et ses pieds se sont espacés, le gilet entièrement ouvert les seins sont malaxés une tête se penche pour téter le mamelon dardé
Des bruits mouillés prouvent que sa chatte lubrifie à loisir, les poignets de ma femme s’agitent en cadence, elle branle les hommes, elle cherche mon oreille pour murmurer
- Il en a une grosse le noir ……
- Branle chérie fait toi plaisir, si tu veux plus ne t’en prive surtout pas ….
La chance nous sourie, personne aux stations, ce qui encourage le noir qui s’assied sur un siège, à la main une queue longue, turgescente violette, dépasse de la braguette ouverte
- Tu veux venir t’assoir dessus madame …..
Elle matte cette bitte raide avec envie puis me regarde quasiment suppliante : je peu ?
- Va y chérie je fais écran mais dépêche vous on arrive bientôt
Tournant le dos au black elle s’assied lentement laissant a son amant la tache de trouver la jointure de son sexe puis les deux mains sur les accoudoirs elle s’empale a sa guise, a son air surpris sa chatte doit être pleine de cette barre chaude le deuxième vient se poster devant elle la queue dirigée vers sa bouche, cela devient scabreux …J’espère que les flics ne nous attendrons pas a la sortie !!J’ai une petite pensée pour le surveillant qui a du se branler en matant ses écrans !
Voici le terminus ….. Ni l’un ni l’autre n’a pris son pied quel dommage de rester sur cet échec ils se ‘déboitent’ a regret, les bittes regagnent leurs abris avec peine tellement elles sont congestionnées
Un peu déçus mais encore chauds nous regagnons le parking, la voiture est garée dans un recoin sombre entre des piliers, je colle Lalie sur la portière pour l’embrasser langoureusement tout en lui passant un genou entre les cuisses qui s’ouvrent docilement, une main au cul, sa chatte est encore toute suintante, les volants qui ornent la fente du string sont trempés, mes doigts triturent cette caverne qui était habitée il y à peine dix minutes par une grosse bitte
Lalie défait elle-même les trois boutons de son gilet pour se peloter, je me laisse glisser pour passer ma langue sur l’abricot juteux
Soudain elle se raidie …
- y’a quelqu’un lève toi vite !
Je me retourne pour voir nos deux lascars du métro qui nous ont filés et se branlent à trois mètres, voyant que je ne les repousse pas ils avancent vers nous
- Ont peut s’approcher ?
- Ouais, mais vous faites gaffe, surveillez les alentours
- Chéri ! Pas ici !
- Ont est très bien là personne ne viendras garer sa voiture dans ce coin sombre, détend toi et bon anniversaire chérie !
- Tu n’es qu’un gros vicieux !
Déjà les deux hommes l’entoure, ils ont tous les deux une main entre ses cuisses, combien de doigts ont-ils réussis à enfiler ?
Ce n’est pas la position idéale pour un trio, j’ouvre le coffre pour sortir une vielle couverture que j’étale dans le recoin le plus abrité des regards
- Venez les gars toi aussi chérie, si tu veux te mettre à quatre pattes ça va être ton cadeau d’anniversaire !
- Fait attention que personne n’arrive surtout
Tout en disant cela elle se fout à poil carrément, puis elle cambre son cul tandis que le blanc lui présente sa bitte à sucer et que le noir lui broute la raie en se manipulant afin de ne pas perdre son érection
Moi-même je me masturbe en regardant de très prés cette scène plutôt bandante
Omar lui bourre la moule en cramponnant sa proie par les hanches, ses cuisses noires musclées claquent énormément dans la nuit tranquille sur les fesses blanches, l’autre dont je ne sais même pas le prénom, tient Lalie quasiment par les oreilles pour lui baiser la bouche, elle émet des onomatopées incompréhensibles qui prouvent qu’elle prend du plaisir
Les deux gus se regardent en rigolant
- Putain c’est bon ça !ont croyaient s’emmerder ce soir !
- Ouai quelle aubaine !elle est serrée ?
- Ma queue glisse bien mais il en faudrait pas deux !et toi ? Elle suce comment ?
- Mummmmmm !un délice je ne sens pas ses dents !au fait monsieur, elle avale ?
- Ha ça, c’est elle qui voit, si elle te repousse tu n’insiste pas tu décharge parterre
- Et moi je peux lui mettre dans la chatte ?
- Tu n’a pas de problèmes ?
- Je suis clin juré
- Alors bourre lui la moule, soulage toi vite, ont ne va pas y passer la nuit
- Dommage !!
- OOOOHHHHH putain ça vient, ça viennnnnnnnnnnt AAAAAAAHHHHHHHH !!!!!!!! oh OUIIIIIIIII elle avale tout !!!!!
- Moi aussi …. Ah ah aha AAAAAAAHHHHHHHH, sa chatte pompe comme une bouche elle est boooooonnnnnne !!!!!
Les jeunes coqs ne débande pas comme ça ils aimeraient bien remettre le couvert !
- OOHHH m’sieur !juste un coup et on s’tire !
- Je regrette les jeunes maintenant c’est mon tour !
- Vous voulez pas faire ça devant nous ?
- Pas question nous rentrons bonsoir !
- OK, en tout cas merci m’sieurs dame c’était super elle est bonne et surtout très belle merci beaucoup !!
Les deux lascars s’en vont Lalie s’est rhabillée elle m’attend dans la voiture
- Ça va chérie ?
- Les salauds qu’est ce qu’ils m’ont mis !, le noir en a une belle en a une grosse ma chatte est encore toute ouverte !
- Tu ne t’es pas essuyée j’espère ?
- Non bien sur chéri, je sais ce que tu aime, rentrons vite a la maison !!!Regarde comme elle est mouillée ma craquette !!
- Salope ! Suce-moi donc pendant que je conduis, je fais gaffe à la route.