Le Diner

J’ai un peu froid dans ma tenue, mais j’attends patiemment. Mon maitre m’a ordonné de ne pas bouger de cette chambre, alors j’obéis, docile. Je me regarde dans le miroir. J’ai vraiment l’air d’une trainée. Des bottes, des bas et un string en dentelle comme seuls habits. Un collier autour du cou, en cuir avec des clous dessus. Des attaches en cuir sur les poignets…Je me souris…normal que j’ai l’air d’une pute, j’en suis une. Et j’aime ça.
J’entends du bruit à côté, visiblement nous ne sommes plus seuls. Je frissonne à l’idée du sort qui m’est réservé. Je capte quelques mots des conversations. Bonne salope, sacré suceuse, dévouée au cul…ça m’excite, je sais qu’ils parlent de moi. J’entends le raclement des chaises sur le parquet. Puis la porte s’ouvre.

Mon maitre entre dans la pièce et s’approche de moi. Il me claque le cul, puis m’att par les cheveux et me jette à genoux. Je m’incline devant lui, attendant ses ordres.
Il prend une longue chaine en métal qu’il attache à mon collier, et m’ordonne d’avancer vers la porte, à quatre pattes. J’obéis.

Dans le salon, ils sont 4. Trois hommes et une femme. Ils me regardent tous comme un morceau de viande, je sens déjà mon string trempé. Mon maitre attache ma chaine à un pied de table par un cadenas, et s’assoit. Je m’agenouille à ses pieds. Il me jette un œil, puis me lance :

-Nous allons prendre l’apéritif, passe sous la table et soulage nous salope.

J’obéis aussitôt. Je me glisse entre ses jambes et entreprend de défaire son pantalon. Une secousse sur ma chaine m’arrête.

-Tu n’as donc aucune éducation ? Les invités d’abord !

Je ne sais pas qui commencer…Un des hommes passe la main sous la table et claque des doigts. J’ai vraiment l’impression d’être une chienne. Je m’approche de lui, il me donne ses doigts à lécher. Je lape ses doigts docilement. Puis il claque des doigts de nouveau en montrant son entrejambe. Je défais son pantalon et sors son sexe déjà gonflé.

Je commence par lui lécher tout le long, à avaler son gland que je titille avec ma langue. Puis il appuie sur ma tête et je me retrouve avec sa queue au fond de ma gorge.

Au-dessus de moi, personne ne semble m’accorder le moindre intérêt. Mon maitre demande à ses invités s’ils veulent du champagne, et remplit les verres. Je continue de sucer, puis me dirige vers un autre homme qui m’a réclamé. La salive me coule sur le menton et sur les seins, je passe d’une queue à l’autre. La femme m’appelle à son tour. Je m’approche d’elle ne sachant trop quoi faire. Elle tend ses doigts vers moi, et me les enfonce dans la bouche. Je lèche, docile. Elle écarte les cuisses et enfonce trois doigts dans sa chatte. Après quelques allers retours, elle me les remet en bouche pour que je la nettoie. Elle m’agrippe par les cheveux et attire mes lèvres sur sa chatte. Je l’aspire et la lèche comme mon maitre m’a appris à le faire. Elle remonte ses jambes sur mes épaules et s’en sert comme un étau sur mon cou, m’étouffant dans son sexe. Lorsqu’elle me libère enfin, mon visage dégouline de salive et de mouille.

-J’aimerai m’amuser avec elle.
C’est la voix de la femme. Mon maitre tire sur ma chaine et me fait sortir de sous la table. Je me mets au pied de la femme, comme une brave chienne, j’attends. Elle prend la bouteille de champagne sur la table, et la pose par terre, juste devant moi.

-Branle toi avec.

J’écarte la ficelle de mon string et je m’agenouille au-dessus de la bouteille. Je place le goulot sur mon sexe trempé. C’est froid.

-Dépêche toi sale pute !

Je me laisse glisser tout le long, et laisse échapper un long gémissement de plaisir et de surprise. Elle att un téton et me le pince violemment.

-Je ne veux pas t’entendre.

Je m’excuse et commence de petits allers retours sur la bouteille. Cela semble beaucoup plaire aux hommes. La femme se lève et va chercher une grande gamelle.
Elle la pose a coté de moi, entre mes jambes, et prend la bouteille dans ses mains. Je suis en équilibre. Elle commence des allers retours avec la bouteille, de plus en plus violent. Je sens la pression qui monte, les bulles qui veulent s’échapper de mon sexe. Je crie, j’ai envie de jouir, c’est presque douloureux. Enfin elle s’arrête et retire la bouteille d’un coup. Je me libère violemment et tout le liquide, champagne et mouille est envoyé dans la gamelle. La femme repose la bouteille et me crache au visage.

-Va boire sale chienne.

J’obéis aussitôt, et à genoux, je me mets à laper le champagne au goute de ma mouille. Ce n’est pas bon, mais c’est terriblement excitant. Le spectacle semble beaucoup plaire, mon maitre m’appelle et me baise la bouche jusqu’à se vider les couilles au fond de ma gorge.

-Va finir ton boulot vide-couilles.

Je retourne sous la table et j’entreprends de faire jouir chacun des hommes, pendant qu’ils mangent tranquillement. Je me sens rabaissée et humiliée…j’aime ça.

Mon maitre se lève et propose à ses amis de passer aux choses sérieuses. J’ai une envie pressante et je me permets de me frotter à ses jambes.

-Tu as envie de te soulager sale pute ?

Je n’ai même pas répondu que la femme se lève aussitôt.
-J’emmène pisser la chienne.

Elle saisit ma laisse et m’attire vers elle. Je la suis. Mon maitre lui dit de les rejoindre dans la grange ensuite. Elle me fait sortir dans le jardin, à quatre pattes, comme son animal de compagnie. Elle m’emmène près d’un arbre.

-Allez pisse salope.

Elle attache ma laisse autour du tronc, et se penche vers moi.
-Alos, on n’y arrive pas ?

Elle me pince les seins, je gémis. Elle se redresse.

-Je vais te montrer.

Elle remonte sa jupe, et un long jet chaud vient s’écraser entre mes jambes. J’essaie de m’écarter mais elle m’en empêche d’une claque. Le jet remonte jusque sur mon sexe, mon ventre.
Je suis dégoutée, mais en même temps, je ressens une excitation inhabituelle. Lorsque le jet atteint mes seins je me mets à jouir, et à pisser en même temps.
Lorsque j’ai fini, j’ai honte de moi, mais la femme rit. Elle att un tuyau d’arrosage et me nettoie à grand coup d’eau. Puis elle reprend ma laisse et m’emmène dans la grange.

Mon maitre a déjà tout préparé. Je ne connais pas la moitié du matériel qu’il a sorti. Mon maitre claque des doigts et je viens prendre place à ses pieds. Il m’attache les chevilles ensemble, et me suspend les bras en croix au-dessus de ma tête. La femme vient s’allonger sur la table juste devant moi, j’ai son sexe à portée de bouche. Mon maitre att ma tête par les cheveux et me plaque les lèvres contre sa chatte. Je rentre ma langue à l’intérieur, je m’applique.
Je sens un objet froid contre mon cul. Mon maitre me rentre un objet dans le cul. Il est gros. J’essaie de protester mais mon cri est étouffé dans le sexe de la femme. Il attache une corde à mon collier. Je viens de comprendre qu’il m’a mis un crochet dans le cul, qu’il a relié à mon cou. Chaque mouvement de ma part ouvrira mon trou.

Mon maitre me tire en arrière, et me place un bâillon sur la bouche. C’est un bâillon spécial, avec un god au niveau de la bouche. Je m’en sers comme un sexe pour la masturber. C’est excitant.

-Encule-la.

Je descends un peu la tête, je sens le crochet qui tire sur mon cul. Je pointe le god sur le trou de la femme et commence à appuyer. La rondelle cède petit à petit. Je l’encule avec ma bouche. Je l’entends gémir, je la vois se cambrer. Puis brusquement, elle jouit dans un long cri, et expulse un jet de mouille interminable qui m’asperge tout le visage. Je suis trempée jusqu’aux seins. Un homme se place aussitôt devant moi et commence à se branler dans mes seins, lubrifiés par la mouille. Puis il me donne sa queue à avaler. Elle sent fort, c’est bon.

Mon maitre libéra mes chevilles, et me redressa en tirant sur mes poignets.
Mes chevilles furent entravées par des chaines, jambes écartées. Je ne pouvais plus bouger du tout. Le crochet me faisait un peu mal, mais je sentais mon cul s’ouvrir.

La femme se plaça derrière moi, et commença à me doigter la chatte. Mon maitre se planta devant moi et commença à me pincer les tétons, les tordre. Il me posa des pinces dessus, reliées par une chaine. Au bout de la chaine, un poids… Il me plaça la chaine entre les dents.

-Si tu cries, tu lâches la chaine, et le poids te fera…très mal…

Je hoche la tête pour montrer que j’ai bien compris. Je ne crierai pas. Je suis une brave chienne. Une seconde plus tard j’ai failli lâcher la chaine. La femme venait de m’enfoncer sa main entière dans la chatte. Je me sentais remplie.

Elle me libéra enfin. Mon maitre libéra un peu mes poignets et je pu me pencher en avant. Il retira la masse de la chaine, et me planta la queue de l’un des hommes dans la bouche. L’homme s’agrippe à mes cheveux pour s’en servir comme d’un trou, quand je sens une douleur sur mon cul. Mon maitre a commencé le fouet. Je sens mes fesses rougir alors qu’il frappe sans arrêter. Mes jambes écartées lui permettent de fouetter aussi ma chatte.

Je sens qu’il me retire le crochet de mon cul. Je me sens complètement ouverte. La femme s’est remise derrière moi et me doigte le cul et la chatte en même temps. Je suis remplie par tous mes trous j’adore ça. Elle finit par enfoncer son poing dans mon cul, mon cri est étouffé par la queue qui vient de gicler au fond de ma gorge. Du foutre et de la salive viennent s’écraser sur le sol. Ma bouche est aussitôt prise par une autre queue. Je sens que mon cul va bientôt exploser. Les queues s’enchainent et le foutre s’accumule sur le sol. Des filets de bave pendent de mon menton jusqu’à la flaque de foutre. La femme retire la main de mon cul.

Mon maitre me libère complètement les poignets, et me jette à genoux. Il me prend par les cheveux et me plaque le visage dans la flaque de foutre.

-Nettoie.

J’obéis. Je sors ma langue et je lèche le sol. Il y en a beaucoup, je m’applique, je nettoie bien, et j’avale tout. Lorsque j’ai terminé, mon maitre m’attache de nouveaux les chevilles écartées, et attache mes poignets et mon collier à même le sol. J’ai la tête collée au sol, je ne peux plus la bouger. Je me sens vulnérable. Mon maitre a pris la place de la femme derrière et reprends le fist de mon cul. Je hurle, ça fait mal. La femme s’est agenouillée sur moi et se branle. Je sens qu’elle gicle, un liquide tiède vient s’écraser sur ma joue, coule dans mes cheveux. Je suis souillée. Et excitée comme jamais.

Mon maitre arrête de me fister, et m’encule d’un seul coup. Je hurle de plaisir. Je sens ses couilles battre contre ma chatte. Les autres homme me doigtent en même temps, me maltraitent les seins. Un homme passe sous moi et me prend par la chatte. Ils me baisent en double en cadence. La femme vient ajouter un god en plus dans ma chatte. J’ai presque 3 sexe dans mes trous. J’ai envie de jouir, je me sens partir. Ils s’arrêtent net. Les salauds !

Ils enlèvent le plug. L’homme qui était dans ma chatte passe dans mon cul et mon maitre…revient dans mon cul. Deux queues dans mon cul, je ne vais jamais supporter ça. Je n’ai pas le choix. Je subis, je suis une chienne docile. Petit à petit, je ressens un plaisir foudroyant dans le bas ventre. Je suis prête à jouir, mais ils s’arrêtent de nouveau. L’homme du dessous est remplacé. Ils reprennent le rythme. L’homme qui vient de m’enculer me fait sucer sa queue. Il me jouit sur le visage. J’adore sentir le foutre d’un homme sur mon visage alors qu’on continue de me baiser.
Ça y est je pars. Mon plaisir est à son comble, je sens que je jouis. J’ai l’impression d’évacuer des litres de mouille. Je hurle, je pleure. Je regarde entre mes jambes, c’est une inondation. Je me sens dans un autre monde, le visage parsemé de foutre, de salive, de mouille, mon maitre me détache, et me traine le visage dans mon jus. Ça m’excite de nouveau. J’ai l’impression d’être une chienne en chaleur excitée par sa propre odeur.
Ils me font asseoir contre la table. La femme est à quatre pattes dessus, et un homme part se faire sucer. Mon maitre glisse ma queue sur mes seins pour les lubrifier de ma mouille, et encule la femme. Il ressort sa queue, et me la donne à sucer. Je le prends jusqu’aux couilles. Ça sent la femelle chaude. Je ne veux plus le lâcher. Il me donne une claque, et remet la queue dans le cul de la femme. Ils ne s’occupent plus de moi, ils passent leur temps à se relayer pour enculer la salope sur la table. Ils jouissent l’un après l’autre dans son cul. Une fois bien vidés, mon maitre m’attire par les cheveux entre les cuisses de la femme, et m’ordonne d’ouvrir la bouche. J’ai les lèvres au niveau de son cul.
Soudain, son cul s’ouvre, un trou béant, et un flot de foutre vient me remplir la bouche.

-N’avale pas.

J’obéis, j’attends qu’elle ait finie. Elle m’en met partout.

-Ouvre grand ta gueule ! Main derrière le dos !

Je m’empresse d’obéir. Ils m’observent. Mon maitre me crache dans la bouche.

-Avale sale pute.

Je déglutis et avale tout. Puis de moi-même, je vais lécher les quelques gouttes de foutre restantes sur le cul de la femme. Mon maitre rit, me traite de sac à foutre. C’est ce que je suis…

Il me traine par les cheveux, et m’amène devant un panneau de bois. Il place ma tête dans un trou, ainsi que mes poignets. Un deuxième panneau vient me bloquer…un pilori…




Après une longue absence...j'espère que ce récit vous plaira...Pour tout contact : maitre_domination@live.fr

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