Mon Fantasme
Jallais souvent me promener le soir avec mon meilleur ami, on passait par les champs on parlait de tout et de rien, parfois on parlait de sexe et on sattardait sur le sujet
Plusieurs fois dans les champs il me proposait des endroits pour que lon « sexe ».
Un jour, javais un petit coup de barre après le sport, je lui fis un message et il me dit que lui était à sa salle, il me proposa de lattendre devant, quil allait prendre une douche et quon irait faire un tour.
Il sortit de la salle, lui-même en training et nous sommes partis faire un tour.
Je lui expliquais que javais peu despoir de tomber sur un mec bien et il me dit comme à chaque fois dêtre patiente, on continua à parler de tout et de rien et on en revint sur le sexe, là il me demanda :
« Cest quoi ton fantasme ? »
Je fus surprise par sa question et dit :
« Cest personnel ! »
« Ca va, on se cache rien entre nous, si ? »
« Bon, ok
En faite jaimerais être soumise à un inconnu, voir plusieurs et leur servir dobjet sexuel ! Le problème, cest que pour que ça se réalise, il faudrait que jen parle à cet inconnu ! »
« Pas spécialement »
« Comment ça ? » lui demandais-je.
« Si cest vraiment ce que tu désires, je pourrais te trouver quelquun que tu connais pas et lui en parler ? »
« Tu penses que ça serais possible ? »
« Oui, ça doit lêtre, mais soit sur de ce que tu fais ! »
« Je suis certaines ! »
« Jaurais quoi en échange moi ? » Demanda-t-il.
« Si tu me promets que ce que tu dis est vrai et que tu peux réaliser ça, alors je suis à toi là maintenant, ici au milieu de ce champ ».
« Cest réalisable, je passe un appel, attend. »
Il sortit son téléphone, et composa un numéro.
Lappel ne dura pas longtemps et il expliqua bien mon fantasme, daprès ses réactions et ses réponses, ça avait lair possible. Il raccrocha et me dit.
« Demain, à 13h tu dois lattendre devant léglise en robe blanche et sans sous vêtements, il te verra et sarrêtera, il ne te restera qua monter dans la voiture.
Mon cur se mit à battre à 100 à lheure, je stressais mais jétais excitée !
« Jai droit à ma récompense maintenant ? » me dit-il.
« Oui, je suis toute à toi »
Il sapprocha de moi et môta mon tee short, il le jeta à coté de nous et dégrafa mon soutien gorge quil jeta au même endroit.
Je le laissais faire, il abaissa mon pantalon de training et mon string suivit en même temps, je retirai une chaussure puis lautre en maidant de mes pieds jétais à présent nue sur un chemin au milieu des champs
Il me fit me mettre à genou et abaissa son training et son boxer, sa queue était face à moi et je me mis à le sucer, jallais jusquau bout et il cracha tout dans ma bouche
Il me coucha ensuite et se mit à me lécher le sexe, il me fit avoir un
Deux
Trois orgasmes.
Lorsque ce fut bon pour lui, il tendit son sexe vers le mien et linséra, il commença ses va et viens, ça dura un long moment et il recracha en moi, mais cette fois pas dans ma bouche
Était-ce les orgasmes ? En tout cas je fus fatiguée dun coup !
Il se releva et sessuya dans mon string, je me rhabillais et on continuait notre chemin, je rentrais chez moi et alla prendre une douche, en allant dans ma chambre, je cherchais une robe blanche pour le lendemain, je la trouvai et pris les talons qui allait avec.
Excitée par la journée qui sannonçait je me touchai un peu avant de mendormir
Le lendemain, je repris encore une douche et enfila ma robe et mes talons et rien dautre, jallais jusquà léglise et attendait devant.
13h23 une camionnette bleu sarrête devant moi, un type descend de la voiture et ouvre la porte derrière minvitant à entrer, je rentre donc derrière et il referme derrière moi.
Il rentre côté conducteur et se retourne et me dit : « tu es sur que cest ce que tu veux ? »
« Oui » répondit-je.
« Bien, met toi dos à moi »
Je me mis dos à lui et il prit mes mains les faisant passer derrière mon dos et les attacha, il maida à me mettre à genou et me mit à un bandeau aux yeux, il mordonna de masseoir.
Nous ne parlions pas pendant le trajet et après un long moment il finit par sarrêter.
La porte de la camionnette souvrit et on maida à sortir, là jentendis plusieurs voix, une main vint sur mon seins droit et le palpa, cette même main me fit descendre les brides de ma robe, jétais seins à lair.
« Toucher, profiter, cest gratuit ! » Dis lhomme qui mavait chargée.
Plusieurs mains vinrent se placer sur mes seins, les caressait, tordait les bouts
les frappait ! Dautres caressait mes jambes et montait jusqu'à mon entre jambes.
On me coucha sur le ventre à larrière de la camionnette et relevait larrière de ma robe, exposant bien mes fesses, une main écarta mes jambes et vint ensuite se claquer à plusieurs reprises sur mes fesses, lhomme proposa aux autres personnes de venir claquer mon fessier, je reçu je ne sais combien de fessée mais jen avais les larmes aux yeux, il me redressa ensuite et me détacha les mains, il me fit glisser la robe et mattacha les mains à nouveau.
Jentendis une voix dire : « Je peux la baisée stp ? » et lhomme qui répondit : « Bonne idée tu va te dépuceler dans cette salope ! »
Il môta mon bandeau et il y avait une dizaine de personne face à moi, autant des hommes que des femmes, il me mit un collier au coup avec une laisse et me tira jusquà lhomme qui avait demandé à me baiser, au passage des mains mattrapaient un sein, un bout de jambe, frappait sur une fesse
Il donna la laisse au garçon, qui devait avoir la vingtaine, il me tira dans un hangar, nous étions suivis par le troupeau, arriver à lendroit quil voulu il me fit me mettre à genou et sortit son sexe, il mouvrit la bouche avec ses doigts et linséra, prenant ma tête avec ses deux mains par derrière et baisant ma bouche jusqu'à cracher dedans et mobliger à avaler
Il me redressa et me pencha contre une caisse, il écarta mes jambes et ses doigts passèrent sur ma chatte, il la caressait me doigtait pendant que les autres samusaient du spectacle, filmait ou prenait des photos avec leur téléphone.
Il finit par venir derrière moi pour placer sa bite dans mon sexe et commença ses va et viens, lorsquil eu finit il me laissa mécrouler par terre.
Les autres le félicitèrent et lhomme qui mavait amené me tira par la laisse pour me relever, on memmena dans une autre partie du hangar et là on me plaça au milieu de la pièce, jétais debout face à tout ces regard et lhomme écarta un peu mes jambes, et tira mes cheveux en arrière, javais la tête en lair et je sentis un bâton froid contre moi et puis un courant électrique qui me fis sursauter, un autre à lun de mes seins, lorsque je voulu bouger on me retenais
Deux doigts vinrent se placer dans ma bouche et les décharges continuaient le long de mon corps
Lorsque ça sarrêta lhomme me dit de remercier tous le monde.
« Merci » disais-je difficilement.
« Maintenant tu va aller près de chacune des personnes ici présente et leur demander quil te mette une fessée et tu les remercieras. »
Je fis le tour, répétant toujours la même chose « voulez-vous bien me donnez une fessée svp ? », javais la fessée et ensuite jajoutais « merci ». En tout il y en eu 17 !
La fatigue commençait à arriver
On me détacha les mains et me coucha sur un matelas par terre mattacha les mains à un poteau derrière ma tête et les jambes à deux cordes qui pendait du plafond, une fois de plus plusieurs photo ont été prise, lhomme qui mavait conduite jusquici, le sexe dur et énorme vint placer ce dernier contre le mien et linséra sans hésitation me faisant pousser un cri, il appuyait sur mes deux jambes en lair me faisant mal mais faisant monter lexcitation, parfois il lâchait mes jambes et agrippait violemment mes seins, les serrant fort, me faisant mal mais lorsquil les lâchaient toutes les sensations se faisaient !
Lorsquil eut finit, il se retira et invita un autre à venir dans mon garage à bite, tel ses paroles.
Un autre vint et fit de même que lui, la bite moins grosse mais le coup de rein tout aussi puissant
Une femme vint se faire lécher son sexe pendant quun autre me pénétrait à son tour
Ils vinrent tous en moi et jouer avec moi
On finit par me détacher mains et jambes et on me reconduit à la camionnette
La camionnette démarra et lhomme me demandait si ça avait été, mon ressenti, etc
Bizarrement, javais trouvée ça génial ! On pouvait me prendre pour une folle, être prise par des inconnus mavait plus ! Il me dit quil allait y avait une dernière chose
La camionnette sarrêta et il ouvrit la porte arrière me faisant me mettre à 4 pattes dos à la rue, il commença à jouer avec mon anus, ça ne me motivais pas trop
Il inséra ses doigts grâce à un lubrifiant et y inséra quelque chose qui était assez gros pour écarter mon cul mais qui ne létait pas trop pour pas me faire trop mal, il me remit un bandeau et sassit devant moi, il abaissa ma tête et je sentis sa bite contre mes lèvres, je le suça et il cracha tout en moi.
Il se bougea ensuite et il écrivait quelque chose sur mon cul.
Il me fit sortir de la camionnette et jétais à 4 pattes au milieu de la rue, il me dit ensuite :
« Tu pourras remercier ton ami ! »
« Je le ferais » Dis-je.
Je lentendis partir et dit très vite :
« Que dois-je faire ? »
« Reste là petite chienne, arrivera ce quil doit arriver »
Je restais donc à 4 pattes avec un engin dans le cul et les yeux bander, jentendis la camionnette partir et resta ainsi ne sachant trop quoi faire ?
Je sentis quelque chose contre mes lèvres alors quune main releva ma tête, cétait un sexe masculin, jouvris la bouche nosant rien dire et le suça, il se retira vite et passa derrière moi et môta ce qui avait pris possession de mon cul, sa bite vint se placer contre mon petit trou et je dis « non svp » une claque vint contre mes fesses et je compris que je devais laisser faire.
La bite rentrait peu à peu dedans et me faisais pousser des petits cris, lorsque les va et viens commencèrent je ne su me retenir et les cris se firent plus régulier et plus fort !
Les coups était fort, ses mains serraient fort mes hanches, laissant partir de temps en temps une fessée et ensuite
Il finit par se vider poussant un cri de bien être.
Il me prit par les cheveux et me redressa à genou, me faisant nettoyer sa queue
Lorsque jeu fini de la nettoyer il me retira mon bandeau
Cétait mon ami !
Je nosais rien dire, dailleurs on était dans les champs
Il ny avait pas grand risque pour quon me voit !
« Alors ta journée ? » me dit-il.
« Mieux que je ne lavais espérée ! »
Il sourit et najouta rien.
« Dailleurs je dois te remercier ! »
« Il ny a pas de quoi ! » Dit-il en souriant.
« Au fait ? Il y a quoi sur mon cul ? »
Il me retourna et lu : « garage à bite complet, garde vos vidanges ! »
Je devins rouge de honte et il me dit :
« On rentre, tu dois être exténuée ! »
« Oh oui
»
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