A Une Certaine Lectrice.
Ayant posté mon dernier récit sous un autre nom (Christopher, une problème de messagerie mayant obligé à labandonné) jai eu la chance de recevoir des commentaires très positifs, et très aguicheurs, de femmes qui me laissaient leurs e-mail, afin que je les recontacte. Il savère que jai noué un vrai contact avec lune dentre elles, qui ma demandé de relater notre expérience, ce que je fais par là même.
Lundi dernier, je reçois donc le commentaire dune femme qui me dit vouloir se faire baiser comme celle que jai baisée chez moi, un lendemain de bibliothèque. Elle ajoute quelle veut être ma pute. Je lui envoie un mail, afin de lui indiquer que nous pouvons nous arranger. Pour seule réponse, je reçois une image delle, faisant sortir ses seins de son débardeur. Elle a lair davoir la quarantaine, une poitrine impressionnante, brune, la peau mate. Bref, je ne dis pas non.
Nous nous envoyons quelques mails, où elle me demande ce que jaime, si je lui plais, ce que je voudrais lui faire, ce à quoi je lui réponds quelle me fait bander, et que jaimerais la faire hurler chez moi. Nous convenons dune date, et dune heure.
A lheure dite, ce Jeudi, linterphone sonne. Je suis habillé assez négligemment, jai fait la fête hier, et mon studio nest pas tout à fait bien rangé. Jattends à la porte, assez anxieux de voir pour la première fois une femme qui pourrait avoir lâge de ma mère rentrer chez moi, avec des intentions assez claires... Jentends des pas dans le couloir, qui se rapprochent, et enfin une femme débouche. Comme je lavais imaginé. Très bien conservée, la quarantaine, maquillée avec un peu doutrance, une jupe très courte, des talons de hauts, et rouges vifs, avec une décolleté plongeant qui laisse voir son ample poitrine mûre. Elle me sourit amicalement, et me fait la bise en me tenant la tête entre ses deux mains. Alors que je la fais rentrer, elle dépose une main sur mon torse, quelle fait glisser sur mes fesses.
Elle tâte, clairement, et veut savoir si, moi aussi je vaux le coup. Elle na pas lair déçu, et me sourit en sasseyant, très dignement sur la chaise que je lui présente.
Je lui sers un verre dalcool, quelle boit tranquillement, en mexpliquant que son mari la fait tourner, quelle aime ça, mais quelle cherche aussi à avoir des contacts dans son coin, et que la manière dont jai décris la baise de la dernière fois lavait fait jouir devant son PC, alors quelle senfonçait ça - elle de sortir un godemiché impressionnant de son sac dans la fente. Assez excité et gêné à la fois je ne sais pas bien quoi répondre, alors je réponds de grands « Daccord » faussement enthousiastes. Me voyant légèrement mal à laise, elle me regarde malignement et fait sortir ses seins de son décolleté, me disant quelle sera plus à laise pour me parler comme cela, et que cela correspond mieux à ses instincts bestiaux.
Je la reprends : pourquoi parler dinstincts bestiaux ? Nous aimons tous le sexe et cela nous va bien, et cela va bien à la Nature. Elle tire pour toute réponse un appareil photo numérique de son sac, lallume, et me montre quelques photos à lécran. Effectivement... Je ly vois en train de sucer trois mecs à la fois, le visage déjà passablement recouvert de sperme... Une autre photo la montre en train de se faire sodomiser, alors quelle suce un autre homme. Une autre la montre couverte de sperme en train de lécher des pieds, avec ses propres doigts dans la chatte... Ah...
Effectivement, cest bestial. Et excitant, de voir cette femme petite-bourgeoise, qui est venue ici pour que je la défonce, les seins à lair, assise à côté de moi, en train de me montrer comment une furie peut se réveiller en elle.
Je commence à bander sérieusement, et sa peau frôlant la mienne me donne envie de la déchirer, avec ses seins sortis, énormes, légèrement pendants, et son rouge à lèvres vif.
En posant sa main sur ma cuisse, elle me dit que je peux lui demander nimporte quoi, quelle adore ça, et quelle aimerait que notre histoire soit racontée comme je sais le faire sur ce site.
« Déshabille-toi, insulte-toi, et mets-toi à genoux ». Elle se lève, enlève ses habits rapidement. Elle est parfaitement rasée, on dirait une poupée. Se faisant elle me dit : « Je suis une cochonne. Une salope. Mon mari aime me voir recouverte de sperme. Il aimera lire que jai fait ça sans lui dire. Je serai punie. Je veux ta bite dans mon cul dans ma bouche dans ma chatte. Je veux que tu me gifles que tu me fesses. Je veux avoir mal que ça me fasse jouir que tu mécrases, mon mignon.»
Je sors alors mon sexe. Elle est à genoux. Elle me regarde. Je lapproche de son visage, elle va pour le sucer et je lui prends la tête entre deux mains, et lui dit quelle na pas le droit pour linstant, quelle me sucera quand je le voudrais. Elle sourit de bonheur, je lui roule un patin violent. Et je me mets à caresser ses joues avec mon sexe, à faire le tour de sa bouche, jécrase mes testicules contre son visage, elle nen peut plus, elle veut me sucer mais je ne la laisse pas faire.
Dun doigt, en lui tenant le menton, je lui fais ouvrir la bouche, et je fais entrer ma bite dedans, doucement, tout doucement, jusquau bout. Elle tousse, mais elle aime ça. Puis je lui ordonne de tirer la langue, et fait tapoter mon gland contre. Cela dure 3 minutes.
Elle nose rien faire, et elle est bonne dans cette posture. Enfin, je fais le tour delle. Je vois son cul assis contre ses pieds, jy mets un doigt : il est bien ouvert. Puis lui insère le doigt dans la bouche, quelle suce avec fougue. Je frôle ensuite sa chatte de mon doigt. Elle est incroyablement mouillée. Sans lavertir, jinsère trois doigts, dans un va-et-vient frénétique, elle hurle. Pour la faire taire, je lui enfonce mon autre main dans la bouche. Elle bascule par terre, je narrête pas. Ses gros seins vont de gauche à droite, de haut en bas. Cest une grosse cochonne qui aime se faire prendre par un minet comme une truie. Jarrête dun coup. Elle me regarde suppliante, et lui enfonce ma bite dans la bouche, lui ordonne de sucer mes testicules, puis mon cul.
Elle sort de la douche, trempée, ses cheveux longs collent à son corps, contre le mur je la prend par la chatte, nous sommes collés lun à lautre, ses gros seins aplatis contre moi, sa bouche fouillant la mienne pendant que je lui tiens les cheveux et quelle me griffe le dos. Je lai baisée comme un dingue, ses fesses claquaient contre le mur, elle hurlait dans ma bouche. Je me sentis venir, avec ma main dans ses cheveux, je la fis descendre au niveau de mon sexe, et lui fourrai dans la bouche. Elle avala tout, puis me lécha les testicules.
Nous sommes ensuite allés dans le lit, se reposer, elle me tripotait et je la tripotais tendrement, elle me parlait de son amour pour le sexe, de lexcitation intense, lorsquelle avait lu mon histoire, et de sa surprise, lorsquelle avait compris que ce nétait pas de la fiction.
Alors je tiens ma promesse, et voici ce qui sest passé avec elle.
Nhésitez pas à me contacter par mail. Je suis à votre disposition.
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