Sous La Douche

C'était un dimanche matin comme les autres, comme d'habitude il se leva plus tôt que moi, je me réveillai en entendant le bruit de la douche, je me glissai dans la salle de bain, et vins le rejoindre sous la douche. La veille nous avions eu une violente dispute, je ne savais comment il allait m'accueillir, tout d'abord il me sourit, mon coeur chavira, il n'allait pas me tenir rigueur d'hier soir. Je me lovai contre son corps chaud, mais il appuya fortement sur ma tête, je compris qu'il voulait que je m'agenouille, ce que je fis tombant nez à nez avec son sexe tendu. D'humeur coquine je vins chatouiller son gland du bout de ma langue, mais l'eau chaude de la douche pénétra dans ma bouche et j'eus une sensation désagréable dans la bouche, je décidai d'arrêter ici les coquineries, mais monsieur l'avait vu différemment, et me coinçant contre le mur commença à maintenir ma tête sur son gland, je ne bronchai pas, je ne fis aucun effort, je n'aimais pas être contrôlée, il le savait pertinemment. Il força un peu plus sur ma tête me retrouvant avec son pénis au fond de ma gorge, j'essayais de me débattre et de dégager ses mains, il ne céda pas, bien au contraire, il força encore un peu plus. J'eus du mal à respirer, l'eau me tombait dans les yeux je les fermai. De mes mains j'essayais toujours de me dégager, il parla « chut, concentres toi, suces mieux que ça. » Je n'admettais pas qu'il me demande de sucer mieux que ça étant donné que je n'en avais pas du tout envie, je le mordis un peu, il tira ma tête en arrière en me tirant les cheveux, il planta son regard dans le mien, et me gifla, il me remit sur son pénis, je sentais une chaleur se faufiler au creux de mon entre jambe. Je ne pouvais pas être excitée alors qu'il venait de me gifler...
J'abdiquai et commençai à le sucer doucement, léchant son gland et m'enfonçant tout doucement sur son pénis, une fois que son sexe était rentré en entier dans ma bouche il me tenait la tête enfoncée dessus.

Il me tira les cheveux pour que je me relève, je me retrouvai face à lui rougissante. Sa main glissa sur mon sexe:
« Tu mouilles?
-Non, répondis je, savant pertinemment que je mentais et qu'il le savait.
-Non? Il porta sa main à ma bouche. Et ça c'est quoi? » Je ne répondis pas, il pénétra son doigt dans ma bouche, un goût de cyprine envahit ma bouche, il repose sa question: « c'est quoi ça?!
-De la cyprine.
-De la cyprine?! De la mouille de chienne, oui! » je baissai les yeux, je rougissais de plus en plus et mon bas ventre chauffait de plus en plus. Je ne voulais pas me défendre, l’excitation montait en moi. Il me tendit le savon : « laves moi, et fais ça bien ». Je pris le savon et le passa sur tout son corps,massant chaque partie que je lavais. Arrivée à ses chevilles je m'arrêtai là, j'avais toujours été dégoutée par les pieds il le savait pertinemment, j'allai me relever quand son pied atterri sur mon visage: « je t'ai demandé de me laver » je pris le savon et lui lava les pieds. Je me relevai après avoir fini. Mon entre jambe mouillait de plus en plus et ce n'était pas que de l'eau dégageait par la douche. Il m'embrassa, et me fit reculer contre le mur froid. Il me caressa lentement les seins, le cou, le ventre, j'appréciai ses caresses, je soupirai:
« L'eau n'est pas trop chaude? Me demanda-t-il gentiment. Je souris, il savait que je n'aimais pas l'eau chaude.
-Si un peu » il tourna le robinet d'eau chaude, et je sentis immédiatement la douceur de l'eau tiède couler sur mon corps, je souris, je m'apaisai et fermai les yeux, il cessa son étreinte, mais me maintenait tenue contre le mur en me tenant les mains, soudain je sentis le jet de douche devenir froid et glacé, je me mis à criai:
« Mets de l'eau chaude! C'est glacé, merde! » Il me gifla aussitôt, il me caressa le visage de la main qui venait d’atterrir sur ma joue, sa main était chaude et contrastée avec la froideur de la douche. Je me concentrai cette caresse, essayant d'oublier le jet froid qui tombait sur tout mon corps, il m'attrapa un téton qu'il commença à malaxer:
« Tu vas apprendre à me parler autrement, je ne veux pas entendre de gros mots quand tu t'adresses à moi, tu ne me donnes pas d'ordre, as tu déjà vu une chienne donner des ordres à son maître? Il pinça mon téton
-Non...
-Tu me vouvoieras à partir d'aujourd'hui, montres moi ton respect. Et baisses les yeux quand tu me regardes » Aussitôt dit, aussitôt fait je baissai mes yeux. Son autre main vint tripoter mon deuxième téton, je me concentrai sur ses mains, oubliant le jet de douche qui me frigorifiait tous le corps. Sa bouche avança vers un de mes seins, pris un téton et le mordilla le jet d'eau se réchauffa, et soudain je sentis une morsure plus dur sur mon sein, j'eus mal, mais je ne dis rien de peur de représailles, il dégagea sa tête du jet et aussitôt l'eau devint froide. Sa main glissa sur mon sexe, trempé de cyprine, il m'enfonça un doigt dans le vagin:
« tu mouilles bien à ce que je vois, masturbes toi » je me mis à caresser mon clitoris face à lui, les yeux fermés, dès le début de ma caresse je me mis à gémir, j'adorai caresser mon clitoris c'était une caresse tellement agréable:
« deux doigt dans ton vagin, tout de suite » j'introduis mes doigts comme demandé, c'était agréable de se savoir diriger dans cette caresse, je savais qu'il me regardait et cela m’excitait d'autant plus, je gémissait et criait presque, il m'ordonna de me taire, j'essayai de faire le moins de bruit possible. J'accélérai ma caresse sentant ma jouissance arriver, la chaleur de mon corps venait se confronter à la fraicheur de l'eau, cette eau glacée venait m'apporter du plaisir. Aussitôt la chaleur de la jouissance qui allait arriver m’envahis il m'ordonna d'arrêter, je lâchai et retombai immédiatement sur terre: « tu ne viens pas tant que je ne te l'ai pas demandé », il me retourna, me fit tendre les fesses, je savais ce qui allait se passer, une bonne sodomie m'attendait, j'aimais vraiment ça mais j'étais inquiète du fait que je n'étais pas lubrifier, je lui fis part de ma crainte:
« Il faudrait mettre du lubrifiant..
-Pardon?
-Si tu... Si vous me pénétrez les fesses il faudrait mettre du lubrifiant.
-Tu vois du lubrifiant quelque part toi?
-Non...
-Et tu voudrais que je sacrifie mon plaisir pour que madame se sente plus à l'aise? » Je ne savais pas quoi répondre à cette question, quelque part oui je lui demandais ça, mais c'était pour qu'on est tous les deux du plaisir. Comme je ne répondais pas il me claqua les fesses.
« Oui... Enfin je ne sais pas.
-Tu ne sais pas, et bien je vais te dire, j'en ai marre de te prendre avec des pincettes, alors je te prendrai comme ça, et c'est tout, je veux venir dans tes fesses, démerdes toi pour trouver ton plaisir! » Son sexe s'enfonça dans ma rondelle, au départ ça me tirait, ça me faisait souffrir mais une fois son sexe rentré il trouva sa place habituelle et la douleur se calma, l'eau devint tiède, il fit des allers retours rapides me prenant par les tétons, de temps en temps sa main claquait sur mes fesses, je gémissais de plus en plus et mon sexe était trempé de plaisir, je profitais du jet d'eau qui était maintenant d'une chaleur agréable, je sentais ses mains sur mon corps et son sexe que j'adorai tant en moi.
Je profitai de ce moment me vidant l'esprit. Je sentis son sexe gonfler, je savais qu'il allait venir, j'hésitai un instant, mais je retirai mes fesses empalées sur son pénis et vint coller ma bouche sur son pénis prêt à lâcher sa jouissance, je regardai son visage, je vis un sourire apparaître, et soudain l'eau redevint froide, il jouit dans ma bouche, je pris soin de tout bien avaler.
Une fois qu'il eut finit je restai agenouillée son sexe en bouche n'osant bouger, il me tendit le savon d'une main
« Maintenant laves toi, je veux que tu gardes le jet d'eau froid ».