Eléonore, Jouet D'Une Perversion

Ce récit fait suite à "La visite du salon de l'érotisme".

Cela fait 6 mois que l'histoire avec Jean-Claude s'est déroulée. Depuis, nous nous sommes rencontrés quelquefois, sans rien laisser paraître. Je n'en ai pas parlé à Thierry, mon mari, ni à Catherine, l'épouse de Jean-Claude et ma meilleure amie. J'avais presque oublié lorsqu'un jour je reçois, sur ma messagerie personnelle, un mail accompagné d'un fichier :
« Tu vois, je ne t'ai pas oublié. Le fichier joint ne contient aucun virus, tu peux l' ouvrir sans risques. Je te donne rendez-vous demain ». Suit une adresse et quelques instructions.
J'ouvre donc le fichier qui contient un extrait du DVD en sa possession sur lequel il a ajouté mon prénom et mon nom.
Le lendemain, comme recommandé, je me suis entièrement rasée la chatte et en sortant du bureau, je me rends à l'adresse où je retrouve Jean-Claude devant un magasin de lingerie. Sous ces directives, j'y achète un bustier zippé sur le devant, un mini string ficelle, un porte-jarretelles et des bas résilles. Dans la cabine d'essayage, avec le bustier, je ne reconnais plus mon 95 B tellement mes seins sont remontés. Le mini bout de tissu recouvre à peine ma fente. Jean-Claude qui m'attend devantla cabine écarte le rideau et, l'air contrarié, interpelle le gérant :
« Monsieur, s'il vous plaît, pourriez-vous venir un instant, Madame a un léger problème »
« Que se passe-t-il, Madame. Il y a quelque chose que ne va pas » se précipite le gérant, les yeux écarquillés.
" Elle se demande si elle est bandante dans cette tenue mais à voir la bosse de votre pantalon, je crois qu'elle a la réponse à sa question. Eléonore, tu ne vas quand même pas laisser Monsieur comme ça, ce serait inhumain. Une petite gâterie lui ferait certainement plaisir ».
Je m'agenouille alors et avant qu'il n'esquisse le moindre geste, je fais tomber son pantalon et son slip sur ses chevilles et je prends sa queue dans ma main.

Je lui lèche le bout du gland avant de lui faire quelques succions. Après quoi, je lui gobe entièrement sa courte bite tout en malaxant avec énergie ses bourses bien pleines. Il ne faut pas longtemps pour qu'il décharge tout dans ma bouche, dans un râle de soulagement. Le laissant se remettre, je me rhabille rapidement et, après lui avoir réglé mes achats, je me presse dehors où Jean-Claude m'attend avec un grand sourire.
"Ben, ça a été rapide. Bon, je te raccompagne, ma voiture est un peu plus loin ". Je m'asseois et le contact du siège sur mes fesses me fait me rendre compte que j'ai oublié ma culotte dans le magasin, ce qui provoque l'hilarité de Jean-Claude
"Houa, de mieux en mieux et de plus en plus dévergondée".
Assise à ses côtés, je regarde le paysage défiler en silence tandis que lui siflote et, de temps à autre, me jette un regard. Tout à coup, passant devant un hypermarché, il entre sur le parking et se stationne à l'écart des autres voitures.
"Cet oubli de culotte m'a excité et j'ai envie de te sauter". Je lui réponds qu' ici, on pourrait nous voir mais avant que je ne réagisse, il a déjà allongé le siège et sorti sa queue de son pantalon. Ma jupe est remontée et mes jambes écartées. Il me pénètre sans douceur et pilonne ma chatte à grands coups. Quelques instants de ce traitement ont bientôt raison de moi et je me laisse aller en lançant de petits cris de plaisir qui ravivent le va-et-vient de Jean-Claude. Il décharge alors sa semence en moi, en poussant des grognements de satisfaction. J'ouvres les yeux et je pousse un cri. Devant moi, un jeune homme se masturbe et crache soudain son sperme sur la vitre.
"Jean-Claude, tu vois. Fais quelque chose".
Il sort de la voiture et lance au voyeur
"Alors, ça t'a plu, petit coquin. Dommage que tu t'es vidé, tu aurais pu en profiter parce qu'elle est vraiment bonne. Une autre fois peut-être".
Et, dans un grand éclat de rire, il remonte en voiture et démarre dans un crissement de pneus en me lancant :
"Fais pas la tête, j'ai dis ça pour rigoler".

Vexée, je me tais tout le long du retour et à proximité de chez moi, il me laisse en me recommandant de surveiller a messagerie car il se pourrait qu'un nouveau message y soit de nouveau déposé.
Je reste donc seule sur le trottoir avec mes achats et un sentiment de dégoût mais je ne peux rien faire pour l'empêcher de jouer avec moi. Toutefois, dans mon for intérieur, ces situations me plaisent et il me tarde d'être à nouveau l'objet de sa perversion.

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