Le Début De La Rencontre : L'Histoire Érotique Devient Une Aventure Réelle
Il y a un peu moins dun an jai trouvé un travail de « gratte papier » dans une administration dont je préfère taire le nom (discrétion oblige). Certaines mauvaises langues diront que javais trouvé une belle « planque », assis toute la journée devant lécran dun ordi à vérifier que le formulaire B12 soit bien associé à la feuille 4C
passionnant. Seul hic, mon job était à 1 heure de train de chez moi. Je profitais alors des voyages pour écrire, lire ou simplement rêver. De jours en jours le petit TER de campagne devenait une nouvelle maison, avec des voisins de voyage. La plupart de ces voyageurs étaient amis et jouaient aux cartes ou discutaient. Tous moi sauf et une timide brune qui à lécart perdait son regard dans le paysage. Elle devait avoir mon âge, un peu moins de trente ans, un petit coté masculin avec ses cheveux courts, toujours en jeans et débardeur. Elle était mince, avec une petite poitrine rebondie et un visage assez fin : une beauté ordinaire. Je la regardais, imaginais sa vie, puis un jour alors que par malchance je nai trouvé quune place derrière elle (jadorais me mettre en face afin de regarder ses yeux noirs) je devine un tatouage en bas de son dos. Mon imagination pris alors le relais : un tatouage dans le dos ? Peut-être quelle a dautres ? De fil en aiguille celle dont jimaginais la vie devint lobjet de rêveries plus coquines. Jaimais imaginer son corps, lui inventer des aventures. Puis un jour alors que je gribouillais un bref récit sans intérêt, je commença à écrire une histoire érotique directement inspiré par cette Muse. Chaque jour jimaginais une nouvelle histoire, au travail elle occupait entièrement mon esprit et jattendais le soir pour la regarder et couché sur papier mon nouveau fantasme. Un soir alors que javais quitté le train et regagné ma maison, je maperçois que jai perdu mon papier. Au début je panique un peu, mais bon je ne lai pas signé, donc aucun risque. Cétait une histoire non terminée, jy décrivais mon inconnue avec une jupe noire et des talons hauts, le récit expliquait quelle sassoyait devant moi et entamait une séduction par une attitude aguicheuse.
Le lendemain je retrouve mon train et à la gare suivante la belle brune entre dans le wagon. Elle porte un long manteau capitonné noir et un bonnet en laine. Moi seul au fond la lobserve discrètement. Elle balaye le wagon du regard puis maperçoit et savance avant de sassoir et sassoit juste devant moi. « Bonjour, je peux massoir ici ? Cest pénible dêtre toujours seule ». La surprise me fait bafouiller un vague oui. Elle se lève enlève son bonnet et son manteau, et là que fut ma surprise en découvrant une petite jupe noire et un chemisier blanc ! Coïncidence ? Je fus pris de honte et si elle avait lu mon récit, non impossible. Elle me fixe avec un regard qui lui était inconnu, son sourire aussi était différent. En croisant ses jambes je devine des bas noirs attachés par un porte-jarretelles en fines dentelles. On parle alors de banalités avec toujours avec ce jeu évident de séduction. Puis je regagne mon travail, sors mon attaché-case et trouve une feuille de papier négligemment posée entre deux dossiers. Cest mon histoire perdue, mais une nouvelle écriture à continué le récit ! « La femme à la jupe noire, se leva et partie. Chez elle, excitée par sa rencontre elle se mit nue, et commença à fantasmer sur cet inconnu. Dans le noir de sa chambre elle explora son corps imaginant des mains étrangères sur ses seins et son ventre. Les yeux fermées elle sentait un souffle masculin dans son cou. Les jambes serrées elle rêvait de faire semblant de résister aux avances indécentes de cet inconnu. Cest alors dans un rêve mêlé de cris et de gémissements quelle se fit jouir en espérant relire à nouveau un mot de son amant virtuel ». Jétais sans voix. Ce petit bout de femme toute timide cachet en réalité une amante avide de parcourir sa sexualité. Je pris alors un stylo et continua lhistoire. Le soir on se retrouve à nouveau et je lui pose le papier sur ses genoux. Elle le déplie et le lit dune voix douce afin de ne pas être entendue par les autres voyageurs. « Mon prénom est Fanny ».
« Pardon ?» « Mon prénom est Fanny cest plus personnel ». « Tu as raison Fanny, moi cest Stan ». Tout en découvrant le récit elle exécute le scénario. « Fanny fait face à Stan, elle remonte doucement sa jupe pour faire deviner ses bas. Elle écarte légèrement ses jambes et dans un geste sensuel caresse lintérieure de ses cuisses. Puis Stan sassoit à coté delle ». A la lecture de ce passage elle esquisse un frémissement. Je me lève, me pose à sa gauche et lui demande de reprendre lecture. « Stan pose sa main sur le genoux de Fanny et remonte doucement ». Je mexécute et devine au touché un string de dentelle. Fanny a le souffle court, elle est excitée, peut être même un peu apeurée par tant daudace. Avec mes doigts je caresse dans un vas et viens langoureux sa petite chatte à travers sont string. Rapidement mes doigts sont mouillés. Je penche ma bouche à son oreille et lui demande de continuer. « Fanny, prend alors la main de Stan et lui glisse dans sa culotte ». Elle se retourne, vérifie quaucun regards indiscrets ne puisse de se douter de ce qui se trame puis elle prend ma main. Je sens alors son sexe chaud et humide, elle nest pas épilée ce qui outre la surprise ajoute un peu à mon ardeur. Elle pose sa tête sur mon épaule, comme un jeune couple amoureux, et dune voix envoutée par livresse du désir elle me glisse entre deux expirations « je veux jouir ». Ma main droite enlacée dans la sienne jexplore son intimité. Je joue avec son clitoris alors que je sens quelle glisse un doigt dans son vagin. Le bruit sourd et continu des roues sur les rails masque tout gémissement mais Fanny peine à cachet son désir. Je prends alors sa tête avec ma main gauche et plaque dans le creux de mon coup. Elle prend alors à pleine bouche le col de mon manteau afin de d ses gémissements. Elle glisse doucement sur le siège et avec son bassin donne des vas et viens instinctifs, chevauchant farouchement ma main. Elle prend ma main et la plaque à plat sur son sexe bouillant, ses lèvres sont gonflées et trempées, puis elle sert ses jambes avec une force insoupçonnée.
Je sens sent son clitoris trembler et vibrer dans le creux de ma main, puis après avoir allongé ses jambes elle sursaute pendant quelque secondes avant de sécrouler dans mes bras. Je me retourne brièvement pour vérifier si personne ne regarde mais les seuls badauds sont au fond de la rame et trop occupés par leur concours de belote. Je retire ma main et lessuies discrètement. Tout en restant collé lun à lautre on nose rien se dire. Elle reprend son souffle avant de réagir à larrêt éminent du train. « je suis
je ne suis gênée, merci, enfin je mexcuse». Je nen reviens pas, elle me remercie puis elle sexcuse. « Merci pour ce moment je ne pensais pas vivre un truc aussi fou ». « Pourquoi tu me demande pardon alors? » elle pose alors sa main encore humide sur mon entrejambes et avec un sourire amusé me répond « pour ça, jarrive chez moi donc toi tu dois être frustré ». Elle navait pas tort, mais la sentir jouir à mes coté mavais procuré un plaisir nouveau et intense. Puis dun geste soudain elle remonte à nouveau sa jupe, enlève son string, essuie sa chatte encore souillée par sa jouissance avec et la met dans ma poche. « Ce soir fais toi jouir en pensant à moi, comme je lai fais hier en lisant ton histoire ». Puis alors que le train ralenti son allure elle se lève avant de disparaitre sans se retourner. Ce fut le premier jour dune étrange mais fabuleuse relation.
admin
Jan. 31, 2023
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