Daphné 2

Sylvie n’en revient toujours pas, après une semaine, de l’enthousiasme de Daphné au sujet d’ Alban ! Il semblerait bien que ce cachottier ait profité des charmes de son amie tellement elle la trouve changée. Et sa jalousie prend le dessus sur l’amitié, quand elle se dit vertement, comme pour s’exciter elle-même : « je suis sûre que cette petite roulure s’est bien fait sauter ! »
Et la rancoeur, n’ayant pourtant pas lieu d’être au vu de ses relations platoniques avec le garçon, la gagne avec force en lui étreignant l’estomac. Tout compte fait, c’est le comportement de son amie qui lui fait ouvrir les yeux sur le charme certain d’Alban. Comment, rouée qu’elle sait être, n’a-t-elle pas eu de pulsion pour ce beau brun ? Sans doute de le voir trop souvent dans le cadre du boulot ! Que va-t-elle pouvoir inventer pour faire venir ce petit saligaud chez elle et tenter sa chance ?
Il lui faudra finalement quinze jours pour, après avoir supporté les minauderies de l’autre sainte nitouche, saisir l’occasion qui lui est donnée. Et elle s’habille si l’on peut dire, de dessous qu’elle sait aviver le désir.
Le pot des vacances, comme chaque année, se transforme bien vite en beuverie sous la houlette du patron. Et elle remarque un point commun entre Alban et elle, qui lui avait jusqu’alors échappé, il est raisonnable devant l’alcool.
Le stratagème sera donc le suivant : elle feindra d’être un peu partie et lui demandera de la raccompagner avec sa voiture plutôt que rentrer par le métro comme d’habitude.
Elle l’observe à la dérobée, et s’aperçoit encore d’une chose : la gent féminine lui tourne ostensiblement autour. Qu’est-ce que je suis conne se dit-elle ! Et son minou commence à la chatouiller.
Elle rit un peu fort en montant dans le véhicule, et se laisse mater les cuisses sans paraître en prendre conscience pendant tout le voyage.
- Ca va ? Lui fait-il en lui caressant la joue gentiment.
- Je suis un peu éméchée c’est tout ; mais je préfère éviter la mauvaise compagnie, dans mon état.


Lui ne perd pas une miette de l’orée des bas qui découvre un peu de la chair de ses cuisses. La coquine a l’air à croquer avec son décolleté plongeant et son entrecuisses presque livré.
Autant par gentillesse que pour la peloter un peu, il l’aide à descendre après avoir ouvert sa portière.
Une fois dans l’appartement, Sylvie lui propose un dernier verre pour le remercier da sa gentillesse, et il ne se fait pas prier.
Le sujet de conversation est vite trouvé et c’est Daphné qui est à l’honneur.
Tout en écoutant son hôtesse, il ne se gêne pas pour regarder dans la chambre, dont la porte est restée ouverte. Il a un léger sourire en découvrant un lit rond en plein milieu et un immense miroir sur le mur d’en face. Oh oh, on ne doit pas s’ennuyer avec cette coquine, se dit-il !
Pendant que Sylvie lui raconte que Daphné ne tarit pas d’éloges sur lui, il imagine combien ce serait savoureux de les voir toutes les deux allongées dessus en train de se prodiguer de subtiles caresses ; et ce faisant, une grosseur est maintenant bien apparente dans son pantalon.
Sylvie le voit tout de suite, ayant guetté le moindre signe encourageant. Alors elle continue sa diatribe :
- Cette chère Daphné ne m’a pas parlé de votre emploi du temps, mais à voir comme elle rayonne depuis ta visite chez elle, il a dû s’en passer des choses !
- Tu crois ? Demande un Alban souriant tellement il est, d’une part fier d’avoir bien sauté sa copine, et d’autre part amusé d’ être l’objet de l’attention d’une Sylvie qui semble fort intéressée par la chose .
Celle-ci s’est doucement rapprochée de lui et verre en main pour se donner de l’aplomb, continue son interrogatoire :
- Alors cachottier, tu te l’es envoyée ?
Alban, en répondant négligemment va, du regard, de la chambre au décolleté plongeant :
- Tu veux vraiment savoir ce que j’ai fait chez ton amie ?
Sylvie le sent près à se confier et vient lui exposer ses seins, volumineux pour un petit bout de femme comme elle, sous les yeux.

Le garçon, lui, comprend que la femelle est chaude et il va se faire un malin plaisir à l’exciter davantage :
- Tu ne veux pas plutôt que je te montre ? Demande-t-il tout contre son oreille après être passé derrière elle, respirant son parfum.
Puis ce sont ses seins qu’il prend à pleines mains pendant qu’elle tient encore son verre.
- Tu aurais dû l’entendre gémir, crier !
Il continue à peloter et sa langue lèche du cou jusqu’au lobe.
- Oh oui tu as dû bien la faire jouir cette cochonne ! Je suis sûre qu’elle aime ça !
Sylvie est rentrée dans le jeu et Alban se dit qu’ elle est à point en se fiant à son ton mordant. Il lui prend le verre des doigts et l’entraîne vers la couche offerte, repensant à ce qu’il a fait découvrir à Daphné en lui apprivoisant et en lui mettant le cul. Et il bande encore plus fort en imaginant qu’il va faire la même chose au petit popotin de cette donzelle incendiaire ; et tout de suite lui viennent des mots verts, qu’il garde pour l’échaufourrée qui s’annonce.
La petite délurée reste debout devant le lit, et regarde dans la glace les mains d’Alban qui pétrissent à nouveau ses pamplemousses gonflés pendant qu’il lui lèche la nuque. Ses tétons pointent et les doigts du garçon, maintenant, essaient de les pincer à travers le chemisier et le soutien-gorge.
Il colle son bas-ventre contre le dos de la bonnasse, son pieu dressé arrivant à sa taille vu son gabarit. Il se dit qu’il va faire son jouet de ce poids coq en la soulevant et se l’empalant sur le dard de toutes les manières possibles. Et comme elle se tortille pour plus de contact, il plante la première banderille :
- Tu la sens ma bite ?
- Oh ! Lâche-t-elle de surprise excitée, avant de se reprendre. Je la veux ! Répond-elle nerveusement.
L’impact n’a pas échappé au garçon. Oh tu vas en avoir d’autres ma petite pute, pense-t-il.
Elle veut se retourner mais le spectacle dans le miroir est trop érotique pour qu’ Alban ne veuille pas prolonger les préliminaires.
Il veut tout voir : ses doigts mouvants sous le rempart de la culotte et dans le bustier bien rempli ; avant qu’ils ne dénudent les gros tétons et qu’ils laissent voir la minette branlée. Il veut la voir flageoler sur ses jambes alors que la première branlette va la faire crier de délivrance. Alors il frotte plus vite, les doigts trempés de mouille, et lui assène les premières piques :
- C’est ça ma poupée, viens sur mon doigt ! Allez jute ! Ouiiiiiii ! C’est ça, couine !
La longue plainte est une surprise aussi bien pour elle que pour lui. C’est le signe d’une envie longtemps réfrénée, et Alban est grisé par le tempérament de la chaudine.
Sylvie pose les doigts sur le gros renflement de la braguette, le palpe, et veut descendre la fermeture. Mais le garçon ne veut pas lâcher sa proie sensuelle pour une pipe qui le ferait venir inexorablement trop tôt tellement il la veut.
Il la fait reculer contre le lit jusqu’à ce qu’elle s’y affale.
La jupette noire remontée aux hanches, le haut des jambes bronzées au-dessus de la lisière des bas opaques mauves, le chemisier noir débraillé laissant voir les gros globes reposant dans leurs balconnets baleinés mauves ; tout le met dans un état second. Et le rut qui le prend au ventre rend son vocable délicieusement assassin :
- Je vais te bouffer la chatte ! Tu va voir comme ça va être bon ! Je vais te planter ma langue pour boire ton jus de fille !
Ca ne laisse pas Sylvie de marbre et elle glousse avant de s’exciter par des comparaisons :
- Oh cochon ! Je suis sûr que tu lui as dévoré la sienne ! Elle a dû bien chanter la vicieuse !
- Oh mais toi aussi ma mignonne tu vas bien hurler quand je vais te sucer le berlingot !
Et il passe à l’attaque en se mettant à genoux dans la fourche grande ouverte.
La culotte est en fait composée d’une mini-jupette du même mauve que le soutien-gorge, cachant un string déjà humide à l’emplacement de la moule tripotée tout à l’heure.

Ca sent bon la femelle en chaleur et il pose tout d’abord sa bouche sur le tissu en appliquant ses paumes sur le haut des cuisses de Sylvie.
Ce faisant, le lit dérive un peu à gauche, et il comprend que celui-ci est sur un axe.
Alors il le fait tourner jusqu’à ce que le compas des cuisses de cette sauteuse soit presqu’en face de la glace.
Cette organisation ne lui laisse aucun doute sur le fait qu’il va se taper une bonne salope, et que les heures qui viennent vont être un régal de luxure ; il va pouvoir la sabrer dans toutes les positions pendant qu’il va la regarder coulisser sur sa bite de face, de dos, assise, debout, à genoux, en levrette, et certainement en la prenant à bras le corps pour l’empaler.
Elle a réussi à escamoter son pantalon, têtue, cherchant de ses doigts fins à extraire son engin bandé du caleçon, mais Alban la dompte en malaxant ses grandes lèvres de minou avec les siennes.
Il sent le bouton durci et l’agace tantôt des doigts tantôt de la langue à travers le voile violet. La petite dévergondée tend son ventre pour se faire lécher mais le roué continue ses approches.
Il n’a plus de scrupules à l’abreuver de verdeur, maintenant qu’il voit à qui il a affaire :
- Je vais bien te tringler tu vas voir ! Tu vas l’aimer mon noeud ! Je vais te l’enfiler partout !
Et comme pour confirmer ses dires et déceler une éventuelle réticence, c’est tout le plat de sa langue qu’il passe sur le triangle soyeux alors qu’un de ses doigts glisse dans sa raie du cul pour discrètement lui titiller la rondelle en jouant avec la ficelle étroite.
La cochonne soulève son bassin et lâche un petit « mmhhhh », qu’Alban prend pour une acceptation de la caresse effrontée. Alors il continue la lente progression des prémisses en se faisant violence pour ne pas la désaper tout de suite et la niquer à grands coups de pine.
Il passe la langue de temps en temps sous le bord du tissu, léchant le jus abondant en se rinçant l’oeil dans la glace, avant d’en humecter l’opercule brun par des coups de langue furtifs mais efficaces au vu des petits cris de la ribaude.
- Oh oui lèche ! L’invite-t-elle en collant sa culotte contre la bouche de son grignoteur.
Ces mots trop habituels ne suffisent pas à Alban, et il le lui fait comprendre en stoppant de la butiner, les yeux plantés dans ceux d’une Sylvie en voie de perdre les pédales. Il ne fait que poser ses lèvres sur la faille inondée ; après avoir à peine écarté le tissu parfumé par ses sucs.
- Oh suce-moi salaud ! Ne me laisse pas dans cet état ! Bouffe-moi le minou ! Plonges-y ta langue ! Tu as bien dû brouter et doigter cette petite pute !
Elle appuie si fort sur les mots qu’ Alban comprend qu’elle s’excite elle-même en faisant monter l’ intensité de son envie. Ce n’est pas pour lui déplaire car il va à son tour lui faire frémir l’échine :
- Oh oui je l’ai sucée ta copine ! Oh oui je lui ai dégusté la foune ! Elle criait sans arrêt alors que je lui tétais le bouton, le doigt bien planté dans son cul !
Pas d’autre réaction à cette évocation qu’un soulèvement de bassin pour se donner à l’appendice immobile. Il mène plus loin son abordage :
- Elle a adoré que je lui lime la pastille pendant que je la léchais ! Elle quémandait de se faire bouffer encore et encore ! Et c’est deux doigts que je lui ai mis pendant mes sucettes ! Et elle a hurlé comme une chienne ! Maintenant ça va être ton tour, mais je vais me faire prier ! Tu vas devoir me montrer comme tu veux que je le mignote ton baba affamé !
Et pour lui donner un aperçu de ce qui l’attend, il enchâsse sa langue entre les lèvres du coquelicot ouvert, la nappant de miel de fille. Et puis il la débarrasse sans douceur du string, ivre de stupre et de joute verbale.
IL écarte le compas de ses cuisses en grand, passe ses mains sous la petite croupe ronde pour la prendre à pleines paumes, et poste ses lèvres aux abords du con impatient.
- Allez, fais-moi encore jouir pendard ! Délecte-toi de mon nid d’amour ! Chatouille-moi bien le clito ! Branle ! Aspire ! Barbouille-toi de mon jus, tu vas voir comme il est bon !
Ca satisfait le jeune homme qui lui prend l’abricot à pleine bouche en lui balayant la fente longuement, pelotant son cul savamment.
Sylvie est bien entrée dans le jeu car Alban voit l’axe de son regard et est sûr qu’elle est en train de mater son mont velu embroché par sa muqueuse habile. Aussi n’est-il pas surpris qu’elle jute aussi vite son flot abondant.
- C’est bonnnnnnnnn ! Eructe-t-elle d’une voix de gorge tremblottante. Tu la suces bien ma chatte ! J’en veux encore !
Alban est au bord du spasme mais il n’en a pas fini avec sa préparation à la monte débridée. Il va enfin savoir si cette petite vicelarde aime se faire sodomiser ou pas. Il pose les genoux de la baiseuse sur ses épaules et plaque ses mains sur ses cuisses pour la maintenir . Et puis il l’entreprend à nouveau de son appendice virevolant, longeant la faille embroussaillée de haut en bas pour descendre tout en bas de la vallée des fesses, lutinant le médaillon au passage.
Elle n’est que murmures énamourés pendant qu’il persévère dans son manège, s’attardant de plus en plus longtemps sur l’ourlet arrondi. Quand celui-ci se met à palpiter, il stoppe une fraction de seconde et voit de son oeil averti qu’il est bien orangé alentour ; ce ne sera pas sa première bite au cul et il en bande encore plus fort.
Tu vas l’ avoir bien profond dans ta rondelle ma salope. Je vais te sabrer de longues heures et je vais te faire jouir de toutes les manières, se dit-il en s’énervant encore plus.
- Oh oui c’est bon ça ! Chante-t-elle alors qu’il a envoyé une phalange en reconnaissance, avalée sans coup férir par son anus enduit de salive.
Doigte-moi pendant que tu te goinfres de ma craquette cochon ! Oooohhhhhhh, ouiiiiiiiii !
Le jeune homme vient de lui enfiler toutes ses phalanges dans le conduit resserré, aiguillonné qu’il est par le tempérament de sa proie.
Et puis c’est le haro ; fait de surprises pour la chaudasse livrée.
Changeant sans arrêt de pôle d’attraction, il masse la rosette en suçant le petit pois émergé, empoigne un téton qui tient à peine dans sa main alors qu’il lui doigte la figue de trois coquins, l’encule de l’index et du médius en lui enfouissant la langue dans la mangue juteuse.
Elle rue sous les sévices, geignant de plus en plus fort, accueillant chaque assaillant d’un « ouiiiiii » éloquent. Elle va maintenant jouir à nouveau alors qu’elle est pénétrée de toutes parts vigoureusement. Et c’est la perle giflée de la langue, la petite lunette fourrée des doigts d’une main, et la foufoune défoncée des doigts de l’autre, que la femelle hurle au loup dans la pièce confinée.
Et Alban met la touche finale à cette première orgie d’orgasmes :
- Tu aimes ça la baise, hein ?! Tu vas voir comme je vais bien te sauter ! Tu veux que je la ramone ta craquette ? Tu veux que je t’embroche le trou mignon ?
- Oui ! Fait-elle le souffle court en cherchant, malgré un début d’épuisement, à s’emparer du mandrin qui distend le boxer. Mais laisse-moi d’abord te pomper la queue voyou ! J’en ai envie ! Je vais te téter bien mieux que Daphné !
Et elle se met à genoux au pied du lit, lorgnant un long moment l’engin dont elle va se goinfrer.
Lui se tourne un peu, de manière à voir, dans le miroir aussi, la bouche pulpeuse qui va monter et descendre le long de son gros morceau.
Sylvie commence par lécher tout le long de la hampe, comme s’il s’agissait d’un esquimaud. Et prenant les bourses dans sa main, elle gifle le gland gonflé avant de se jeter dessus bouche ouverte pour le happer.
Quand c’est fait, elle le fait rouler sous sa langue pour en ressentir le velouté, avant de commencer une succion bruyante et baveuse de salive.
Puis elle ralentit et recommence le manège, finissant toujours par une aspiration démoniaque de la trique tendue.
Pendant qu’elle pelote ses grosses burnes poilues, Alban l’encourage :
- Tu es une bonne pipeuse ! Aspire ! bouffe-moi bien la bite !
Et pour guetter son chybre qui disparaît et réapparaît du divin étau, il lui prend sa crinière pour la mainenir dans son cou gracile.
La brouteuse y met de l’entrain et lâche quelquefois des questions qui sont plus des affirmations qu’autre chose, toute bouillante qu’elle est :
- Elle te plaît ma sucette, hein salaud ?
Ou bien :
- Elle ne t’a pas certainement pas essoré le poireau comme ça cette petite chaudasse ?!
Et elle se met à peloter les fesses musclées du garçon en lui astiquant le pivot de la joie.
C’en est trop pour Alban qui sent son champignon tout brûlant, au bord d’érupter. Alors il la stoppe contre son gré, agrippée qu’elle est à son manche dur comme du bois.
Elle finit par se soumettre et se laisse disposer à la guise du mâle qui va la pistonner : le ventre sur celui d’Alban, ses gros nibards écrasés contre sa poitrine.
Elle sent la grosse prune bistre contre ses grandes lèvres avant que le garçon, la prenant à la taille, ne la fasse glisser contre lui vers le bas pour se la planter sur le gourdin. Et là commence la plus belle monte à laquelle elle a été conviée.
Elle est si légère que voulant le chevaucher frénétiquement tellement elle est folle d’envie, elle est stoppée dans son élan par une poigne de fer qui donne le tempo.
Le jeune homme se l’enfile d’abord tout en lenteur pour que la rouée ressente bien le pilône qui la fore. Et de temps en temps, il lui tire les mamelons pointus avec les lèvres avant de les téter goulûment.
Elle a les mains dans son cou et se laisse affoler encore plus :
- Tiennnnnnnns ! Fais-toi bien mettre par mon pilon !
Et accélérant la cadence, Alban assène encore ses piques :
- Tu vas t’en prendre plein la motte ma garce ! Allez baise-moi maintenant !
Et il se déporte sur le côté , non seulement pour voir ce petit corps luisant de sueur qui se démène sur son boutoir, mais aussi pour suivre le ballet de son médius qui a entamé une danse glissante sur la pastille brune bien dessinée.
Il encercle le trou de balle et elle ronronne ; il le masse et elle fait « mmmhhh » ; il y plonge une phalange et elle fait « oui » ; il l’encule de tout le doigt et elle fait « ooohhh ». Et c’est elle maintenant qui se l’enfiche en se dandinant sur la bite de haut en bas.
- Tu aimes aussi te faire doigter la rondelle petite salope ! Lui dit-t-il presque rageusement, envahi par la luxure du spectacle.
Le aussi galvanise Sylvie ; elle ne va certainement pas se faire voler la vedette par cette sainte-nitouche de Daphné. Toi mon saligaud se dit-elle, il va falloir que tu assures parce que mon petit trou est très gourmand de grosses bananes.
Quand elle commence à se plaindre, Alban tâche de garder son self-contrôle pour ne pas venir, et il la défonce jusqu’à ce qu’elle crie en se tétanisant.
- J’en ai pas fini avec toi coquine ! Dit-il en la retournant comme une crêpe. Je vais bien le lustrer ton minet de cochonne !
Et yeux rivés dans la glace, il se regarde la faire descendre du bassin pour l’enfourner :
- Tiennnns ! Régale-toi ! Danse sur mon pal !
La chienne ne se fait pas prier. Elle pose ses pieds sur les cuisses de son niqueur et se trémousse à grande amplitude du bassin pour s’éperonner et s’éperonner encore :
- Ouiiiiiii ! Vas-yyyyy ! Tringle-moi comme une pute ! J’aime ça la baise !
Le jeune homme la laisse s’empaler à son gré, arquée sur ses jambes pour monter bien haut avant de se laisser retomber sur le noeud tendu. Lui, il a pris les tétons à pleines mains et il les pétrit ; en modèle les pointes, les pince, les étire. Et puis les empoignant, il capte les yeux de la délicieuse garce dans le miroir ; elle doit aussi suivre son chat velu qui engloutit la grosse tige et elle est hagarde, elle grogne.
Alors satisfait, il se met à lui labourer le baba à grands coups de reins, lâchant un sein pour aller astiquer l’ergot dardé.
Elle se met alors à chanter bien haut alors qu’un spasme encore plus violent que le précédent la secoue toute entière. Et puis elle s’affaisse sur le torse d’Alban.
Lui n’a plus qu’une idée en tête maintenant : décharger toute sa purée dans le cul de cette poulette délurée. Sous sa gaule en érection, ses grelots sont gorgés de lait, et il a presque mal d’attendre encore ; mais il sait que sa patience sera récompensée par le bouquet final.
Il la place sur le ventre pieds vers la glace et lui effleure des doigts le dos, les hanches, la taille ; puis des lèvres alors que ces derniers atteignent les rondeurs jumelles.
Puis sa bouche se joint à eux, ainsi que ses dents, pour commencer à lui baiser et lui mordiller l’épiderme.
Il bécote, palpe, presse, lèche ; il écarte les fesses pour dégager l’oeilleton. Il le mate avec gourmandise ; en barbouille les alentours de salive.
Et puis maintenant il veut jouer les voyeurs. Il tient à se gaver les yeux de toutes les s qu’il va lui infliger des doigts et de la langue ; tout comme il veut voir sa matraque la prendre dans tous les sens avant de la remplir d’une bonne dose de sperme.
Alors il la met à quatre pattes, toujours dans le même sens, et écarte ses jambes ; ainsi, il dégage le pétale ourlé blotti dans la vallée ombrée, et la fente pileuse toute trempée de cyprine. Voilà ! Elle est à lui et il va la faire miauler !
Les phalanges crispées sur les lombes, il commence son badigeonnage lingual autour de l’orle plissée, s’éloignant puis se rapprochant alternativement, suivant les ondulations de la lune assaillie. Puis toujours écartant les hémisphères, il titille maintenant la petite porte dilatée du plat de la langue, juste avant de la lui enfoncer à l’intérieur.
Là, Sylvie est traversée d’une décharge électrique, suivie d’un long « oohhhh » de sa voix sanglotante pendant que son amant l’encule de sa muqueuse.
- Tu aimes ça dis donc petite dévergondée ! Tieeeeeens ! Prends ça !
Et Alban la fourre et la fourre encore, alors que son médium est venu agacer sa groseille bien dure.
Il n’arrête plus de noyer sa cocarde gluante et un de ses pouces la masse à son tour. Celui-ci finit par la forcer sous un long « ouiiiiiii » de Sylvie alors qu’Alban lorgne sa progression dans le miroir après y avoir suivi la danse endiablée de son appendice lingual ; qui maintenant fait des traces humides sur la peau douce du postérieur offert pendant que les deux agresseurs travaillent leurs victimes.
- Ca te plaît ça ? Oh oui ça te le distend bien ton anneau ! Il a envie de me branler le noeud ? Il veut que je le pilonne ? Tu vas voir comme je vais lui faire du bien !
Et l’un sodomise, l’autre lustre, pendant que dorénavant deux paires d’yeux sont fixées sur leur reflet ; tétanisées par le pouvoir érotique de la scène.
- Vas-y mets-moi deux doigts ! Prépare-moi bien l’oignon espèce de vicieux ! J’ai envie de me fairre bourrer le cul par ton gros braquemart !
C’est comme ça qu’il la veut ! Et elle se livre enfin ; très allumeuse, très salope.
- Je vais te mettre à fond ma poulette ! Tu vas le sentir passer tu sais !
Et pour l’aiguillonner davantage :
- Ta copine a adoré ma saillie ! Elle a gueulé quand mon outil l’a perforée ! Ca va te plaire à toi aussi ma cochonne ! Tu vas en avoir plein le trou du cul !
Alors il passe derrière elle et elle se cambre ; son petit orifice est bien élargi et réclame son dû.
Alban la prend aux hanches et enduit sa hampe, en la passant le long du calice dégoulinant de sirop de fille ; avant de pénétrer et jardiner son antre brûlant quelques secondes.
Enfin, et un soupir de Sylvie le trahit, l’attente interminable prend fin avec le gland majestueux qui vient s’enchâsser dans la raie ouverte, en plein sur la cible ronde.
Une poussée têtue, et le fripon s’enlise dans un long « ooohhhhh » de la jeune femme. C’est si grisant qu’il réitère à plusieurs reprises, rien que pour l’entendre psalmodier.
- Làààààààà ! Fait-il. Puis voilàààààà ! Et encore lààààààà ! Gobe- moi bien le bourgeon ! Tieeeeeeeens avale !
Et quand il n’en peut plus, c’est centimètre par centimètre qu’il lui loge son gros morceau dans le tunnel resserré.
C’est plus par habitude et pour goûter l’étau culier qu’il s’immobilise ; car la sauvageonne imprime illico un mouvement de balancier avant-arrière pour commencer à se faire reluire.
- Vas-y lime-moi l’oeillet ! Fous-la moi toute entière ! Taraude-moi bien !
C’est autant de banderilles qui font bouillir les sangs d’Alban ; et il va mettre un point d’honneur à la satisfaire.
Il décule et s’allonge sur le dos, amenant son jouet sexuel à cheval sur lui ; le spectacle commence.
Elle se farcit de la tige rigide d’une descente glissante dans sa mouniche avant de la redonner à manger à sa gaine, étroite pour l’imposant joujou. Et puis elle fait l’ascenseur alors qu’Alban lui lutine la fève d’un doigt jusqu’au premier cri de délivrance de la chevauchée.
C’est beau à voir et tous les deux ne lâchent pas la glace du regard.
Maintenant qu’il l’a bien taraudée ainsi, il la retourne comme une plume ventre en l’air, et l’épingle de tout son membre érigé.
- C’est ça, fourrage-moi bien les reins ! J’adore me faire tringler par un gros engin ! Allez martelle ! Lamine !
Sans doute stimulée par sa propre liberté de vocabulaire, Sylvie beugle soudain sous une nouvelle vague provoquée par la branlette de la petite lentille décapuchonnée et l’enculade intensive.
Et puis Alban va la finir en beauté avant de la foutre abondamment . Il se met debout face au miroir, place Sylvie devant lui et lui fait mettre ses mains derrière son cou à lui. Puis il soulève ses cuisses et la pourfend sur son jonc raidi.
- Oh saligaud qu’est-ce que tu me niques bien ! Il est bon ton noeud ! Donne-le moi encore ! Je le vois qui me tronche comme un sagouin !
- Oh oui ! Ta petite bague va bien dérouiller ma garce ! Elle me presse bien
Le manche !
Les gros nichons ballottent au rythme de la cavalcade, et le garçon la sabre comme un hussard pour les voir tressauter plus longtemps. Son marteau-pilon s’engoufre dans la gaine qui le gante à un rythme soutenu, faisant irrémédiablement monter sa sève.
Alors pour décharger sa réserve de sperme, il change une dernière fois de position pour être plus à l’aise, et regarder la baiseuse pendant qu’il va la ravager une dernière fois.
Elle est maintenant de face, bras autour du cou d’Alban et ses jambes encerclant sa taille, son petit derrière dans les mains viriles qui le triturent.
- T u vas l’avoir ton lait ma jolie ! Tiens, prends ça dans la rondelle ! Fais-toi bien farcir l’a rosette ! Tu la sens bien ma fusée à tête chercheuse ?
A chaque coup de reins, le gros bigarreau est à la limite de sortir, mais il se tape le conduit en entier pendant le dernier galop.
Dans un « aahhhhh » retentissant, Alban éclabousse enfin la cocarde qui le manchonne divinement ; et pendant que sa bite lâche fusée après fusée dans le cratère, il harcelle la cochonne de ses derniers mots salaces :
- Oh comme je t’ai bien enculéeeeeeeeeee ! Tu la sens ma gelée, salope ?
Tu en as plein le cul ? Elle a fait du bien à ton trou mignon ma grosse pine hein ?
Sylvie est saoulée de ce verbiage et rejette le corps en arrière, attendant l’orgasme imminent.
- Oh oui tu vas venir ma beauté ! Làààààà ! Voilàààààààààà ! Clame le jeune homme qui voit ses yeux chavirer. Tu es aussi bonne à enculer que Daphné !
Et c’est sous la conjonction de sa hargne à entendre le prénom de sa copine, des mots luxurieux d’Alban, et du laminage de son ourlet fripé que Sylvie jouit de la chatte en gueulant, pantelante dans les bras solides de son enculeur.
Quand les deux complices sont allongés de tout leur long, le souffle court, muets, ils pensent chacun de leur côté au déroulé du temps qui les a amenés là, et au futur de leur relation volcanique.
Les mains aériennes frôlent, les yeux se cherchent pour déceler le véritable vécu de ces longues heures, et les scenari pleuvent dans les cerveaux féconds.

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