Un Si Bel Été Et Ses Suites-5

Un si bel été et ses suites-5

Durant ce mois d’octobre, je retrouvai chez elle Cécile en moyenne deux fois par semaines. Chaque rencontre était pour moi un merveilleux moment de sexe que je n’aurais pas osé même imaginer à peine deux mois auparavant. La liberté de Cécile, son impudeur, son abandon dans l’orgasme, son langage direct et ses mots crus, tout cela m’excitait terriblement. Peu à peu elle m’amenait à vaincre ma timidité et ma pudeur. Bien qu’elle mène toujours le jeu, je compris qu’elle m’amenait à prendre confiance en moi et à oser faire preuve d’initiative.
Faire preuve d’initiative, c’est donc ce que je m’étais promis de faire cet après-midi-là.

Après la pause whisky désormais habituelle et Cécile ayant réveillé mes ardeurs en me caressant le pénis et les couilles, j’exprimais le désir de la prendre en levrette, ce qu’elle accepta aussitôt en se mettant dans la position adéquate. Je savais parfaitement qu’elle appréciait cette position, mais aujourd’hui j’avais particulièrement en mémoire sa petite phrase : on peut passer rapidement d’un orifice à l’autre… Comme il ne s’était rien passé à la suite de cette remarque, j’en étais arrivé à la conclusion qu’elle attendait que je prenne l’initiative.

Alors que je vais et viens dans sa chatte et qu’elle commence à réagir, je pose un doigt encore hésitant sur la rosette brune qui palpite devant moi.
« Vas-y, petit vicieux », m’encourage-t-elle.
Mon doigt s’insinue plus profond, et Cécile entame un mouvement pour accompagner sa progression.
« Mets-moi ta bite. Allez, encule-moi ! »
Mais au moment où, fébrile, je place mon gland contre son anus et m’apprête à m’exécuter, elle bondit hors du lit. Elle revient avec un flacon.
« Ce n’est pas indispensable, mais ça te facilitera les choses » ; me dit-elle en me passant cette huile sur la bite. Après quoi, relevant les jambes, elle entreprend de s’oindre avec soin l’anus.

Elle reprend la position : « Allez, tu peux venir, maintenant. »
Elle pose les mains sur ses fesses et les écarte pour me faciliter l’accès. Je ne me le fais pas redire, et encore plus excité par ce qui vient de se passer, je présente mon gland à son anus. Alors c’est elle qui recule sa croupe Et je vois aussitôt disparaître mon membre dans son cul. Je le sens s’introduire dans un conduit étroit et chaud. Cécile enfouie la tête dans l’oreiller et crie, elle hurle presque :
« Ah oui, mon salaud ; vas-y, encule-moi. Je te sens au fond du cul, cochon. Vas-y, prends ton pied ! »
Elle se laisse aller à plat ventre, sa croupe ondule sos mes coups de reins, se me colle contre elle et je jouis.
« He bien, pour une première fois, mon cochon chéri, tu m’en as mis plein le cul !
Et toi, ça t’a plu, au moins ? »
Si ça m’a plu !... Je roule sur le dos, le souffle court.
Que me reste-t-il à expérimenter avec Cécile ?
Et pourtant je ne suis pas au bout de mes surprises…

Je n’ai pas cours cet après-midi, C »cile ne travaille pas et n’a prévu aucune sortie. Nous avons donc tout notre temps. Nus l’un près de l’autre nous bavardons.
« Cécile, je peux te poser une question ?
-Bien sûr !
-Tu aimes mieux que… Enfin, je me demandais… Tu préfères devant ou derrière ?
-Tu veux dire, est-ce que je préfère la sodomie ?
-Oui. Tu as eu l’air de jouir très fort.
-C’est vrai, j’aime beaucoup. Ça ne donne pas les mêmes sensations.
-Je me demande ce qu’on…
-Ce qu’on ressent ? Tu pourrais essayer.
-Ah, non ! Les hommes ne m’attirent pas ! Je n’ai rien contre les homos, remarque, mais…
-Mais tu préfères les dames, je m’en doutais, dit-elle en riant. Mais attends… »
Elle se lève et va fouiller dans le tiroir d’une petite table d’où elle tire un gode ceinture.
« C’est très utile pour s’amuser entre femmes, mais tu pourras aussi te faire une idée », me dit-elle en s’équipant de l’engin.
Je ne suis pas très chaud pour tenter l’expérience.
« Allons, allons ! Il faut tout essayer. Si ça se trouve, ça te plaira beaucoup. »
Elle est debout près du lit. Je vois le gode en forme de bite dressé devant elle. Je le trouve très imposant.
« Mets-toi à quatre pattes. »
Je sens que je n’ai pas le choix, et je dois m’avouer qu’à la crainte se mêle la curiosité.
Cécile fait couler l’huile sur la raie de mes fesses et la fait pénétrer dans mon anus.
« Décontracte-toi, mon chéri, détends-toi. Ça va bien se passer. »
L’extrémité du gode vient au contact de mon anus qui se serre. Cécile imprime doucement des pressions successives et je sens la verge artificielle pénétrer progressivement de plus en plus loin. Au début, c’est plutôt douloureux, mais je sens peu à peu le plaisir monter en moi et m’envahir. Cécile va et vient lentement maintenant
« Alors, c’est agréable, non ? Je savais bien qu’il fallait que tu découvres ça, mon petit cochon »
Elle glisse la main sous moi et me masturbe tout en poursuivant sa pénétration anale. Je finis par jouir, je lâche mon sperme en gémissant. Cécile se retire.
« Tu voulais savoir ce que ça fait, tu as la réponse, et ça ne t’a pas déplu, il me semble » conclut-elle en riant.
 

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