Première Fois Partagée.
Je m'appelle Ludovic. L'histoire que je vous raconte s'est passée il y a quelques années, dans un camp de vacances pour adolescents. A l'époque, je faisais plus jeune que mon âge, j'avais encore une voix fluette et deux têtes de moins que mes camarades, c'est la raison pour laquelle, je suppose, le groupe m'avait pris en grippe.
La semaine promettait d'être belle et intéressante, puisque nos monos avaient prévu de nous faire descendre l'Ardèche en canoë. J'étais super heureux car dans le camp de base de Vallon Pont-d'Arc, je m'ennuyais ferme, et quand les jeunes s'ennuient, ils font des bêtises dont j'étais bien souvent la victime expiatoire. Les bêtises?
genre, renverser le plat de nouilles sur moi, me faire exécuter les corvées, bien que ce ne soit pas mon tour, me demander avec insistance si j'avais déjà embrassé une fille, si je n'étais pas pédé, si le fi-fils à sa maman avait bien nettoyé les traces sur son slip... Je rougissais alors, bégayant des incohérences devant mes camarades, dans cette foutue tente que je partageais avec eux. Ils appréciaient se moquer de moi, me traiter de puceau, faire semblant de vouloir me mettre à poil, bref, vous voyez le genre...
La préparation de cette fameuse descente s'était faite dans la joie et l'excitation. Les binômes se formèrent. Comme j'étais petit, je devais faire le barreur à l'arrière, tandis que Jonathan, plus grand et plus musclé que moi, serait à l'avant pour pagayer. Le jour J arriva et la première journée de descente fut impeccable. Jonathan et moi, on s'en était bien sorti, sans incident particulier malgré les rapides pas si évidents à négocier. La descente se faisant sur deux jours, nous avons débarqué l'après-midi, puis bivouaqué la nuit sur une plage naturiste, où se dévoilèrent à nos regards lubriques d'ados, la nudité des touristes teutons, surtout des vieux et des vieilles, qui avaient quand même réussi à titiller les pulsions de quelques camarades qui fantasmèrent tout haut leur envie de sexe.
Les deux monos nous défendirent d'aller nous allonger au soleil couchant près des nudistes et de partager le plan d'eau avec eux. Le groupe obéit tout en protestant, mais moi, ça m'arrangeait bien cet éloignement qui devrait calmer un temps mes camarades, envahis par trop d'afflux de testostérone. Le feu de camp de la soirée fut plutôt sympa, avec tout le nécessaire pour faire le plein des estomacs, merguez, brochettes de viandes à satiété, et quelques chants typiques de colos, entonnés sur la guitare de l'un des monos. On dut se pieuter assez tôt, car il était prévu un réveil aux aurores le lendemain matin. Je m'allongeais alors dans mon sac de couchage, côte à côte avec Jonathan dont nous partagions la petite tente deux places. J'appréciais ce mec de même âge que moi, bien que plus avancé dans sa puberté. Il était aussi brun que j'étais blond, assez musclé, des poils sombres sur les bras et les jambes et une voix déjà rauque qui lui donnait l'air d'un vrai homme. Bien que nous soyons très différents, on s'entendait bien, il n'était pas du genre à harceler quiconque, et il m'avait même au contraire sorti une ou deux fois, des mauvais traquenards ourdis par certains mecs du camp de vacances.
On papota ensemble un moment, nos deux corps serrés, séparés par nos sacs de couchage d'été, pas très épais. Je ne cacherai pas avoir été attiré physiquement par Jonathan, mais à cette époque, je n'étais tout simplement pas prêt, ni dans ma tête, ni physiquement, à entamer une quelconque activité sexuelle. Nous finîmes par nous endormir chacun de son coin dans les bras de Morphée...
Je me réveillai dans la nuit, dérangé par un pressant besoin d'uriner les quelques bières que nos monos nous avaient laissé boire. Ne voulant pas réveiller Jonathan, je me fis le plus discret possible, tentant de m'extirper de la tente avec souplesse, nus pieds, en slip et tee-shirt... C'était peine perdue, car je m'aperçus bien vite que mon copain n'était plus dans son sac de couchage, dont la fermeture éclair était grande ouverte.
Je m'interrogeais... Sans doute, lui aussi avait été pris d'un irrésistible besoin d'aller pisser! Je vais probablement le croiser dans les fourrés qui entourent notre campement... La nuit était belle, la pleine lune et les multiples étoiles éclairaient les lieux comme en plein jour. Je me dirigeais le plus loin possible vers un buisson, en dépassant toutes les tentes et le feu de camp qui se consumait, là où je serai tranquille pour me vider la vessie. Soudain, je devinais dans le lointain une forme humaine. Merde! Me dis-je, moi qui cherchais un coin tranquille, c'est bien ma veine, j'aurais du prendre par la gauche au lieu d'avoir pris le côté droit...
Ne sachant que faire, je poursuivis cahin-caha ma progression tout en longeant les fourrés pour ne pas me faire remarquer. Encore quelques mètres, et je serai finalement confronté au mec qui avait eu l'idée saugrenue de pisser là où je souhaitais le faire... Le mec ne m'avait pas vu, mais moi, en revanche, de l'endroit où je me trouvais, je l'apercevais nettement... c'était mon Jonathan, mon copain Jonathan... mais de toute évidence, il ne s'était pas levé pour faire ses besoins.
La végétation brûlée par le soleil craqua sous mes pas, et Jonathan, soudain apeuré, enfila prestement son caleçon et se leva d'un bond:
Il y a quelqu'un? murmura-t-il, effrayé.
T'inquiète, Jona, ce n'est que moi, Ludovic.
Ah! c'est toi... tu m'as fait peur.
Tu sais, Jona, tu devrais être plus discret!
Beuh... pourquoi tu me dis ça? Je suis allé pisser, c'est tout, toi aussi, je suppose?
Pas que pisser, je pense...
Ah bon, petit salaud, tu m'as vu?
Ben oui, tu étais en train de te... de te... de te masturber.
Mettre un mot sur ce que faisait Jonathan ne fut pas aussi facile que cela à lancer ainsi à la face d'un mec. Jona sourit, d'un sourire gêné qui cacha mal son irritation d'avoir été si facilement repéré, comme un « bleu » pris en faute.
Merde, je ne t'ai même pas entendu venir. Ça faisait longtemps que tu te rinçais l'il?
Non, je ne me rinçais pas l'il, qu'est-ce que tu racontes?
Allons, allons, on n'est plus des morveux, ça t'arrive bien de te faire une petite branlette, non?
Ben, oui, ça m'arrive.
Et ici, dans le camp, jamais? dans les chiottes ou sous la douche?
Non je dois dire, j'aurais trop peur de me faire surprendre.
T'es con, Ludo, faut te lâcher un peu, t'ouvrir aux autres... T'es pas différent de nous, tu sais!
J'ai peur de l'être, au contraire, je me sens pas à mon aise avec tous ces mecs qui me cassent les couilles, je n'ai pas l'habitude. Tu sais, chez moi, je n'ai qu'une petite sur de 8 ans, une chieuse, d'ailleurs...
Alors quoi? moi, je suis fils unique, c'est encore pire... et j'aime bien la compagnie, au contraire.
Ouais, mais toi, c'est normal, t'es beau gosse avec ta longue tignasse brune, t'es musclé, viril... t'es un vrai mec, quoi.
Et toi, non?
tu veux dire que t'es pédé?
Le mot qu'il ne fallait pas prononcer devant moi. Je rougis, mes jambes flagellèrent et je me mis assis en tailleur face à l'arbre où se tenait Jona tout à l'heure.
Pourquoi tu me demandes ça, j'ai l'air d'un pédé?
Non! c'est juste toi qui en parles.
Je ne sais pas ce que je suis, en fait... et puis, je n'en suis pas là, je sais même pas si j'ai un sexe normal, tu vois...
Jona se mit à rire. Il s'assit à mes côtés et me posa une main amicale sur l'épaule.
Comment ça, un sexe normal? à l'école, t'as jamais eu de cours sur les organes de reproduction, mâles et femelles?
Oh! fous-toi de moi, maintenant!
T'es jamais allé sur Internet, voir les films de cul?
Non! mes parents ont limité l'accès à Internet.
Jona soupira.
Tu veux que je t'examine?
T'es pas médecin?
Devant mon air réprobateur, Jona rigola.
Ahahah... pas besoin d'être médecin pour vérifier si tout fonctionne chez un mec!... allez, laisse-toi faire.
J'étais tétanisé. Qu'allait-il bien contrôler le Jonathan? Je n'avais jusque là jamais dévoilé mon intimité à quiconque...
Jona posa une main sur mon slip. Je ne lui opposai aucune résistance. Il me massa la verge, puis il recourba ses doigts habiles sur la hampe de mon sexe qui commença à gonfler de nouveau. Il me massa toujours plus intensément à travers le slip et je fermai les yeux, m'évadant dans un monde de grande volupté.
Pour l'instant, pas de crainte à avoir, on dirait... ça répond bien, tu bandes, mon salaud!
Jona se fit alors plus entreprenant. Il glissa quelques doigts à l'intérieur du slip, des doigts chauds et caressants. C'était la première fois qu'un autre que moi même me touchait le sexe. Je frémissais de désir... Ma bite était maintenant toute rigide, autant en tout cas que Dame nature le lui permettait.
Ton zizi sort sa tête hors du slip, tu vois, c'est bon signe! T'as un beau gland tout rose, dis-donc! Il n'a pas du beaucoup s'amuser celui-là!
La tendresse de Jona ainsi que sa mansuétude m'encouragèrent à poursuivre l'expérience. Pourtant, des doutes vinrent me perturber.
Mon Dieu, Jona, je ne suis pas pédé, tu sais...
Moi non plus... Te pose pas de question, et profite du moment présent! Tu sais, Ludo, suis encore puceau, moi aussi... jamais encore fait avec une fille.
Pourtant, dans le camp, tout le monde se vante...
Ahahah, tu ne comprendras jamais rien à rien... on s'excite les uns les autres, c'est tout!
Et avec un mec, t'as déjà fait?
Ahahah! Non, jamais, tu vois... Nous sommes à égalité toi et moi. C'est la toute première fois que je joue au docteur avec un mec...
Et tu aimes?
Ça m'excite, oui... Comme les nudistes de cet après-midi... les voir tous à poil comme ça, ça m'a fait bander... Tiens, retire ton tee-shirt et viens t'assoir entre mes jambes.
J'obtempérais avec ravissement. Je m'assis entre ses jambes qu'il avait écarté pour m'accueillir. J'essayai de ne pas lui faire mal, mais je devinais à travers son caleçon, que le frétillant sexe de tout à l'heure avait perdu de sa superbe. Il était devenu tout mou et je mis en doute l'excitation qu'il m'avait affirmé ressentir. Dorénavant, on se parla sans se regarder. Sa voix me parvenait par dessus mon épaule.
J'avais jamais vu ta bite avant, poursuivit Jonathan... en revanche, j'ai remarqué que tu avais les tétons qui pointent. C'est sexy, ça, tu sais?
Ah bon?
Ouais, tous les mecs de la tente ont remarqué tes beaux tétons... On en parle ensemble, tu sais?
Quoi? tu discutes de mon anatomie avec les mecs de la tente? c'est fou, ça... Vous avez aussi parlé de ma bite? puisque ça a l'air de vachement les intéresser...
Ouais, ils aimeraient bien te foutre à poil, ça c'est sûr! Mais jusqu'à présent, j'ai toujours réussi à les en dissuader.
Il faut que je t'en remercie?
Tu veux que je les caresse?
Quoi?
Tes tétons... Les femmes adorent qu'on leur caresse les seins...
Suis pas une femme...
Jona n'attendit pas ma réponse, et je sentis son souffle chaud dans mon cou. Il avança ses bras par dessus mes épaules, et dirigea ses deux index sur chacun de mes tétons. Il les frotta simultanément en appuyant gentiment dessus, puis il caressa tout aussi gentiment, tout autour, la base rosée en cercles concentriques.
La réaction fut immédiate. Un sensation de bien-être et de plaisir extrême m'envahit de la tête aux pieds. Je me laissai aller sans pudeur à ses caresses en haletant. Je tortillais le torse dans tous les sens.
Non, non, c'est trop, Jona! non, je t'en supplie, continue... pareil, encore... encore... t'arrête pas! surtout t'arrête pas!
Ouah!... tes tétons gonflent et durcissent comme une bite, je n'avais jamais encore vu ça!
Il n'y avait pas que mes tétons qui durcissaient, je sentis également ma verge se transfigurer par ces sublimes émotions qui m'envoyaient au septième ciel...
T'es sexy avec ton slip blanc! finit-il par me dire. Mais voyons sans, comment t'es gaulé!
Les doigts sensuels de Jona quittèrent mes tétons pour descendre vers mon slip. Jona tenta de le baisser, je lui facilitai la tâche en redressant le bassin et je finis le travail. J'étais désormais cul nul, la bite à l'air, une bite à la vue de mon copain, mais pour la première fois sans doute, je n'en avais pas honte. Le plaisir sublime qu'il m'avait fait connaître, rien qu'en caressant mes « seins », comme il dit, avait certainement décuplé son volume, au delà même de celui qu'elle prenait lors de mes masturbations. Mais là, ce fut la douche froide...
Ouais, bon, t'as encore une petite bite, annonça-t-il. Je peux?
C'est pas une bite de minot que j'ai... répondis-je un peu penaud... Je jouis tu sais, et je fais des gouttes des fois.
Jona resta silencieux. Il vint s'assoir à mes côtés. Il prit dans sa paume ma verge en érection, avant de refermer ses doigts dessus et de malaxer le bout du gland avec son pouce. Une main étrangère venait pour la première fois violer mon intimité et je tressaillis de bonheur...
Ludo! il est mignon ton sexe, tu sais... pas très long, mais aussi dur que le mien quand je bande.
Tu te ratts?
Non, je t'assure, regarde!
Jona retira prestement son caleçon et me présenta sa verge à demi-molle, comme s'il m'offrait un présent.
Touche! caresse-moi! tu peux la sucer aussi...
Vraiment? répondis-je tout excité. T'es pas pédé, j'suis pas pédé, tu crois qu'on peut faire?
Qui le saura? Et puis, tu me donnes envie...
Moi aussi, Jona, j'ai envie de toi!
Jonathan s'allongea. Il m'encouragea à prendre son membre dans la bouche. De sa main il accompagna doucement mon visage vers son pénis dont le gland était maintenant complètement sorti. Le premier contact de mes lèvres avec un sexe de garçon fut génial. Son sexe sentait le musc, un parfum viril qui m'accompagnera toute la vie. Je me régalais à sucer lentement et longuement le bout du gland, en passant la langue partout sur sa chair lisse et lustrée. Puis, j'enfournais son membre, progressivement, pour finalement l'avaler complètement jusqu'au fond de ma gorge, à en avoir la nausée. Je le suçais comme je suce une glace. Je bavais toute la salive que je produisais au service de son plaisir et du mien. Je mordillais la peau de sa verge, et lui gémissait. Sa toison épaisse et bouclée me chatouillait les narines, j'étais dans un autre monde, à cent lieux de la réalité quotidienne...
Tu suces merveilleusement bien, Ludo! C'est la première fois que je me fais sucer, et c'est sublime, tu sais...
J'étais aux anges. Pour moi aussi, c'était une première et je me débrouillais plutôt bien. Inutile de faire de grands discours. Je voyais bien que Jona n'était plus lui-même. Il ne se contrôlait plus. Il gémissait sans retenue et son sexe égouttait dans ma bouche du liquide, à la saveur comparable à celui expulsé par ma bite quand je me branle. Je pensais qu'il avait déjà joui, mais non, le sexe de Jona était toujours aussi dur dans ma bouche...
Jona se retira soudain de mes lèvres. Son zizi dégoulinait de ma bave.
A moi maintenant! me dit-il.
Jona se mit à genou, collé contre moi. Il saisit nos deux sexes, les serra ensemble dans sa main et il commença à les branler, lentement, puis plus rapidement dans un rythme effréné.
Tu vois, Ludo! y'a pas photo... ma bite est largement plus longue et épaisse que la tienne! Mais c'est pas grave, ton zizi n'a pas encore atteint sa maturité.
Et ta bite? c'est déjà la définitive? rétorquais-je, en gémissant de plaisir.
J'espère que non! j'aimerais bien qu'elle soit plus grosse encore!
Jona délaissa un moment son engin pour se consacrer au mien. J'espérais ne pas trop le décevoir. Il hésita avant de me sucer. Il câlina mes couilles glabres qu'il soupesa avant de les serrer avec force et une certaine brutalité dans son poing. Quelle sensation! Il les lécha ensuite de plusieurs coups de langue et elles disparurent dans sa bouche, l'une après l'autre, puis les deux en même temps. Mes couilles roulèrent longuement sous sa langue rugueuse, comme deux petites choses sans importance.
T'aime bien qu'on te bouffe les couilles, hein?
Je ne répondis rien, un silence qui valait acceptation et surtout soumission.
Et ta bite de puceau, je me la bouffe?
Ouuii!
La chaleur humide de sa bouche et les mouvements énergiques de sa langue sur ma quéquette turgescente me suffoquèrent de plaisir. Je fus pris de spasmes... de délicieux frissons encore inconnus de mon registre « plaisir » finirent par me faire chavirer.
Je, je, je, Jona, je vais...
Jouis, Ludo, jouis dans ma bouche... vas-y!
Je ne pouvais plus me retenir, quelques secondes de volupté dans la bouche de Jona, à peine une minute, avaient suffi à me faire rendre l'âme, ou plutôt à éjaculer la semence que j'offris sans aucune pudeur à mon copain. Je jouis dans sa bouche en râlant, en deux ou trois spasmes libératoires. Jona continua à me sucer, comme s'il voulait me nettoyer la bite de sa décharge.
L'émotion était à son comble. Je m'étendis de tout mon long à même le sol herbeux, en haletant, le souffle court, offrant à Jona, deux ou trois autres convulsions sans sperme, mais d'une intensité inouïe.
Jona posa une main protectrice sur mon torse, comme pour me calmer.
Putain Ludo! tu jouis comme une bête... en revanche, t'as pas beaucoup de jus. Attends! je vais te montrer comment éjacule une vraie bite d'homme...
Jonathan s'assit à califourchon sur mon sexe qui se ratatinait et il commença à s'astiquer la bite. Il se branla sans ménagement, durement puis violemment. Il se tortillait, me donnait des coups de rein, m'écrasant de tout son poids, parfois. La manuvre dura plusieurs minutes et je me disais que lui savait se contrôler et faire durer le plaisir. Puis il se releva et approcha son sexe de mon visage. Ses couilles gonflées et poilues, serrées l'une contre l'autre, venaient désormais frôler mes lèvres à chaque mouvement vigoureux du poignet. Je m'attendais à de belles et puissantes décharges.
Ouvre le bec, Ludo, ouvre le bec et avale tout, OK?
Je fis oui de la tête et entrouvris les lèvres, quelque peu anxieux après son avertissement: « tu vas voir comment éjacule une vraie bite d'homme... » Qu'est-ce qui allait bien pouvoir me couler sur le visage? Je pensais avoir éjaculé, et lui prétendit que j'avais peu de jus...
Jona m'écarta toutes grandes les mâchoires avec une main, alors que de l'autre, il avait diminué sa branle. Il introduisit son sexe à l'entrée de ma bouche béante. Jona émit des gémissements continus et je sentis couler les premières rasades de jus chauds sur ma langue. Je voulus conserver la semence un moment dans la bouche, mais ses flots de sperme semblaient si puissants qu'ils saturèrent vite ma petite gueule. Il fallut avaler tout d'un coup, au risque de tout recracher. La sauce était épaisse et salée, ce qui n'avait rien à voir en effet avec mon sperme liquide et fade de goût, éjaculé en fines gouttelettes. Les derniers soubresauts de jus chauds et visqueux m'arrivèrent sur le visage et les yeux. Jona, une fois soulagé, s'excusa et il me nettoya méthodiquement le fond de l'il avec ses doigts. Mais ça piquait encore...
C'est pire que de l'acide ton sperme!
Désolé, Ludo... en tout cas, c'était génial, j'ai jamais joui avec une telle intensité, quelle sensation de bien-être!
C'est moi qui te fais de l'effet?
Non, c'est le simple fait de partager la branle avec quelqu'un, ça décuple le désir et le plaisir. Marre des branlettes en solo!
Tu ne m'aimes pas, alors?
Mais non, Ludo, suis pas pédé... et toi non plus!
Moi, si, je t'aime! du moins, je pense...
Mais non, je te dis, on est des bons copains, c'est tout!
On le refera ensemble?
Arrêtes tes conneries, Ludo! j'avais juste envie d'une petite gâterie, et comme t'es arrivé...
Tu t'es servi de moi en fait...
Fais pas la gueule, je ne t'ai rien demandé moi, t'as pris aussi ton pied, non?... Allez viens Ludo, il faut retourner à la tente, bientôt, le jour va se lever!
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