Une Chaude Après Midi De Printemps
29 mai, samedi.
Déçue de ne pas avoir fait de rencontre depuis plusieurs jours, je décide de contacter ma copine Mona. Elle aussi est une T-girl et nous avons déjà eu loccasion de passer de bons moments ensemble.
Comme je lespérais, elle na rien prévu ce jour et est prête à maccueillir chez elle.
40 minutes plus tard, je suis sur place. Mona a revêtu une robe bleu très courte, elle est chaussée de sandales à talons hauts et porte des bas noirs auto-fixant.
Elle est radieuse, comme dhabitude.
Pendant que je me change dans la salle de bain, nous discutons de choses et dautres, heureuses de pouvoir papoter sans tabou à propos de nos envies respectives et de nos amants.
Mona et moi avons beaucoup de choses en commun et notre libido exacerbée fait partie du lot. Lorsque je suis enfin prête, je vais rejoindre Mona au salon. Je porte une mini-jupe noire, des bas noirs à couture, talons hauts, porte-jarretelles, et chemisier violet à courtes manches.
Je propose à Mona de prendre quelques photos de nous sur son balcon. Elle habite tout en haut dun immeuble et bénéficie dune vue imprenable sur la capitale. Après nous être fait tirer mutuellement (le portrait !!!), nous retournons dans le divan et très vite nos mains courent sur nos jambes, nos lèvres se rejoignent. Mona me propose daller poursuivre nos ébats dans la chambre. Je lui emboite le pas et nous voilà bientôt sur le lit, en train de nous caresser, de nous embrasser à pleine bouche. Il ne faut pas attendre longtemps pour que nous nous retrouvions en 69. Mona est au dessus, et elle introduit son long sexe dans ma bouche. Jadore la sucer tout en lui caressant les fesses. Après quelques minutes, nous relâchons notre étreinte et Mona sempare dun martinet muni de petites lanières en cuir. Je lui avais expliqué que javais envie de tâter du fouet, sachant quelle avait beaucoup fréquenté le milieu SM quelques années plus tôt, et quelle avait encore pas mal daccessoires en sa possession.
Toujours allongées sur le lit, mais cette fois-ci nous faisant face, nous nous embrassions à nouveau, lorsque je sentis le premier coup de fouet sur mes fesses. Instinctivement, je me blottis encore plus dans les bras de Mona, mais celle-ci ne cessait pas dabattre les lanières en cuir du martinet sur la zone la plus charnue de mon anatomie. La position dans laquelle nous étions ne lui permettait pas de frapper avec force. Elle me demanda alors de me mettre à 4 pattes et jobéis sans discuter. Une fois dans cette position, les fesses bien en arrière, ma tortionnaire pouvait sen donner à cur joie. Elle me donna des fessées avec le plat de la main, et mes fesses commençaient à devenir très sensibles. Mona sempara ensuite dun autre type de fouet composé quant à lui de fibres synthétiques assez épaisses. Le contact sur mes fesses endolories fut foudroyant, mais immédiatement suivi dune sensation de douceur. Mona prenait à présent soin d'embrasser la zone douloureuse.
Ensuite, elle posa le fouet et commença à lubrifier mon petit trou. Elle savait que je métais entrainée quelques jours plus tôt pour mélargir un peu et elle avait envie de voir jusquoù elle pouvait aller avec moi. Lentement, elle introduit un premier doigt, puis un second. Elle les fit tourner pour me dilater un peu et elle parvint à introduire un 3eme doigt sans problème.
« Tes une sacrée coquine toi ! Tu prétends que tu as le cul serré mais jai 3 doigts enfoncés bien profondément ! »
Je dois dire que jétais assez fière de moi !
Elle retira ses doigts et les remplaça par un gode. A nouveau, nous nous embrassions et une fois de plus nous nous retrouvions en 69. Toujours sous elle, à présent je délaissais son sexe pour moccuper de son cul. Mon visage à hauteur de son trou, je plongeai ma tête entre ses fesses afin dintroduire ma langue au plus profond de son intimité. Jadore lécher un cul bien lisse comme le sien. Je salive réellement et ma langue voyage de haut en bas le long de la raie, sattardant toujours à lentrée de la grotte, crachant de la salive à lintérieur, pour bien la lubrifier.
Enfin, après quelque temps, nous avions besoin de reprendre un peu notre souffle. Mona me proposa un rafraichissement et nous retournâmes dans le salon pour être plus confortables.
Là, Mona la coquine me fit une démonstration de son savoir faire en introduisant des godes monstrueux dans son intimité. Je narrive toujours pas à croire ce que jai vu, mais je lai bien vu !
Peu de temps après, assises côte à côte, nous navons pas pu nous empêcher de « remettre le couvert ». Cette fois-ci Mona était assise dans le fauteuil, et jadoptai une position assez acrobatique pour me retrouver en 69, à la verticale, mes jambes posées sur le dossier du fauteuil, ma tête entre les cuisses de Mona ! Je ne restai pas longtemps dans cette position assez inconfortable car défiant les lois de la pesanteur. Ce qui se passa ensuite par contre était tout à fait agréable. Mona me fit mallonger sur le divan et elle commença à me sucer intensément. Mon sexe était en érection, jintensifiais le mouvement de va et vient, posant mes mains dans la nuque de Mona pour lui donner le bon rythme. Cette coquine ne calma pas le jeu lorsque je la prévins que jétais à 2 doigts de jouir. Je sentis venir lorgasme, il fut intense au point que je ne pu contrôler mes gémissements qui, daprès Mona, nauront pas laissé les voisins indifférents. Ma semence se répandit dans sa bouche et elle nen laissa pas échapper une seule goutte.
Cest complètement épuisée, mais tellement heureuse, que je suis rentrée chez moi en fin daprès midi, très chaude après midi de printemps.
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