Mon Premier Stage A L'Hôpital - Un Apres-Midi À La Plage (1)

Apres plus de 2 ans dans le secteur hospitalier, me revient en mémoire mes débuts assez agréables dans le métier d'aide-soignant dans une clinique en bord de mer.

J'avais 19 ans et je débutais au mois de Juin et je découvris que nous n'etions que deux hommes au sein du service, moi-même et un infirmier dans la cinquantaine. Je me retrouvais donc le centre d' intérêt de la gente féminine du service. De temps à autres, je surprenais certaines conversations et commentaires plutôt osés de mes collègues femmes. 

Pour ma part, j'étais encore célibataire et pas insensible aux charmes de certaines collègues. 
J'etais comme une abeille au dessus d'un pot de confiture risquant de me laisser tenter a chaque instant. Ce qui ne manqua pas d'arriver dans la chaleur de l'Ete.

Je venais de terminer mon service le matin et l'apres-midi s'annonçait chaude et ensoleillée. Je déjeunais en compagnie de deux collègues, Céline une infirmiere d' environ 25 ans et Marie-Josée une aide-soignante de 45 ans. 
Céline est une brunette plutôt assez grande (1m75 environ) et a l'allure sportive et élancée. Elle portait ce jour la une robe assez courte qui me permettais de contempler avec bonheur chacun des croisements et décroisements des jambes longilignes et racées de ma collègue.
Marie-Josée quant a elle était vêtue d' un jean et d'un top noir près du corps qui mettait en valeur une poitrine très ferme malgré ses 45 ans, ses seins semblaient pointer sous le tissu.

A la fin du repas, n'ayant rien prévu de particulier Marie-Josée proposa a Céline de se rendre a la plage proche de la clinique. Elle me demandait si je souhaitais me joindre a elles. Je répondis immédiatement oui, la perspective d' un moment sur le sable en compagnie de mes charmantes collègues me réjouissait d' avance. Je n'allais d' ailleurs pas être déçu.

Céline et Marie-Josée prirent leur nécessaire de plage dans leurs voitures et nous nous sommes rendus en direction de la plage.



Nous nous installames bien a l'abri du vent près du poste de sauvetage. C'était l'endroit favori de Céline m'avoua t'elle malicieusement en raison de la présence de maitres-nageurs plutôt attirants pour elle qui était célibataire depuis 3 mois.

Mes collègues se mirent en maillot de bain. Des maillots très sages mais qui me permettaient d' imaginer au mieux leurs anatomies plutôt désirables . 

Nous avions entame la discussion sur les ragots habituels du service. Étant stagiaire je souhaitais en connaitre plus sur les uns et les autres. Puis je leur indiquais qu'en ce moment j'étais célibataire comme Céline. Des cet instant, cette dernière sembla s'intéresser plus a moi qu'aux sauveteurs. D' ailleurs, elle me demanda de me déshabiller également. 

J'etais embête car je n'avais qu'un caleçon pas trop adapte pour la plage. Marie-Josée me rassura et m'indiqua que la plage était un endroit de liberte. Lorsque je fus en caleçon elles changèrent de comportement, elles me complimentèrent sur mon physique et furent aux petits soins pour moi . 
Céline entrepris de m'enduire le corps de crème solaire enviée par Marie-Josée. Les doigts souples et fins de Céline parcouraient mon corps, ceci m'emoustillait de plus en plus. 

Sur le ton de la rigolade Marie-Josée (elle qui avait de l'ancienneté dans l'établissement) s'amusant de mon célibat me mis sur la piste de certaines personnes aux mœurs plutôt relâchées au sein de la clinique. Elle me parlait entre autres de Yveline la secrétaire médicale du service qui sous ses airs prudes était une véritable femme cougar a l'appetit féroce, de la doctoresse Clarisse qui savait ouvrir sa blouse pour des moments de détente ou bien encore Anne-Marie la psychologue de la clinique dotée d' une poitrine opulente dont elle faisait étalage dans des tenues toujours plus provocantes. Les propos de Marie-Josée étaient une véritable provocation pour moi célibataire depuis 2 mois. Elle m'incitait a tenter ma chance sans risque d' échec a priori.

Céline me proposa de me mettre a l'œuvre deux jours plus tard. 

Nous étions le Lundi et le Mercredi était le jour de repos de la doctoresse Clarisse. Céline m'avoua ,un peu gênée, pratiquer le naturisme sur une plage a une quinzaine de kilomètres dans une crique isolée . Elle ajouta que pendant les beaux jours elle savait que la doctoresse et sa fille se rendaient dans cette crique pour se détendre dans le plus simple appareil.
D' ailleurs, Céline les rencontrait de temps a autres sur cette plage nudiste. 
Je dis a Céline que pour moi ce serait ma première fois sur une plage naturiste mais très excité par l'objectif je répondis que j'étais prêt a la suivre pour entamer ma première conquête de choix (imaginez donc une doctoresse d' âge mur au tableau de chasse d' un stagiaire aide-soignant).

Nous finissions d'échafauder notre plan avec Céline. Marie-Josée était partie se baigner.


         

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