La Collègue De Travail (3)
(désolée du retard pour la suite...... j'espère quelle vous plaira)
La journée se passe bien, je suis un peu fatiguée, je ne vois presque pas Lisa ou Patrick, chacun travaillant de son côté. Weekend tranquille à la maison tout comme la semaine jusqu'à jeudi. Aucun contact avec Lisa ou Patrick hors contexte travail, vouvoyement, j'en viens même à penser que comme ils m'ont eue pour eux, ce serait fini.
Au niveau de ma vie de couple, je n'ai bien sûr rien dit, mais je ne suis pas très à l'aise. D'un autre côté, nous avons fait l'amour avec mon homme presque tous les jours, il faut dire que c'était une des rares semaines où il n'était pas en déplacement, sauf mercredi car si la soirée de jeudi tenait, il fallait que je me sois en forme. Je lui ai même demandé deux fois de me sodomiser, il a dû être surpris mais ne m'a rien demandé. C'était moins bon qu'avec Patrick, j'ai honte de penser cela mais malheureusement c'est la vérité.
Mercredi avant de partir du bureau, Lisa m'a rappelé pour le lendemain. En rentrant j'ai dit à mon homme que le lendemain j'avais une sortie avec des collègues du bureau, et que si je buvais trop je dormirais chez une collègue.
Jeudi je m'habille en talons, jupe beige, string blanc soutien-gorge assorti, chemisier turquoise, veste beige. Toute la journée je suis nerveuse, pas très concentrée dans mon travail. A 18h, un sms de Lisa "on se rejoint dans le parking". Je descends, elle m'embarque dans sa voiture et direction chez Patrick.
Il sert l'apéro, on discute de tout et de rien, je n'ose pas demander ce qui est prévu. Puis vers vingt heures, Lisa me fait venir dans la chambre.
- Enlèves tes vêtements et vas prendre une douche. Ensuite tu mettras les vêtements que je t'aurais mis sur le lit et tu m'appelleras, sans sortir de la chambre.
Je vais prendre ma douche, assez longue, tentant de calmer ma nervosité. Puis je sors, me sèche, me maquille légèrement, me coiffe puis je vais dans la chambre.
Elle arrive avec Patrick. Patrick va vers la commode, ouvre un tiroir et sort un bandeau.
- Ce soir tu vas passer un autre stade, tu as juste intérêt à être sage. Je vais te mettre ce bandeau, défense de l'ôter.
Puis il le passe et je me retrouve dans le noir, l'anxiété me prend d'un coup, je n'ai jamais été privée de la vue.
- Qu'allez-vous me faire, suis-je obligée d'avoir ce bandeau ?
Un silence me répond, pour me faire comprendre que ma question est stupide. Je les entends chuchoter, visiblement pas très d'accord sur un point. Puis je sens que mes mains sont ramenées dans mon dos et mes poignets sont attachés. J'entends juste "c'est plus sûr ainsi".
Inutile de dire que cela me stresse deux fois plus. Puis on m'entraine hors de la chambre. Je suppose que nous retournons au salon. La différence est que j'entends des voix, parler doucement, mais nous ne sommes plus seuls. Je me fige, mais on me pousse en avant. Je vais protester lorsque mon bras est pincé à m'en faire mal, je comprends que je dois me taire.
- Voilà pourquoi vous êtes là ce soir, dit Lisa, vous voyez, cela en vaut la peine. Sylvie est encore un peu coincée, mais vous verrez, une fois lancée, elle vous étonnera.
- Lisa, je chuchote, je ne veux pas faire avec des inconnus, vous n'avez pas le droit, qui sont-ils, laissez-moi partir !
- Sylvie, je ne vais pas te rappeler ce qui peut se passer si tu n'es pas sage. Tu es as nous, et on fait ce qu'on veut, alors tu as intérêt à ne pas nous décevoir. Je t'ai dit que tu es faite pour le plaisir, et tu vas être gâtée ce soir, répondit Lisa dans mon oreille.
Elle est derrière moi et commence à me caresser les seins au travers de mon top.J'essaye de la repousser avec mes mains menottées, mais sans grand succès. Puis elle me fait avancer, je sens des mains sur une cuisse qui remonte, je veux reculer mais Lisa est derrière et me bloque.
J'entends du bruit, des pas se rapprocher, des bruits de tissus. Des mains prennent mes seins, d'autres écartent mes cuisses, une bouche se colle à la mienne, je tourne la tête mais on a vite fait de me la remettre droite et les lèvres reprennent les miennes, la langue essayant de forcer le passage de ma bouche. Je l'ai fermée, quand soudain on me pince un sein assez fort, je crie et la langue pénètre dans ma bouche. Une main est entre mes jambes, sur mes lèvres intimes, les écarte. Je ne peux pas serrer mes jambes car la personne est entre celles-ci.
Une bouche vient manger ma chatte, une autre est sur un sein, l'autre étant malaxé par une main. Mon corps est vite possédé, apprivoisé et répond aux attouchements. Je me rends pas compte mais je rends le baiser de cette bouche inconnue. Je sens mon ventre chauffer, je sais que maintenant je mouille. Ma respiration s'est accélérée.
- Tu as raison Lisa, elle commence à répondre là, dit une voix d'homme
La bouche se retire de la mienne, et je sens un sexe sur ma joue, je tourne la tête, à nouveau on me la remet droit et on balade le sexe sur mes lèvres. Puis on me fait bouger vers le bout de table ma tête pendant dans le vide.
Deux doigts se sont glissés en moi et fouillent mon intimité.
Le sexe entre dans ma bouche, et sans résistance je l'accepte et commence à le sucer. Les doigts dans mon vagin sont plus énergiques, mes seins sont toujours pris par bouche et mains. Ce traitement dure de longues minutes, celui dans ma bouche se retire lorsqu'il est prêt à jouir, puis revient lorsqu'il s'est calmé.
Pour ma part, je sens que toutes ses bouches et ses mains vont venir à bout de ma résistance, je commence à trembler. Ils ne diminuent pas d'intensité, et je ne peux retenir ce premier orgasme, violent et court.
J'entends des personnes bouger autour de moi, un sexe se positionne à l'entrée de ma chatte, est-ce celui que j'ai sucer tout à l'heure, je n'en sais rien, une bouche mordille un sein, une main soulève un peu ma tête et ma bouche entre en contact avec un sexe de femme. Je sais que ce n'est pas celui de Lisa, car celui-ci à un peu de poil juste au dessus, sûrement une ligne ou un rectangle, type "ticket de métro". Ma langue explore l'intimité de cette inconnue, goute à sa mouille qui humidifie ses grandes lèvres, tandis que le sexe entre mes jambes me pénètre.
Une deuxième bouche prend l'autre sein, j'avoue que c'était très agréable au début mais ils sont devenus tellement sensibles que cela devient douloureux. Cela dit je n'ai pas vraiment le temps d'y penser longtemps, car celui entre mes jambes accélère ses mouvements. Son sexe doit être d'une taille normale, car je ne le sens pas tellement, il faut dire que j'étais très humide après mon premier orgasme. J'enserre mes jambes autour de sa taille. J'entends les gémissements de la fille que je suce, ses mains dans mes cheveux se crispent, je sens que sa jouissance est proche.
Malgré la taille "normale" du sexe en moi, les grands coups contre mon ventre ne me laissent pas indifférente, ni le traitement sur mes seins. La fille jouit dans ma bouche, en criant. Elle se retire, je sens un sein se libérer et un membre se poser sur mes lèvres. J'ouvre la bouche et il entre.
Il grossit et s'allonge dans ma bouche, j'ai de la peine à le contenir maintenant. Cela me fait peur, mais en même temps me fait venir mon deuxième orgasme, moins fort mais plus long, car l'homme entre mes jambes continue ses grands coups qui font prolonger mon orgasme. Puis il sort et jouit sur mon ventre, je sens son sperme tomber sur mon nombril, mon ventre.
Une bouche vient ensuite nettoyer mon ventre, je suppose que c'est la femme de tout à l'heure, mais je n'en sais rien. Puis à nouveau changement de position. Je sens la table qui descend, puis on me retourne et je me retrouve à genoux. On me penche en avant et comme j'ai toujours mes mains attachées dans le dos, ma tête se pose sur la table. Un sexe me pénètre ma chatte, il est assez long, de plus dans cette position il s'enfonce encore plus loin. Je gémis à chacun de ses coups.
Soudain on me redresse la tête et un sexe se glisse dans ma bouche. Il est petit, mais je reconnais mon plaisir, je sais que c'est celui qui m'a prise tout à l'heure. Un mélange de ma jouissance et d'un peu de sperme se glisse sur ma langue, cela m'excite.
Puis celui qui me prenait en levrette se retire, je me sens soulevée du sol, j'entends des mouvement, puis on me redescend, en écartant mes jambes, un sexe se positionne à l'entrée de mon vagin, et s'y glisse doucement. Malgré ma mouille je le sens se dilater, je suis certaine que c'est la bite que je trouvais énorme dans ma bouche tout à l'heure, il entre en moi, mes seins viennent se poser sur sa poitrine, ma bouche se pose sur la sienne, il m'embrasse, je lui rend son baiser.
Jamais je n'ai senti mon vagin aussi dilaté par un sexe qui en plus est long. Ses mains sur mes hanches me font faire maintenant des va et vient, et je ressens des sensations inconnues à l'intérieur de moi, des vibrations qui me remontent jusque dans ma poitrine à chacun de ses coups.
Il n'a plus besoin de me guider, je fais les va et vient toute seule, tandis que le feu brule dans mon ventre, et qu'un orgasme monte. Mes gémissements se transforment en râles. Ces ondes qui parcourent mon corps sont divines, et je ne tarde pas à jouir, dans un grand cri. Cet orgasme est fort, et long, mon corps est secoué de spasmes, je me suis arrêtée de bouger, il est toujours à l'intérieur de moi, je suis couchée sur lui, morte. Il recommence de lents va et vient, et je sens que mon petit trou est humidifié, je supplie :
- non, svp, je n'en peux plus
Aucune réponse, de plus j'ai peur, je n'ai jamais pratiqué avec deux hommes en même temps, un sexe se positionne à l'entrée de mon anus, je n'ai pas la force de le repousser, je le sens pousser et entrer lentement. Ce doit être celui qui m'avait prise en levrette, il continue à entrer, il est long. Je sens maintenant son ventre contre mes fesses, il est en moi, j'ai également l'impression qu'il est dans mes poumons.
Ils commencent leur va et vient, nouvelles sensations pour moi, le feu dans mes entrailles ne s'est pas éteint, mes râles sont constants, du reste ils doivent déranger car ma tête est soulevée et un sexe entre dans ma bouche, ce doit être celui qui m'avait prise au début, par contre il a grossi, je suppose que la scène doit être excitante.
Le fait de m'avoir relever la tête me fait me cambrer, et les pénétrations vont plus profondes encore. Elles sont bien sûres moins puissantes qu'avant, mais ces deux sexes en moi, de cette longueur, et cette taille pour celui dans mon vagin, font que j'en perds la tête. Un plaisir continu m'envahit, je ne sais plus si je jouis encore une fois ou plusieurs, mais cela ne s'arrête plus, jamais je n'ai connu cela.
Celui dans ma bouche jouit, j'avale son sperme sans m'en rendre compte. Il faut dire qu'il n'y en a pas trop vu qu'il avait déjà joui sur mon ventre. Il se retire de ma bouche ce qui fait que mes cris reprennent.
Une fessée, puis une autre sur l'autre fesse, puis encore.
- Oooh salope, tu es bonne, ton petit trou me compresse bien, je vais jouir
Je sens ses mains agripper mes hanches, ses doigts s'enfoncer, et je le sens jouir au fond de moi. Je ne suis plus qu'à demi consciente. Il se retire. Celui sous moi s'assied, toujours en moi, me soulève, me positionne sur le dos sur la table, m'écarte les jambes à l'équerre et me donne de grands coups. Oh quel sexe toujours aussi gros, toujours aussi long, j'ai l'impression que mon ventre va se déchirer, et en même temps je veux que cela dure, c'est tellement bon. Après des minutes qui m'ont semblé des heures, il se retire, vient derrière ma tête son sexe frappe mon visage, j'ai l'impression qu'il le couvre, puis il éjacule, ses premiers jets sur mes seins, puis sur mon visage.
En temps normal je déteste ça, mais là, tout m'est égal. Je sombre dans une demi-conscience.
Après quelques temps on me soulève, on me délie mes poignets et on enlève mon bandeau. Il n'y a que Patrick et Lisa.
- Alors Sylvie, c'était bien, tu as aimé ? me demande Lisa
- Je... non.... je..
- Tu n'as pas été réticente longtemps, continue Patrick
- Ils étaient combien, c'était qui
- Pas important
- Mais je veux savoir
- Je veux n'existe pas pour toi, répond Lisa. Tu vois là tu commences à découvrir le vrai plaisir, celui que tu ne connaissais pas. Tu es même plus salope que je ne le croyais. Tu verras, ton homme ne va plus te satisfaire bientot, il n'arrivera plus à te faire jouir. Ton corps va devenir plus exigeant.
- Non, vous mentez !
- Nous en rediscuterons dans quelques temps. En attendant rentres chez toi. Jeudi ou vendredi soir je vais avoir besoin de toi, je te confirmerai.
Puis elle discute avec Patrick, comme si je n'existais plus. Je me rhabille, et je m'en vais. Heureusement que mon homme est en voyage. Je me douche et me couche. Le lendemain j'arrive en retard au travail, je n'ai pas entendu le réveil. Le weekend se passe, je suis de plus en plus mal à l'aise avec mon homme, et il est vrai que nous avons fait l'amour samedi soir, mais j'ai simulé la jouissance. Heureusement il repart dimanche soir en voyage pour son travail jusqu'à vendredi.
Le lundi se passe tranquille. Mardi également jusqu'à 16h. Patrick m'envoie un sms "ton homme est en voyage, juste ?". Je lui réponds "oui". Puis je reçois "à 18h tu seras dans le parking à ma voiture".
A l'heure dite je descends, j'arrive près de sa voiture, la porte passager s'ouvre, et j'entends "monte". Je monte, il démarre. Il nous conduit directement chez lui.
A peine la porte franchie, il me prend la veste, la suspend, puis me regarde et me dit :
- j'avais envie de baiser ce soir, et j'avais envie de toi.
Il s'approche, je recule jusqu'à ce que mon dos se trouve contre le mur. Il se colle et m'embrasse. Je suis réticente, un peu surprise par sa manière directe. Il me soulève la jupe à la taille, m'arrache mon string, je proteste mais mes paroles sont étouffées car il m'embrasse à nouveau, toujours en me plaquant contre le mur. Une de ses mains défait son pantalon qui tombe au sol. Il me prend ensuite les cuisses avec chacune de ses mains et soulève mes jambes, les plaçant de chaque côté de son bassin, me tenant sous les genoux. je panique un peu. Il se baisse légèrement et remonte, son sexe entrant directement dans ma chatte, je pousse un cri de surprise. Il entame des va et vient assez rapide, ses lèvres à côté de mon oreille droite et me chuchote :
- hmm, c'est bon, t'es bonne, je te sens mouillée, tu aimes, hein tu aimes ça
Je ne réponds pas, mais ma respiration rapide trahit mes sensations, je sens que j'aime que mon plaisir monte, je sens que j'aime être prise de cette façon virile. Ses coups sont plus forts, je pousse des râles...
- alors la bourgeoise, on ne veut pas avouer avoir du plaisir à se faire défoncer par un jeune, mais je sais que tu vas jouir
Il finit à peine sa phrase que je lui griffe le dos, en poussant un cri, je jouis, il continue ses coups, j'ai toujours les jambes autour de ses hanches, cela dure encore deux ou trois minutes, je ne sais plus, quand il pousse un rale dans mon oreille et déverse son sperme dans ma chatte.
Puis il repose mes jambes à terre. Elles sont tremblantes, je m'appuye contre lui, pour récupérer. Il me soulève le menton et me fixe :
- mets ton chemisier et ta jupe, on va se préparer quelque chose à manger pour reprendre quelques forces, la soirée n'est pas finie
Nous allons à la cuisine, il me demande de faire des pâtes, je repère également une salade, je prépare le repas. Il ouvre une bouteille de rouge, nous trinquons, je reste silencieuse, car comme toujours je suis honteuse, je ne sais par contre plus de quoi je suis honteuse. Est-ce parce que je suis dans leurs mains, est-ce parce que je ne contrôle pas mon corps, est-ce parce que je jouis comme je ne l'ai jamais fait...
Nous nous installons et mangeons, il a mis la télévision. Après le repas, il débarasse, nous avons fini la bouteille, il va faire les cafés. Il trouve un amaretto pour moi, il se sert un whisky. Soudain la sonnette retentit. Il semble aussi surpris que moi, il va ouvrir, je l'entends saluer un autre homme, qui entre. C'est un jeune homme métis, il doit être dans la même tranche d'âge que Patrick, il l'invite à boire un verre, Patrick fait les présentations, il s'appelle Paul, et a un grand sourire lorsqu'il me fait la bise. Patrick sert 2 whisky et me remet un amaretto.
Après quelques banalités, Patrick dit à Paul :
- alors, envie de te faire Sylvie ?
Je reste bouche béee devant le changement de sujet et les mots crus
- ah bonne idée, je n'ai pas pris de dessert, il me manque de la douceur
- Sylvie ne va pas être contre d'avoir deux mecs, n'est-ce pas
- mais, si, je ... suis fatiguée.. je ne le connais pas.... je..
- alors, déjà tu le connais, ensuite, si tu es fatiguée, pas de problème, on te guidera
- je le connais ???
- oui, fermes les yeux, et ne les ouvres pas tant que je ne t'aurai pas autorisé
Je ferme les yeux, j'entends des bruits de tissus, puis je me retrouve à genoux, devant Paul. Je sens qu'il pose son sexe sur mes lèvres, je comprends que je dois les ouvrir, ce que je fais, mais le sexe à de la peine à entrer, j'ouvre la bouche plus grande, son sexe entre tout juste, et je reconnais ce sexe, celui de la soirée aux yeux bandés, le sexe qui m'a impressionné, c'est lui
- alors tu reconnais ?
je fais un mouvement de la tête pour dire oui
- contente ?
je ne dis rien, mais j'avoue que je n'avais jamais eu autant de plaisir lorsqu'il m'a pénétrée l'autre jour. Patrick à ouvert et enlevé mon chemisier, il fait de même avec la jupe, je le laisse faire et me retrouve nue, juste avec mes escarpins. Patrick derrière moi glisse ses doigts entre mes fesses, entre mes lèvres intimes, et pénètre tour à tour ma chatte et mon anus. Je sais que ma chatte est humide, ce sexe dans ma bouche me donne des brûlures dans le ventre rien que l'imaginer en moi.
On me retourne et je dois sucer Patrick maintenant tandis que les mains de Paul empoignent mes seins avant de descendre dans mes intimités.
Ensuite ils se relèvent, je les suis dans la chambre, Paul se couche sur le dos, Patrick me guide pour que je vienne sur lui, je place mes pieds de chaque côté de ses hanches, je descends vers son sexe qu'il tient droit, il touche l'entrée de ma chatte, je me laisse descendre lentement, car il est toujours aussi gros et ma chatte même si elle est très humide, elle n'est pas habituée à cette épaisseur. Cependant je n'ai pas de douleur, juste il faut que je l'apprivoise. Une fois en moi, je commence toute seuele mes va et vient, et dès le début j'ai des râles qui s'échappent de ma bouche, dûs aux sensations que je ressens dans mon ventre, dans mon corps. Paul me fait me pencher sur lui, m'embrasse, et prend la direction des mouvements. Il est pas ment plus rapide au début, mais plus vigoureux, et des vibrations envahissent mes entrailles à chacun de ses coups. Je sens soudain qu'on écarte mes fesses, qu'on humidifie mon petit trou et Patrick glisse lentement en moi. Paul ralentit, laisse son copain entrer, et ils commencent les va et vient. L'orgasme qui vient, si tôt, me surprend presque tellement il est venu rapidement. J'ai poussé un cri, étouffé.
- tu vois cette salope Paul, elle jouit déjà
- oui, elle n'a pas l'habitude d'être prise, elle n'a dû connaitre que le missionnaire, la bourge
- sûrement, et avec une petite bite, hahaha
- hein Sylvie, déjà eu des bites comme les nôtres ?
- euh.. non je chuchote encore secouée de spasmes
- tu aimes nos bites ?
je dis un petit "oui"
- on n'a pas entendu
- oui
- oui quoi
- oui j'aime vos grosse bites
- oh, mais tu deviens cochonne, dit Patrick
Et là ils accélèrent, je ne sais pas si j'ai un deuxième orgasme ou si c'est la continuation du premier, mais à nouveau je perds tout contrôle de moi, le sexe de Paul prend toute ma chatte, au plus profond, tandis que la longueur du sexe de Patrick me donne l'impression qu'il remonte dans mes intestins.
Je ne sais plus où je suis, je rale, lorsque je sens Patrick jouir, ses doigts s'enfonçant dans mes fesses à me faire mal. Il se retire, Paul me prend par les hanches et guide des aller et retours violents, puissants. Je ne sais pas si c'est mon orgasme qui dur, ou si c'est un nouvel orgasme, mais son gros sexe heurtant le fond de mon vagin me donne des vibrations dans tout le ventre. Patrick me fesse maintenant :
- alors, elle est bonne la bite de Paul, n'est-ce pas
- ...
- tu n'as jamais joui comme ça, hein ?
- ...
Paul commence à gémir, puis il jouit en moi, tout au fond, je sens son plaisir, je crie encore. Je suis ensuite déposée à côté, à moitié consciente, je n'entends plus rien. Chacun glisse son sexe dans ma bouche, chacun son tour, je n'ai aucune réaction.
- tu crois qu'elle va bien ? demande Paul
- oui, t'inquiète, elle est aux anges
- c'est un sacré coup
- oui c'est vrai elle m'étonne toujours plus, si tu l'avais vue au début, très coincée
- bon, merci pour cette soirée Patrick, je vais te laisser, à refaire....
- pas de problème, rentres bien
Paul s'en va, moi je suis tombée dans les bras de Morphée depuis longtemps.
Je me réveille, j'ai de la peine à me si, puis je commence à me souvenir, oui je suis chez Patrick, la soirée d'hier, Paul, mais c'est flou sur la fin de soirée, je sais juste que je n'ai jamais éprouvé autant de plaisir qu'hier soir.
Le jour se lève à peine, Patrick dort sur le dos, nu, découvert. Je repense à mon plaisir d'hier, ces sensations nouvelles, et je fais quelque chose totalement impossible encore quelques jours avant, je m'approche de son sexe, je le caresses doucement, l'effleurant. Je le vois grossir lentement, puis ma langue le parcourt, du bout jusqu'aux boules, et remonte, il grossit encore, puis je le prends dans ma bouche et je lui fais une lente fellation.
Il ouvre un oeil, prend quelques secondes à réaliser ce qu'il se passe, me caresse doucement les fesses tandis que son sexe a pris sa taille maximale. J'entends sa respiration s'accélérer, ce qui me fait accélérer, jusqu'à le faire jouir dans ma bouche, et avaler son sperme.
- hmm c'était bon, une pipe matinale, un délice
- merci
- tu vois, maintenant tu es une autre personne vis à vis du sexe, tu ne pourras plus vivre comme avant, tu vas en vouloir toujours plus, toujours mieux, tu seras ouverte aux découvertes, tes limites sont élargies
- je... ne sais pas
- moi je sais, Lisa le sait, et toi aussi. Allez c'est l'heure de se lever et d'aller travailler
Nous nous levons, moi la première à la salle de bain, lorsque j'ai fini je m'habille, un café, un jus d'orange sont servis. Puis direction travail. Je dois avouer que j'ai repensé plusieurs fois dans la journée à la soirée d'hier et à mes jouissances, cela me rendait humide.
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